Histoires de la Bienheureuse Agnès 03

Informations sur Récit
Episode 3 : Agnès va vivre des moments difficiles.
7.6k mots
4.65
30.8k
00

Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 05/19/2022
Créé 06/27/2012
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

1ère Histoire - Soir d'octobre en Beaujolais -- suite 3

Episode 3 / 6 : Où le lecteur perçoit de rudes coups portés à la belle Agnès.

... Brigitte était descendue du cuveau et avait enlevé sa robe légère. Elle était à trois pas d'Agnès, en slip jaune taché d'éclaboussures de vin et de jus de vendange... Sans résistance, elle se laissait lutiner et peloter par le jeune Adrien, celui qui l'avait déjà copieusement maté entre les cuisses, avant l'épisode du cuveau... Elle dit doucement, mais avec vindicte :

- '' Qu'est-ce que vous attendez, vous autres, pour la mettre à poil?!...". Armand, le Françou et Johann n'attendaient que cette invitation et ne le firent pas dire deux fois... Le grand rouquin lui tint les bras levés au-dessus de la tête, tandis que Johann s'occupait fébrilement de faire passer la robe par-dessus la tête brune de la jeune femme. Elle faisait de vaines tentatives pour empêcher le tissu fin de la robe de remonter complètement. Par-dessous la jupe retroussée le Françou lui immobilisait les hanches de ses deux mains puissantes. Agnès ne put résister longtemps et la jupe fut retirée d'un coup vers le haut, ce qui la déséquilibra et son corps fut plaqué sur celui d'Armand dont elle sentit nettement sur ses reins la bite tendue... Elle voulut se retirer de ce contact, mais Johann se plaquait sur elle par devant, lui faisant sentir sa belle verge dressée, dont la toute extrémité pointait par le haut, hors du short. Il l'appliqua sur le ventre d'Agnès et pressa de tout son poids sur le nombril. Les deux hommes la tenaient debout entre eux, se frottant à elle et la frottant à eux dans un mouvement tournant et lascif...

Un instant, Agnès se vit ainsi de façon très lucide en petit slip transparent entre les deux hommes et sa honte grandit encore : là, à demie nue, coincée entre deux hommes lubriques, au milieu d'autres, hommes et de femmes épris de boisson. Elle voyait ses seins tombants, son torse strié de coulures de vin et de jus collant, le slip blanc à petits motifs bleus maculé et imbibé de souillures violacées, les cuisses zébrées elles aussi de vinasse jusqu'au chevilles... Elle eut de nouveau un haut-le-cœur, ferma les yeux et se dit : '' Si seulement je pouvais me laver un peu, me plonger dans une eau pure et fraiche enlever ce slip qui n'est plus qu'une serpillère et me laver de ces souillures et de ces humiliations!... '' Mais c'était là, peine perdue... Déjà la Brigitte lançait, terrible :

- '' Mais mettez là donc à poil... Complètement à poil, quoi! Mais qu'est-ce vous attendez! C'est une salope, qui ne demande que ça... Vous ne l'avez pas compris?!"

Le Françou qui s'était déjà accroupi aux genoux d'Agnès entre Johann et Armand qui la tenaient entre eux, n'attendait que cela. Malgré les jambes très serrées de jeune femme, il fit glisser le slip jusqu'aux chevilles. La tête au niveau des genoux d'Agnès il en profita pour bien regarder la fente où les poils étaient collés, et lança :

- '' Ah, la cochonne!... On peut dire qu'elle boit par tous les trous! Vous verriez sa fente, elle est pleine de vinasse!"

- '' Quoi? S'enquit la Bernadette, la jolie dame aurait le derrière sale? Il faudrait voir ça! Allez, allongez-là sur la table vous autres et attachez-lui les poignets et les chevilles, que l'on puisse voir ça de plus près!''. Agnès eût beau se débattre, protester avec force, crier et demander tandis que les trois hommes l'empoignaient fermement :

- '' Grâce!! Non, non!! Pas ça!!! Laissez-moi, je vous en supplie!''. Elle appela aussi désespérément Toinette, mais rien n'y fit... En un tour de main elle fut amenée sur la table, écartée aux bras et aux jambes et attachées nue, le dos sur le bois, les poignets et les chevilles liés par Armand et le Françou aux quatre pieds de la table... Elle fit des efforts pour se libérer et se redresser, en vain, les liens lui sciaient les poignets et les chevilles si d'aventure elle tirait trop fort...

