Famille Vendue

BÊTA PUBLIQUE

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Le salaud! Elle lui en donnait et se donnait comme jamais elle n'avait de sa vie « gâté » aucun autre homme, que ce soit son mari ou ses amants. Et elle faisait sous la contrainte, avec la seule force de sa volonté, sans le soutien d'aucun sentiment amoureux pour son partenaire, regrettant alors amèrement de s'être tant réservée dans sa vie antérieure avec des hommes qu'elle appréciait alors qu'aujourd'hui (et demain...) c'est pour des violeurs qu'il lui faudrait avoir et renouveler toujours de telles faveurs...

Le deuxième gardien s'était approché de Charlene et la malheureuse jeune femme dut, comme la veille, lui offrir longuement sa bouche jusqu'à la plus complète satisfaction...

Pendant ce temps, le supplice de la mère se terminait. Le male en rut avait entamé une sorte de galop final, martelant littéralement le somptueux corps offert. Elle faisait face du mieux qu'elle pouvait en attendant impatiemment qu'il éjacule enfin au plus profond d'elle-même. La décharge libératrice finit par venir, copieuse et grasse. Elle laissa l'homme s'apaiser, toujours planté en elle, avant qu'il ne se retire avec un «Ssouppss » sonore quand sa queue se libera. Un trop-plein de sperme commença à sourdre doucement hors du vagin rose encore ouvert à la vue de tous.

« C'est bien! » Lui dit Fatou. « C'est comme si tu connaissais déjà tout du métier! »

Le lendemain matin Fatou accompagnée d'un garde vint extraire Evelyne seulement de la cellule. Elle fut poussée dans une chambre où pas moins de cinq autres gardes les attendaient. Ils la firent s'allonger sur un lit et les hommes lui saisirent bras et jambes, les écartèrent largement et l'immobilisèrent ainsi fermement sur le lit de toutes leurs forces conjuguées. La malheureuse s'attendait à subir un viol multiple quand une vieille femme asiatique, habillée avec soin et au maquillage raffiné fut introduite dans la pièce par Fatou. Elle posa un vanity-case au pied du lit, en sortit délicatement une fine seringue couronnée d'une aiguille et elle vint se poster entre les cuisses ouvertes d'Evelyne.

« Ne bouge pas! Ce n'est que du silicone injectable : On va t'améliorer un peu pour te mettre plus au goût des clients. Madame Li n'a pas son pareil pour mettre en valeur nos marchandises... »

Evelyne, terrorisée, entreprit au contraire de tenter de se libérer de l'emprise de ses ravisseurs. Fatou démasqua alors une main prolongée d'une sorte de longue télécommande noire et Evelyne fut instantanément foudroyée par une terrible décharge électrique.

« Un petit coup de jus, juste pour t'avertir. Je recommence en doublant la dose au moindre nouveau mouvement de ta part. C'est mon dernier avertissement : Tiens toi tranquille! »

Evelyne, le souffle coupé, se tint désormais parfaitement immobile, le regard fixé vers le plafond, la brûlure à son coté encore cuisamment sensible. Madame Li, concentrée, commença son patient travail. Evelyne sentait parfaitement les doigts précis qui, en bas, écartaient ses lèvres intimes et les morsures régulières de l'aiguille en de multiples endroits successifs.

Tout l'entrejambe d'Evelyne lui fit l'impression de s'échauffer au fur et à mesure que le corps étranger était introduit dans ses chairs, les distendait, les remodelait. Madame Li s'interrompit plusieurs fois pour recharger sa seringue au grand désespoir de sa victime épouvantée par les conséquences à long terme de cette irréversible chirurgie. Soudain l'aiguille pénétra le clitoris lui-même, le si sensible bouton d'amour. Evelyne trembla de tout son corps à la fois de douleur et de révulsion, mais parvint à rester immobile. Là encore, la matière étrangère fut introduite, étirant douloureusement les chairs si intimes et si pleines des plus fines terminaisons nerveuses.

