Emmanuelle, Déchéance Africaine

BÊTA PUBLIQUE

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- Vos trois épouses semblent être bien plus jeunes que vous, si je puis me permettre, chef! Annonce Emmanuelle toujours curieuse de connaitre la vie du vieux chef.

- En effet, Fadima a 35 ans, Hawa en a 45 et Soukeyna a 60 ans. Elles sont mes trois dernières femmes sur un nombre de sept. Mes premières épouses sont décédées et il est de coutume que le chef possède trois femmes et qu'il les choisisse parmi les plus jeunes. Chacune d'entre elle a remplacé l'une de mes femmes décédées comme l'ont fait les femmes qui les ont précédées! Notre tradition veut que lorsqu'un homme meurt, son épouse est reprise par un homme du village qui doit subvenir à ses besoins. Pour le chef du village, c'est un peu différent. Il doit avoir trois femmes et il les choisit parmi les plus vigoureuses du village afin d'assurer une solide descendance.

- Vous devez donc avoir de nombreux enfants, chef! s'exclame Emmanuelle.

- J'ai eu 25 enfants et il y a bien longtemps que je ne tiens plus le compte de mes petits-enfants. Mon premier enfant qui est un fils a maintenant 70 ans et ma petite dernière qui est la fille de Fadima vient de fêter ses quinze printemps. Dit Mbemba en posant sa main droite sur la cuisse d'Emmanuelle.

Ce geste qu'elle prend tout d'abord pour un geste amical et affectueux lui coupe tout de même un peu le souffle et elle n'ose plus parler. La main descend lentement vers l'ourlet de sa robe alors que le vieux chef continue à lui parler.

Emmanuelle ne l'entend plus du tout et se concentre sur le mouvement de cette main tout en regardant autour d'elle de peur d'être vue. Elle constate très vite que personne ne voit le petit manège qui se passe sous la table et commence à sentir une boule monter dans son ventre.

Les doigts du vieil homme ont maintenant atteint la peau nue de sa cuisse et commence à remonter de façon imperceptible le léger tissu de sa robe. Emmanuelle est totalement tétanisée et n'ose plus bouger, elle regarde au loin de peur de croiser le regard du vieux chef. Mbemba exerce une légère pression sur sa cuisse pour qu'elle écarte un peu plus les jambes.

Pourquoi se laisse-t-elle faire de la sorte? Elle se met à s'en vouloir de nouveau d'avoir choisi une tenue aussi provocante. La main a maintenant glissé sur sa cuisse et poursuit lentement sa remontée vers la fourche de ses cuisses qui dissimule encore sa petite chatte épilée. Elle sent les doigts se rapprocher dangereusement de ses lèvres humides déjà gonflées de désir.

Emmanuelle aimerait s'abandonner au plaisir mais, dans un sursaut de dignité, elle pose sa main sur celle du vieux chef en le regardant droit dans les yeux. Tout en sentant les doigts se refermer fermement sur sa cuisse, elle subit le regard noir de Mbemba. Ce regard dominateur ne tarde pas à lui faire baisser les yeux et elle se sent comme une petite fille qui vient de faire une grosse bêtise. Lentement, Emmanuelle retire sa main de celle du vieux chef alors qu'il se penche vers elle pour lui dire à l'oreille.

- Tu apprendras très vite, jeune fille, que tout ce qui vit dans ce village m'appartient et que j'en fais ce que je souhaite.

- B... bi... bien, chef!! finit-elle par bredouiller.

La main sur sa cuisse s'est faite plus douce et remonte maintenant très vite vers le petit trésor caché entre ses cuisses. Le premier contact d'un doigt sur ses lèvres humides la fait frémir et elle ne peut s'empêcher d'ouvrir un peu plus le compas de ses jambes afin de faciliter l'accès à la main inquisitrice.

Maintenant que sa proie se laisse aller, Mbemba en profite pour glisser un doigt entre les lèvres humides de la petite chatte et remonte lentement vers le clitoris qui n'en demandait pas tant pour s'extraire de son petit capuchon.

Emmanuelle retient un doux gémissement entre ses lèvres serrées et c'est ce moment que choisit le père Louis pour poser sa main gauche sur l'autre cuisse d'Emmanuelle.

Elle baisse son regard et, totalement incrédule, elle regarde cette main rejoindre celle du vieux chef. Une phrase raisonne dans la tête d'Emmanuelle : comment ce prêtre peut-il oser faire une telle chose?

Ce qu'elle ne sait pas c'est que notre missionnaire n'est pas un homme d'église comme tous les autres. Depuis 33 ans qu'il vit dans ce village, il a appris à connaître les mœurs de cette peuplade. Bien que catholiques, les hommes du village continuent à pratiquer la polygamie.

Il n'est pas rare que chacun d'entre eux aient deux à trois femmes et les couples monogames sont très rares. Il n'y a guère que chez les jeunes que cette monogamie est visible.

