Évolution de Carrière 03

Elles rient, commentent tout, me complimente, je ne suis qu'un objet entre leurs mains. Un animal face à des maquignons.

Mon cerveau est en ébullition, mon rêve se réalise, je suis si excité. Je vais jouir, je sent mon orgasme venir. Mon corps frémi, des petites conlvutions, ma queue se tend encore plus, mon cul palpite, mes couilles se rétractent.

C'est encore PATRICIA qui fait stopper toutes les caresses et demande le silence.

_P_ Ça va juju?

_J_ Oui oui oui Madame PATRICIA mais je dois vous dire que je vais jouir. Excusez moi. C'est trop puissant, c'est trop bon, tout ce que vous me faites. Je ne peux plus me retenir. Mesdames pardon pardon, ouiiiiiii merciiiiii

je joui debout, entouré de toutes mes collègues, les mains sur la tête les jambes écartées sans aucune stimulation physique, je ne contrôle plus rien, je ne maîtrise pas mon orgasme, j'éjacule violemment, j'expulse trois grandes giclées de sperme.

je reprends conscience au bout de quelques secondes, il y a un grand silence qui dure.

PATRICIA reprend la parole.

_P_ whaou! Merci juju tu es très beau quand tu jouies, très expressif, sans aucune pudeur j'adore.

_M_T'es le premier mec que je vois jouir si intensément alors qu'il est juste nu.

_L_ Ça te plaît vraiment d'être à poils devant nous?

_C_ Tu aimes être humilié?

_V_ Ça t'excite d'être nu devant des femmes habillées?

_L_ Tu as vraiment joui devant nous!

_P_ Tu es un vrai soumis....

Je ne sais plus tout ce qu'elles ont dit ni qui a dit tout ça? Elles ont toutes parlées , commentées la scène orgasmique que je viens de leur offrir.

_P_ Regarde nous, lève la tête juju.

A cet instant, je réalise vraiment ce qui vient de se passer. J'ai joui d'être humilié nu au milieu de toutes mes collègues habillées.

Ce n'est plus un phantasme. C'est la réalité. J'ai joui, sans retenue, sans filtre, sans pudeur.

Mes collègues ont vu ma jouissance, mon intimité la plus secrète, la plus personnelle, ma nature profonde.

Je suis un mâle soumis qui prend du plaisir d'être exhibé nu devant des femmes habillées. Elles savent désormais qui je suis. PATRICIA encore une fois me sort de ma torpeur.

_P_ Maintenant que l'on connaît toutes ta vraie nature, tu sais ce qui te reste à faire pour nous montrer ta gratitude, nettoie tes petites cochonneries, comme sur la vidéo.

Devant moi CÉLINE s'est avancée, du spermes coule le long de ses jambes.

Je lève les yeux, je l'a regarde, elle a un grand sourire gourmand.

_C_ Régale toi. Nettoie tes cochonneries, lèche ton sperme sur mes jambes, mais avant lèche ce qu'il y a parterre.

Au ralenti, je lèche le sol, j'avance pour me retrouver à ses pieds. Je m'approche pour la nettoyer. Elle recule de quelques pas pour s'asseoir sur sa chaise.

A quatre pattes, lentement, je m'approche, je veux savourer ce moment.

Je dépose un premier baisser sur sa chaussure, puis un deuxième, je fais pareil avec l'autre pieds. je sort ma langue, je lèche, j'avale mon sperme. Des petits coups de langue légers, d'autre plus appuyés. Je nettoie tout.

C'est la première fois que je touche une de mes collègues aussi intimement. Je ressens une très grande fierté, un grand honneur.

Le temps s'est arrêté, je m'applique, j'essaie de sentir ses envies, ses désirs, en même temps, je veux qu'elle ressente mon plaisir de la satisfaire. Sans un mot j'alterne, passe d'une jambe à l'autre.

Toujours, avec la même application, je léche, embrasse, dépose un baiser sur chaque partie de son corps qu'elle m'offre. CÉLINE ouvre en grand ses jambes, je lèche l'intérieur de ses cuisses, le parfum de son sexe, de son plaisir est de plus en plus présent. J'ai léché tout mon sperme mais continu mon embrassade. Chaque baiser me rapproche de son temple si convoité.

Elle porte la même culotte crème que vendredi. Ses cuisses s'ouvrent en grands, c'est une invitation. Je dépose plusieurs baisers sur son sexe avant de la lécher délicatement. Le tissu n'est plus une barrière, elle a décalé sa culote, je vois ses lèvres brillantes, elle n'a pas de poils, ma langue découvre sa chatte, sa saveur m'inonde le visage.

Puis je sens ses mains sur mon crâne qui me carressent, me flatte. Soudain elle appuie fortement sur ma tête, elle se sert de moi, elle se branle avec ma bouche, avec ma langue, avec mon nez, avec tout mon visage. Cela paraît durer des heures. Elle appuie sur ma tête de plus en plus fort, ses jambes se serrent, son corps se tend, elle convulse, elle jouie, non je ne rêve pas. Elle jouie sous mes caresses. Elle coule dans ma bouche, je bois directement à la source, le parfum que j'ai plusieurs fois goûté. L'étreinte se desserre, elle se redresse, tapote mon crâne.

Je me recule, la tête baissée, le visage trempé de son nectar, toujours à quatre pattes.

Je ressens un bonheur immense, une forme de plénitude extraordinaire.

Petit à petit j'entends les remarques des autres filles.

_ Il aime vraiment ça.

_ J'ai jamais vu ça, c'est la première fois,

_ Vous avez vu comme il s'est appliqué, il passé sa langue partout il a tout léché, tout nettoyé, tout bu.

_ Il est trop mignon comme ça à quatre pattes, son petit cul est très appétissant.

_ Et regardez il bande encore.

Je ne sais plus lesquelles ont dit tout ça? Je relève la tête, je regarde CÉLINE, elle est encore sur son nuage qui ne doit pas être loin du mien.

Je tourne la tête, j'ai enfin le courage de croiser leurs regard. Ce que je vois est incroyable, Les filles me regardent vicieusement, c'est presque obscène, c'est comme si elles voulaient me dévorer.

PATRICIA s'approche de moi, s'accroupie, elle me caresse, la tête, les épaules, le dos, les fesses, les cuisses, remonte le long de mon dos. Je frissonne de plaisir,

Elle appuie sur ma tête, instinctivement je pose mon front sur le sol, mes mains sont tendues devant moi, j'ecarte un peu mes jambes, cambre mon dos, tend mon cul.

J'essaie d'être le plus soumis possible, le plus offert. J'attends je suis prêt, prêt à tout subir.

_P_ Venez les filles notre petit juju à besoin de réfléchir un peu à ce qu'il vient de se passer. N'est il pas mignon dans cette position?

J'entends leurs rires, leurs commentaires graveleux, Je ne bouge pas d'un millimètre. CÉLINE est devant moi,

_C_ juju! Fouiller dans mes affaires était une très grande erreur. Tu vas le payer cher, ça ne fait que commencer.

Elle est derrière moi maintenant, elle caresse mes fesses, les griffes, puis, sans avertissement me donne une violente claque sur la fesse droite et une autre encore plus forte sur la gauche. Tout se passe dans un silence de cathédrale.

L'une après l'autre, elles passent devant moi, elles me caressent le dos avant de me claquer violemment le cul. Je reçois une fessée de me collègues. Elles en donnent au moins deux chaqu'une, avant de sortir de la pièce sans un mot.

_P_ Ne bouge surtout pas on revient juju.