Le calvaire prit fin. Madame Li et Fatou se souriaient et semblaient pleinement satisfaites. Evelyne put se redresser et fut immédiatement reconduite vers la cellule, qu'elle rejoignit d'une démarche difficile, avançant comiquement les jambes largement écartées du fait de la brûlure cuisante qui lui dévorait l'entrejambe.

Revenue auprès des siens, elle put enfin constater par elle-même les dégâts. Ses deux jeunes ne détachaient pas leurs yeux de son bas ventre et Charlene ne faisait qu'ouvrir et fermer la bouche comme un poisson cherchant de l'air tant l'horreur qu'elle avait sous les yeux semblait l'étouffer. On avait fait à sa mère d'obscènes grandes lèvres vaginales couronnées d'un clitoris protubérant de la grosseur de la phalange d'un doigt! La douleur était intense et dura tout le reste de la journée. La honte était plus immense encore et ne finirait jamais...

Le soir et le lendemain de l'opération, elle fut épargnée, afin de laisser à ses chairs meurtries le répit nécessaire. C'est la fine Charlene seule qui, allongée sur le tapis, dut satisfaire les deux gardes sous les yeux impuissants et résignés de sa mère et de son frère. Les deux colosses se vidèrent en elle l'un après l'autre avec des grognements satisfaits.

Le jour d'après, Evelyne reprit sa place sur le tapis aux cotes de sa fille. Elle était en un sens heureuse de pouvoir ainsi éviter à son enfant un double viol en prenant pour elle même une des deux parts de foutre à faire jaillir. Dérisoire consolation... John, à genoux, finissait pour sa part de faire jouir à coups de langue la rude geôlière arabe.

Cette séance dite d'« assouplissement » se répétera chacun des jours suivants. Obtenir des deux jeunes un peu plus qu'une participation passive aux séances de viol nécessita bien quelques coups de fouet ou de teaser électrique supplémentaires, mais on pouvait leur en fournir autant que nécessaire... Au bout de dix jours, Fatou était satisfaite : tous les trois, sur simple commande, se prostituaient désormais avec ardeur. Ils étaient prêts pour être présentés aux acheteurs potentiels que l'Internet avait déjà alertés.

Part 4 - La vente

Nue, maquillée, juchée sur de longs talons aiguilles, une fine chaîne dorée autour de la taille et une autre à la cheville, Evelyne attendait immobile sous la lumière crue. Ouverte, les jambes écartées, les seins dressés, les deux mains posées sur le crâne, elle se laissait fouiller, palper, évaluer. L'acheteur était derrière elle maintenant et ses mains descendaient le long de son dos, puis sur ses fesses, testant la fermeté des chairs comme la douceur du grain de la peau. Il avait commencé précédemment par son ventre, soupesant les seins et jouant d'un doigt sur son clitoris désormais obscénement protubérant. Un doigt se posait maintenant sur l'anneau brun et musclé de son anus et poussa pour y pénétrer. Evelyne prit soin de n'offrir aucune résistance. Au contraire même, elle força légèrement ses sphincters pour lui faciliter l'introduction et tenta un maladroit mouvement du bassin, tendant ses fesses vers la main qui s'introduisait en elle en forme d'invitation lascive. Un deuxième doigt s'introduit à son tour et commença à lui élargir le cul. Elle devait plaire, absolument et à tout prix, pour garder ses petits avec elle, son seul et dernier trésor désormais.

« Very nice French whore indeed... » Lâcha l'homme posté derrière elle.

[Une très belle putain française en effet...]

Elle n'avait encore jamais été enculée par personne. Elle était parfaitement vierge de l'anus. Il ne lui avait pas échappé que lors de tous les viols des jours passés, on lui avait épargné ainsi qu'à ses enfants cette humiliation et cette douleur. Mais elle était certaine aussi que ce jour là viendrait tôt ou tard... Sûrement avait-on prévu de mettre à prix cette virginité là aussi... Elle continua de faire aller et venir son bassin d'avant en arrière, forçant l'entrée en elle de cette main étrangère, s'enculant volontairement puisque c'est ce qu'apparemment on attendait d'elle. Son conduit anal lui faisait atrocement mal, forcé qu'il était sans lubrification aucune, mais surtout, elle était devenue rouge de honte, les joues en feu, à cause du spectacle qu'elle donnait devant les yeux de ses propres enfants.

