Emprise sur la Ville - Acte 02

BÊTA PUBLIQUE

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"Il soutient que la liberté ne consiste pas à être sans contrainte, mais à être libre de la contrainte arbitraire et oppressante. "

Les élèves remarquèrent que leur professeure se dandinait légèrement sur sa chaise.

"En fin de compte, pour Rousseau, la contrainte acceptée est la base d'une société équilibrée, où chaque individu peut vivre en paix avec lui-même et les autres membres de la communauté."

Camille lança un travail écrit pour être plus tranquille et se mit en fond de classe pour éviter qu'on remarque son embarras. Le vrombissement augmentait toujours plus et sa chatte coulait maintenant.

Le cours se termina et elle changea de classe. Comme par hasard, l'œuf cessa de vibrer. La femme du maire monta les escaliers en serrant au maximum ses longues jambes à la fois parce que sa jupe était très courte et aussi car son sexe coulait. Une honte persistante l'envahissait. Elle croisa Madame Bascoul sa supérieure qui lui sourit, d'un sourire énigmatique comme si elle savait ce que sa jeune professeure endurait.

En salle A212, les terminales 3 écoutaient le même cours que leurs camarades de la salle A102. Camille débitait les positions philosophiques de Jean Jacques Rousseau aux élèves qui fixaient ses jambes. La femme n'aimait pas cette salle car le bureau n'avait pas de pare-vue. Ses longues jambes dénudées faisaient le plaisir des garçons et des filles. Surtout Fodé, le trublion de la terminale 3, ayant redoublé trois fois déjà dans sa scolarité, c'était presqu'un homme.

L'œuf vibra à nouveau. Très fort! Camille aimerait écarter les cuisses pour atténuer l'excitation qui montait inexorablement. Mais sans culotte, avec Fodé juste devant elle ; impossible. Il y avait quelque chose de Moussa dans ce garçon. La prof rejeta tout de suite cette idée de sa tête, cette image d'un membre puissant devant sa bouche, d'un gland gonflé qui force sa chatte trempée.

Les minutes tombaient une à une comme des perles de plaisir dans le ventre de Camille de Charette. Ligotée par les humiliations, elle aspirait à l'orgasme. Elle pensait à Madame Marie qui devait jouer sur son smartphone. Elle voyait Fodé devant elle, le visage parsemé de boutons et des lèvres épaisses. Dès qu'elle prenait la parole, l'œuf vibrait plus fort.

Soudain elle sentit un orgasme venir. Elle se mordit la joue et enfonça ses ongles dans son bras.

Jean-Charles De Charette

Le réveil de sa femme l'avait réveillé mais Jean-Charles resta un peu au lit. Sa fonction de maire l'accaparait et il finissait souvent tard le soir. Quand il entendit la douche couler, il bondit du lit, la bite en érection et entra dans la salle de bain. Il espérait pouvoir enfin profiter de sa femme et jouir dans sa chatte douce qu'il imaginait trempée de désir.

Sa femme conservait sa beauté. Son corps élancé, ses seins en poire lourds et gros, sa taille fine, tout plaisait à Jean-Charles qui voulut entrer dans la cabine de douche.

- Chérie, je peux entrer? dit-il en sentant sa verge gonflée.

- Non Jean-Charles. Je me lave. Je peux être tranquille?

- Mais avant on le faisait? se plaignit-il.

- Pas aujourd'hui, s'il te plaît.

Homme sage et perclu de morale chrétienne, le maire sortit dépité de la salle de bain. Dans les toilettes, il se masturba violemment. Une sourde colère montait en lui. Des images de Camille attachée et offerte sur un lit passèrent dans son esprit comme des nuages dans le ciel.

La matinée passa rapidement de réunions en réunions et de signatures en signatures. Vers midi, il saisit son téléphone.

- Jacques? Bonjour!

- Ah, c'est toi Jean-Charles. Comment vas-tu? répondit Jacques Mousatir.

- Pas trop bien en fait. Tu es seul?

- Oui bien sûr. Marie est sortie...

- J'ai un problème intime et comme tu connais bien Camille je m'en ouvre à toi.

Jean-Charles, installé dans son vaste bureau de la mairie, expliqua la situation au vieux Jacques. Il se plaignait. Jacques tenta d'expliquer que dans les couples, des périodes comme ça arrivaient.