Cette coutume ancestrale est ancrée car ce peuple ne peut envisager de laisser une femme veuve sans mari. Lorsqu'un homme meurt, jeune ou vieux, sa femme est reprise par un homme du village afin qu'elle ne reste pas seule. Cela sous-entend que le mari doit être en mesure d'honorer sa nouvelle épouse et de subvenir à ses besoins ainsi qu'à sa progéniture.

Le vieux missionnaire, dans ses débuts au village, a tenté de ramener ce peuple vers la voie de l'église mais ses efforts ont été vains. Il s'est même laisser convaincre que c'était la normalité et qu'il pouvait aussi profiter de cet état de fait.

Au début, il s'était étonné de la fraîcheur des anciens, malgré leur âge. Le chef du village lui a très vite appris que le sorcier du village allait chercher dans la forêt des plantes dont il faisait des décoctions qui leur donnaient endurance et longévité. C'est comme ça qu'un soir, après trois ans de présence dans le village, que le chef l'a invité dans sa case et qu'il lui a offert une de ses femmes après lui avoir fait boire le fameux breuvage.

Le père Louis n'a pu résister sous les effets de la mixture et il a baisé la femme du chef de village pendant une bonne partie de la nuit alors que ce dernier était parti rejoindre sa dernière épouse. Le vieux missionnaire s'en est voulu pendant plusieurs semaines mais le vieux chef a fini par lui faire comprendre qu'il était normal de le faire participer à l'équilibre du village en lui demandant de satisfaire les épouses qui ne pouvaient l'être par leur mari.

Cela ne changeait nullement son statut de prêtre pour le reste de la communauté mais il participait à soulager les hommes qui ne pouvait assumer leur rôle de mâle pour un temps. Le père Louis s'est donc laissé convaincre par le chef du village qu'il devait donner de sa personne et, qu'en échange, ce dernier lui fournirait de ce breuvage qui donne endurance et longévité. C'est ainsi qu'il s'est trouver, à intervalle plus ou moins régulier, à recevoir chez lui une femme amenée par un homme du village. Officiellement, l'épouse en question était amenée pour qu'elle fasse pénitence mais le prêtre avait pour mission de la satisfaire sexuellement.

Les doigts du père Louis se sont rapidement faufilés vers les lèvres gonflées de sa chatte et Emmanuelle sent un doigt se frayer un passage entre ses lèvres intimes humides et gonflées de désir.

Ses tétons lui font presque mal tant ils sont tendus sous le tissu de sa robe mais elle trouve ça terriblement délicieux. Les deux hommes, complices de longue date, coordonnent l'action de leurs doigts sur l'intimité d'Emmanuelle qui ne tarde pas à laisser échapper un nouveau gémissement qui passe, cette fois, la barrière de ses lèvres.

Dans le brouhaha environnant, personne n'a pu l'entendre si ce ne sont ses deux tortionnaires qui en profitent pour s'activer encore plus sur sa chatte ouverte et consentante. Emmanuelle ferme les yeux quelques secondes et elle voit l'image de son mari qui la regarde d'un air désapprobateur.

Elle revient rapidement à la réalité et prend conscience de ce qu'elle est en train de faire. Il faut qu'elle se reprenne et qu'elle fasse cesser ces agissements indignes d'elle. Elle repousse vivement les deux mains installées entre ses cuisses et, sans laisser aux deux hommes le temps de réagir, elle se lève et prend congé avec une voix tremblante.

Sans se retourner, Emmanuelle prend le chemin du dispensaire. Très vite, elle rejoint sa chambre et s'aperçoit en allumant la lumière que ses étudiantes ont modifié la configuration des lieux. Elles ont rapproché leurs lits de 90 cm pour en faire un grand lit alors que le sien a été repoussé dans un coin de la pièce.

Toujours mue par l'excitation procurée par les deux vieillards, Emmanuelle ressent un besoin irrépressible de se soulager et ne s'attarde pas sur ce détail. Frénétiquement, elle cherche dans sa valise le gode qui la suit dans tous ses déplacement. Très vite, elle retire sa robe, éteint la lumière et se glisse entre ses draps. Les deux hommes ont mis le feu à sa chatte et il faut qu'elle éteigne l'incendie. Elle ouvre largement les cuisses et plonge sont gode dans son vagin trempé de mouille. Elle le fait aller d'abord lentement mais l'envie de jouir est telle que ses mouvements deviennent plus rapides. D'une main, elle enfonce l'objet phallique de plus en plus loin dans sa chatte alors qu'elle se pince les tétons de l'autre.

Emmanuelle ferme les yeux, repense aux mains des deux hommes sur son sexe et part dans un profond orgasme qui la laisse sans force. Elle est complètement sonnée et ne peut plus bouger un cil. Elle ne sait combien elle est resté ainsi mais son gode est encore bien enfoncé dans sa chatte lorsqu'elle entend les voix de ses deux internes.

