Elle Était Ma Meilleure Amie...

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J'ai abusé de ma meilleure amie.
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Elle était ma meilleure amie...

Je n'étais pas fier de moi et la culpabilité m'avait longtemps assailli. Pourtant le souvenir des jouissances que j'avais connu ne me quittait pas, et excitait régulièrement mon sexe.

Je m'appelle Ben, diminutif de Benjamin. J'ai 30 ans, brun, 1 mètre, 80. Je suis banal, trop banal physiquement et surtout malchanceux en amour. Timide, complexé, pas sur de lui, mes relations étaient plutôt platoniques. Et pourtant mes pulsions étaient bien présentes, toujours plus fortes et je me réfugiais souvent dans les images issus de la pornographie.

J'avais une amie chère, très chère car elle avait été la seule avec qui, ma relation platonique ne s'était pas terminée par une séparation pour m'éviter de souffrir. Avec Nadia, j'avais franchi un cap, du moins je le croyais car j'avais été fou amoureux d'elle et le demeurait secrètement.

Madia est une jeune femme de 28 ans, d'origine Marocaine. Comment la décrire si ce n'est d'abord en affirmant qu'elle est très belle. 1 mètre 65, des cheveux noirs avec un visage plutôt rond mis en valeur par des yeux magnifiques, profonds et des lèvres charnues, admirablement dessinées. Un fessier rebondi mais juste assez comme souvent les femmes orientales et une poitrine moyenne mais dressée. Nadia est libre d'esprit, un caractère bien trempé. Notre amitié est né d'une rencontre dans nos vies professionnelles. Nous habitons la même ville, a 10 minutes l'un de l'autre. Nadia adorait mon humour et ma sensibilité. Nous partagions les mêmes gouts artistiques. Nous aimions discuter et dire du bien ou du mal des mêmes personnes. Et c'est tout naturellement que j'étais tombé amoureux d'elle, d'abord en le cachant puis en l'avouant.

Mais pour Nadia, c'était toujours un « Tu es comme un frère pour moi! ». Et c'est avec dépit que je la voyais avoir des amourettes souvent courtes avec des hommes, alors que moi, je me disais que j'étais tout le temps là pour elle. On se confiait beaucoup de choses, parfois un peu coquines. Elle, de ses expériences avec des hommes et moi de mon addiction a la pornographie. Elle me disait souvent : « Un jour, tu rencontreras un grand amour, crois moi ». De son coté, elle était tellement directive avec les hommes que cela cassait le plus souvent. Sexuellement, elle me confiait avec malice que les hommes la trouvaient trop bonne. Elle le disait pour me taquiner ou pour m'exciter?. Mais elle reconnaissait qu'elle était trop directive, et que les hommes n'aimaient pas cela. On se voyait fréquemment, ou on se parlait au téléphone.

Mon récit commence avec les difficultés financières que rencontrait Nadia. Elle avait quitté son travail car elle voulait financer une formation. Mais elle était sans le sou, a tel point qu'elle me confia ce soir là chez elle après avoir bu avec moi.

Nadia : « Je me demande si je ne vais pas faire la pute! »

Moi : « Je veux être ton premier client! »

Nadia (sourit) : « Cela ne m'étonne pas de toi....non mais sérieux, quelle galère! »

Quelques jours plus tard au téléphone, Nadia n'avait pas le moral. Moi, j'avais bu pas mal en regardant un match de foot et j'étais assez désinhibé.

Nadia : « Tu sais, je me demande si je ne vais pas changer d'appart... »

Moi : « Non, arrêtes, dis pas ça...écoute, je suis prêt a te donner une grosse somme...je suis célibataire, je consomme peu, j'ai fait des économies. »

Nadia : « Oh Ben...tu peux me prêter de l'argent? »

Moi : « Pas te prêter, te donner!'

Nadia : « T'es fou, pas que tu me donnes. Je veux bien que tu me prêtes et je te rendrais, promis, juré »

Moi : « Non, je te les donne! »

Nadia : « Je sais pas quoi dire...tu es un ami véritable! »

Je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai alors franchi le rubicon.

Moi : « Je te la donne...si tu couches avec moi! »

Nadia : « Hein.... »

Moi : « Oui, c'est tout ce que je demande... »

Nadia : « C'est pas drôle! »

Moi : « Je plaisante pas! »

Nadia : « T'es fou...jamais de la vie »

Moi. : « Réfléchis! »

Nadia : « C'est tout réfléchis!!!! Tu dois être saoul, je te rappelle demain »

Cette conversation m'avait terrifié et excité en même temps. Il ne fallait pas que je me dégonfle. Le lendemain, Nadia me rappelait.