- Ok, mais ça fait des mois qu'elle ne veut plus que je la touche! Tu crois qu'elle a un amant?

- Quoi! Camille? Tu débloques mon Jean-Charles. Ta femme est incapable de coucher avec un autre homme.

Marie Mousatir

Depuis huit heures du matin, Marie Mousatir tourmentait une femme attachée sur une des croix de Saint André de son donjon. Installé dans l'immense sous-sol de sa maison, le donjon jouissait d'une prison composée de cachots aux barreaux en acier et bien séparés par un mur épais percé d'une lourde porte, d'un vaste espace de jeux.

Les bras écartés, complètement nue, la pharmacienne accusait les coups de martinet sur l'ensemble de son corps. Tout était rouge, sauf son tatouage près de son sexe : S-73.

- Alors grosse salope. Tu es venue pour que je te punisse?

- Oui Maîtresse Marie. J'ai besoin de vous, j'ai besoin de votre sévérité.

- Tu parles bien comme une salope!

La porte qui donnait sur les escaliers s'ouvrit brusquement et une jeune femme d'une trentaine d'années entra, vêtue d'un jean noir, chemise blanche, blouson en cuir noir et Dockers.

- Bonjour Joséphine, lança Marie juste habillée d'un pantalon en jean.

- Bonjour Marie... Tu m'as appelé pour m'occuper de S-73.

Isabelle Labrosse, la pharmacienne, regardait apeurée la nouvelle venue.

- Mais elle est moche cette pute, lança Joséphine Cherline en balançant son blouson sur un cheval d'arçon. Ses cheveux mi-longs ne ressemblent à rien. Pas de seins! Un ventre flasque des hanches plus larges qu'un tonneau... Putain faut se la farcir!

L'humiliation fit pleurer la soumise. Quand elle s'était assujettie à Marie, c'était pour se sentir exister. Même dans la douleur, même dans son abandon, elle se sentait totalement prise en charge par sa Maitresse. Joséphine Cherline déboutonna quelques boutons de sa chemise blanche où était épinglée une broche ronde avec deux anneaux entrelacés et approcha de la captive. Elle plaque sa main sur le sexe ouvert.

- Trempée la salope! Peut-être est-elle intéressante finalement!

- ...

- Dis-moi Marie, où est Jacques?

- Il baise Aïké, S-69, dans son cachot. ça faisait longtemps que cette esclave n'avait pas servi. Il va revenir pour se faire nettoyer la queue.

La pharmacienne regardait sa maîtresse prendre du recul pour laisser la direction à la brune et se saisir de son smartphone.

- Tu sais que toutes les séances, tous les messages envoyés à Marie ont été enregistrés! lâcha la nouvelle Maîtresse.

Isabelle ne comprenait pas.

- En fait, les vidéos sont sur un serveur près à être envoyées à tous les notables de la ville.

- NON! cria Isabelle qui cherchait le regard de Maîtresse Marie.

- Si S-73. Tu es notre chose maintenant, murmura le femme de Jacques qui s'approcha.

Les doigts dans la chatte encore trempée, Joséphine continua :

- Je m'appelle Joséphine Cherline. Je suis inspectrice à la Police Nationale. Et je sais très bien que si un scandale sexuel éclatait, tu perdrais ta pharmacie, ta réputation et que jamais tu ne retrouverais du boulot.

L'inspectrice se baissa et lécha le bouton érectile en prenant appui sur les larges hanches. Entre le plaisir lancinant et la nouvelle horrible, la pharmacienne n'arrivait pas à comprendre. C'est alors que Joséphine enfonça son poing dans le vagin de la soumise qui hurla à la mort. Marie vint s'installer dans un large fauteuil et brancha les oreillettes à son smartphone.

"...seau, la contrainte est nécessaire pour maintenir l'ordre social, mais elle doit être juste et équitable pour que les individus..." entendit-elle en regardant le corps gras d'Isabelle Labrosse se tordre de douleur. Elle écoutait le cours de la femme du maire et continua à activer l'oeuf à distance. Marie s'amusa à augmenter les vibrations dès qu'elle entendait la professeure de philosophie.

La séance avec la pharmacienne dura jusqu'à midi. Maitresse Joséphine l'avait cassée, elle avait réussi à introduire ses deux mains dans le vagin de la pharmacienne et les faisait entrer et sortir alternativement. Plus aucune once de liberté ne brillait dans les yeux d'Isabelle. Ses dernières défenses psychologiques étaient rompues.

