Elle Était Ma Meilleure Amie...

BÊTA PUBLIQUE

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Moi : « Je sais que tu n'aimes pas te faire enculer et moi, je n'aime pas le faire....alors c'est cadeau pour toi »

Nadia : « Non, pas ça, je t'en prie...s'il te plait... »

Moi : « C'est comme si deux mecs te baisaient, c'est cool , non? »

Je n'ai pas de mal à trouver son petit trou et lui enfonces ce deuxième vibro, progressivement mais fermement.

Nadia grimace. Le tableau est excitant, et je le savoure. Je tapote régulièrement sur les deux vibros car ils ont tendance à sortir avec les vibrations. Le bruit est sympa. Nadia, en revanche, n'est pas à l'aise du tout. Je la branles doucement. Je m'amuse ensuite a faire des va et viens, avec les deux vibros.

Moi : « C'est génial non? »

Nadia : « Arrêtes maintenant!!! »

Moi : « Comme tu es baisable. Tu devrais faire du porno. »

Nadia : « Salaud!!!..retires les!! »

Je finis par les enlever.

Nadia : « Je veux arrêter!!! »

Moi : « Je m'allonge près d'elle, en la pelottant, et lui doigtant la chatte. Il est bientôt une heure du matin. Encore un peu, et on fait dodo, ok »

Nadia : « T'as eu ce que tu voulais, c'est bon! »

Moi : « Regarde ma queue...et j'ai encore une idée... »

Nadia : « Un truc de malade encore! »

Moi : « Petite conne...si tu n'as pas ce pognon...tu seras obligée de retourner en banlieue. Quand les lascars verront une belle fille comme toi. Il n'auront qu'une envie; De te baiser à plusieurs!...Ce serait excitant! »

Nadia : « Tu me dégoutes »

Moi : « Imagines, combien ils seraient à te baiser dans une cave.... Allons, une dernière séance »

Je baillone a nouveau Nadia, qui veut résister mais sans succès, puis j'attache ses deux pieds a ceux du lit. Nadia meugle et remue la tête. Elle est écartelée.

Moi : « Ma chérie...je vais encore te violer...tu m'as tellement frustré ces années que j'oscille entre la douceur et la dureté... »

Je saisi deux pinces et les utilise à nouveau sur ses seins.

Moi : « Tu es tellement excitante avec ces pinces...on s'en refait une....mais tu sais, j'en ai quatre au total...d'après toi, ou vais-je mettre les deux autres »

Nadia comprend et se met a crier dans son baillon.

Je prend une pince et l'approche de la chatte si disponible. Nadia ne peut ramener ses cuisses.

Moi : « Tu vois...j'ai vu ça dans des pornos...mais j'en ai rêvé pour toi...j'espères que tu vas aimer »

Je prend délicatement une lèvre du con de ma chérie et installe la pince. Elle se referme doucement, et Nadia se cabre. Puis, je fais de même avec la deuxième. Nadia crie et gémit.

Je me recule, quitte le lit et contemple le merveilleux tableau. Sa chatte est écarté par les pinces. Je me branle doucement et m'approche du visage de Nadia. Je lui retire son baillon.

Nadia : « Ca brûle putain...ca fait mal »

Moi : « Détends toi! »

Nadia pleure

Nadia : « S'il te plait! »

Je lui remet le baillon.

Moi : « Encore un peu...j'ai envie de jouer »

Et pendant un moment, qui a du semblé interminable pour Nadia, je me suis mis a jouer avec les pinces, doucement, puis parfois par petits coups. La musique des gémissements de Nadia allait en rythme. Je bande trop dur. Il faut en finir.

Je délivre la salope de ses pinces, libère ses pieds, et de son baillon. Nadia ramène ses jambes contre elle. Elle semble épuisée.

Moi : « Allez...une dernière baise..ma pute »

Je retourne violemment Nadia qui se retrouve sur le dos et glisse un coussin sous son ventre. Son cul est surélevé.

Moi : « Je vais encore te violer encore une fois!!! »

Nadia gémit mais semble soumise désormais. Ma queue connait le chemin. Je la baise violemment, avec de grands coups. Je décide alors de reprendre de vibro anal et de l'enfoncer sans précaution dans son anus.

Nadia : « Nooooonnn... »

Moi : « Une vraie doublette ma chérie. Tu te fais violer par deux bites....prends ça!!!!! »

Puis je la baise tranquillement.