Nadia : « On peut parler sérieusement là? »

Moi : « Oui, bien sur! »

Nadia : « Prêtes-moi cet argent et je te le rendrais, tu le sais bien »

Moi : « Oui, je le sais bien...mais c'est pas ça que je veux...je t'ai proposé un marché....Avec cet argent, tu es sorti de tes problèmes et tu te payes ta formation «

Nadia : « Je suis pas une pute Ben...tu me déçois trop! »

Moi : « Je sais, je sais.....c'est ça ou rien »

Nadia : « T'es un connard! »

Nadia raccroche.

Connaissant Nadia, j'étais a peu près sur que notre relation n'allait pas s'arrêter là et qu'elle allait encore m'insulter. Je savais aussi qu'elle était dans une impasse totale et qu'elle tenait aussi a cet appartement bien située dans le centre ville.

Une semaine après, je reçu ce texto de Nadia « J'accepte mais notre amitié est terminée. Je ne te verrais jamais plus. Tu m'as brisé le coeur »

Son coté excessif ne me surprenait pas mais en même temps, je comprenais sa colère et sa tristesse. Mais me concernant, mes pulsions prenaient le pas sur mes scrupules. Je la tenais. Elle serait enfin a moi!

Par texto, car ni elle ni moi n'osions nous parler, j'avais fixer mes conditions. « Cela se passera Vendredi prochain. Tu devras être à moi de 20h à 8h, sans conditions. Je t'apporterais ton chèque, que tu pourras encaisser dès le lendemain. » Nadia me répondit d'un simple « ok »

Autant vous dire que la semaine fut des plus longues, me laissant néanmoins le temps de m'outiller et d'imaginer plein de choses. Je fis néanmoins l'effort de ne pas me branler. J'avais été voir mon médecin et prétexter des panes sexuelles qui m'inquiétaient. Il m'avait prescrit une tablette de six comprimés Viagra, en attendant des examens complémentaires, que bien sur, jamais je ne réalisa.

Le Vendredi arriva et ses longues heures. Je bus une bière pour me détendre. J'avais aussi acheté un mousseux que Nadia adorait. Je comptais qu'elle puisse boire avec moi, pour se détendre.

Je sonnais a la porte de son appartement a 19h55. Nadia m'ouvre. Elle est vêtue d'un simple survêtement, les cheveux en bataille, le visage non maquillé. Elle me laisse entrer, sans me faire la bise.

Nadia : « C'est quoi ce sac? »

Moi : « Mes accessoires. »

Nadia : « T'es vraiment un malade! »

Je pose le sac dans le salon, que je connais par coeur puis je viens vers elle et lui remet une enveloppe. Elle l'ouvre et regarde le chèque ( je ne dirais pas le montant, mais c'est une grosse somme)

Nadia : « Pour ce prix la, tu aurais pu te payer une pute! »

Moi : « C'est toi que je veux, depuis les trois ans que l'on se connait....Je veux que tu te peignes, te maquilles légèrement, et pas question que tu portes ce survêtement »

Nadia (sure) : « Tu veux que je me mette a poil maintenant, c'est ça? »

Moi : « Non...vas te maquiller »

Nadia souffle puis disparait dans la salle de bain. J'en profite pour aller dans sa chambre, ouvrir des tiroirs pour trouver de la lingerie. Je tombe sur un très joli string noir, très étroit sur le derrière. Puis, je rejoins Nadia dans la salle de bain. Elle se peigne après avoir mis du fond de teint sur son visage.

Moi : « Je veux que tu mettes cette culotte...et que tu me rejoignes au salon.

Nadia : « Pas de soutifs? »

Moi : « Non, que la culotte! »

Nadia hocha la tête, résignée.

Dans le salon, je me déshabille entièrement, le coeur battant et m'assoit sur le canapé. Mon sexe est a demi bandé et me branle lentement.

Nadia fait son apparition. Pour la première fois, je la vois pratiquement nue. Sa poitrine présente deux globes a croquer avec des tétons plus que désirables. Ce string noir lui va si bien sur sa peau cuivrée. Je suis ému.

Je me suis souvenu alors de l'été dernier ou nous avions été faire une ballade. Nadia avait un short très court. Je regardai ses cuisses bronzées a la dérobée. Jamais, alors, je n'aurais imaginé les voir a nouveau, libres de tout vêtement.

