Emmanuelle, Déchéance Africaine 02

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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/06/2022
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Après cette première nuit passée dans le village de Kaboudiara, Emmanuelle se réveille tôt. En soulevant ses draps, elle retrouve son gode qui a glissé de sa chatte après s'être endormie. Elle s'en saisit et se dirige vers le cabinet de toilette pour le nettoyer avant de s'occuper de sa propre toilette. Elle retourne vers la chambre après ses ablutions et décide de s'habiller dans une tenue qui ne va pas attirer les convoitises.

Elle est une femme respectable et entend bien ne pas voir se renouveler l'épisode de la veille. Dans la pénombre, elle choisit un string en dentelle rouge et le soutien-gorge assorti mais, surtout, elle opte pour un pantalon type safari avec un chemisier blanc en coton. Elle se dit que de cette façon elle sera moins attirante et qu'elle évitera les convoitises du vieux chef.

Son inconscient la fait agir à l'inverse de ses pensées et elle ferme les boutons de son chemisier juste ce qu'il faut pour que l'on puisse voir la fine dentelle de son soutien-gorge. Lorsqu'elle ressort de la chambre, Emmanuelle tombe nez à nez avec Fadima qui est venue les chercher pour le petit déjeuner. Emmanuelle ne souhaite pas être confrontée au vieux chef et prétexte qu'elle ne déjeune pas le matin pour se soustraire à sa présence. Elle demande cependant à Fadima d'aller réveiller ses étudiantes pour qu'elles puissent profiter de ce petit-déjeuner.

Elle se retourne et se rend au cabinet dentaire pour y faire l'inventaire du matériel en place. La pièce a été coupée en deux au moyen d'une cloison amovible et présente deux cabinets dentaires avec fauteuils et appareillages de qualité correctes. En voyant la configuration des lieux, Emmanuelle comprend que seuls deux praticiens étaient attendus.

Elle va donc faire travailler ses deux internes et se contenter de les superviser. Elle se dit que de cette façon elle va pouvoir être intransigeante et mener la vie dure à ses deux interne qui... la désire.

Cette pensée vient de germer dans son cerveau et Emmanuelle se rappelle les événements de la veille. Elle se rappelle ses caresses alors que ses deux internes faisaient l'amour juste à coté d'elle mais surtout elle a le souvenir de ces deux mains masculines qui s'activaient entre ses cuisses. Elle ferme les yeux et sa main droite s'égare sur ses seins alors que sa main gauche rejoint son sexe.

Elle aurait pu se caresser jusqu'à se faire jouir si elle n'avait pas entendu les voix de Fadima et de ses étudiantes dans le couloir. En quelques secondes, Emmanuelle change d'avis et se précipite dans le couloir pour suivre les trois femmes.

Il faut... elle doit revoir le vieux chef au plus vite pour lui prouver qu'elle peut lui résister. Elle doit s'affirmer et rejeter cette envie irrépressible qu'elle a de lui offrir son corps. Il faut qu'elle le regarde dans les yeux et qu'elle lui fasse comprendre qu'elle appartient à un autre : son mari Michel!

Fadima n'a pas fait de remarque lorsqu'elle a vu Emmanuelle les suivre pensant que cette dernière avait changé d'avis. Les quatre femmes arrivent dans le quarré du chef de village et se présentent sous une paillote qui accueille la grande table de la famille. Mbemba est déjà à table et invite Emmanuelle à prendre place à ses cotés.

Elle se dérobe et emploie un banal prétexte pour s'installer au milieu des femmes. Elle baisse cependant la tête en voyant le regard noir que lui jette le vieux chef. Elle prend rapidement son petit-déjeuner et quitte la table après avoir donné son accord à Fadima qui lui demandait si elle pouvait les assister.

Trois jours viennent de passer et à chaque fois Emmanuelle a esquivé l'invitation de Mbemba à s'asseoir près de lui à table. Fadima est quasiment en permanence avec elle et ses internes lors des consultations des habitants du village. Emmanuelle ne pardonne rien à ses étudiantes et en rajoute pour les rabaisser devant la femme du vieux chef. Elle prend un certain plaisir à leur faire payer le complot qu'elles ont monté dans son dos mais Fadima, sans jamais rien dire, prend rapidement parti pour les deux jeunes femmes.