Autour d'elle, à travers ses yeux embués de larmes, elle ne voyait que des scènes de sexe entre les hommes et les femmes. A sa gauche, à deux pas de la table, la belle Brigitte, légèrement penchée en avant, ses beaux seins très proéminents et pointés vers le bas, le slip jaune descendu jusqu'à mi-cuisses, tendait ses fesses écartées à Adrien qui lui léchait la raie et la fente avec passion... D'un mouvement lent et arrondi, elle tournait doucement sa croupe sur le visage du garçon et semblait se délecter de cette caresse. Par devant, elle branlait doucement d'une main, le beau braquemart de Johann, lui léchant de temps en temps le gland. Le garçon avait sortit de son short la bite magnifique dont il était doté. Une bite très longue, au moins 20 cm, nerveuse et noueuse, dont le gland décalottait de la largeur de la main de la Brigitte.... Vraiment un beau vit qui troubla Agnès malgré la précarité de sa situation.... Ce qui l'excitait le plus, c'était de voir Brigitte darder de temps en temps la pointe de sa jolie langue au sommet du gland, la papille de la bite du garçon et jouer ainsi à l'exciter des frémissements de sa langue!... Vraiment, elle semblait en connaître un rayon et avoir en ce domaine, une certaine expertise. Cette remarque conforta Agnès dans son hypothèse qu'elle s'était déjà formulée : cette fille n'était pas tout à fait à sa place dans cette ferme...

A la droite d'Agnès, le blondinet dont le prénom était Hubert, se faisait sucer la bite, nettement plus petite que celle de son grand camarade blond, par la brune Elise aux jolis seins. Accroupie devant lui, elle le pompait très activement. La jeune femme, apparemment peu experte, compensait son manque d'expériences, par une motivation et une avidité à sucer remarquables. Par côté, ce même garçon, tandis qu'il se faisait sucer, embrassait à pleine bouche et à pleine langue la belle Hélène assise sur un tonneau devant lui, les jambes très relevées. Il pouvait ainsi lui branler en même temps la fente : un doigt dans le vagin et l'autre sur le clitoris.... Agnès voyait que la blonde avait une très jolie fente, peu fournie et dont les poils blondinets restaient peu visibles d'où elle était, c'est-à-dire à 3 mètres environ. La jeune Hélène avait un clitoris très marqué, très ressorti et plutôt gros qui bandait très fort. Les lèvres fines et longues de sa vulve étaient également très développées et la main du garçon les caressait avec adresse...

A la gauche d'Agnès, et vers le bout de la table, le Jacquot que l'on n'entendait plus depuis quelques instants, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte sur un torse et un ventre très poilus, donnait à sucer une bite courte mais très large à Maria la portugaise, affalée au pied de la barrique. Elle avait la tête soutenue par son mari, dont elle branlait la bite. Ou plutôt dont elle avait la bite dans la main, c'est à peu près tout ce quelle pouvait faire tant elle était saoule! Pour ce qu'en voyait Agnès le portugais avait une verge assez petite, plutôt courte et pas grosse non plus. Il faisait sans doute partie des ''petites cylindrées'', voire très petites! Mais, d'où elle était, elle ne voyait pas très bien...

Le Jacquot par contre avait un membre plutôt court, une quinzaine de centimètres de long tout au plus, mais d'une rare grosseur d'au moins 7 cm de diamètre, peut-être 8. Le vit était d'un beau diamètre comparé à sa longueur! Et surtout un gland court, en champignon qui dépassait d'un bon centimètre en surplomb tout le tour de la hampe, Ce gland faisait penser à un chapeau-casquette à très larges bords. Cette forme particulière du gland raccourcissait encore le membre, lui donnant l'impression plus grande de massivité...

Le Jacquot promenait le bout de son engin sur la bouche, le menton le visage de la jolie portugaise qui n'en pouvait davantage et surtout, il s'amusait à lui promener de la même façon que sa bite, le goulot d'une bouteille qu'il tenait dans l'autre main, donnant à sucer à la femme, tantôt son gland, tantôt le goulot, parfois les deux ensemble. De temps en temps, il versait une goulée de vin de la bouteille dans la bouche de la femme qui avalait avidement. Le vin versé trop vite pour être bu, coulait et dégoulinait de la bouche rendue maladroite par l'alcool... La Maria avait la robe, mouillée et imbibée de jus de raisin, relevée jusqu'à la ceinture. Agnès eût la confirmation qu'elle ne portait pas de culotte, car les cuisses très écartées laissaient voir une chatte, brune et très fournie, que son mari lui branlait sans que cela eût l'air de lui faire beaucoup d'effets...