Nadia jette un oeil rapide sur ma queue et son visage reste fermé.

Moi ; « Avances-toi, tourne toi en mettant tes mains derrière le dos! »

Nadia : « Pauvre malade! »

Le string laisse apparaitre une grande partie de ses fesses. Elles sont magnifiques.

Je me lève et la rejoint. Je veux embrasser ses lèvres mais elle détourne la tête avec dégout. Je pose alors mes mains sur ses seins, son ventre. Je luis caresse les cuisses, les fesses. Sa peau est douce. Je crois vivre un rêve. J'embrasse son coup. Je me frotte en tournant autour d'elle. Ma queue fait un petit bond quand elle touche son string.

Moi : « Comme tu es belle! »

Ma queue est au garde à vous.

Moi : « Comment trouves-tu ma queue? »

Nadia : « Qu'on en finisse! »

Moi : « Surtout pas...on a tout le temps!...prends la et branles moi! »

Nadia saisit doucement ma queue et la caresse lentement.

Moi : « Elle bande pour toi mon amour, je t'aime! »

Nadia continue de bouder et branle ma bite mécaniquement, mais même cela me fait durcir. J'en avais tellement rêvé.

Moi : « Allez-viens t'asseoir sur le fauteuil »

Le fauteuil ou s'installe toujours Nadia quand je viens la voir et que l'on a nos discussions.

Seulement là, je demande à Nadia de poser ses jambes de chaque coté, sur les accoudoirs. Autrement dit, elle se retrouve totalement ouverte et protégée simplement par un petit string qu'il faudrait que je me décides à enlever.

Je caresse a nouveau Nadia, passe mes doigts sur le string au niveau de sa chatte.

Moi : « Je meurs d'impatience de la voir et de la toucher! »

Soudainement Nadia se rebelle en ramenant ses jambes et les serrant, puis se met à pleurer.

Nadia : « C'est trop humiliant, on m'a jamais traité comme ça! »

Je m'enerve.

Moi : « Tu veux quoi?. Que je m'en aille?; Fini le pognon. T'es pas capable de faire cet effort. Je vais te baiser Nadia, tu as compris, j'en ai trop envie!!!!. Décides toi!. Tu dois être totalement soumise ok? »

Nadia finit par hocher de la tête

Nadia : « Tu est un beau salaud »

Moi : « Remets tes jambes, cuisses bien ouvertes, salope »

Elle reprends sa position puis pris par un fort agacement, je déchire sa culotte et sa chatte apparait enfin

Moi : « Oh mon Dieu! Putain, elle est trop belle »

Un mince ticket de métro la décore.

Moi : « Je te la bouffer et je suis sur que tu vas mouiller »

A genoux, je contemple les cuisses écartés de Nadia et sa moule au centre. Je commence par déposer des baisers sur l'intérieur de ses cuisses, puis écarte délicatement ses lèvres d'une main.

Voilà!, je lèche la chatte de ma meilleure amie. Nadia souffle.

Moi : « Détends-toi...es-ce que tu aimes? »

Nadia : « Un peu.. »

Moi : « Tu vois! »

Nadia (morose) : « Ca fait jamais de mal de se faire lécher....oui, là, ça fait du bien, continue.... J'ai pas dit de mettre un doigt... »

Moi : « Tu commences a mouiller, c'est cool! »

Nadia : « Oui, un peu! »

Moi : « Tu parles... »

J'accélère mon léchage et ma succion. Nadia ne cache plus son plaisir. Elle se caresse les seins, ce qui m'excite encore plus. A un moment, elle veut serrer ses jambes mais je les écarte avec force.

Nadia jouit. L'entendre pousser un petit cri et un long gémissement me ravit.

Je me lève et ouvre la bouteille de champagne. Tu en veux?.

Nadia : « Oui, ça va m'aider à penser a autre chose! »

Moi : « Toujours aussi désagréable...je t'ai fais jouir avec ma langue...

Nadia : « Bof! »

Nous buvons chacun une coupe.

Je m'approche d'elle et lui apporte ma queue.

Moi : « Et maintenant ton apéritif... Suce! »

Nadia : « Okay »

Nadia est trop excitante, écarté, le regard un peu vitreux après son orgasme. Elle me branle avec attention et commence a donner des petits coups de langue, en me regardant puis embrasse mes couilles.

Nadia : « Tu aimes? »

Moi : « Oh oui.... »

Elle finit par me prendre en bouche en faisant de doux va et viens.

