Famille Vendue

BÊTA PUBLIQUE

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Animal obéissant, elle était tenue de soutenir le regard de celui qu'elle voyait peu à peu sous elle monter vers le plaisir, chaque marche qu'il franchissait vers l'orgasme étant une marche de plus qu'elle descendait dans l'abjection... Enfin le regard du maître se troubla et il arqua brutalement son corps vers le haut s'enfonçant encore plus profondément en elle si c'était possible. Elle ressentit une nette sensation de chaleur au fond d'elle-même, preuve des brûlants jets de sperme que l'homme déversait au fond de sa féminité profanée.

Elle resta emmanchée sur lui le temps qu'il ait fini de s'épancher en elle, lui laissant vivre son plaisir jusqu'au bout.

« Kiss me! Say me thank you, slave! »

« Thank you Master. Thank you. » Dit doucement Evelyne en soutenant difficilement son regard.

Elle se pencha vers les lèvres de son maître, y posa les siennes et laissa leurs deux langues se joindre dans un baiser profond qu'elle prit grand soin de lui laisser l'initiative d'interrompre.

Elle dut encore le nettoyer, toujours avec sa bouche, avant qu'il ne l'autorise à partir. Evelyne quitta le cœur lourd la chambre luxueuse pour aller retrouver ses enfants. En marchant, elle pouvait sentir le sperme chaud qui s'écoulait doucement hors d'elle le long de l'intérieur de ses cuisses. Ce soir, pour la première fois, elle avait fait son devoir, tout son devoir. Un devoir d'esclave.

Le lendemain matin, Evelyne fut menée seule vers une pièce où plusieurs serviteurs, hommes comme femmes, l'attendaient. On lui fit comprendre de s'asseoir sur une chaise située au milieu de la pièce. Une fois assise, à sa grande frayeur, plusieurs des présents se saisirent d'elle et l'immobilisèrent fermement. Une jeune femme approcha alors une fine pince de son visage. Elle tenta de se dérober, mais tenue fermement au torse, à la tête et par les bras, elle ne put bouger d'un pouce. Une douleur fulgurante la traversa quand, d'un geste sec et précis, on lui perça la paroi du nez. Trois minutes plus tard elle repartait vers sa cellule, un anneau d'or décorant - ou défigurant c'est selon - son visage. Sur le retour, elle croisa sa fille que l'on poussait vers même supplice. Evelyne baissa les yeux en gardant le silence...

John lui aussi fut muni d'un anneau nasal le même jour. On lui installa en plus autour du pénis une sorte de cage fermée par une clef : s'il pouvait toujours uriner librement, toute érection lui devenait physiquement interdite. Il était la plus part du temps gardé seul, à part de sa mère et de sa sœur. Deux ou trois fois par semaine, les trois étaient réunis pour quelques heures, souvent le temps d'un repas, avant que le jeune homme ne soit reconduit vers sa solitude. Aucun mal ne lui était fait : parfois on l'utilisait pour des travaux de force sur le domaine, mais la plupart du temps il restait enfermé seul, comme en réserve... Evelyne comprit bien vite qu'il s'agissait d'une forme de chantage : on vous réunit de temps en temps pour vous prouver que tout va bien, tout en vous maintenant constamment à l'esprit qu'il pourrait facilement en être tout autrement...

Les deux femmes de leur coté étaient enfermées dans une sorte de studio dotée d'une douche et du nécessaire pour se maquiller, ainsi que de quelques bijoux de pacotille. Les seuls vêtements mis à leur disposition étaient des chaussures de soirée à talon. Rien d'autre, pas même des strings. La pièce ne comportait pour tout meuble qu'un large matelas, propre et assorti de quelques couvertures. Elles étaient nourries deux fois par jour et, pour le reste du temps, elles s'ennuyaient, réduites à devoir attendre pour savoir si elles seraient violées ou non le soir suivant, en fonction de la fantaisie de leur propriétaire. Ces sorties nocturnes étaient leur uniques « distractions » et elles en venaient même parfois à, d'une certaine manière, les souhaiter...