La honte avait commencé avant d'entrer. Fatou s'était approché des deux femmes avec à la main un petit pot plein d'un onguent translucide. Elle l'avait appliqué sur les tétines de leurs seins, puis en avait enduit leurs vagins, avant de les diriger toutes les deux vers la salle d'exhibition d'une méprisante tape sur les fesses. Immédiatement Evelyne avait senti la chaleur montrer en elle. Ses seins s'étaient dressés, comme animés d'une vie propre. En haut de ses cuisses, d'abondantes secrétions intimes commençaient à l'embarrasser. Charlene avait été mise dans le même état que sa maman à en juger par ses bouts de seins tendus et l'humidité visible à l'œil nu entre ses lèvres intimes.

Avant la mère, l'homme - Etait-il l'acheteur réel ou seulement son représentant? - s'était d'abord approché de la sublime Charlene, lui touchant les seins, jaugeant ses dents, ses cheveux, puis descendant le long de son ventre plat vers son sexe. Il y avait introduit des doigts, la fouillant profondément.

« Virgin no more... To be expected with these Western bitches... » Siffla-t-il.

[N'est plus vierge... Il fallait s'y attendre avec ses salopes d'Occident...]

La jeune fille elle aussi ne s'était pas dérobée à l'immonde palpation, même si elle n'avait pas pu s'empêcher de détourner son regard.

Charlene et elle-même, femmes et belles, pouvaient naturellement être vendues sans difficulté. Mais John Junior? Quel futur pour lui? Brisé, hormoné, transformé en objet de plaisir sur mesure pour une clientèle gay, qui le défoncerait sans limite? Ou bien éliminé car inutile, dépecé peut-être pour fournir de sinistres banques d'organes clandestines? Mais surtout, s'ils venaient à être vendus séparément dans ce monde souterrain de la traite d'esclaves, c'était la certitude absolue pour les trois de ne plus jamais jamais se revoir. La certitude aussi de ne plus avoir jamais le réconfort, même très minime, d'être au moins ensemble pour affronter les inimaginables horreurs que le futur leur réserverait.

Elle en avait parlé avec John et Charlene la veille. Elle les avait convaincus facilement et elle leur avait fait jurer avec elle de tout faire, de tout accepter, de tout promettre en vue de ne pas être séparés. Il fallait absolument qu'ils soient vendus ensemble. Séduire à trois un acheteur. Qu'il prenne le lot. Qu'il trouve en eux suffisamment d'intérêt pour accepter de payer le prix plus élevé d'un lot d'esclaves.

Evelyne savait au fond d'elle-même que ceci signifiait la certitude à terme d'un surcroît d'horreurs à endurer. Vendues séparément, Charlene et elle pouvaient en effet encore espérer finir par servir comme prostituées dans un bordel quelconque. « En être descendue à n'espérer plus que de faire une fin comme putain dans un claque... Quelle dérision! » Pensait intérieurement Evelyne. Quarante clients par jour ou plus. Peut être un peu moins les premières années, tant que leur beauté leur éviterait encore une mise à l'abattage pure et simple. Horrible sûrement, mais classique et, considéré froidement, encore un type de futur concevable. Au moins pour elles deux...

Mais obtenir qu'un acheteur les désire suffisamment pour les prendre comme un lot, tous les trois, suppose que ce riche acheteur veuille assouvir sur eux des envies et des fantasmes si particuliers et si abjects que seule une telle configuration peut lui procurer. Evelyne, adulte, était sans illusion aucune sur ce sujet. Rester à trois et être prêts à tout pour cela, c'était d'abord garantir à leur futur propriétaire une absolue servilité de chacun à ses moindres désirs, les possibilités de chantage de l'un sur l'autre étant absolument illimitées. Tout, absolument tout, deviendra alors possible pour le propriétaire, qui pourra tout demander et tout obtenir d'eux trois, même l'inimaginable... Ensuite être vendus en famille, acheter une famille, suppose logiquement un ou une propriétaire que le tabou de l'inceste fascine...

