Femme Séduite Par Le Patron

BÊTA PUBLIQUE

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Les sons qui lui provenaient étaient difficiles à interpréter, car Bérengère ne réagissait pas ainsi avec lui. Avec lui, elle restait discrète, languide, attendant calmement qu'il ait fini. Se pouvait-il qu'elle simule, afin de presser Robert à finir au plus vite? Et venir ensuite rejoindre Guillaume dans la chambre d'amis, pour se faire pardonner?

Ses gémissements l'ont surpris, cela ne validait pas ses suppositions, et augmentait son trouble.

Bérengère n'avait jamais été avec un mâle puissant comme Robert. Il l'a déshabillée comme si elle lui appartenait et l'a couchée sur le dos, sur le lit. Sa bite était si énorme lorsqu'il se déplaçait entre ses jambes pour lui faire minette. Elle était à la fois attirée et effrayée par l'impressionnant organe qui s'agitait entre ses jambes.

Elle était persuadée qu'il était impossible qu'un tel engin la pénètre sans causer des dégâts irréversibles. Pour éviter de penser à ce qui l'attendait, et aux souffrances possibles, elle se concentrait sur la caresse buccale que lui administrait son amant. Il avait introduit deux doigts dans son vagin, sa langue et ses lèvres s'occupaient de son clitoris.

Le résultat était étonnant, fabuleux, merveilleux. Bérengère, de nature si calme, ne pouvait retenir ses gémissements et ses cris d'extase. Les cuisses largement écartées, les jambes légèrement repliées, elle s'offrait, impudique, en ressentant les premiers émois de l'orgasme titanesque qui déjà, la faisait crier de joie.

La première étape franchie, alors qu'il rampait sur elle et déposait sa bite sur son ventre, elle dépassait facilement son nombril. Et maintenant, alors qu'il excitait sa chatte avec son gland en essayant de la fourrer, elle était sûre que ça ne rentrerait pas.

«Ne t'inquiète pas bébé, ça ira». Robert promit, tandis qu'il brossait la grosse tête lourde autour de sa chatte trempée, la poussant très doucement en elle de temps en temps. Guillaume a entendu sa femme crier, comme si elle était blessée, mais il est resté ancré sur place, ne sachant toujours pas quoi faire.

«Non, pas question, impossible, non, vous êtes trop gros, trop grand, je ne pourrais jamais ...» Puis elle hurla, un cri d'angoisse et de douleur mêlées. Robert étudiait les réactions de la jeune femme sur son visage, poussant plus profondément lorsqu'elle se calmait, se bloquant lorsque son visage prenait le masque de la souffrance. Elle tremblait de peur, d'appréhension mais la sensation que lui prodiguait ce mandrin qui l'envahissait, la surprenait.

«Putain, cette petite salope est vraiment bonne» pensait-il, en sentant cette chatte étroite le serrer comme un étau de velours.

Guillaume entendait maintenant Bérengère gémir et geindre à un rythme régulier. Il pouvait deviner la pénétration lente et progressive. Ses halètements accompagnés de petits cris de surprise et de plaisir ont provoqué chez Guillaume une érection douloureuse. Son esprit était maintenant en conflit total. Fou de jalousie, mais indéniablement surexcité en écoutant sa femme se faire baiser par son patron.

Bérengère tremblait et couinait lorsque Robert poussait son énorme bite en elle, l'étirant bien au-delà de tout ce qu'elle avait jamais connu. Elle le sentait se retirer un peu, mais pour s'enfoncer plus profondément lors de la poussée suivante.

En baissant son regard entre ses jambes tremblantes, elle découvrit qu'il n'avait même pas la moitié de son pénis en elle, même s'il était déjà plus profond, là où aucun homme n'avait jamais été. Elle s'émerveillait de la puissance brutale que dégageait ce mâle dominant, et caressait amoureusement son torse velu et ses épaules musclées.

Soudain, la violence de l'orgasme la chamboula, et elle enroula ses jambes autour des reins de son amant, comme pour l'inciter à venir en elle. Robert profita de l'instant pour pousser avec force sa grosse bite dans la chatte serrée de la jeune femme, faisant hurler Bérengère.