- Tu vas nous préparer des drogues, sale chienne!

- Oui, Maîtresse Joséphine.

- Je veux que tu nous livres une poudre ou un liquide qui diminue les capacités inhibitrices et augmente le désir.

- Oui, Maîtresse Joséphine.

A ce moment-là, Jacques Mousatir entra dans le donjon. Joséphine et Marie l'entendaient répondre au téléphone : "Tu débloques mon Jean-Charles. Ta femme est incapable de coucher avec un autre homme. "

Il continuait sa conversation en ayant salué Joséphine d'un mouvement de tête et s'approcha de la pharmacienne. D'une main, il ouvrit son pantalon et il lui présenta son sexe. Vaincue par la séance avec Joséphine, Isabelle ouvrit la bouche sans protester et commença sucer le membre de Jacques.

Camille De Charette - S-123

Son deuxième cours terminé, la professeure de philosophie avait une pause d'une heure avant de reprendre. Elle accourut dans les toilettes adultes et s'installa dans une cabine avant de baisser sa micro jupe. Son sexe ruisselait. L'œuf vibrait toujours un peu. Camille De Charette ouvrit ses jambes et, du bout des doigts, elle frotta son clitoris. Elle décola directement et tenta de contenir ses cris en se mettant trois doigts dans la bouche. Comment pouvait-elle aimer tant être manipulée et humiliée de la sorte?

La jeune femme se souvint d'une des première exigence de Maitresse Marie. La vieille femme lui intima l'ordre d'aller à la plage un mercredi après-midi en string et sans soutien-gorge. Elle avait beaucoup hésité. Lorsqu'elle se déshabilla au pied de sa serviette étalée sur le sable, elle ne garda que son string. Elle s'allongea rapidement pour ne pas qu'on la voit. Bien évidemment, elle n'alla pas se baigner.

- Bonjour Madame de Charette entendit-elle à un moment.

Elle se redressa et vit deux filles de terminale en micro maillot de bain qui l'avaient reconnue malgré ses lunettes de soleil. Par réflexe, elle masqua son opulente poitrine avec son bras. Les deux élèves rejoignirent un groupe un peu plus loin. Camille observa que tout le groupe se retournait vers elle. La honte monta en elle lorsque des garçons se levèrent pour venir la saluer. Mortifiée, son ventre se tordait.

Le soir en rentrant chez elle, elle reçut des photos sur son téléphone. Elle était les seins à l'air sur la plage. Madame Marie lui en envoya une dizaine. Camille était surveillée. Heureusement, aucun des élèves n'avaient ensuite osé lui parler de cet après-midi, même si Madame Bascoul, un jour, lui avait fait une allusion à ses femmes qui s'exposent seins nus à la plage.

Aïké - S-69

La peau ébène luisait de sueur. Le corps nue de l'esclave suintait de plaisir et de douleur. Le bas du dos sur un support en hauteur vissé au mur, ses deux jambes étaient fixées sur le même mur de pierre derrière la black au niveau de son visage. Attachés également, les bras ne bougeaient plus. Ainsi contorsionnée, l'esclave offrait son cul et son vagin sans qu'elle ne puisse s'y soustraire.

Une petite pompe aspirait son clitoris et le faisait ressortir. Habituée depuis des années à ce type de traitement, l'esclave de 28 ans subissait avec plaisir son asservissement. Deux autres pompes suçaient les tétons qui s'étiraient dangereusement. Depuis longtemps ses cheveux avaient été rasés et, comme tout le reste de son corps, une épilation permanente au laser évitait toute repousse de poil.

Enfermée dans le cachot n°2, Aïké endurait la séance que Maître Jacques lui imposait. Son anus était défoncé par la queue du vieil homme à la toison grise. S-69 n'avait pas le droit de jouir tant qu'elle n'en recevait pas l'ordre. Bien dressée, elle pouvait quasiment jouir sur commande.

Jacques ôta les trois pompes sous les cris d'Aïké. Puis, il approcha un sextoy qui entoura le clitoris étiré et gonflé. L'appareil aspirait et vibrait en même temps énervant rapidement toutes les terminaisons nerveuses du bouton déjà agacé. L'esclave hurla, les yeux exorbités.

