Éducation Particulière

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Mes envies, mes fantasmes.
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Rainett
Rainett
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Gamine, je n'avais pas conscience que mon éducation était tout, sauf traditionnelle. J'étais fille unique, et mes parents menaient une vie de conte de fée. Nous vivions dans une immense propriété au cœur d'un pays d'Afrique Noire. Le grand consortium pétrolier qui possédait l'endroit avait embauché mon père comme directeur. Il dirigeait cet endroit comme s'il en était le patron. Mes parents avaient à leur service toute une armée de serviteurs pour toutes les tâches de la vie quotidienne.

Je grandissais au milieu de mes amis africains, et mes parents n'ont jamais rien fait pour me dissuader de me comporter comme eux. J'étais la seule gamine blonde au milieu de toute cette troupe de filles et de garçons à demi-nus, sans m'inquiéter des différences entre les deux sexes. Vers ma dixième année, j'ai été envoyée en métropole, chez mes grands-parents, pour recevoir une éducation scolaire. Comme j'étais très en retard, on m'a mise dans un internat privé pour gosses de riches.

Je peux vous assurer que je n'étais pas heureuse, enfermée dans cet établissement austère, loin de ma savane et de mes amis. D'ailleurs, ici, je n'avais pas d'amie. Toutes ces gosses de riches étaient des pimbêches racistes et stupides. Je ne rentrais chez moi que pour les vacances scolaires, et j'attendais ces périodes avec impatience.

C'est à la puberté, vers 13 ans, que j'ai remarqué les mœurs de mes parents. Aux heures chaudes de la journée, après le repas, chacun s'isolait pour trouver de son mieux un peu de fraîcheur. À ce moment-là, ma mère accueillait dans sa chambre le majordome noir qui dirigeait toute la troupe de jeunes servantes. Plus jeune, je croyais qu'il rejoignait ma mère pour la ventiler, ou la baigner, ou quelque chose comme ça. Plus grande, alors que ma sexualité s'éveillait, j'ai compris en collant mon oreille à la porte que sa tâche était tout autre.

Pendant ce temps, mon père se dirigeait vers les quartiers des jeunes servantes pour leur prodiguer toute son attention. Bien entendu, je ne pouvais pas m'aventurer jusqu'aux chambres pour m'en assurer, mais je le soupçonnais d'avoir pour ces jeunes femmes un vif appétit sexuel. Pour moi, à l'époque, de tels mœurs n'avaient rien de fâcheux. Je pressentais cela depuis longtemps sans réellement le comprendre. De même, lorsque mes parents organisaient de grandes fêtes entre expatriés, l'échange d'épouse semblait de rigueur. Et beaucoup utilisaient les services de nos serviteurs noirs.

J'ignorais alors que l'échange d'épouse, dans nos civilisations européennes régies par la religion, était inacceptable. Cependant, alors que ma puberté progressait, je profitais de mes vacances pour me cultiver. À l'époque, il n'y avait pas d'internet et son accès facile au porno, mais j'avais mes cachettes pour pouvoir profiter du spectacle en toute discrétion.

C'est l'été de mes quinze ans que j'ai eu une révélation. Comme chaque fois que je rentrais chez moi pour les vacances, dès que j'avais un moment de libre, je filais au village voisin rejoindre ma bande de copines et de copains. C'était les enfants des ouvriers agricoles qui travaillaient sur la propriété. Jusque là, je ne me préoccupais peu des différences entre les filles et les garçons. Mais cette année-là, l'ambiance avait changé. Au village, la bande se séparait en deux. Les filles d'un côté, les garçons d'un autre.

Les seins des filles avaient rapidement grossi, de même que les attributs masculins qui pendaient sous le ventre des garçons. J'étais mortifiée, j'aimais autant jouer avec les garçons qu'avec les filles. Cette ségrégation volontaire ne me convenait pas. Un après-midi, j'ai accompagné le groupe des garçons à la rivière. Les filles ne voulaient rien faire, elle traînaient à l'ombre, sous les arbres, papotaient, et me cassaient les pieds.