Guillaume sentait son sexe palpiter en entendant les cris de la jeune femme. Il devait voir ce qui se passait. L'écouter gémir et crier le rendait fou. Il devait voir, alors il tourna la poignée de la porte, et entra aussi silencieusement qu'il le pouvait. Le spectacle qui l'accueillit lui coupa le souffle.

En regardant entre les cuisses largement écartées de sa femme, il pouvait voir la bite absolument énorme de Robert, qui remplissait et distendait la petite chatte de Bérengère au-delà de la raison.

Bien que Guillaume n'ait pas fait le moindre bruit, Robert ressentit un léger courant d'air frais sur ses fesses nues, et se retourna pour voir Guillaume planté là, les yeux écarquillés, regardant le couple en train de baiser. Il remarqua aussi qu'il frottait la petite bosse dans son pantalon. Bérengère gémissait comme un animal blessé. En rigolant, il lui dit :

«T'es venu voir comment je baise ta petite copine?»

Bérengère ressentit une vive lueur de chagrin pour son copain, mais elle ne pouvait rien faire. Elle était déjà en pleine extase, la bite de Robert lui faisait ressentir des sensations dont elle ignorait l'existence, il était déjà bien trop tard pour arrêter et revenir en arrière. Mais Robert continua, enfonçant le clou :

«J'ai toujours su que tu étais un faible, un mou, un cocu. Enlève tes vêtements, et viens t'asseoir sur cette chaise pour assister au spectacle. Autant branler ta petite bite pendant que tu regardes.»

Bérengère regardait Guillaume ôter ses vêtements, remarquant immédiatement qu'il était en érection. «Mon Dieu, pensa-t-elle, cela l'excite? Son patron me baise, et lui, ça le fait bander?»

Guillaume a affronté sa honte et les vexations de son patron pour regarder ce spectacle qui le fascinait. Robert a relevé la jambe de Bérengère et s'est poussé légèrement de côté pour améliorer la vision de Guillaume. Aussitôt, il a recommencé à marteler avec plus de force la chatte de Bérengère. Guillaume était étonné de la façon animale dont elle réagissait, gémissante, couinant de douleur et de plaisir mélangés.

Son énorme gourdin étirait et distendait sa chatte, tandis qu'il la baisait profondément. Finalement, Robert donna une forte poussée, enfouissant la totalité de son mandrin dans sa chatte martyrisée jusqu'à ses énormes couilles remplies de sperme, pour la faire crier de bonheur. Bérengère se débattait de manière insensée sous son assaut, comme une possédée, son orgasme provoquant l'incohérence et le tremblement de ses membres.

Guillaume a baissé les yeux pour regarder son sperme gicler de sa petite bite de cocu.

Mais Robert n'avait pas fini. Il a continué à marteler la petite chatte durement, tout en épiant le masque de souffrance et de plaisir de la fille qu'il honorait. Elle criait, tremblait, gémissait sous lui, jouissant à plusieurs reprises sous sa lourde charge de mâle arrogant.

Bérengère n'arrivait pas à réaliser ce que Robert lui faisait ressentir, sa grosse bite barbare la dévergondait en la faisant jouir encore et encore. Guillaume ne l'avait jamais fait jouir ainsi, sauf avec sa bouche et ses doigts, mais jamais aussi fort. Les orgasmes que Robert lui procurait étaient si intenses qu'elle pensait mourir de plaisir.

Elle eut le réflexe de jeter un coup d'œil à Guillaume, pour le voir en train de se masturber, le regard halluciné. Brièvement, elle pensa qu'elle n'était pas protégée, et qu'elle pouvait tomber enceinte de ce macho. Il y eut une pause :

«Alors, ça te plaît? Tu aimes me regarder baiser ta petite poulette? Tu voudrais la voir de plus près? Viens t'allonger ici, à côté de nous.» Robert le siffla comme on appelle un chien.

Guillaume s'est allongé sur le dos à côté d'eux, et Robert a déposé Bérengère sur lui, tête-bêche. Robert a abaissé la jeune femme en lui appuyant sur les reins afin que sa chatte soit en contact avec le visage de son fiancé.

«Comme ça, tu auras une bonne vue, cocu. Tu pourras lui lécher le clito pendant que je la baise.»