Deux jours plus tard. Evelyne et sa fille furent appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d'être souillée pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard de sa mère.

Une routine s'installa. Les deux femmes servaient leur propriétaire quasi-quotidiennement. Esclaves sexuelles dociles, elles se donnaient à lui et à ses vices sans qu'il ait à utiliser sur elles (ou sur leur fils et frère) la violence ou même seulement la menace de celle-ci. Evelyne restait en alerte espérant qu'un jour, quelqu'un ou quelque chose, lui permettrait de s'arracher et d'arracher ses enfants à leur esclavage. Pour cela il était primordial de tenir et surtout d'éviter tout ce qui pourrait amener le maître à les revendre, à les séparer ou à commettre sur eux (ou l'un d'entre eux) quelque barbarie irréparable. La docilité d'Evelyne cachait un calcul très rationnel d'où il ressortait que maximiser le plaisir du maître, qu'essayer de se rendre irremplaçable à ses yeux était le meilleur moyen de préserver les chances à long terme de sa famille. C'est donc en toute lucidité et par un immense effort de volonté qu'elle donnait soir après soir à ce quasi-vieillard les plaisirs les plus extrêmes et qu'elle acceptait d'avoir pour lui les complaisances les plus sales. Elle lui prostituait son corps magnifique dont elle veillait soigneusement à maintenir la beauté, se frottant à lui, l'embrassant le plus intimement, littéralement comme si sa vie en dépendait, et elle veillait toujours à son absolue satisfaction, l'invitant systématiquement à un nouveau rapport sexuel ou une nouvelle fantaisie jusqu'à ce que, fatigué, il décline et la faisait repartir dans ses quartiers.

Le risque du fouet était naturellement aussi une autre très très bonne raison aux ardeurs qu'elle témoignait dans le lit de son maître Cela va sans dire...

Réunies après les moments passés dans la chambre du maître, les deux femmes tentaient de se réconforter mutuellement comme elles le pouvaient. Maternelle, Evelyne prenait sa fille dans ses bras et l'aidait ainsi à s'endormir. Un soir elle dut faire face à une crise de désespoir, Charlene ne se pardonnant pas de s'être surprise à avoir un orgasme à l'issue d'une longue séance de prise en une profonde levrette par le maître. Evelyne dut mentir et lui affirmer qu'il s'agissait là d'une chose aussi naturelle et inévitable que la faim ou la soif, et que, elle aussi, en était déjà passée par là. Pieux mensonge, mais mensonge à demi seulement, Evelyne le savait, car son corps avait déjà été à deux doigts de la trahir, notamment du fait de la vicieuse modification apportée à son clitoris qui en était devenu hypersensible. Elle redoutait qu'un jour l'inévitable finisse par se produire effectivement. De toutes façons se disait-elle, il doit bien y avoir dans les armoires des pharmacies de ces pervers, les drogues ou les hormones appropriées pour que, si tel devenait le bon plaisir de leur propriétaire, plus rien ne puisse alors empêcher qu'elles soient contraintes de jouir à répétition, même parfaitement à leur corps défendant, et que le maître se fasse alors un spectacle de cette nouvelle étape de leur avilissement...

Part 6 - Enculées.

Chaque fois qu'elles se retrouvaient entre ses mains, le maître jouait à leur introduire un doigt dans l'anus. Rappel cruel de l'inévitable première sodomie dont lui seul déciderait du jour et de l'heure. Evelyne et Charlene y étaient résignées et en avaient parlé ensemble. Un sujet à propos duquel la mère ne pouvait, on l'a vu précédemment, pas enseigner grand-chose à sa fille...

Le maître faisait durer l'attente. Sage, il savait progresser pas à pas dans la gradation des « jeux » sexuels qu'il imposait à ses deux acquisitions, les forçant à se prostituer dans une dépravation sans cesse croissante, les dépouillant soir après soir de leur innocence comme on pèle soigneusement un oignon. Il savait tirer d'elles chaque soir un plaisir nouveau, gérant habilement son capital pour en tirer pour lui-même une jouissance maximale. Lorsque arriva le soir du jour qu'il avait choisi, il fit venir mère et fille ensemble dans sa chambre. Evelyne en entrant trouva au milieu de la pièce une sorte de banc courbé en fer à cheval, un bel objet de bois brut recouvert de cousins de velours rouge. Pour la première fois depuis que cette chambre était le théâtre de leurs viols, quatre serviteurs étaient présents, deux ayant à la main des cameras vidéo numériques.