Elle n'ose plus bouger et décide de faire semblant de dormir. Les deux jeunes femmes entre dans la chambre en s'éclairant au moyen d'une lanterne que leur ont fourni les villageois.

Elles se déshabillent très vite et se couchent nue avant d'éteindre la lanterne. Durant quelques minutes, il n'y a plus un bruit dans la pièce et soudain le silence est rompu par un chuchotement. Emmanuelle est suffisamment près pour comprendre les paroles prononcées par Marie.

- Qu'est-ce que tu fais Gabrielle?

- Ben je te caresse, ma petite cochonne!!

- Non, arrête, Madame B. est juste à coté de nous!

- Il y a plus d'une heure qu'elle est rentrée, elle dort depuis longtemps! Rétorque Gabrielle.

- Mais elle pourrait se réveiller! Gémit Marie.

- Ce serait bien, elle pourrait venir nous lécher la chatte! Depuis le temps que je fantasme sur son corps parfait de femme mûre! Tu ne penses pas que je vais me priver de ton corps pendant un mois sous prétexte que Madame B. dort près de nous. J'ai du user de mon influence auprès de mon parrain pour que tu puisses m'accompagner alors j'entends pouvoir profiter de ton petit corps!!

- J'ai aussi donné de ma personne lorsque le doyen est venu nous rendre visite à l'appartement! Dit Marie en laissant échapper un soupir.

- Je lui avais promis qu'il pourrait profiter de tes charmes si nous étions sélectionnées pour ce voyage et je pense que tu n'as pas eu à te plaindre, ma petite salope.

- Hummm, oui!! Sa bonne queue dans mon cul pendant que nous nous mangions la chatte, hummm!!

- Allez, viens sur moi, je te mettrai un doigt dans le cul pour te rappeler ce bon moment.

Emmanuelle entend la jeune femme bouger sur le lit et des bruits de succion se font rapidement entendre.

Elle se rend compte que la présence des deux jeunes femmes n'est pas fortuite et qu'elles ont comploté dans son dos pour pouvoir venir ici avec elle.

Elle va leur faire payer en leur menant la vie dure mais, pour le moment, ce qu'elle entend réveille de nouveau son excitation.

Elle ouvre les yeux et lorsqu'ils se sont habitués à la pénombre Emmanuelle peut distinguer les deux jeunes femmes tête-bêche en train de se dévorer mutuellement la chatte.

Ces deux petites salopes se font du bien alors qu'elles pensent que leur professeure est plongée dans un profond sommeil. Emmanuelle a toujours son gode fiché bien au fond de sa chatte et elle se met lentement à remuer du bassin en écoutant les gémissements de ses jeunes internes.

Les mots de Gabrielle résonnent encore dans sa tête : « ce serait bien, elle pourrait venir nous lécher la chatte! Depuis le temps que je fantasme sur son corps parfait de femme mûre! ».

De toute sa vie, Emmanuelle n'a eu qu'une seule expérience saphique où elle a été plus passive qu'active. C'était lors de son internat suite à une soirée qu'elle avait un peu trop arrosée.

L'une de ses amie de l'époque lui avait proposé de la raccompagner jusqu'à son appartement et l'avait aidé à se déshabiller pour qu'elle se couche. Sans comprendre comment, Emmanuelle s'était retrouvée les cuisses ouvertes avec son amie en train de lui manger la chatte. Elle avait joui sous l'action conjuguée de sa langue sur son clito et de ses doigts dans sa chatte. Pendant les jours qui suivirent, cet épisode était resté sous silence entre les deux jeunes femmes et la vie avait repris son cours.

Les gémissements de moins en moins discret de ses deux étudiantes excitent Emmanuelle autant que la pensée qu'elle vient d'avoir. Elle referme les yeux et s'imagine sur le même lit qu'elles et participer à leurs ébats. Sa main droite s'est portées sur son gode et le fait lentement bouger dans la chatte. Sa main gauche s'est aventurée vers sa bouche et de sa langue elle lèche son petit doigt comme si elle léchait l'un des clitoris de ses étudiantes.

Les filles se font maintenant plaisir sans retenue et sans se soucier de sa présence. Elles se mettent à crier leur jouissance alors qu'Emmanuelle plonge sa tête dans son oreiller pour étouffer la sienne.

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2 Commentaires
MaitrePolMaitrePolil y a plus de 2 ans

Chère Emmanuelle tu as le don de nous faire passer un dur moment en nous racontant tes fantasmes sexuels. La soumission est ton oxygène alors as-tu réussi à convaincre Michel de tenir ta laisse. Je reste en attente de la suite du voyage vers la débauche.

Maître Pol

Assas78Assas78il y a plus de 2 ans

J'espère que vous allez nous raconter très vite la suite de cet excitant récit

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