Histoires de la Bienheureuse Agnès 03

BÊTA PUBLIQUE

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Mais la psychologie féminine n'était pas la tasse de thé du Françou... Elle décida de tout faire pour toucher l'engin et l'avoir sur elle... Elle essaya de soulever son buste pour remonter son sein qui devait pouvoir toucher l'organe démesuré, sans y parvenir ; puis elle essaya vainement de dégager une main pour s'en saisir... Ses doigts fins et pourtant longs ne devaient pas pouvoir en faire le tour pensa-t-elle, tant elle était grosse... Elle avait de plus en plus de mal à maîtriser son trouble... Surtout qu'en plus de voir devant ses yeux un tel engin, elle se faisait sucer le con, ce qui, on s'en doute, ne la laissait pas indifférente Pourtant elle résistait encore... Elle savait aussi que la contrepartie de ses fantasmes, c'était ce que ses trous allaient bientôt dire d'eux-mêmes à toute l'assemblée... Elle ferma les yeux un instant, comme pour retrouver un peu de calme...

Lorsqu'elle les rouvrit quelques secondes plus tard, autour d'elle les choses avaient changées : Brigitte, qui ne l'avait pas quitté des yeux depuis qu'elle avait été attachée sur la table et, sentant sans doute son trouble monter, était venue se placer à la gauche d'Agnès. Elle avait mis son pied gauche sur la table, juste à côté de la hanche gauche d'Agnès. Le pied droit restant à terre, elle offrait ainsi à la vue d'Agnès son entrejambes très écarté, avec une jolie toison assez fournie, rousse et fauve, faite de poils très fins et soyeux, qui se limitait au pubis, le reste était rasé, à partir de la naissance de la fente... Ainsi, la petite paysanne se rasait la chatte? Tiens-donc! Voilà qui est plutôt bizarre pour une femme même jeune, de la campagne! Elle avait une jolie fente rose et allongée, avec de grandes lèvres peu marquées, mais avec des petites lèvres, fines, longues et bien découpées, assez pendantes même. Agnès voyait entre les jolies fesses bien dessinées et aux courbes quasi parfaites de Brigitte, le menton et la langue de Johann. Le jeune blond l'avait suivi et se tenait derrière elle, à ses fesses ; il lui léchait avec douceur le trou du cul, envoyant de temps à autre sa langue par devant jusqu'au trou du con de la rousse. De la main droite Brigitte branlait juste à côté du sein gauche d'Agnès, la jolie verge de taille moyenne mais aux formes parfaites d'Adrien, le jeune étudiant brun. Celui-là même dont Agnès croyait qu'il était le ''Maître en bites'' de la soirée. En contrepartie du branlage, Adrien donnait à Brigitte sa langue à sucer et lui baisait la bouche avec fougue... La perverse et jolie garce mouillait. Agnès le voyait à la légère mousse qui ourlait les lèvres de son joli con... Agnès fut saisie du désir d'être ainsi langottée elle aussi dans la bouche....

Tournant la tête, elle vit à sa droite la bite dantesque du Françou, dressée comme jamais juste à côté d'elle, cette fois branlée par Elise qui suçait tout à l'heure le jeune Hubert de droite... La petite brune aussi semblait fascinée par le membre qu'elle astiquait... Elle y mettait les deux mains, et pour le branler correctement de haut en bas, le mouvement du poignet n'aurait pas suffit, il fallait y mettre tout le jeu des avant-bras... Elise y mettait du cœur, les deux mains enserrant le même niveau la bite énorme dont une main seule ne pouvait pu faire le tour, loin s'en faut... Elle se tenait à genoux sur la table au niveau de la tête d'Agnès, sur le côté gauche du Françou, qui debout le long de la table, continuait d'écarter de sa main droite la fente d'Agnès pour faciliter le léchage du rouquin... De temps en temps, la petite branleuse se penchait au-dessus de la poitrine d'Agnès pour venir sucer la pointe du vit énorme du Françou. Ses cheveux bruns lui effleuraient alors la pointe du téton de la belle infirmière et cette caresse involontaire de jeune fille la faisait chavirer. Agnès voyait bien la bouche de la fille qui se posait en ventouse sur le sommet du gland difforme. Même le gland seul, Elise avait du mal à le mettre entièrement dans sa bouche, ne pouvant en faire le tour de ses lèvres. Elle aspirait et suçait pourtant avec force. Souvent aussi elle faisait clapoter avec rapidité le bout sa langue pointue et rose sur le trou en papille du vit monstrueux, le titillant et le lubrifiant de salive. Il semblait à Agnès que sous l'effet de ses sussions, léchages et branlages, le membre avait encore grossi. Il faut dire que les mouvements amples des mains de la jeune femme sur ce pieu dressé, le décalottait à chaque fois et faisait saillir hors du prépuce, un gland énorme tel un nain hideux sortant d'une boîte à malices... En tout cas, le membre occupait tout l'espace et toutes les pensées de la belle Agnès...