« Display yourself there! Tonight you will give me your ass's cherry..."

[Place toi la dessus! Ce soir, tu vas me donner la virginité de ton cul...

« C'est donc pour ce soir... » Se dit-elle en baissant la tête et, soumise, elle se mit en place de son plein grés à quatre pattes sur le meuble, les genoux sur les branches du fer à cheval, des branches dont l'écartement calculé la contraignait à écarter largement les cuisses et à offrir ainsi un parfait accès à son postérieur. La hauteur du meuble était telle que toute victime ainsi exhibée pouvait être prise par un homme debout, sans fatigue pour le violeur qui n'avait plus qu'à poser les mains de chaque coté du fessier largement offert et à l'attirer à lui...

Les cameramen se mirent en place, un par derrière et l'autre se concentrant sur son visage. « Le vieux salaud veut garder des souvenirs éternels de « ma première ». » Pensa-t-elle amèrement.

Le maître, moins par gentillesse, que poussé par le souci de son propre bien-être, accorda néanmoins une forme de douceur à la malheureuse Evelyne, même si elle la paya cher en terme de honte. Charlene fut requise pour lubrifier l'anus de sa mère puis, au moyen d'un phallus de plastique, dut « ouvrir » le fondement maternel et l'assouplir en anticipation du viol à venir. Ce pré-viol, de la mère par la fille, fut douloureux malgré toutes les précautions que pouvait prendre par Charlene et la camera n'en perdait rien, enregistrant chaque contraction, chaque grimace sur le visage de la femme. Le spectacle de l'avilissement de la mère par la fille, la vue des frissons (de douleur) qui parcourrait le somptueux corps de femme lorsque s'y enfonçait le god de plastique noir, provoqua vite une belle érection chez le vieux chinois.

Se dépouillant brusquement de son somptueux peignoir de soie, il fit signe à Charlene de se retirer. Evelyne le sentit se mettre en place derrière elle entre ses jambes écartelées. Puis il y eut le contact des ses cuisses contre les siennes et, immédiatement après, elle se figea lorsque le gland de l'homme vint au contact de l'anneau de son anus dilaté et luisant de lubrifiant.

L'œil de la camera enregistra comment le gland repoussa les chairs du canal anal pour forcer son chemin dans les profondeurs de l'esclave, s'enfonçant lentement mais continûment, centimètre par centimètre, élargissant l'orifice souple, jusqu'à ce que les couilles du chinois viennent au contact les grandes lèvres du vagin de sa victime. Malgré tout son immense contrôle sur elle-même, Evelyne ne put s'empêcher de trahir sur son visage le dégoût et l'horreur que lui inspirait ce qu'on la forçait à accepter. Avec le viol enregistré sous tous les angles, le maître pourrait se faire un beau montage de la perte de son pucelage anal. Enculée. Une enculée. Une enculée jusqu'à la garde, voila ce qu'elle était désormais. A la vue de tous et toutes.

Désormais à son aise en elle, les mains crochées sur les lobes de ce beau fessier, dont il pouvait user à volonté, il commença son travail de sape, pilonnant, pistonnant, l'enculant de toutes ses forces, avec toute la vigueur qu'il pouvait trouver en lui. Le fait d'enculer une blanche le stimulait suprêmement. A grands coups de reins, il l'empalait, jouant du pouvoir sexuel de sa queue enfouie en elle. Une fois au fond du ventre de son esclave, il ressortait presque totalement de l'anus dilaté, le gland au bord du cratère brun, puis repartait au fond du boyau, qu'il élargissait ainsi impitoyablement, poussée après poussée.