La Bernadette s'approcha de la table où Agnès était immobilisée. Elle aussi maintenant était nue, et malgré son âge et ses formes généreuses, elle n'était pas difforme. Sa grosse poitrine était bien portée et ses seins encore très fermes avec des tétons bien ressortis et pas trop écrasés comme c'est souvent le cas après la cinquantaine, surtout chez ces paysannes qui ne prenaient en général, point trop soin d'elles... Ses fesses un peu fortes empâtaient le haut des cuisses, mais sans excès. Le ventre plutôt rond escamotait le pubis mais qui restait bien apparent, bien poilu et avec la fente bien marquée... Bref une femme encore avenante et globalement encore désirable, malgré la cinquantaine passée...

Elle se plaça au bout de la table entre les jambes écartées d'Agnès dont la fente et les poils étaient collés par la vinasse et le jus sucré des raisins. De ses mains un peu fortes, elle lui écarta la vulve. Celle-ci était pleine de jus et de vin qui laissait à l'intérieur des traces violettes et rouges. Sa fente sous l'effet de l'alcool la picotait et la démangeait fortement. Sous les doigts peu soignés de la Bernadette, la chatte s'ouvrit, les petites lèvres bien développées s'écartèrent et démasquèrent un joli trou bien bordé par des ''piliers d'amour'' très renflés. Dans l'ouverture de la fente, le clitoris se rengorgea un peu et pointa le nez sous le capuchon.

Agnès se sentait sale, humiliée sous l'effet des gros doigts de cette femme, qui l'écartaient ainsi. Elle avait honte d'être examinée de cette façon, en gros plan! Quelle humiliation d'être ainsi vue, observée, détaillée, par une femme si rustre, si vulgaire, qui lui regardait le sexe comme elle aurait fait de la bouche de sa chèvre! Mais en même temps, malgré sa honte, elle était très troublée et elle sentait frémir son corps et son sexe autant par le contact frustre des doigts que par le fait d'être ainsi livrée et montrée... Sa tête était en feu, ses sens à fleur de peau. Le vin de tout à l'heure commençait à agir fortement et la rendait plus réceptive à cette situation humiliante... Bernadette termina son inspection en lui examinant bien la l'œillet ; examen assorti de ce commentaire :

- '' La garce dit-elle, je parierais bien qu'elle a du être prise depuis longtemps par tous les trous! Et plus souvent qu'à son tour, hein!..." Agnès accusa le coup et fut troublée de cette remarque. A quoi l'avait-elle vu, cette vieille chouette. Car, cela faisait bien au moins 5 jours qu'elle ne s'était pas fait prendre, ni qu'elle s'était engodée! Bernadette poursuivit son diagnostic :

- '' Tu as vraiment un cul de salope!!... J'veux bien croire que la vinasse t'a engluée la moule et te l'a un peu salie, mais tu sais, si on la regardait bien à fond, on y verrait peut-être pas que du jus de raisin!". Agnès voulu protester. Elle ne pouvait viscéralement supporter d'être considérée comme une femme négligée ou malpropre. Elle faillit se rebiffer avec des protestions véhémentes comme si elle se retirait d'un jeu auquel elle ne voudrait plus participer. Notamment, elle allait dire à la Bernadette que si on regardait sa moule à elle on trouverait sans doute plein de choses ragoutantes! Mais brusquement elle mesura le dérisoire de cette révolte, et le peu d'importance que ce fait avait au regard des autres choses qu'elle subissait depuis plus d'une demie heure.... Elle n'eut pas la force d'insister. La Bernadette continuait :

- '' Armand, Françou, vous allez lui nettoyer la fente, en la lui léchant bien... Je vais m'occuper de vous pendant ce temps! C'est vrai quoi, c'est pas tous les jours qu'on peut s'amuser comme ça par ici!... C'est pas comme toi, la jolie bourgeoise, tu dois en voir défiler des bites, hein, ma cochonne!"

Disant cela, elle s'agenouilla au bout de la table et prit une bite dans chaque main. Celle d'Armand était plutôt longue mais pas très grosse ; une que l'on pourrait qualifiée de nerveuse, qui, sans doute à cause d'un phimosis, décalottait assez mal et très incomplètement. Le Françou, qui avait quitté son pantalon, présentait, lui, une bite gigantesque. Un morceau énorme!