L'homme était maintenant auprès de John, soupesant longuement son pénis, étirant les testicules, comme ceux d'une bête. L'adolescent lui aussi avait été juché sur des chaussures de femme à talons aiguille, une fine chaîne dorée ornant aussi sa cheville, le vendeur tentant adroitement de suggérer par cette mise en scène androgyne le potentiel érotique de la marchandise offerte à la vente. Il se laissait faire, écartant les cuisses pour offrir le meilleur accès à son intimité. « Brave petit » pensa en elle-même Evelyne. Il lui fallut ensuite sucer et nettoyer avec sa bouche les doigts précédemment souillés dans le fondement de sa mère. John le fit sans hésitation marquée, montrant sa soumission en sachant maintenir un regard docile vis-à-vis de l'homme qui l'humiliait.

« Let them wank a little to see how hot they are...» Demanda l'homme.

[Faites les se branler un peu pour voir si ils sont bien « chauds »...]

Fatou, après traduction, s'avança et leur ordonna : « Masturbez-vous! Allez, branlez vous! Montrez que vous en voulez! »

Ils obéirent tous les trois, enlevant les mains de sur leurs têtes pour les porter vers leurs entrejambes. Evelyne, au coeur de la honte, mais résolue à tout pour emporter le choix de l'acheteur, prit même sur elle de commencer à onduler lascivement du bassin. Libères de leur propre culpabilité par l'exemple venu de leur mère, ses deux enfants firent bientôt de même. Quel show! Trois corps magnifiques en pleine lumière, leurs longues jambes musclées montées sur talons aiguilles, largement écartées et ondulant au gré de l'exhibition obscène des organes sexuels que les trois malheureux stimulaient avec une énergie si désespérée qu'on aurait pu finir par la trouver touchante...

Part 5 -- Dans le lit du maître.

Cela avait marché : le lendemain Fatou était venue les informer que l'acheteur de la veille avait accepté de les prendre comme un lot. Ils allaient rester ensemble. Soulagement.

Du long voyage qui suivit, Evelyne ne se rappelait presque rien. On leur avait fait boire quelque chose avant de partir et, après, elle avait eu la tête lourde et elle ne faisait plus que s'endormir... Il y a avait eu une voiture, puis elle se rappelait d'un avion, un jet privé luxueux où elle s'était endormie à même le sol, le nez dans la moquette.

Tout les trois s'étaient retrouvés en Asie du Sud, en Indonésie devaient-ils apprendre plus tard de la bouche d'un serviteur qui savait quelques mots d'anglais. Une très vaste maison dans un parc, un ensemble de maisons en fait, gardées par des hommes et des chiens, servies par un personnel à la peau sombre et parlant une langue incompréhensible. Les rares vues possibles sur l'extérieur ne montraient au loin que des montagnes couvertes d'une dense forêt tropicale. Des hélicoptères pouvaient être entendus, allant et venant régulièrement, semblant être le seul moyen de rejoindre le monde extérieur. Aucune clôture visible. Peut-être le parc était-il immense? Ou alors étaient-ils dans une île privée, une de ces milliers d'îles dont est faite l'Indonésie, pays refuge discret des fortunes colossales apportées par la récente et fulgurante ascension économique de l'Asie?

Arrivée là, Evelyne avait pensé à se suicider. Mais, outre qu'elle n'était pas certaine d'en avoir le courage pour elle même, il lui aurait fallu aussi soit tuer ses enfants avec elle (!) soit, pire peut-être, les abandonner seuls au désespoir de leur abject destin. De cette lâcheté là, elle était totalement incapable. Elle vivrait donc, elle se soumettrait à tout pour, tant que cela serait en son pouvoir, les épargner et leur apporter le peu de soutien maternel qu'elle pourrait pour traverser les horreurs que le futur leur réservait.