- Je vous en supplie Maître, laissez-moi jouir.

Impassible, Jacques continuait les vibrations sur le clitoris n'ayant cure des supplications d'Aïké. L'action conjuguée des modulations d'aspiration et des trépidations forçait les orgasmes des femmes les plus frigides. S-69 hurlait et pleurait en même temps. Jacques retira le jouet et sodomisa à nouveau son esclave. L'esclave était au bord de l'orgasme depuis une vingtaine de minutes et Jacques remit le jouet sur le clitoris.

- Aaaaargh , Maître aaaarg! Je vais jouir!!!

Jacques pénétra deux doigts dans la chatte et fourragea durement le vagin.

- S-69, jouis maintenant.

Un jet puissant jaillit du sexe de la black tandis qu'elle hurlait à se casser la voix. L'orgasme dura de longues minutes et quand Aïké s'évanouit, Jacques la sodomisa à nouveau et éjacula dans le fond de son ventre.

- Tu vas rester comme ça encore. Je reviens cette après-midi pour recommencer, salope.

Laura Mucadam

Le vendredi, la journée passa rapidement pour Laura. La cheffe d'entreprise de Dynamic Health eut une réunion avec son chargé de projet sur les interfaces homme-machine, Carlos et Lars son collaborateur juriste. Ils traitèrent de question de droit quant au développement de l'interface neuronale. Puis Maxime, le beau brun italien les rejoignit. Il s'occupait du développement technique.

Laura se concentrait difficilement. Elle repensait à sa conversation avec Marie Mousatir. Mais à midi, Maeva vint dans son bureau avec Justine, la geek de l'intelligence artificielle. Des boutons d'acnée, le regard morve cerclé par des lunettes trop grandes pour elle, la jeune femme maigre, quasi anorexique avait besoin de Maeva pour se faire comprendre. La secrétaire n'avait pas son pareil pour traduire les grognements de la surdouée en informatique. Tout le monde partit manger. Leila frappa à la porte de Laura. Enrubannée par son hijab, la frêle jeune fille, déposa la lunch box de sa patronne sur son bureau.

- Qu'est-ce que tu as Leila? Tu sembles pas très bien.

- Ce n'est rien Madame Mucadam.

- Tu n'es pas allé te balader en forêt hier avec Maeva? Ça t'a fait du bien?

En effet, mercredi Laura avait surpris une conversation entre sa secrétaire et la femme de ménage. Elles prévoyaient une balade en forêt pour changer de la plage.

- Oui c'était bien... mais...

Des larmes ourlaient sur les paupières de la petite arabe. Laura se levait pour la prendre dans ses bras mais la femme de ménage s'enfuit.

En se levant le samedi matin, Laura s'étonna d'être en pleine forme. Était-ce la perspective de retrouver son nouveau couple d'amis? Pour faire pigeonner ses petits seins, elle agrafa son soutien gorge push-up qu'elle portait lorsqu'un rendez-vous galant s'organisait. Un chemisier ample et une jupe assez courte mais pas trop finirent de l'habiller. Un peu boudinée quand même, elle se promettait encore une fois de faire du sport et d'être attentive à son régime alimentaire. Deux traits de mascara, rouge à lèvre Dior, parfum, la voilà prête. Dans sa Tesla qui lui indiquait la route, Laura se demanda pourquoi elle se pomponnait comme ça? Ce n'était qu'un rendez-vous avec des amis, un couple de retraités de surcroît! L'adresse mena à une maison isolée en pierre, au fond d'une impasse, sans vis à vis. La modeste masure était entourée de hauts murs, avec un accès direct à la forêt qui bordait la ville.

Le portillon ouvert, Laura se permit d'emprunter la petite allée vers la bâtisse. Le jardin n'était pas très grand mais paysagé avec beaucoup de soin. Le nombre d'essence d'arbre et de buissons devaient nécessiter beaucoup de temps. Alors que la petite métisse approchait de la porte d'entrée, elle entendit distinctement des gémissements. Aucun doute sur la nature de ce bruit. Sa curiosité prit le dessus, elle voulait savoir qui faisait l'amour. La petite curieuse contourna discrètement la façade pour découvrir la fenêtre ouverte sur le pignon Est.