Vingt minutes avant, Agnès était loin de penser cela! D'ailleurs, le Françou était très loin dans son classement initial! Elle en fut éberluée. Quoi, ce petit nabot édenté de plus de cinquante ans et d'à peine 1m 65, les battait tous en grosseur et en longueur? Il est vrai qu'il ne bandait pas encore complètement au niveau des autres, mais justement, cela ne faisait rien, même comme ça, c'était du 24 - 25 cm de long, au moins et aussi 8 de diamètre, sans problème!... Quel morceau! Une bite, noueuse en plus, avec un ressaut marqué à moitié de la hampe et un gland très dissymétrique, partant franchement sur la droite, une bite énorme et difforme... Une bite à tirer dans les coins, qui devait vous défoncer la joue quand vous vous la plantiez dans la bouche, ou qui devait vous attaquer le côté du vagin quand vous arriviez à vous la mettre dans le trou. Car un morceau comme ça, '' il faut déjà se le rentrer!'', comme le dirait la plupart des femmes! La Bernadette habituée sans doute et pour cause, ne s'en émut pas et commença à le branler ce qui fit grossir encore le braquemart de son nabot d'époux. Agnès était toute abasourdie et se fixant sur ce membre impressionnant à plus d'un titre, fut surprise de sentir une langue se poser sur sa moule, toute occupée qu'elle était par l'énorme vit du Françou...

Bernadette accroupie au pied de la table en face de la fente écartée d'Agnès, suçait avec ferveur la longue bite d'Armand. Le rouquin était debout par côté de la table et écartait d'une main la fente d'Agnès. Le Françou, penché entre les jambes ouvertes d'Agnès, lui léchait la fente et se faisait branler par sa femme, juste au ras de la table... Sous l'effet de la langue râpeuse du vieux, Agnès ferma un temps les yeux. Immédiatement l'image de la bite monstrueuse et très déformée du Françou s'imposait à elle. Elle l'imaginait plus grosse encore qu'elle ne l'avait vue, le gland décalotté se frayant un passage dans sa fente, parmi ses poils... Elle eut un léger gémissement qui n'échappa pas à la Bernadette.

- '' Continue Françou! Vas-y...! Tu vas lui faire cracher la mouille et elle prouvera alors à tous qu'elle est une vraie salope. Elle aime la bite, tu peux me croire!... Je te parie gros que je ne suis pas trompée! Vous entendez vous autres, la mijaurée commence à trouver ça son goût!... "

Agnès résista encore et se contrôla fortement pour ne pas gémir sous la caresse de la langue du vieux... L'image de cette bite l'obsédait et les coups de langue pointue du Françou, justement lui, lui passaient partout et faisaient tressaillir tout son corps. Il lui léchait avec un grand savoir-faire, la fente poisseuse qui devait puer la vinasse et sans doute aussi un peu la pisse, car il lui revenait qu'elle n'avait fait avant de partir que des ablutions rapides! Elle était partagée entre le plaisir charnel qu'elle éprouvait au léchage de l'homme et le fait que son haleine infecte polluait son sexe.

De se sentir souillée ainsi, l'humiliait autant que les yeux de la Bernadette qu'elle voyait observer les moindres frémissements de sa vulve... Avec délicatesse, le Françou tournait le bout de sa langue sur le trou de cul d'Agnès, il y dardait légèrement la pointe avec délectation. Déjà, en situation normale, cette caresse la rendait folle. Puis remontant vers le con, il lui lustrait d'un mouvement tournant de sa langue, l'entrée du trou à bites. Puis aspirait doucement les petites lèvres sensibles et fines d'Agnès, ce qui la faisait à chaque fois défaillir. Il léchait à larges coups de langue les sillons à l'intérieur des grandes lèvres, passant et repassant en même temps son nez sur le clito qui frémissait, enfin il terminait son ascension par quelques coups de langue précis et appuyés sur le clitoris, qu'il entourait ensuite longuement de sa langue, en tournant et en le détaillant de la pointe de celle-ci...