Moi : « Je suis si bien dans ta chatte. Tu aimes ces vas et viens...es ce que tu mouilles du cul? »

Je finis par jouir une dernière fois dans son con en grognant. J'enlève son vibro anal. Nadia souffle. Je la détache.

Moi : « On va dormir maintenant...je suis épuisé..et toi? »

Nadia : « Connard...tu m'a tué! »

Moi : « Mais non, c'est une baise dont tu vas te souvenir! »

Nadia veut sortir du lit.

Moi : « Ou vas tu? »

Nadia : « Je vais dormir sur le canapé... »

Moi : « Tu dormiras a coté de moi...comme deux amoureux....Tu n'as pas le choix...il est bientôt deux heures du matin... »

Nadia, dépitée, vient s'allonger en chien de fusil. Je me love contre elle.

Moi : « Je t'aime! »

Nadia : « Tais-toi! »

Moi : « Si a mon réveil, tu n'es pas là...adieu ton pognon... tu as compris? »

Nadia : « ...Oui »

Nos deux corps sont nus. Ma queue conte ses fesses mais au repos. Je m'endors.

Mon réveil sonne a 7 heures. Nadia est toujours dans le lit, dans la même position. J'enlève délicatement le drap. Je n'arrive pas à croire que j'ai baisé cette fille. Elle est si belle, si excitante. Ma queue a repris du volume. Il me reste une heure. Je veux en profiter. Je réveille doucement Nadia.

Nadia : « C'est fini? »

Moi : « Il reste une petite heure, tu vois... on va prendre un bonne douche, après cette nuit »

Nadia : « Oh non... pas encore.... »

Moi : « Allez viens chérie! »

La douche était petite. Nous étions proches l'un de l'autre et Nadia ne savait pas comment m'éviter. Elle se tournait mais sentait ma queue bandée contre son cul. Devant, c'était c'était sa chatte qui se présentait devant ma bite. Elle se met de coté. L'eau chaude commence à couler. Je lui donne du gel douche. J'en prend aussi. Je la savonne, tente de l'embrasser sur les lèvres.

Moi : « Dommage que je n'ai pu les pinces....comment as tu trouver cette soirée?... »

Nadia ferme son visage. Je la pelote : seins, fesses, chatte, cuisses. L'eau coule sur ses cheveux et la rend encore désirable.

Moi : « Je te laisse le choix pour terminer en beauté....tu me suces et avale ou je te baise la chatte et crache dedans?..tu choisis quoi? »

Nadia : « La peste ou le choléra...tu n'as aucune pitié... »

Moi : « Choisis, sinon la pipe avant la baise! »

Nadia réfléchit puis

Nadia : « Prends moi alors... »

Moi : « Tu veux que je te défonces une dernière fois! »

Nadia : « Pauvre con! »

Moi : « Le con, il va te démonter! »

Je retourne violemment Nadia et l'embroche par derrière. Ma queue connait parfaitement son corps. Nadia s'appuie comme elle peut contre le mur. Elle pousse de petits cris ou gémit. Je grogne aussi et l'insulte.

Moi : « Je te démontes là pouffasse, conasse...je t'aime! »

Je la retourne, soulève une de ses jambes. La pute est souple. Je veux voir son visage en la baisant.

Moi : « Regarde moi salope de merde.....prends ça!!!! »

J'alterne des petits coups rapides avec de grand coups puissants. Nadia n'est plus qu'une poupée de chair.

Puis, je jouis dans sa chatte en lui plantant mes doigts dans sa chair.

Nadia gémit et pleure.

Je sors de la douche. Nadia tombe à genoux. Je me sèche.

Je retourne dans le salon. Je m'habille tranquillement, rassasié, apaisé. Il 7h55!. Je fais mon sac.

Nadia a mis un peignoir. Je ne verrais plus son corps nu. Son visage est défait. Elle me regarde avec haine, dédain.

J'ouvre la porte.

Moi : « Adieu Nadia »

Elle ne réponds pas.

Les jours suivants furent particuliers. J'oscillais entre la culpabilité et des masturbations délicieuses en pensant à tout ce que l'on avait fait ensemble.

Au bout d'un mois, je reçu un sms de Nadia. Celui-ci me scotcha sur mon fauteuil....

« Salut, c'est moi. Es ce qu'on pourra recommencer?, mais en allant encore plus loin? »

......

Elle était ma meilleure amie...

Je n'étais pas fier de moi et la culpabilité m'avait longtemps assailli. Pourtant le souvenir des jouissances que j'avais connu ne me quittait pas, et excitait régulièrement mon sexe.