Le con mis en feu par son lécheur, Agnès ne pouvait plus contenir ses spasmes qui se faisaient de plus en plus vifs et rapprochés... Elle sentait que son ventre commençait à palpiter sous l'effet de ses sens chavirés par cette bite sans pareil, et aussi par les caresses faites à son entrejambe par la langue d'Armand... La petite Elise à côté d'elle devait mouiller car le Françou de sa main gauche resté libre, lui passait par derrière les fesses, ses gros doigts dans la fente ; elle accompagnait la caresse d'un mouvement tournant de ses hanches...

Au-delà du Françou et de la jeune brune, complètement à sa droite, Hélène, la grande blonde toujours les fesses ouvertes sur son tonneau et les jambes relevées, se faisait baiser par la bite très raide d'Hubert, le troisième garçon... De la base de son petit con de blonde, juste en dessous du dard qui l'enfilait, la mouille bulleuse et onctueuse sortait et humectait par-dessous son petit œillet brun qui ne devait jamais avoir été dépucelé. Sans qu'elle sache pourquoi, cette vision excita fortement Agnès qui souhaita avec émotion, voir une langue lécher cette mouille et se darder dans le petit cul étroit... Hélène ainsi baisée à fond par la jeune bite bien raide, geignait doucement et devait en éprouver beaucoup de plaisir...

A la gauche d'Agnès, de l'autre côté de la table, derrière sa femme, le Jacquot qui ne voulait rien perdre de ce qui se faisait sur et autour d'Agnès, s'était rapproché à côté de la Bernadette qui suçait toujours le rouquin. Il s'était à demi assis sur le bord de la table, entre ses cuisses, la tête enfouie dans ses jambes, la portugaise lui caressait les couilles et le branlait mollement, indifférente à tout ce qui l'entourait... Son homme avait glissé par terre et bien qu'Agnès ne pu le voir, elle devinait qu'il était couché sur le dos, la tête entre les fesses de la Bernadette à qui il léchait la fente et le cul... A quelques signes, Agnès pouvait voir que pour la Brigitte, le plaisir montait... Au-dessus d'elle, Elise branlait et suçait toujours le vit dément du Françou... Les sens allumés d'Agnès, chaviraient davantage de seconde en seconde... Sans le vouloir, mais au fond d'elle même, elle aurait souhaité être à la place de la fille et sa tête s'échauffait maintenant de toutes ces choses qui l'entouraient.

Pendant qu'elle branlait le Françou avec force, Elise remarqua le trouble d'Agnès dont la bouche entr'ouverte et la respiration plus courte donnaient des signes d'excitation. La petite brune, tout en continuant d'astiquer à deux mains la bite du Françou, se pencha sur la bouche d'Agnès et la langotta... Agnès chavira, la tête lui tournait... Déjà Elise lui abaissait l'engin du Françou sur la pointe de son sein droit et continuait de le branler, le gland frottant la pointe du sein. Agnès haletait, hallucinée par la vision de cette pine énorme, dessous laquelle son sein entier disparaissait, elle regardait le monstre, aller et venir sur son téton, la papille du nœud dilatée et ouverte. Où perlait une goutte de liquide transparent ... Il la lui fallait maintenant dans le con, dans le cul!... Pourtant elle se contint encore... Mais c'était sans compter avec la fourbe Brigitte. Celle-ci venait de remarquer l'effet produit sur Agnès, de voir ainsi la bite branlée sur son sein. Comme elle-même devait se sentir très échauffée, elle fit signe à Elise :

- '' Dans la bouche, Elise, branle-lui la bite dans la bouche, à cette salope! Ne vois-tu pas qu'elle ne demande que ça?!". Disant cela, elle-même déplaça un peu le jeune Adrien qu'elle branlait, vers le sein gauche d'Agnès et lui mit le bout de la bite sur la pointe du sein, continuant de l'astiquer dans cette position. Même si ce jeune membre était sans commune mesure avec l'engin du Françou, en calibre (trois fois moins exactement!) et même en frottement, la caresse contribua à faire monter Agnès d'un cran...

