Flagellée Pour Adultère

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Toute une prison pour femmes était à sa disposition, des milliers de détenues de tous âges dont certaines très belles : il pouvait à son gré entrer dans les cellules et les choisir pour les fouetter à volonté, à toute heure du jour et de la lui. Il avait appris à aimer ce geste suivi d'un cri, le claquement sec sur cuir sur la peau fragile.

Elles pouvaient le supplier pour qu'il arrête. Elles se faisaient alors caressantes comme des anges, et il les prenait par deux ou par trois, parfois plus, pour de magnifiques partouzes pénitentiaires. Comme il était très beau et que son regard restait clair et brillant, elles ne le détestaient même pas, allant même jusqu'à aimer être fouettées, lui offrir leur corps dénudé, la peau vulnérable, jusqu'à le réclamer à genoux. Elles étaient des milliers, ces réprouvées de la société, comme autant de chattes en chaleur pour lui seul. Il les avait dressées comme esclaves sexuelles entièrement dévolues à sa satisfaction. Ce nouveau pouvoir l'a rendu fou. Il bandait à plein temps, éjaculait comme une mitraillette, devenait une bête sexuelle, aidé en cela par des pilules à la chimie efficace. Tarentule a voulu le guider plus loin encore dans la folie. Sa cheffe Mygale, jamais loin de sa subordonnée, a su frapper aux portes du pouvoir, n'hésitant pas où ouvrir ses cuisses quand il le fallait, à se mettre à genoux sous les bureaux ministériels, pour mieux convaincre.

Les politiques ont ouvert à Écureuil la très stratégique prison pour femmes de l'espace, l'établissement le plus sécurisé, réservé aux tueuses en série, aux meurtrières de sang-froid, aux poseuses de bombes, aux braqueuses qui avaient ouvert le feu sur la police. Pour celles-ci, aucune perspective de libération ne permettait de garder l'espérance, sinon un aller simple vers la guillotine nouvellement rétablie en 2060. Depuis cette date, les exécutions ont toujours lieu dans deux stations spatiales spécialement aménagées pour cet usage, avec en leur centre l'instrument fatal : l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes. Écureuil a appris à manipuler l'engin mortel, avec sa lame en céramique propulsée par de petites fusées afin de compenser l'absence de gravité. Les murs, peints en blanc, étaient maculés de giclées sanglantes du plus bel effet, comme dans un champ d'effroyables coquelicots.

Les condamnées étaient emmenées nues, les mains liées dans le dos. Écureuil les voyait passer devant lui. Il leur souriait, leur parlait gentiment, essuyait les larmes sur les joues de celles qui ne voulaient pas mourir. Il faisait semblant de compatir à leur destin cruel. Elles se confessaient à lui sans crainte, il devenait une sorte de prêtre athée, lascif et caressant, pour celles qui avaient sur la conscience des crimes non encore élucidés -- elles ignoraient que, par l'entremise de Tarentule, la police allait faire usage de ces révélations à l'encontre de leurs complices -, celles dont l'innocence avait été massacrée par une erreur ou un complot judiciaire. Sa voix s'est faite consolatrice. Sa beauté délicate, son regard enchanteur faisait le reste : elles tombaient toujours amoureuses de lui. Pour s'en assurer, il leur faisait croire qu'il pouvait, s'il le voulait, être exécuté à leur place, et qu'il le ferait peut-être. Elles le priaient invariablement de n'en rien faire. Elles avaient l'impression de mourir pour lui, et s'avançaient vers leur trépas l'âme un peu plus légère d'avoir humé le parfum d'une fleur au charme vénéneux, le cœur gonflé d'orgueil de ne plus avoir peur. Grâce à lui, les menottes n'étaient plus nécessaires, et les détenues s'installaient sur la planche du massicotage sans qu'il fût nécessaire de les contraindre.