Je m'appelle Ben, diminutif de Benjamin. J'ai 30 ans, brun, 1 mètre, 80. Je suis banal, trop banal physiquement et surtout malchanceux en amour. Timide, complexé, pas sur de lui, mes relations étaient plutôt platoniques. Et pourtant mes pulsions étaient bien présentes, toujours plus fortes et je me réfugiais souvent dans les images issus de la pornographie.

J'avais une amie chère, très chère car elle avait été la seule avec qui, ma relation platonique ne s'était pas terminée par une séparation pour m'éviter de souffrir. Avec Nadia, j'avais franchi un cap, du moins je le croyais car j'avais été fou amoureux d'elle et le demeurait secrètement.

Madia est une jeune femme de 28 ans, d'origine Marocaine. Comment la décrire si ce n'est d'abord en affirmant qu'elle est très belle. 1 mètre 65, des cheveux noirs avec un visage plutôt rond mis en valeur par des yeux magnifiques, profonds et des lèvres charnues, admirablement dessinées. Un fessier rebondi mais juste assez comme souvent les femmes orientales et une poitrine moyenne mais dressée. Nadia est libre d'esprit, un caractère bien trempé. Notre amitié est né d'une rencontre dans nos vies professionnelles. Nous habitons la même ville, a 10 minutes l'un de l'autre. Nadia adorait mon humour et ma sensibilité. Nous partagions les mêmes gouts artistiques. Nous aimions discuter et dire du bien ou du mal des mêmes personnes. Et c'est tout naturellement que j'étais tombé amoureux d'elle, d'abord en le cachant puis en l'avouant.

Mais pour Nadia, c'était toujours un « Tu es comme un frère pour moi! ». Et c'est avec dépit que je la voyais avoir des amourettes souvent courtes avec des hommes, alors que moi, je me disais que j'étais tout le temps là pour elle. On se confiait beaucoup de choses, parfois un peu coquines. Elle, de ses expériences avec des hommes et moi de mon addiction a la pornographie. Elle me disait souvent : « Un jour, tu rencontreras un grand amour, crois moi ». De son coté, elle était tellement directive avec les hommes que cela cassait le plus souvent. Sexuellement, elle me confiait avec malice que les hommes la trouvaient trop bonne. Elle le disait pour me taquiner ou pour m'exciter?. Mais elle reconnaissait qu'elle était trop directive, et que les hommes n'aimaient pas cela. On se voyait fréquemment, ou on se parlait au téléphone.

Mon récit commence avec les difficultés financières que rencontrait Nadia. Elle avait quitté son travail car elle voulait financer une formation. Mais elle était sans le sou, a tel point qu'elle me confia ce soir là chez elle après avoir bu avec moi.

Nadia : « Je me demande si je ne vais pas faire la pute! »

Moi : « Je veux être ton premier client! »

Nadia (sourit) : « Cela ne m'étonne pas de toi....non mais sérieux, quelle galère! »

Quelques jours plus tard au téléphone, Nadia n'avait pas le moral. Moi, j'avais bu pas mal en regardant un match de foot et j'étais assez désinhibé.

Nadia : « Tu sais, je me demande si je ne vais pas changer d'appart... »

Moi : « Non, arrêtes, dis pas ça...écoute, je suis prêt a te donner une grosse somme...je suis célibataire, je consomme peu, j'ai fait des économies. »

Nadia : « Oh Ben...tu peux me prêter de l'argent? »

Moi : « Pas te prêter, te donner!'

Nadia : « T'es fou, pas que tu me donnes. Je veux bien que tu me prêtes et je te rendrais, promis, juré »

Moi : « Non, je te les donne! »

Nadia : « Je sais pas quoi dire...tu es un ami véritable! »

Je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai alors franchi le rubicon.

Moi : « Je te la donne...si tu couches avec moi! »

Nadia : « Hein.... »

Moi : « Oui, c'est tout ce que je demande... »

Nadia : « C'est pas drôle! »

Moi : « Je plaisante pas! »

Nadia : « T'es fou...jamais de la vie »

Moi. : « Réfléchis! »

Nadia : « C'est tout réfléchis!!!! Tu dois être saoul, je te rappelle demain »

Cette conversation m'avait terrifié et excité en même temps. Il ne fallait pas que je me dégonfle. Le lendemain, Nadia me rappelait.