Ils furent présentés au maître le surlendemain soir après le dîner. Nus, alignés, ils virent arriver un chinois âgé, en peignoir, grand et un peu gros, fumant au moyen d'un long porte-cigarette de nacre. L'acheteur de la vente n'avait donc été qu'un représentant. Leur propriétaire tourna autour d'eux se concentrant sur les deux femmes en faisant tranquillement ses commentaires à voix haute. Il glissa par derrière une main rêche entre les cuisses d'Evelyne et la fit remonter vers son intimité. La mère se laissa faire, écartant même les jambes pour lui faciliter son intrusion. Placidement elle se laissa fouiller.

« An authentic ass-virgin, I have been told. And the daughter as well... Quite surprising for French women..." Commenta t-il.

[Une vraie vierge du cul m'a-t-on assuré. Et la fille de même... Vraiment surprenant pour des françaises...]

Apparemment satisfait, il fit signe à Evelyne de le suivre tandis que les deux enfants étaient conduits hors de la pièce par les serviteurs. Il la précéda dans une vaste et luxueuse chambre où trônait un lit immense couvert de cousins et aux draps de soie.

Le maître se déshabilla et alla s'allonger sur le lit. Evelyne dut regarder pour la première fois le lourd sexe jaunâtre qui balançait sous la bedaine du chinois. Cette masse de chair qui avait le pouvoir de décider de son avenir et de celui de ses enfants. Cette masse de chair à laquelle elle allait donner sa bouche, son sexe et, sûrement un jour aussi, la virginité de son cul. Cette masse de chair qui demain souillera et violera à son tour sa précieuse Charlene...

« Come and suck me like you all do it so well in Paris! »

[Viens là et suce-moi comme vous savez toutes si bien le faire à Paris]

Evelyne s'approcha et se glissa entre les cuisses écartées. Sa bouche fardée s'approcha du membre assoupi, s'ouvrit et sa langue se mit à donner de petits coups précis, sur les bourses d'abord puis, remontant le long de la queue endormie, vers le gland. Rapidement, sous cette stimulation adroite, le pénis grossit et la bouche soumise put entreprendre de l'avaler entièrement. Il glissa simplement dans la chaude caverne qui l'aspirait. Le maître, heureux, s'étira lascivement. La connaissance du combat contre elle même que devait mener Evelyne pour lui offrir une telle caresse ne faisait que renforcer son plaisir. La belle tête brune se mit à aller et venir lentement absorbant entièrement l'organe sexuel à chaque plongée, qu'Evelyne finissait le nez dans les poils pubiens de son bourreau. Au plus profond, c'étaient les contractions reflex de son arrière gorge qui faisaient comme un massage autour du gland déjà presque engagé dans son oesophage. Heureusement pour elle, un tel traitement était tellement exquis qu'il était impossible au maître de l'endurer plus de quelques minutes sans jouir.

Comme il avait ce soir là d'autres projets pour elle, il lui fit comprendre de cesser d'une poussée de la main sur son front et il lui dit :

« You would prefer a fuck, wouldn't you? » [Tu préfères baiser, n'est ce pas?]

« Y... Yes, Master. Of course. » Se força à répondre Evelyne, essayant de deviner les désirs de son propriétaire.

« Then ride me and make it good! » [Alors chevauche-moi et fait en sorte que ce soit bon!]

Elle avait compris. Elle se redressa, l'enjamba en plaçant ses pieds aux cotés des hanches de son maître. S'accroupissant, elle saisit le membre rigide entre ses doigts délicatement manucurés et en guida le nœud rougi vers l'entrée entrouverte de sa caverne intime.

D'un très lent mouvement continu vers le bas, elle s'empala alors sur lui jusqu'à venir sentir le contact de ses testicules contre la peau de ses fesses. On y était! Pour la première fois - il y en aurait des centaines d'autres elle le savait - elle était la femelle prise par cet homme dont elle était devenu le jouet vivant. En tremblant, elle commença à monter et descendre par le jeu de ses cuisses, lentement pour maximiser son plaisir à lui, pour le faire durer, pour être inoubliable pour lui, pour se rendre nécessaire, indispensable même si cela était possible. Ses seins lourds se balançaient sur son buste en un fascinant ballet. Le maître en saisit et en étira les extrémités entre ses doigts crochus, la contraignant à se torturer elle-même à chaque empalement.