Écureuil a forniqué avec ces dames sur guillotine, couchées sur le dos, en s'arrangeant pour que cette étreinte soit leur dernière volonté, ce qui permettait d'économiser le rhum et les cigarettes. Auparavant, elles avaient eu droit à une ultime séance de flagellation, pour faire bonne mesure. Il appuyait sur le bouton rouge au moment précis du sommet de leur jouissance vaginale, pour qu'elles crèvent au milieu d'un torrent de volupté, et dans un hurlement de joie, elles voyaient le couperet se précipiter sur elles sans même chercher à s'y soustraire. Écureuil a pris les têtes tranchées dans ses mains, pour des fellations très spéciales, alors que les yeux roulaient encore. Alors le sperme se mêlait aux flots de sang sous le regard approbateur de Tarentule, tandis que le juge, l'avocat, le procureur et les jurés, sans oublier les gardiennes et tout le petit personnel, chacune et chacun se masturbait frénétiquement devant cette horrible vision qui se répétait chaque jour d'une manière subtilement différente, en fonction de la personne qui subissait l'épreuve de la Veuve. Parfois, Écureuil avait droit à participer à dix exécutions de rang ; il ne faiblissait jamais, n'en laissait aucune insatisfaite.

La rumeur a vite couru. Certaines détenues, apprenant cette manière si excitante de combattre le crime, ont délibérément plaidé coupable afin de connaître ce sort : mourir dans les bras d'un ange d'une beauté létale, dans une apothéose érotique. Beaucoup d'épouses ont fantasmé de tuer leur mari pendant le sexe, façon Basic Instinct, dans le seul but d'être guillotinées par Écureuil. Une fraction non négligeable d'entre elles est passée à l'acte. En conséquence, outre les ventes de pics à glace, le nombre d'exécutions capitales a fortement augmenté, forçant à l'amélioration de la productivité. Jour et nuit, des femmes se sont faites couper en deux, pour la plupart volontairement, mais jamais sans avoir eu droit à la petite saillie d'Écureuil, plus en forme que jamais. Pour accélérer la cadence, on a inventé la guillotine double, puis triple, grâce à laquelle plusieurs têtes tombaient en même temps, comme des grêlons pendant l'orage. Les paniers se remplissaient comme au temps de Robespierre.

Pendant ce temps, une mutinerie a éclaté à la prison spatiale pour femmes. Des gardiennes se sont retrouvées dans l'espace sans scaphandre, à l'issue d'une très foireuse prise d'otages -- les mutinées avaient juste oublié que le gouvernement n'avait strictement rien à faire de la vie des matonnes. Ainsi, la rébellion a été vite matée. La pouvoir a décidé de faire un exemple, comme en 17, en les exécutant toutes, les meneuses comme les suiveuses, et même celles qui étaient restées dans leurs cellules, coupablement restées passives au lieu de combattre l'insurrection. Un bain de sang s'en est suivi, toujours au moyen de la Veuve dans sa version décuple. Écureuil n'a oublié personne. Tarentule l'a aidé comme elle pouvait à l'aide son gode-ceinture. Rude tâche! La prostate surmenée devenait douloureuse, les testicules surchauffés menaçaient d'exploser. Le cœur du séducteur a failli lâcher. Il a fallu le mettre au repos, le redescendre sur Terre, pris en charge par de ravissantes infirmières. Les condamnées ont été très déçues de crever sans lui.

Mais revenons à la flagellation de Mésange. Donc, voici sur la tribune un jeune Écureuil complètement transformé par un lavage de cerveau efficace. Son regard est devenu sombre. Il a perdu toute humanité, et il n'est passionné que par deux activités : fouetter et baiser. Il a caressé la peau meurtrie de sa maîtresse. Les regards se sont croisés. Le miracle de l'amour va-t-il rallumer la passion et susciter la révolte?

Non. Rempli d'une rage sombre, il a fouetté, encore et encore. Tarentule exultait, tapie dans l'ombre, à l'abri des regards. Elle avait réussi sa mission. Le pouvoir était sauvé. On lui donnera d'autres rebelles à dresser. Ce sentiment de puissance, allié aux boules de Geisha vibrantes qu'elle a cachées dans son vagin, lui a procuré un orgasme foudroyant, la tête renversée en arrière et les yeux tournés vers l'enfer.