Elise avait tiré le Françou davantage vers Agnès et lui amenait la bite sur la bouche... Les couilles, énormes elles aussi, grosses chacune comme le poing d'Agnès, traînaient littéralement sur la table et frottaient doucement la pointe de l'épaule de l'infirmière. Celle-ci d'abord, refusa d'ouvrir la bouche, résistant là encore. Dans sa tête, elle se disait par contre que ce qu'elle avait espéré depuis le moment où elle avait vu l'engin se réalisait enfin : elle l'avait à disposition pour le sucer et peut-être s'en faire baiser. Cela suffisait : pouvoir mettre dans son mental que la réalisation du désir, permettait de surseoir au réel passage à l'acte. Elle n'ouvrait donc pas la bouche, mais sa cérébralité la mettait de la même façon au bord de la jouissance...

A ce niveau, l'effet produit était relativement équivalent, surtout que le braquemart tant convoitée était là, offert, accessible... La petite Elise lui frotta les lèvres avec. Agnès n'avait jamais vu un membre aussi gros en réalité. Quand Elise lui passait sur la bouche, le gland mis en travers, lui touchait à la fois le bout du nez et la pointe du menton... Agnès sentait que l'homme avait une odeur forte, pas franchement une odeur d'urine, mais une odeur de vieux mâle, qui l'incommodait un peu... Elise essaya encore de lui enfoncer le pieu dans la bouche... En vain.

Le Françou prit alors la direction des opérations : d'une main il saisit son énorme verge et se mit à taper son gland sur les lèvres serrées de la jolie bourgeoise... Agnès ne desserrait pas les lèvres... Il tapait encore en incrustant le gland dans le sillon labial... Rien à faire... Pourtant, à un moment, malgré elle, elle laissa filtrer un espace minime. Ce fut sa défaillance... Elle eut beau se débattre tourner la tête, refermer la bouche et serrer les lèvres, le gland était allé au contact de sa langue, la hampe avait touché ses dents : elle ne pouvait plus désormais qu'enfourner le braquemart comme une salope quelle était. C'en était finie de sa belle résistance, elle ne pouvait plus tenir, le ventre en feu, la tête et les sens échauffés comme jamais... Tant pis, elle allait être une salope, sans doute LA salope de la soirée, mais c'était maintenant au-dessus de ses forces, il fallait qu'elle essaie cette bite monstrueuse...

Brusquement, alors qu'elle ne s'y attendait plus elle-même, elle ouvrit grand la bouche et aspira le gland, enserrant les bords de ses lèvres minces. La protubérance qui déformait le gland lui déforma sa joue gauche... Elle se mit à pomper. Elise tout à côté n'en revenait pas :

- '' Aouha! Dis-donc, ma cochonne, t'as vu comment elle a enfourné ça??!! Aouhaaa!! Alors elle, elle sait pomper une bite! Et avec ce calibre! Mais comment fait-elle?? " Agnès toute à sa succion n'entendait plus, concentrée sur le montre qu'elle avait enfin en bouche... Elle était secrètement fière d'être admirée pour son coup de langue, mais n'en laissant rien paraître... Elle sentait les spasmes monter en elle...

-'' J'le savais!..., dit la Bernadette, qui attendait depuis le début cet instant fatal, ce virage où une vraie salope ne peut être autre chose qu'une salope véritable, on m'avait dit que la garce ne demandait que ça, même si elle veut donner l'impression de refuser! Putain, mais elle va m'avaler mon Françou!? Il en a pourtant un morceau. Tu n'peux pas dire la bourgeoise que t'en vois souvent des qui sont montés comme ça? Hein?...! Y a des jours j'peux même pas mettre tout le bout de sa bite dans ma bouche! C'est vous dire!!... Eh, mon Françou fait attention que la petite salope de bourgeoise t'en enlève pas un morceau!''. La plaisanterie primaire et vulgaire de la Bernadette, déclencha les rires des uns et des autres.