Marie était à califourchon sur Jacques. Laura ne recula pas tellement fascinée par le spectacle. Empalée sur la verge tendue de son mari, la vieille se léchait les tétons en tordant ses lourds seins vers sa bouche. La jeune indiscrète remarqua la silhouette de Madame Mousatir. Voluptueuse mais pas boudinée, la quinquagénaire émut Laura qui épia également le sexe gonflée du vieux Jacques.

Quand Laura revint sur ses pas, sa chatte était trempée et ses petits seins gonflaient. Elle sonna à la porte.

- On arrive, on arrive, cria une voix quelques minutes plus tard.

Ils s'installèrent à l'arrière de la maison, sur la terrasse en face de la piscine. De la bière avait été servie tandis que Jacques préparait le barbecue.

- Il fait chaud. Tu ne trouves pas?

- Oui on a de la chance, répondit Laura dont la peau halée ne craignait rien.

- On se baignera après manger, sourit Marie allongée dans la chaise longue dans son paréo bariolé.

Laura frisonna. Elle n'avait pas apporté de maillot de bain.

- Peux-tu apporter les saladiers que j'ai préparé dans la cuisine.

La jeune entrepreneuse se leva et revint avec un plateau de deux saladiers. Ils commencèrent à manger en discutant.

- Tu peux voir si les saucisses sont cuites, ma petite, lança Jacques en posant sa main sur le genou nu de Laura.

Elle obtempéra. Finalement le vieux couple se fit servir tout le repas et Laura le fit avec grand plaisir. Après le café, Marie proposa qu'on se rafraichisse dans la piscine. Elle se leva et ôta son paréo. Laura admira la silhouette de la femme qui se retourvait debout devant avec pour seul vêtement, la culotte de maillot de bain.

- Je... balbutia-t-elle

Jacque se leva également et ôta son pantalon de toile pour se retrouver en caleçon de bain. Il plongea dans le bassin.

- Je n'ai pas de maillot de bain, dit timidement Laura à Marie qui la toisait.

- Et ben! Pas de maillot de bain....

Le coeur de la jeune femme s'embala à la perspective de se mettre nue. Son regard passa du vieil homme qui nageait dans l'eau à Marie qui, les mains sur les hanches, attendait une réaction. La quinquagénaire éclata de rire :

- Tu as du mal avec ton corps ma petite! Je vais te prêter un maillot de bain.

- Oh... merci.

Sa gène n'abandonna pas tout son être, mais son être était envahi d'un sentiment trouble. Cela semblait si facile pour Jacques et Marie. Laura se torturait dans cette tension entre son désir de liberté et le carcan dans lequel son éducation l'avait plongée. Marie revint avec un bout de tissu qu'elle tendit à la jeune femme.

- Déshabille-toi et mets ça. Ça t'ira peut-être.

- Merci Madame.

Mais là encore, Laura pêchait par pudeur et, quand Marie plongea rejoindre son mari, elle se gronda elle-même. Elle déboutonna son chemisier ample et dégrafa son soutien-gorge qui gonflait artificiellement sa poitrine. Dos à la piscine, elle cacha ses petits seins au couple. La jupe courte tomba au sol et, le plus rapidement possible, elle baissa sa culotte avant d'essayer d'enfiler le maillot de bain prêté. Or, celui-ci était trop étroit pour les cuisses épaisses et les hanches dodues de la jeune entrepreneuse, elle perdit l'équilibre et se retrouva face à la piscine où le couple l'observait se débattre. Sa toison sombre et fournie fut finalement masquée par le maillot de bain qui la serrait bien trop. Elle entra dans l'eau, rassurée que son corps ne fut plus visible.

Jacques et Marie ne firent aucun commentaire et on discuta tranquillement au rythme des clapotis de l'eau. Laura fut attentive à maintenir juste son cou hors de l'eau pour éviter d'exposer ses seins. A un moment, Marie se rapprocha et leur corps se collèrent. Puis comme une danse depuis longtemps répétée, Jacques toucha les épaules de la jeune femme tandis que sa femme s'écartait. A nouveau, sa femme s'agrippa aux hanches de la métisse en prétextant ne pas l'avoir vu sous l'eau et son vieux mari de revenir lui prendre les mains pour ne pas que Laura tombe. Le ventre de la jeune femme vibrait à l'intérieur, à l'extérieur son corps maintenait une rectitude d'apparat pour ne pas trahir le trouble qui l'envahissait.