Lors de leurs temps libre, Gabrielle et Marie suivent Fadima qui leur montre les alentours du village. Fadima est très intéressée par le caméscope que Gabrielle utilise en permanence pour filmer la vie du village et, très vite, elle lui demande de l'initier à son utilisation. Fadima apprend très vite et Gabrielle lui confit facilement son caméscope pour qu'elle la filme avec Marie au fil de leurs promenades et de leurs rencontres.

En ce quatrième jour de présence, Emmanuelle rentre dans sa chambre après le déjeuner. Elle est épuisée car il faut dire que les journées commencent tôt au village. Pour palier aux fortes chaleurs, le petit-déjeuner se fait juste avant le lever du soleil vers 5H30 et la journée se poursuit vers le déjeuner qui a lieu aux environs de 11h00. Ensuite, les heures sont trop chaudes et le village s'endort pour une sieste réparatrice. Emmanuelle se hâte à retirer son pantalon et son chemisier épais car elle a bien compris que cette tenue n'est pas adaptée à la chaleur ambiante.

Le jour où elle a pris la décision de porter ce genre de tenue, elle a très vite déchanté en souffrant de la chaleur presque insupportable qui règne dans le cabinet. Elle s'est très vite rendue dans sa chambre pour ôter les vêtements superflus et se retrouver en sous-vêtements sous sa blouse de praticienne. Elle ne porte pantalon et chemisier que lorsqu'elle sort du dispensaire pour aller prendre ses repas chez le vieux chef mais, dès qu'elle rentre dans sa chambre, elle retire tout pour se retrouver en sous-vêtements.

Il est l'heure de la sieste et Emmanuelle se retrouve sous son léger drap en string en dentelle rouge car elle a décidé de retirer son soutien-gorge pour sentir les pointes de ses seins se frotter contre le doux tissu de son drap. En vérité, elle attend le retour de ses étudiantes en faisant semblant de dormir car elle sait que ces deux cochonnes ne manquent pas de se caresser mutuellement avant de dormir un peu.

Depuis la séance du premier soir, Emmanuelle attend avec impatience d'épier ses étudiantes en se remémorant les mots de Gabrielle : « Ce serait bien, elle pourrait venir nous lécher la chatte! Depuis le temps que je fantasme sur son corps parfait de femme mûre! ».

A chaque fois qu'elle s'allonge elle pense à ces mots en fermant les yeux et elle se voit en train de lécher la chatte de ses deux étudiantes. Emmanuelle ne se prive pas de se caresser en silence quand les deux jeunes femmes se font du bien alors qu'elles pensent que leur prof dort. Immanquablement, les pensées d'Emmanuelle glissent vers Mbemba et le prêtre. Elle se revoit encore avec leurs deux mains sur sa chatte et elle se met à mouiller abondamment et se met trois doigts dans le con avant de jouir en étouffant ses gémissements dans son oreiller.

Emmanuelle tente de chasser ces pensées de son esprit dans l'espoir de s'endormir mais ses seins se sont durcis et le frottement du drap sur ses tétons sensibles la mette en émoi. Une fois de plus, elle sent sa chatte se liquéfier et elle espère que ses internes vont vite venir se mettre au lit pour se faire jouir en les entendant se faire l'amour. Soudain, elle entend des éclats de voix. Enfin! Ses petites salopes d'étudiantes vont venir animer sa sieste.

Cependant, Emmanuelle entend une voix inhabituelle à cette heure de la journée. Elle tend l'oreille et reconnait la voix de Fadima. Les trois femmes entre dans la chambre et la femme du chef s'approche de son lit. Elle la bouscule doucement afin de la réveiller. Emmanuelle feint le réveil précipité et s'étonne de voir la femme du chef dans sa chambre.

- Fadima! Mais que faites-vous ici? Demande Emmanuelle dans un demi-sommeil de cinéma.

- Emmanuelle, tu dois me suivre. Le conseil s'est réuni et les membres demandent à te voir immédiatement!

- Je m'habille et j'arrive! Allez m'attendre dehors! Annonce Emmanuelle en feignant un bâillement.

- Non, ça ne peux pas attendre, le conseil n'aime pas attendre!! Tiens, prend ta blouse et suis-moi!! Déclare solennellement Fadima.