- '' Où c'est-y que tu as appris à sucer comme ça salope!, dit doucement et perfidement la Brigitte. Tu ne vas pas m'dire que tu en es à ton coup d'essai, hein! J'dirais même que tu dois avoir une certaine habitude pour les aspirer comme ça, sans les mains!... C'est-y dans ton boulot d'infirmière que tu t'entraînes à faire la putain?! Y qu'a regarder ta bouche pour comprendre!... Salope!"

L'injure n'atteignait même plus Agnès qui toute à son pompage, se laissait aller au plaisir infini de découvrir une nouvelle et une très grosse bite, très atypique. De la prendre en bouche, de l'essayer, quoi! Oui, c'était ça, l'attrait du nouveau, mais dans le sens de ce qu'elle recherche : les gros calibres à explorer! La découverte de ces engins étant de beaucoup le moteur essentiel de la jolie Agnès pour se laisser mêler à ce genre de soirées... Elle léchait la bite jusqu'au milieu de la hampe, jusqu'où le peu de mouvements qu'elle pouvait faire lui en laissait la possibilité. Le Françou, lui, appuyait de sa main sur le membre et le faisait pénétrer le plus loin possible jusque dans la gorge d'Agnès ; puis il le ressortait presque, allant jusqu'à sortir le gland des lèvres... Là, Agnès titillait de l'extrême bout de sa langue experte la papille au bout, elle-même démesurée... Elise caressait fortement les couilles du Françou de ses deux mains. Elle regardait Agnès enfourner, sucer et pomper, puis lécher la tige, subjuguée par tant de ferveur et de savoir-faire, découvrant sans doute, compte tenu de son jeune âge ce que pouvait être ''l'art de la pipe''.

Agnès, les yeux fermés, voyait dans sa tête l'image du gland énorme et boursoufflé qui lui occupait tout l'espace de la bouche... Elle se voyait en train de pomper la bite et de l'aspirer comme une damnée. L'effet de succion creusait ses joues. Elle aspirait, tantôt plaquant sa langue sur la papille ovale du trou à pisser, tantôt libérant brutalement celui-ci de son aspiration... A ce petit jeu, peu d'hommes lui résistent longtemps...

- '' Ah la garce, je peux vous dire les amis qu'elle sait faire une pipe, lança le Françou excité et le souffle court. Elle a vraiment une technique de pipeuse, la garce! Aaahhhh, salope!... J'ai jamais été sucé comme ça!! Même par toi la Bernadette!! '' Rires. La Bernadette répliqua avec un soupçon de rancœur :

- '' Oui, mais moi je n'ai pas fait que ça toute ma vie! Et puis j'ai pas connu autant de queues que la bourgeoise, moi!"

- ''C'est vrai qu'elle a une gueule de pipeuse!! C'est impressionnant de la voir de près pomper comme ça!" dit Elise.

- '' Tu l'as dit, petite!..., renchérit le Françou. Elle n'en a pas seulement la gueule, elle en a aussi la manière tu peux me croire!! Prends-en bien de la graine, ma petite! J'en ai connu qui après 15 ans de bordels à nègres n'avait pas sa technique pour pomper les nœuds!! Ah, elle sait faire la garce! Croyez-moi!!"

Sa réputation était faite! Mais au fond d'elle même Agnès prenait une revanche par rapport à la scène de tout à l'heure concernant ses seins. Là, elle faisait des envieuses parmi les femmes et suscitait l'admiration des hommes. Elle en retira une certaine fierté et redoubla d'ardeur... Le vit démesuré du Françou allait et venait dans sa bouche... Elle faisait glisser sa langue le long du frein du prépuce, puis, de la pointe de sa langue, tournant le long du sillon de la base, elle décolletait le gland. Grisée, dans un état second, comme suspendue, elle sentait le plaisir venir en elle comme une marée montante...