Sans plus de cérémonial, il enfourna sa grosse bite dans la chatte mousseuse de Bérengère. En réalité, Guillaume n'y voyait pas grand-chose. La mouille abondante de Bérengère lui giclait dans les yeux, et les couilles pendantes de Robert lui heurtaient le visage.

Guillaume faisait de son mieux pour lécher le clitoris de Bérengère, mais Robert la claquait si fort, et sa chatte était si distendue qu'il ne pouvait pas la lécher sans lécher aussi la grosse bite de Robert. Son visage était mouillé par les sécrétions abondantes de la jeune femme qui l'ignorait en frottant son pubis sur sa bouche. Bérengère savait que Guillaume était sous elle, mais elle était tellement sous l'emprise de la grosse bite qui la baisait, qu'elle se foutait complètement d'utiliser son fiancé dans cette posture humiliante.

«Ça suffit, cocu !» rugit Robert, soulevant Bérengère pour qu'il puisse s'écarter. «Tu peux aller te coucher dans la chambre d'amis, et fais de beaux rêves !»

Guillaume a ramassé ses affaires, tête basse, et s'apprêtait à quitter la chambre. Un dernier regard en arrière lui permit de voir Bérengère, amoureusement lovée contre Robert, et qui l'embrassait langoureusement à pleine bouche pour lui montrer sa gratitude.

Dès que Guillaume eut quitté la pièce, Robert enfourcha de nouveau la jeune femme pour la baiser vigoureusement. Il l'embrassait passionnément en la baisant, et elle s'offrait, éperdument soumise, à son amant. Fini ses craintes de tomber enceinte, elle commençait à avoir des sentiments pour ce colosse qui la rendait si heureuse. Elle répondait à son baiser en gémissant, et en suçant la langue qui la fouillait . Elle pensait qu'il lui baisait la bouche avec sa langue, et sa chatte avec sa bite.

Longtemps, Guillaume a entendu les ébats du couple dans la chambre voisine. Les gémissements de Bérengère, ses cris d'amour, les grincements du lit, Robert était infatigable, excité par la pensée de baiser la jeune et jolie copine de son employé. Il s'est branlé encore une fois pour se calmer, puis la fatigue a pris le dessus, et il s'est endormi.

Guillaume s'est réveillé tôt, troublé et grognon. Il s'est fait un café, et il est allé le boire au bord de la piscine. Les évènements de la veille l'avaient perturbé. Ravagé par la perte de sa copine, et troublé par sa propre réaction. Pourquoi cela lui avait tant plu de la regarder se faire baiser brutalement par son patron?

Robert et Bérengère se sont levés bien plus tard. Robert soutenait Bérengère qui avait du mal à marcher et se tenait le ventre à deux mains. Elle s'est assise sur une chaise-longue près de Guillaume. Elle baissait le regard, honteuse et souffreteuse. Robert semblait gêné :

«Bon, j'y suis allé un peu fort, ce matin. Mais elle est tellement bandante !»

Il parlait d'elle à Guillaume comme si elle n'était pas là. De toute évidence, son avis lui importait peu :

«J'ai réfléchi, et je suis en mesure de vous faire une proposition. Je peux embaucher Bérengère comme assistante particulière. Lorsque les négociations avec certains clients deviennent difficiles, elle pourrait intervenir pour donner un coup de pouce. Les sortir, les divertir ... Elle aura un bon salaire, et comme elle représentera l'entreprise, de belles toilettes, des bijoux, etc ... Bien entendu, je ne vous oublie pas, et vous aurez la récompense que vous méritez pour votre, disons, complaisance ... Nous en discuterons demain, au bureau. Maintenant, ramenez-la chez elle.»

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Et si tu répondais aux questions ? Es-tu Tamalou qui publie déjà toutes ces histoires sur HDS ?

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Toujours étonné par le nombre de récits sur ces pseudos mâles alpha, musclés, sûrs d’eux, arrogants, irrespectueux, … et bien sûr TBM, mis en opposition avec des hommes soumis, qui acceptent d’être cocus (à minima), qui sont soumis, lâches, … qui ont un sexe normal, voire petit, et de leur femmes qui sont forcément séduites par les premiers malgré leurs amours pour les seconds.

Toujours les mêmes histoires qui tournent en rond.

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