Agnès avait de plus en plus envie de se branler pour activer la caresse et la rendre plus sensible en même temps que les fringants coups de langue redressaient son clitoris... Ses poignets attachés l'en empêchaient, mais quelqu'un qui aurait bien observé ses mains aurait pu voir les mouvements imperceptibles de son index et de son majeur opérer une masturbation virtuelle... Chaque fois que la langue lui entrait dans le con, Agnès avait l'impression qu'elle allait défaillir, mais ce qui la retenait de décharger et de se laisser aller, c'était la peur que l'homme sente sa cyprine chaude lui couler dans la bouche. De toute façon malgré elle, elle en lâchait à chaque instant, plus ou moins abondamment... Le Françou se releva, sa face clownesque était toute mouillée et luisante. Agnès eût peur qu'il se soit déjà aperçu de ses petits lâchers successifs qu'elle ne pouvait maîtriser... Il lança :

- " La salope, c'est du pinard qu'elle jute! On dirait qu'elle pisse du vin! Ah, putain quelle fente! Eh toi, l'Armand, viens-y lécher la conasse!... Tu vas voir si c'est pas vrai qu'elle a goût de pinard et du bon, sais-tu! "

Armand prit la place du Françou entre les jambes écartées d'Agnès. Il se tenait maintenant au bout de la table, les jambes écartées entre lesquelles la Bernadette repris sa place, pour lui sucer les couilles, lui langotter le trou du cul et lui branler haut et fort sa bite nerveuse... Le Françou était passé sur le côté de la table, à la droite d'Agnès et d'une main lui écartait à son tour les lèvres de la fente, pour qu'Armand puisse la lécher plus aisément. Debout à côté d'elle, il lui donnait à voir son braquemart énorme, dressé et maintenant très bandé, car bien branlé par la Bernadette. Un engin noueux, difforme, au gland qui a lui seul aurait fait le bonheur de plus d'une (et de plus d'un, "les petits de la bite"!) Agnès était subjuguée. Elle n'avait jamais vu de bite aussi grosse si près de ses yeux... Enfin aussi grosse, si une fois ou deux, pas plus, mais surtout pas aussi difforme!... Ce qui était extraordinaire et qui la fascinait, c'était la monstruosité du membre, par ses dimensions certes, mais surtout les formes qu'il offrait : dantesques, surréalistes, du jamais vu... Une Bite-Quasimodo, tout à fait cela! Et ça c'était fascinant... Elle ne pouvait en détacher ses yeux : 25 cm sûrs, dressés, tendus, de la pointe du gland à la base des couilles ; et peut-être plus. Et en diamètre au moins 8 cm à la base et encore plus de 5 ou 6 au bout du gland... Du fait de la position du Françou, elle avait le membre juste dans sa perspective, à une vingtaine de centimètres de ses yeux, juste au-dessus de son sein droit. Si le pauvre ''nabot'' avait su l'effet qu'il produisait sur la jolie bourgeoise, il ne serait plus senti de fierté!

Et surtout, ce qui excitait par dessus tout Agnès, c'est que cette bite était, déformée, comme rompue par des coups qui l'auraient, cassée, cintrée, déviée... Coudée vers la droite au tiers à partir de la racine, puis coudée ensuite vers la gauche à partir de la base du gland, lui-même comme cabossé, décalé, excentrique, avec une partie, la droite, hypertrophiée, qui devait bouter l'intérieur des vagins qui l'engloutissaient, avec un réel bonheur... Agnès malgré elle et en dépit de la pression qui la laissait peu libre de ses fantasmes, se prit à imaginer ce braquemart lui entrant dans le con, se frayant un passage difficile au départ, puis accueilli comme elle savait pouvoir le faire et enfin se l'entrer toute entière, lui faire fouiller le fond de sa matrice, déformant les parois internes de son vagin dilaté et la faisant jouir sans répit... Elle se vit le saisissant à pleines mains pour se l'introduire dans le cul et hurler d'être ainsi pénétrée, la protubérance du gland la labourant tout le long du rectum... Oh oui, elle avait envie d'offrir son cul à un tel engin en hommage à toutes les bites qu'elle avait connues et adorées pour leur grosseur, leur forme et les orgasmes qu'elle en avait eu... Oui, oui, elle avait très envie de l'avoir dans le con, dans son cul ; elle aurait aimé qu'elles fussent deux ainsi, monstrueuses et énormes, à la prendre en même temps dans les deux trous... Pour voir et sentir cette sur-dimension... Oui, oh, oui, elle avait envie d'être humiliée et soumise à une bite aussi gigantesque, aussi laide, aussi mal foutue, mais si fascinante... Elle n'en pouvait plus de la voir ainsi dressée par côté d'elle... Elle souhaita pour elle-même que le Françou vit son trouble et lui fourre le bout de son dard dans la bouche... Au moins ce ne serait pas elle qui l'aurait fait, l'honneur serait sauf, et ainsi elle aurait ce dont elle rêvait... Elle passait sa langue sur ses lèvres de sa bouche entr'ouverte...