La française vivait l'assaut bestial comme un cauchemar éveillé. Elle était à deux doigts de préférer le fouet à cette abjection. Et encore, et encore... Cela durait abominablement. Enfin, enfin il se lâcha et éjacula dans le fin fond son cul profané. Il grogna tel un fauve. Il resta un grand moment en elle, collé contre elle, puis, sa queue perdant lentement du volume, il se retira. Evelyne resta en place, brisée de douleur et de honte. Elle aurait aimé pouvoir refermer son fondement mais rien n'y faisait : elle ne commandait provisoirement plus à son propre corps. Le chinois lui avait littéralement « cassé le cul ». Et la camera, qui vint enregistrer quand elle commença à se vider du surplus de leurs secrétions mêlées, fit le pendant de celle qui immortalisait les larmes de honte qui glissaient silencieusement sur ses joues, emportant son maquillage...

Une semaine plus tard. Evelyne et sa fille furent à nouveau appelées ensemble dans la chambre du maître. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d'être défoncée par derrière pour la première fois par son propriétaire asiatique sous le regard des cameras et de sa mère, cette dernière ayant eu à préparer le vieil homme par d'une fellation savante avant qu'il ne soit en capacité de posséder sa fille.

Part 6 -- Servir les invités.

Ce soir là, Evelyne et sa fille furent amenées nues au grand salon. Le maître finissait d'y prendre un thé digestif avec deux étrangers à la maison, un homme d'affaire asiatique, malais ou peut être thaï, la belle cinquantaine aux cheveux argentées, et une femme chinoise assez grasse, déjà sûrement largement dans ses soixante ans et dont le regard perçant glaça le sang d'Evelyne. Une lesbienne, elle en était certaine à 100%. Et une lesbienne vicieuse...

La conversation était en mandarin, mais il n'était pas difficile pour les deux esclaves de comprendre que le maître ne proposait rien de moins à ses deux invités que de se choisir un jouet sexuel pour la nuit! Evelyne pria alors Dieu (s'il y en avait un pour elles...) que l'homme choisisse sa fille et qu'il épargne ainsi à son enfant l'horreur d'une nuit dans le lit d'une telle femme. Mère et fille durent s'exhiber, jambes écartées, mains sur la tête en ondulant du basin. Et le Ciel exhaussa ses vœux : c'est d'elle, Evelyne, dont la vieille chinoise avait envie ce soir.

Charlene partit ainsi vers une probable longue, mais sinon par ailleurs « classique », séance de fellation/pénétration/sodomie aux mains de cet homme non choisi certes, mais finalement assez physiquement acceptable. La mère savait sa fille désormais suffisamment endurcie en ces matières pour que ceci puisse être envisagé comme un moindre mal.

Pour elle, la nuit serait longue. Elle n'avait aucune illusion à ce sujet et c'est le cœur très lourd qu'elle suivit comme un animal docile la vieille femme lorsque celle-ci choisit de se retirer dans la luxueuse chambre qui avait été mise à sa disposition pour la nuit. Le maître avait cru bon de lui faire savoir au moment ou elle quittait la pièce :

« Good night! And you, whore, make her happy or else your son... »

[Bonne nuit! Et toi, putain, rends la heureuse sinon...]

La première menace jamais entendue dans sa bouche depuis son arrivée sur le domaine. Evelyne se le tint pour dit...

La chinoise se déshabilla, révélant un corps âgé, ridé, au ventre rond et aux seins tombant avec des bouts larges et extrêmement sombres. Elle tenait sa toison pubienne soigneusement rasée, comme celle d'une petite fille, mais avec des lèvres intimes larges et un peu distendues. Elle posa enfin sur la coiffeuse sa perruque laissant voir un crâne presque dégarni couvert seulement de quelques mèches blanchâtres.

Elle revint sur ses pas et, se collant contre Evelyne, entreprit le viol méthodique du corps sain et sublime qui était sa proie pour la nuit. La vieille savait tout, c'est-à-dire bien plus qu'Evelyne, sur le sexe entre femmes, et elle ne lui épargna rien ni aucune caresse ni aucun attouchement. Evelyne dut embrasser, lécher et caresser l'entièreté de ce corps usé, aucune répulsion, aucune pudeur ne comptant plus. La chinoise s'échauffait à mesure que duraient ces jeux saphiques et maintenant elle fouillait littéralement le corps soumis de la française.