Nadia : « On peut parler sérieusement là? »

Moi : « Oui, bien sur! »

Nadia : « Prêtes-moi cet argent et je te le rendrais, tu le sais bien »

Moi : « Oui, je le sais bien...mais c'est pas ça que je veux...je t'ai proposé un marché....Avec cet argent, tu es sorti de tes problèmes et tu te payes ta formation «

Nadia : « Je suis pas une pute Ben...tu me déçois trop! »

Moi : « Je sais, je sais.....c'est ça ou rien »

Nadia : « T'es un connard! »

Nadia raccroche.

Connaissant Nadia, j'étais a peu près sur que notre relation n'allait pas s'arrêter là et qu'elle allait encore m'insulter. Je savais aussi qu'elle était dans une impasse totale et qu'elle tenait aussi a cet appartement bien située dans le centre ville.

Une semaine après, je reçu ce texto de Nadia « J'accepte mais notre amitié est terminée. Je ne te verrais jamais plus. Tu m'as brisé le coeur »

Son coté excessif ne me surprenait pas mais en même temps, je comprenais sa colère et sa tristesse. Mais me concernant, mes pulsions prenaient le pas sur mes scrupules. Je la tenais. Elle serait enfin a moi!

Par texto, car ni elle ni moi n'osions nous parler, j'avais fixer mes conditions. « Cela se passera Vendredi prochain. Tu devras être à moi de 20h à 8h, sans conditions. Je t'apporterais ton chèque, que tu pourras encaisser dès le lendemain. » Nadia me répondit d'un simple « ok »

Autant vous dire que la semaine fut des plus longues, me laissant néanmoins le temps de m'outiller et d'imaginer plein de choses. Je fis néanmoins l'effort de ne pas me branler. J'avais été voir mon médecin et prétexter des panes sexuelles qui m'inquiétaient. Il m'avait prescrit une tablette de six comprimés Viagra, en attendant des examens complémentaires, que bien sur, jamais je ne réalisa.

Le Vendredi arriva et ses longues heures. Je bus une bière pour me détendre. J'avais aussi acheté un mousseux que Nadia adorait. Je comptais qu'elle puisse boire avec moi, pour se détendre.

Je sonnais a la porte de son appartement a 19h55. Nadia m'ouvre. Elle est vêtue d'un simple survêtement, les cheveux en bataille, le visage non maquillé. Elle me laisse entrer, sans me faire la bise.

Nadia : « C'est quoi ce sac? »

Moi : « Mes accessoires. »

Nadia : « T'es vraiment un malade! »

Je pose le sac dans le salon, que je connais par coeur puis je viens vers elle et lui remet une enveloppe. Elle l'ouvre et regarde le chèque ( je ne dirais pas le montant, mais c'est une grosse somme)

Nadia : « Pour ce prix la, tu aurais pu te payer une pute! »

Moi : « C'est toi que je veux, depuis les trois ans que l'on se connait....Je veux que tu te peignes, te maquilles légèrement, et pas question que tu portes ce survêtement »

Nadia (sure) : « Tu veux que je me mette a poil maintenant, c'est ça? »

Moi : « Non...vas te maquiller »

Nadia souffle puis disparait dans la salle de bain. J'en profite pour aller dans sa chambre, ouvrir des tiroirs pour trouver de la lingerie. Je tombe sur un très joli string noir, très étroit sur le derrière. Puis, je rejoins Nadia dans la salle de bain. Elle se peigne après avoir mis du fond de teint sur son visage.

Moi : « Je veux que tu mettes cette culotte...et que tu me rejoignes au salon.

Nadia : « Pas de soutifs? »

Moi : « Non, que la culotte! »

Nadia hocha la tête, résignée.

Dans le salon, je me déshabille entièrement, le coeur battant et m'assoit sur le canapé. Mon sexe est a demi bandé et me branle lentement.

Nadia fait son apparition. Pour la première fois, je la vois pratiquement nue. Sa poitrine présente deux globes a croquer avec des tétons plus que désirables. Ce string noir lui va si bien sur sa peau cuivrée. Je suis ému.

Je me suis souvenu alors de l'été dernier ou nous avions été faire une ballade. Nadia avait un short très court. Je regardai ses cuisses bronzées a la dérobée. Jamais, alors, je n'aurais imaginé les voir a nouveau, libres de tout vêtement.

Nadia jette un oeil rapide sur ma queue et son visage reste fermé.