Le lendemain a eu lieu, au même endroit, un spectacle encore plus grandiose : pour la première fois depuis l'époque romaine, trois jeunes femmes, trois sœurs, Belette, Hermine et Martre, ont été crucifiées pour avoir participé à une tentative d'attentat contre Scolopendre. Le châtiment venait d'être inscrit au Code pénal, en répression aux crimes envers des notables. Tarentule a été chargée de leur extorquer des aveux, ce qui ne lui avait causé de difficulté particulière ; a eu juste besoin de prendre son temps.

En réalité, l'attentat était simulé, les faits reprochés n'ont jamais existé, un boum sans danger suivi d'un peu de fumée. Les trois condamnées n'ont parlé que parce que les chatouilles étaient devenues insupportables. L'une après l'autre, elles ont beaucoup hurlé lorsque les doigts de Tarentule ont couru sur leurs petits pieds sensibles, pleuré à fendre l'âme, supplié, puis craqué. Il fallait bien trouver des coupables pour avoir le plaisir de clouer sur une croix ces trois jeunes et jolies personnes, connues pour être très pudiques, choisies en fonction de ces critères parmi les bas-fonds de la société. Mais chut : secret d'État... Bien sûr, pas de pagne pour les participantes à cet acte scandaleux, nudité intégrale sur la croix, les mignons abricots encore vierges exposés aux regards du peuple. En récompense de ses précieux services, ou plutôt sévices, Tarentule sera chargée de tenir le maillet pour transpercer les poignets et les beaux pieds qu'elle adore, puis, si nécessaire, en fonction du vote du public -- par SMS surtaxé -- de briser les jambes afin de terminer le spectacle. Elle sera assistée d'Écureuil, son meilleur élève. Scolopendre assistera aux premières loges à cette crucifixion, pendant laquelle il sera sucé et branlé par deux splendides prostituées.

Dernièrement, Tarentule et Écureuil se sont mariés. Ils travaillent ensemble et sont faits l'un pour l'autre. Écureuil est le seul à faire jouir Tarentule sans que celle-ci ait besoin de le torturer. C'était une belle fête ; Mygale et Scolopendre étaient parmi les invités, parmi toute une cornucopée de policières lesbiennes en tenue, sauf la culotte. La fête s'est terminée, comme prévu, en partie fine. Pour partir en voyage de noces, Tarentule a pris des congés pour la première fois de sa vie. Ils sont partis visiter une colonie pénitentiaire, sur Pluton, dans un vaisseau spatial prêté par la police.

Tarentule terminera sa vie pendant l'interrogatoire de Veuve-Noire, une dangereuse vagina dentata arrêtée à l'issue d'un hold-up, en fourrant imprudemment ses doigts dans l'orifice fatal afin de stimuler le point G. La main sera aspirée, puis le bras tout entier, broyant les os un à un. Mygale retrouvera Tarentule étendue au sol, vidée de son sang, les yeux encore ouverts sur le plafond, cette fois en enfer pour de bon. Vider tout le chargeur de son arme de service dans le vagin de Veuve-Noire ne lui rendra pas sa meilleure policière.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
scribouillardscribouillardil y a 9 moisAuteur

Merci dicordoba : en effet, mes fantasmes sont cruels et j'aime les partager.

dicordobadicordobail y a 9 mois

Histoire très originale et cruelle mais j'ai adoré.

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Humiliated at the Park Going through humiliation and public nudity at the park.
Buttons Lynn loses a button for every minute she was late.
Neela's Presentation - Day 00 Princess Neela's presentation turns into a naked torment.
The Majestic Oak Ch. 01 Pete and Kate arrive at the Majestic Oak Resort.
The Naked and the Dead A murder mystery and exhibitionist love story.
Plus d'histoires