Evelyne dut consentir à tout, absolument à tout. C'était un viol total, qui allait infiniment plus loin dans l'intime que tout ce que les hommes dans leur furie sadique lui avaient fait subir jusque là : à la vieille, femme comme elle, elle ne pouvait rien dissimuler, rien cacher...

Puis l'ancêtre se leva et alla sortir d'une de ses valises un god double avec ceinture. Elle introduit délicatement le plus petit bout à l'intérieur de son propre sexe et ajusta et ferma la ceinture de cuir autour de sa taille. Ainsi équipée, elle allait pourvoir vivre ses fantasmes jusqu'au bout. Le faux pénis flexible qui depuis l'entrecuisse de la chinoise pointait vers Evelyne, était massif avec la représentation des veines et du gland bien marquée. Evelyne, qui n'avait encore jamais eu quelque chose d'aussi imposant en elle, eut une dernière pensée pour remercier le ciel d'avoir au moins épargné ce supplice à sa fille si fine et longiligne. Et puisque elle-même avait su accoucher deux fois, il ne lui restait qu'à compter sur la souplesse naturelle de son corps...

La vieille lui fit l'aumône de lui permettre de sucer le god pour offrir quelque lubrification préliminaire. Les mouvements de la tète et de la bouche de la française sur le god extérieur se transmirent au god intérieur offrant a la vieille lesbienne un avant-goût des plaisirs à venir. Evelyne s'efforçait de saliver le plus possible pour lubrifier au mieux le latex, ce qui la contraignait à émettre les sons de succion disgracieux... D'un simple signe de tête, la chinoise lui fit savoir que c'était assez. L'esclave française s'allongea sur le dos et s'exposa son intimité en vue de son immolation imminente.

La vieille la défonça.

Forcée, ouverte, écartant ses cuisses autant qu'elle le pouvait, comme clouée sur ce lit comme un papillon, elle était convaincue que jamais son corps ne retrouverait sa forme initiale après avoir laissé s'introduire en elle un pareil mandrin... Et tout cela pour la simple transmission par le média du double god de vibrations bienfaisantes au sein du sexe de la vieille... « Qu'elle sinistre perversion! » pensa Evelyne, qui dut offrir sa bouche servile à un long et impératif baiser profond. La chose dura une éternité avant que la chinoise, le feu dans les yeux, ne finisse par se faire jouir au travers de l'accouplement mécanique qui liait les deux femmes.

Même repue, la vieille n'en avait pas encore fini avec son jouet d'un soir. Evelyne dut subir l'enlacement de la chinoise qui voulut s'endormir toujours fichée dans son vagin, mais en la prenant par derrière celle fois, les deux femmes couchées en chien de fusil, la vieille dans le dos de l'esclave. Evelyne connut là une longue nuit sans sommeil, son intimité distendue, veillant à ne pas troubler le repos de sa maîtresse, dont elle sentait la respiration régulière sur ses épaules.

Au matin, la française dut s'acquitter d'une dernière longue caresse buccale, la tête profondément enfouie dans la moiteur des cuisses de l'ancêtre, réveillant de la langue la sensualité fatiguée de la dominatrice lesbienne avant d'être autorisée à partir et à dormir enfin.

Part 7 - Plongée dans l'enfer de l'inceste.

Evelyne avait vu juste dès la veille de la vente : Acheter une famille, suppose un ou une propriétaire que le tabou de l'inceste fascine. Dès leur première présentation au maître, elle en eut la sinistre confirmation à l'écoute de ses commentaires sur sa récente acquisition et son insistance malsaine sur « Family » et ces « Nice family... » Qu'il répétait avec une évidente gourmandise. En jour ou l'autre Evelyne savait que l'ignoble moment viendrait...

Evelyne redoutait que le maître, malgré tout l'empressement dont elle faisait preuve à son égard, ne finisse par se lasser un peu d'elles et qu'il ne veuille ranimer son désir par des spectacles ou des machinations « plus corsées »...