Moi ; « Avances-toi, tourne toi en mettant tes mains derrière le dos! »

Nadia : « Pauvre malade! »

Le string laisse apparaitre une grande partie de ses fesses. Elles sont magnifiques.

Je me lève et la rejoint. Je veux embrasser ses lèvres mais elle détourne la tête avec dégout. Je pose alors mes mains sur ses seins, son ventre. Je luis caresse les cuisses, les fesses. Sa peau est douce. Je crois vivre un rêve. J'embrasse son coup. Je me frotte en tournant autour d'elle. Ma queue fait un petit bond quand elle touche son string.

Moi : « Comme tu es belle! »

Ma queue est au garde à vous.

Moi : « Comment trouves-tu ma queue? »

Nadia : « Qu'on en finisse! »

Moi : « Surtout pas...on a tout le temps!...prends la et branles moi! »

Nadia saisit doucement ma queue et la caresse lentement.

Moi : « Elle bande pour toi mon amour, je t'aime! »

Nadia continue de bouder et branle ma bite mécaniquement, mais même cela me fait durcir. J'en avais tellement rêvé.

Moi : « Allez-viens t'asseoir sur le fauteuil »

Le fauteuil ou s'installe toujours Nadia quand je viens la voir et que l'on a nos discussions.

Seulement là, je demande à Nadia de poser ses jambes de chaque coté, sur les accoudoirs. Autrement dit, elle se retrouve totalement ouverte et protégée simplement par un petit string qu'il faudrait que je me décides à enlever.

Je caresse a nouveau Nadia, passe mes doigts sur le string au niveau de sa chatte.

Moi : « Je meurs d'impatience de la voir et de la toucher! »

Soudainement Nadia se rebelle en ramenant ses jambes et les serrant, puis se met à pleurer.

Nadia : « C'est trop humiliant, on m'a jamais traité comme ça! »

Je m'enerve.

Moi : « Tu veux quoi?. Que je m'en aille?; Fini le pognon. T'es pas capable de faire cet effort. Je vais te baiser Nadia, tu as compris, j'en ai trop envie!!!!. Décides toi!. Tu dois être totalement soumise ok? »

Nadia finit par hocher de la tête

Nadia : « Tu est un beau salaud »

Moi : « Remets tes jambes, cuisses bien ouvertes, salope »

Elle reprends sa position puis pris par un fort agacement, je déchire sa culotte et sa chatte apparait enfin

Moi : « Oh mon Dieu! Putain, elle est trop belle »

Un mince ticket de métro la décore.

Moi : « Je te la bouffer et je suis sur que tu vas mouiller »

A genoux, je contemple les cuisses écartés de Nadia et sa moule au centre. Je commence par déposer des baisers sur l'intérieur de ses cuisses, puis écarte délicatement ses lèvres d'une main.

Voilà!, je lèche la chatte de ma meilleure amie. Nadia souffle.

Moi : « Détends-toi...es-ce que tu aimes? »

Nadia : « Un peu.. »

Moi : « Tu vois! »

Nadia (morose) : « Ca fait jamais de mal de se faire lécher....oui, là, ça fait du bien, continue.... J'ai pas dit de mettre un doigt... »

Moi : « Tu commences a mouiller, c'est cool! »

Nadia : « Oui, un peu! »

Moi : « Tu parles... »

J'accélère mon léchage et ma succion. Nadia ne cache plus son plaisir. Elle se caresse les seins, ce qui m'excite encore plus. A un moment, elle veut serrer ses jambes mais je les écarte avec force.

Nadia jouit. L'entendre pousser un petit cri et un long gémissement me ravit.

Je me lève et ouvre la bouteille de champagne. Tu en veux?.

Nadia : « Oui, ça va m'aider à penser a autre chose! »

Moi : « Toujours aussi désagréable...je t'ai fais jouir avec ma langue...

Nadia : « Bof! »

Nous buvons chacun une coupe.

Je m'approche d'elle et lui apporte ma queue.

Moi : « Et maintenant ton apéritif... Suce! »

Nadia : « Okay »

Nadia est trop excitante, écarté, le regard un peu vitreux après son orgasme. Elle me branle avec attention et commence a donner des petits coups de langue, en me regardant puis embrasse mes couilles.

Nadia : « Tu aimes? »

Moi : « Oh oui.... »

Elle finit par me prendre en bouche en faisant de doux va et viens.

Nadia : « Ca te plait...humm, c'est bon hein?....c'est ce que tu voulais...ca fait longtemps que attends!...je te suce bien?...elle est bonne ta queue!!! »