Nadia : « Ca te plait...humm, c'est bon hein?....c'est ce que tu voulais...ca fait longtemps que attends!...je te suce bien?...elle est bonne ta queue!!! »

Aux anges, je réalise soudainement que Nadia joue la comédie pour que je jouisse et qu'elle n'ai pas a subir autre chose.

Je me retire de sa bouche et la traine sur la table.

Moi : « Passons aux choses sérieuses, allonge toi sur le dos...J'ai compris ce que tu voulais faire....maintenant, on va faire l'amour pour de vrai... »

Nadia : « Sale con...vas-y qu'on en finisse »

Je relève les jambes de Nadia et les joint sur mes épaules. Je frotte doucement mon gland sur l'entrée de son con.

Moi : « Enfin ma chérie! »

Puis je m'enfonce doucement. Mes vas et viens alternent entre lenteur et rapidité.

Moi : « C'est trop bon!. Tu me sens bien? »

Je me penche pour donner des coups de langue sur les tétons de mon amie. Je tente de l'embrasser et elle détourne son visage.

Nadia : « Vas-y...montres ce que tu sais faire....tu n'es qu'un putain de violeur!! »

Moi : « C'est pas vrai! »

Nadia : « Sale violeur!!! »

Excité par mon pieu dans sa chatte, l'alcool et ses propos insultants, je réagis!

Moi : « Ah bon, tu veux savoir, ce que c'est un viol ....tu vas voir!!!! »

Je me tourne vers mon sac a proximité et prend une courte corde, ainsi qu'une lanière avec une boule, un des accessoires que j'avais acheté dans un sex-shop.

Je saisis Nadia, la retourne et plaque son ventre contre la table.

Nadia : « Qu'es ce que tu fais putain! »

Je saisis la cordelette ainsi que les deux poignets de mon amie, dans son dos.

Nadia : « He...qu'es ce que tu fais »

Je fais un noeud solide, puis j'oblige Nadia a prendre dans la bouche le baillon. »

Nadia : « Hummmmmm »

Moi : « Je t'ai proposé de faire l'amour....mais toi...tu m'insultes....tu vas savoir ce que c'est un viol....tu vas voir....et je te remercie pauvre salope, car c'est ce qui va m'exciter le plus.... »

Nadia, les mains dans le dos est courbée de force sur la table. Son cul de déesse est à moi!

Je prends un grand élan et je lui donne de lourdes frappes sur les fesses.

Nadia meugle dans son baillon.

Puis je la pénètre en levrette, avec force, je la pistonne. Quand je me retire, je la frappe à nouveau, puis je la défonce encore.

Moi : « Alors, tu aimes????, salope, pute...quel pied de te violer... je veux en avoir pour mon argent!!! »

Nadia crie dans son baillion, accentuant mon excitation.

J'en peu plus. Je jouis dans sa chatte en la tabassant une dernière fois d'une énorme claque sur ses fesses rougies.

Moi : « Aaaaaaaaahhhh..... »

Je me retire et je m'affale sur le canapé. Nadia se redresse, les mains toujours attachés et le baillon sur la bouche. On voit de la bave autour. Le sperme coule sur ses cuisses. Nadia a un regard de furie.

Moi : « Je te retire le baillon si tu as un bon comportement. »

Nadia hoche la tête. Je lui retire le baillon.

Nadia : « Tu m'as m'a fait mal, putain!... »

Moi : « Je t'ai bien baisé surtout et ton cul m'a trop excité »

Nadia : « C'est bon maintenant, tu as eu ce que tu voulais. Détaches moi et vas t'en s'il te plait. »

Moi : « Regarde la pendule....il est tout juste 23heures. On a encore 9 heures ensemble »

Je me dirige vers mon blouson et prend la plaquette de Viagra.

Moi : « Tu m'as fait juter....mais regarde, j'en ai pas fini avec toi....cette fois-ci, ce sera plus long! »

Nadia a une expression de lassitude.

Nadia : « T'as trop vu de films pornos! »

Moi : « Oui, et cela me donne plein d'idées...maintenant, allons dans la chambre...je vais te détacher... »

Cette chambre, je la connaissais a peine. Longtemps j'avais rêvé m'allonger sur le lit auprès de celle que j'aimais.

Moi : « Allonges toi sur dos! »

Je reprends la cordelette et cette- fois ces mains sont attachés devant.