La jeune bite que la Brigitte branlait à la pointe de son sein gauche se durcissait de plus en plus... Le mouvement de la main de la branleuse rousse se faisait plus saccadé... Le Jacquot avait passé sa main sous la jambe gauche relevée de sa femme et lui branlait la moule de sa main gauche, juste au-dessus de la langue du blondinet... Elise, une main sur le sein droit d'Agnès, l'autre palpant les couilles du Françou, léchait par-dessus, la hampe de la bite qu'il faisait aller et venir dans la bouche d'Agnès. Celle-ci sentait la vague monter en elle, la pointe de ses seins se durcir. Elle sentait son clito frémir et se raidir aussi sous les coups de langue du rouquin. Une vague de chaleur lui envahit le ventre...

Puis tout se précipita. La bite d'Adrien sur son sein droit se mit à décharger sur toute sa poitrine... Elise léchait le foutre chaud sur les seins d'Agnès... Brigitte, avec de petits cris, jouissait dans la bouche de son lécheur blond... Agnès sentait le gland du Françou frémir sous ses coups de langue. Il lui explosa dans la bouche en longues giclées chaudes et abondantes qu'elle avalait, tant il restait peu de place dans sa bouche... Le Françou jouissait avec de gros râles d'homme. A la troisième giclée, il avait retiré sa bite énorme de la bouche d'Agnès et finissait de décharger en lui giclant sur le visage de longs jets laiteux, onctueux, abondants et chauds ... Elle en avait partout sur les joues, la bouche, le visage, le cou, les seins... A croire que le vieux n'avait pas craché de foutre depuis des mois... Et il continuait, arrosant alentours. Deux jets avaient traversés la largeur de la table et été allés jusqu'à la Brigitte... Elise léchait le foutre épais et plutôt jaunâtre du Françou jusque sur les lèvres d'Agnès... Celle-ci n'en pouvait plus, le gland du Françou, continuait de frotter le bord de ses lèvres. Elle sentit la vague lui déferler dans le ventre et rouler jusqu'à sa fente... Elle eût deux violents soubresauts son corps se tendit et se cambra, soulevé sur ses attaches... Elle déchargea abondamment et violemment sur le visage de son lécheur... Elle poussait des cris rauques et brefs, qu'elle essayait de contenir... Le rouquin abasourdi, le visage inondé se releva en jurant...

- '' Eh!... Mais regardez-moi cette salope, regardez un peu! Elle jouit en me mouillant toute la gueule ...! Ah, la putain!...". Agnès continuait à jouir, comme dans la délivrance d'une chose qui lui faisait mal car trop longtemps contenue... Sa cyprine coulait en nappes régulières de son con béant... Elle savait que ses trous s'étaient détendus sous l'effet de sa jouissance... Depuis longtemps déjà, la moule s'était ouverte, mais le rouquin sans doute peu expérimenté, ne l'avait pas remarqué... Du moins pas encore, car en se reculant il ne fut pas sans voir la taille du con d'où s'échappait le miel chaud et abondant d'Agnès...

.- ''Ah, ben dis-don', tu parles d'un trou, toi!... Eh!... Voyez ça, sa fente est devenue large et béante à y mettre le poing! Oh la salope, on dirait qu'on l'a baisée pendant deux heures!... Ca alors!!"

Bernadette s'était vivement approchée et examinait l'entrejambes chaud et mouillé d'Agnès. Sucé pendant une demie heure, le clitoris était dressé et sorti du capuchon sous l'effet de la jouissance, mais en dessous il y avait un trou immense et la rosette très relâchée elle aussi, était distendue comme si on venait de la mettre... La Bernadette en '' vieille habituée '' ne s'y trompa pas :

- ''Ah, ben vrai, alors... Quel trou! J'ai encore jamais vu ça!... T'as pas dû chômer de la moule, toi!... Tu te fais régulièrement saillir par des baudets, ma parole! J'ai jamais vu un trou comme ça!! Eh, t'es pas seulement une pipeuse de première, t'es aussi une sacrée enfileuse de perles, hein! A trente ans et des poussières avoir un con aussi alésé et taraudé qu'une vieille pute de soixante dix, ben ça alors, hein, pas vrai!... T'as dû faire tes classes dans un bordel à nègres, c'est pas Dieu possible!...". Comme si cela ne suffisait pas la Bernadette écartait sans ménagement les bords du trou à bites d'Agnès, tirant sur les lèvres très retroussées par la jouissance et continua :