- Très bien, mais je ne sais même pas où se trouve le conseil!! Répond Emmanuelle, soudain affolée.

- Passe ta blouse et je vais t'y conduire!! Vite, je te rappelle qu'ils n'aiment pas attendre!!

Sans réfléchir, Emmanuelle s'extirpe de ses draps et se présente devant ses étudiantes et Fadima en string et seins nus. Elle n'a pas le temps de voir le regard envieux que lui jette Gabrielle et s'empresse d'enfiler sa blouse pour suivre la femme du chef.

Les deux femmes traversent rapidement le village car Fadima ne laisse pas le temps à Emmanuelle de réfléchir. Elle la tire par le bras et l'entraine devant un bâtiment à l'autre bout du village. Elle pousse la porte du bâtiment et entraine Emmanuelle à l'intérieur.

Après avoir habitué ses yeux à la pénombre ambiante, Emmanuelle découvre Mbemba assis sur un grand siège. Oumar, le sorcier, et Salim, le plus ancien après eux, siègent à ses cotés. Assane et Bakari sont postés de part et d'autre de la porte. Emmanuelle a à peine fait connaissance des lieux que le vieux chef prend la parole.

- Je te remercie pour ta diligence, Fadima! Tu peux maintenant te retirer, nous devons nous entretenir avec le docteur! Tout ceci a été déclaré sur un ton qui ne supporte pas la répartie et Fadima s'efface vivement en refermant la porte derrière elle.

- Docteur, vous vous êtes rendue coupable d'insoumission!! Déclare solennellement Mbemba dès que la porte s'est refermée.

- Mais... je ...mais!!! bredouille Emmanuelle.

- Il est inutile de nier!! Vous avez tout fait pour vous soustraire à mon autorité ces trois derniers jours et après en avoir longuement discuté avec le conseil, nous avons jugé que vous deviez être punie!!

- Mais... mais, comment? Pourquoi? Qu'ai-je fait? s'indigne Emmanuelle.

- Il n'est plus temps de vous poser des questions, vous auriez du vous les poser avant, docteur!! Annonce Mbemba d'une voix glaciale.

- Qu'allez-vous faire de moi, chef? demande Emmanuelle d'une voix étranglée.

- Je vais te donner vingt coups de cravache pour t'apprendre à ne pas te dérober quand je veux t'avoir près de moi.

Emmanuelle commence à comprendre. Elle a irrité le vieux chef en ne souhaitant pas se soumettre à ses demandes de se rapprocher de lui et maintenant elle va en payer le pris. Assane et Bakari se sont rapprochés et la saisissent par les bras pour la faire mettre à genoux.

Elle tente de résister mais les nonagénaires sont dotés d'une force qu'elle n'aurait pu soupçonner. Rapidement, Emmanuelle se retrouve à genoux et Assane la maintient par les cheveux pour qu'elle regarde leur chef.

- Maintenant, à poil petite chienne allumeuse!! Annonce Mbemba.

- Non, je vous en supplie!! s'écrie Emmanuelle.

Elle ne comprend pas ce qui se passe mais cette soudaine autorité la plonge dans une sorte de transe qu'elle n'avait jamais ressentie au cours de toute son existence. Emmanuelle ressent une sensation nouvelle dans son ventre. Malgré une étrange sensation de nœud dans l'estomac, elle sent sa chatte s'inonder et une irrépressible envie d'obéir à ce mâle autoritaire.

Comme dans un rêve, elle se voit ouvrir sa blouse et la retirer de façon sensuelle. Elle a envie de plaire à ce mâle qui veut lui donner une correction. Peut-être que son subconscient la pousse à faire ce genre de geste dans le fol espoir de limiter la punition.

Elle fait lentement glisser son string le long de ses cuisses pour l'amener sur ses genoux et se dresse pour présenter ses seins et sa chatte épilée à son bourreau. Sur un geste de Mbemba, Assane et Bakari lui plaquent les épaules au sol. Emmanuelle prends conscience que, dans cette position, elle a le cul bien en l'air et qu'elle offre une vue imprenable sur ses orifices. Malgré la peur de la sentence qui l'attend, elle sent sa chatte se liquéfier et se surprend à attendre le premier coup.