Nadia : « T'es vraiment un malade....t'es obligé? »

Je ne réponds pas et je prends dans le sac une corde plus longue. Je fais un noeud avec le bout de cette corde dont j'attache l'autres extrêmité a un des pieds du lit. Nadia a donc les mains attachés au dessus de sa tête avec de l'allonge mais pas assez pour protéger ses seins et encore moins sa chatte.

Le viagra commence à faire son effet et ma queue reprend une belle érection. Je pelote Nadia, les seins, les cuisses, la chatte. J'introduis un doigt. Nadia grimace. Je lui fais quelques léchouilles sur les seins, le cou. Encore une fois, elle me refuse ses lèvres.

Moi : « Okay...alors suces moi! »

Elle obéit. Je lui tiens le visage. J'aimerais une gorge profonde. Elle s'y refuse.

Moi : « Tu me suces...mais tu veux pas me donner tes lèvres »

Nadia : « C'est quand on s'aime...et je te déteste »

Moi : « Tu vas devoir faire un effort! »

Nadia : « Jamais... »

Du sac je retire des pinces que l'on se sert en papeterie pour fixer des posters. Ils sont de couleur d'or et dentés.

Nadia prend une expression inquiète.

Nadia : « Tu veux faire quoi?...

Moi : « Tu regardes jamais de porno? »

Je me place entre les cuisses de Nadia. Ma queue bandée caresse son bas ventre. J'ai quatre pinces a coté de moi. J'en prend une et l'approche du sein gauche de Nadia. Elle essayes de se débattre.

Nadia : « Arrêtes!!!!! »

Moi : « Ça m'excite trop, si tu savais...regarde...tu veux que je la mette ou...oui je sais »

J'écartes la pince puis celle-ci se referme juste autour de la base du téton.

Nadia : « Aiiieeeeee »

Je prend la deuxième et l'installe de la même manière sur le sein droit.

Nadia gémit a nouveau.

Nadia : « Enlève....s'il te plait....ca brule! »

Moi : « Respire ma chérie.... Ne bouges pas... »

La vison est trop excitante. Nadia les mains attachés, les pinces sur ses nichons, son visage grimaçant. Ma queue prend a nouveau la direction de la chatte de mon amour.

Nadia : « Enlève!!! »

Moi : ' Tu préfères la baise? »

Nadia : ' Oui! »

Moi ; « Tu me donneras tes lèvres et ta langue? »

Nadia : « Oui...okay »

Moi : « On va voir ça.... »

Tout en baisant ma salope, je m'approche de son visage. Nadia ouvre enfin ses lèvres.

Moi : « Embrasse moi pour de vrai...ta langue!!!! »

Nadia faisait de son mieux tout en ayant mal. Je la possédais enfin totalement. Je me retire.

Moi : « Suces!!! »

Nadia : « Tu m'as promis de les enlever... »

Moi : « Bien sur...mais d'abord suces et je veux que tu avales salope! »

Nadia : « Non! »

Je prends alors une des pinces et la tourne sur le coté provoquant un cri chez Nadia.

Moi : « Je peux aussi te mettre le baillon et m'amuser avec les pinces? »

Nadia : « Non, non...je ferais ce que tu veux... »

Moi : « Bien répètes après moi : je suis une pute, je vais te sucer et avaler ton foutre! »

Nadia répéte mécaniquement. Je lui retire les pinces.

Nadia : « Merci! »

Moi : « A toi maintenant.... »

Nadia prend ma queue et me suce avec application. Je lui tiens le visage quand je jouis.

Nadia avale mon foutre puis le recrache comme elle peut.

Moi : « Merci chérie!!! »

Il est minuit.

Nadia : « T'as pas envie de dormir »

Moi : « Il est encore tôt... »

Nadia me voit prendre un Viagra.

Moi : « Avant que ma queue reprenne des forces, je ne peux pas te laisser comme ça... »

Je retire du sac un vibromasseur avec un diamètre supérieur a ma queue.

Nadia : « Oh nooon »

Moi : « Oh si, tu le mérites ma chérie...ta chatte peut pas rester sans bite...regarde, je le lubrifie pour toi... »

Nadia veut serrer les cuisses, mais je n'ai aucun mal a lui enfoncer le vibro. Je l'allume a la puissance maximum. Je rigole en voyant Nadia se tortiller.

Moi : « Si tu bouges trop, je t'attache les pieds! »

Puis, je sors du sac un deuxième vibro dont le diamètre est plus petit.

Nadia ne comprends pas.