Mbemba se saisit de sa cravache et se place derrière elle. Emmanuelle sait qu'il peut admirer sa chatte et sa petite rondelle bien offertes. Elle se sent humiliée mais son ventre va à l'encontre de ses pensées et elle se surprend à attendre le premier coup sur ses fesses.

Elle a envie de se soumettre à cet homme qui pourrait être son grand-père. Elle ne sait pas pourquoi mais elle veut que ce mâle la traite comme une pute désobéissante. La petite bourgeoise universitaire attend maintenant sa punition avec impatience et souhaite ardemment sentir la cravache lui cingler les fesses.

Mbemba lui caresse les fesses avec douceur. Emmanuelle se met à ronronner comme une chatte en chaleur au moment où le premier coup tombe. Le coup a été rude et Emmanuelle pousse un cri strident. Un deuxième coup tombe sur ses fesses et elle pousse un deuxième cri. Mbemba tend la cravache à son sorcier avant de se placer devant Emmanuelle.

- Oumar, tu vas prendre ma place et lui donner les coups de cravache. Je vais devoir la faire taire, sinon elle va réveiller tout le village cette petite pute blanche!!

Mbemba se place face à Emmanuelle et retire prestement sa djellaba pour se retrouver nu face à elle. Elle découvre juste devant son visage une queue monstrueuse qui mesure au moins 35 centimètres de long et a un diamètre de 7 bons centimètres. Emmanuelle n'a jamais vu un tel membre et commence à prendre peur rien qu'à cette vue.

Mbemba ne lui laisse pas le temps de réagir plus, d'une main, il la saisit par les cheveux et de l'autre il maintient son membre devant ses lèvres. Emmanuelle serre les lèvres mais, sur un signe du vieux chef, Oumar fait claquer la cravache sur ses fesses. Elle ouvre la bouche dans un grand cri et Mbemba en profite pour introduire sa queue dans la bouche offerte. Il tient maintenant Emmanuelle des deux mains par les cheveux et lui force la bouche avec son énorme chibre. La queue entre de plus en plus loin dans la bouche de la dentiste universitaire alors que les coups de cravache continuent à pleuvoir sur ses fesses.

Emmanuelle se sent totalement avilie mais, étrangement, elle sent sa chatte s'inonder et ses fesses se tendent vers les coups de cravache. Malgré la grosseur du membre qui lui rempli la bouche, elle se surprend à vouloir faire plaisir au vieux chef et sa bouche ne tarde pas à s'assouplir pour laisser le gros mandrin glisser entre ses lèvres. Très vite, l'énorme gland vient frapper contre sa glotte et, alors qu'elle déglutit pour reprendre son souffle, Emmanuelle sent la tête de cette grosse queue forcer ce dernier barrage et se frayer un chemin dans sa gorge.

Elle a un haut-le-cœur et se met à saliver abondamment. Jamais un homme n'a eu l'audace d'une telle pratique avec elle. Cette action de Mbemba dans sa bouche conjuguée aux coups de cravache sur son cul affole les sens d'Emmanuelle. Pour limiter les nausées, elle s'efforce à respirer profondément par le nez et finit par s'habituer à ce corps étranger dans sa gorge.

Elle bascule lentement vers une soumission qui ne l'avait jamais effleurée. Elle aime sentir les coups sur son cul alors qu'elle offre sa gorge au maître des lieux. Elle se sent chienne et n'a jamais été autant excitée de toute sa vie. Elle veut plaire à cet homme, quitte à devenir sa pute soumise et obéir à tout ce qu'il lui demande.

Mbemba fait de lents vas et vient dans sa bouche et s'enfonce toujours un peu plus jusqu'à ce qu'Emmanuelle sente les poils pubien de l'homme sur son nez. C'est le moment où les coups cessent sur ses fesses et Mbemba se retire de la bouche accueillante.

Emmanuelle reprend son souffle et se laisse retomber sur le sol. Mbemba n'a pas l'intention d'interrompre son dressage et demande aux membres du conseil de la placer sur la table qui se trouve sur un coté de la pièce. Emmanuelle se laisse manipuler, encore épuisée par cette séance de gorge profonde qui l'a laissée pantelante.

Mbemba s'approche avec une corde et commence à lui lier les poignets. Il demande ensuite à ses conseillers de lui soulever les jambes qu'il va lier avec les poignets au dessus du ventre d'Emmanuelle. Il termine son bondage en tirant sur la corde vers la tête de la dentiste pour terminer son lien autour de son cou. Emmanuelle est sortie de sa torpeur et sais que dans cette position elle offre une vue parfaite sur sa chatte et son petit œillet.

- Maintenant, nous allons te baiser ma petite esclave blanche!! Annonce Mbemba.

- Non, je vous en prie, chef!! Pas ça!! Répond Emmanuelle sans grande conviction.

- Désormais, je ne suis plus le chef pour toi mais je suis ton maître et tu feras tout ce que je décide!! As-tu bien compris ma petite esclave blanche?

- Non, je vous en supplie, chef!! répond Emmanuelle dans un dernier sursaut de rébellion.

- Tu es mon esclave et je suis ton maître!! s'écrit Mbemba en lui donnant une gifle.

- Oui, maître! Se résigne Emmanuelle alors qu'une larme coule sur sa joue.

- Mes amis, nous allons baiser cette esclave blanche mais, moi seul ai le droit de la faire jouir!!

Sans rien dire, tous les membres du conseil se mettent nus. Dans la périphérie de son regard, Emmanuelle peut juger de la virilité de ses tortionnaires. Sans être aussi gros que leur chef, ils arborent tous des queux d'au moins 25 centimètres et elles sont toutes bien épaisses.

Mbemba veut avoir la primeur de ses orifices et il tire Emmanuelle vers le bord de la table. Sans aucuns préparatifs, il plante son énorme membre dans la chatte de son esclave lui arrachant un cri de surprise. La chatte d'Emmanuelle n'a jamais été habituée à une telle présence mais son antre est tellement lubrifié par la séance de cravache que la queue coulisse sans problème en elle. Elle se sent écartelée mais ses chairs épousent parfaitement l'énorme dard et ce sentiment de plénitude l'excite immédiatement.

Alors que Mbemba commence ses vas et vient en elle, les queues des membres du conseil se succèdent dans sa bouche. Oumar a pris l'initiative de lui lécher les seins. Il finit par se redresser et prend les deux tétons érigés entre ses doigts et les pince fortement.

Entre douleur et excitation, Emmanuelle se met à gémir et se surprend à vouloir qu'Oumar lui morde ses pointes de seins bien dressées. Elle a en permanence une queue dans la bouche et ne peut exprimer ses envies mais le sorcier a sûrement lu dans ses pensées et se penche de nouveau sur sa poitrine pour lui mordre les tétons. Emmanuelle se met à gémir de plus belle sentant le plaisir monter dans son ventre. Mbemba qui ne veut pas la voir jouir tout de suite se retire de sa chatte et laisse lentement tomber l'excitation de son esclave blanche. Lorsqu'il la juge suffisamment apaisée, il présente son gros dard entre les fesses de son esclave. Emmanuelle sent le gros gland se poser sur sa petite rondelle et elle remue des hanches pour tenter de se dérober à cette introduction.

Certes, elle a déjà pratiqué la sodomie mais jamais avec un aussi gros engin. Mbemba a compris sa réticence et lui enduit la rondelle d'un onguent avant de présenter à nouveau son gland à l'entrée du petit orifice. Il saisit Emmanuelle par les cuisses et pousse son bassin vers l'avant pour s'introduire dans le petit cul de sa proie. Elle sent son œillet s'élargir mais, étrangement, elle ne ressent aucune douleur. Comment est-ce possible? Emmanuelle se le demande alors que l'énorme membre entre sans résistance tout au fond de son cul. Au bout d'une minute, elle sent les couilles de son maître taper contre ses fesses. Elle a les 35 centimètres de chaire au fond de son cul et ne ressent aucune douleur.

D'abord lentement, Mbemba se met à remuer dans son fondement puis il accélère le rythme arrachant des soupirs à son esclave. Emmanuelle a l'impression de se faire prendre par l'âne qu'elle voyait dans le champ près de la maison de campagne de ses parents lorsqu'elle était adolescente. A plusieurs reprises, elle avait vu l'animal en érection et avait été fascinée par un membre d'une telle dimension. Combien de fois avait-elle été remplie de honte après s'être masturbée en pensant à la queue de l'animal!