J'accompagnais le groupe des garçons en éprouvant un sentiment de crainte et d'envie devant la taille des gars qui avaient bien grandi pendant mon absence. J'avais le sentiment de braver un interdit, mais j'avais l'âme d'une guerrière et rien ne pouvait m'impressionner. Nous nous sommes dirigés vers la rivière pour nous rafraîchir à l'ombre des saules qui poussaient sur les berges. C'était un endroit sûr pour se baigner, les femmes venaient ici pour laver leur linge, donc nous ne risquions pas de faire de mauvaises rencontres avec la faune locale. Je me sentais en sécurité au milieu de tous ces jeunes hommes, même si j'étais la seule fille. C'était mes amis, et j'avais confiance en eux.

La rivière formait un coude et, juste là, il y avait une mare de boue, tout près de l'eau claire. Par jeu, nous nous sommes déshabillés entièrement, et nous nous sommes roulés dans la boue. Ils m'ont taquinée en me disant que maintenant, pleine de boue, je ressemblais à un garçon africain, même si mes cheveux blonds et ma musculature frêle rendaient cela difficile à croire. La boue en séchant a pris une couleur grisâtre et cela picotait sur ma peau, une sensation agréable.

Ensuite, nous avons tous sauté dans la rivière pour nous laver et pour nager. Nous avons gambadé nus dans l'eau claire de la rivière qui lavait la boue en nous rafraîchissant. Il n'a pas fallu longtemps avant que le chahut ne commence, aspergeant et esquivant, tentant de saisir les corps pour faire couler l'adversaire. Je n'étais ni assez vive ni assez forte, et je perdais souvent. Puis, fatigués, nous nous sommes étendus dans l'herbe pour nous faire sécher au soleil.

Bientôt, le sexe d'Amati, allongé près de moi, a commencé à s'étirer et se dresser sous l'action du soleil. Intéressée, je suivais cette transformation discrètement, du coin de l'œil. Mais le phénomène s'amplifiant, j'ai oublié toute discrétion pour me redresser et contempler ce miracle de plus près. Cela a éveillé l'attention d'Amati qui a ouvert un œil pour me demander : « Tu veux toucher? »

Timidement, j'ai demandé si je pouvais, et il a acquiescé. J'ai tendu la main et j'ai effleuré son arbre de vie du bout des doigts. Peut-être à cause de mon action, son sexe a eut un soubresaut, et j'ai retiré ma main précipitamment en poussant un cri d'effroi. Cela a fait rire les garçons qui ont commencé à tourner autour de nous en se moquant de moi. Quel début merveilleux pour mon voyage de découvertes sexuelles.

Plus tard, à l'université, j'ai souvent préféré la compagnie des garçons noirs à celle des blancs. Pour la plupart, ils sont plus amusants, plus fêtards, plus audacieux dans leur approche. J'aime leur façon d'aborder les filles, sans détours, en allant droit à l'essentiel.

Par exemple, l'autre jour, j'ai été abordée par un africain qui semblait me trouver à son goût. J'étais à la station-service, où mon patron m'avait envoyée refaire le plein de son gros 4x4. À cause de la chaleur, j'étais vêtue assez légèrement, chemisier et jupette plissée. J'étais en train de remplir le réservoir lorsqu'il s'est approché de moi. D'abord, j'ai cru à un casse-pieds qui souhaitait que je le raccompagne quelque part, parce qu'il était piéton.

Il a commencé à me baratiner, me disant que j'avais une très jolie poitrine, et de belles jambes. Il riait de toutes ses dents en me caressant l'avant-bras. Que dire? Je n'ai besoin de rien, ma vie sentimentale est satisfaisante, tout va bien avec mon copain, mais j'ai été séduite.

En quelques instants, le temps de faire le plein du truck, je suppose que ça le faisait fantasmer, une frêle jeune femme conduisant ce gros machin. Il voulait me voir grimper dedans en exposant mes jambes, alors il attendait à côté de moi en flirtant. Il était charmeur, et très bel homme. Grand, de belles épaules, le genre qui me fait craquer le cœur.

Alors j'ai pensé, d'accord, tu veux du spectacle, je vais t'en donner du spectacle, moi. Je ne suis pas prude, plutôt le contraire, et je n'ai aucune appréhension à montrer mes fesses. D'ailleurs, sur la plage ... mais ce n'est pas le sujet. Donc j'ai exagéré ma démonstration de faible femme en forçant doucement pour remettre en place le pistolet de gazole, et en grognant un commentaire sarcastique sur les blacks qui pensent avoir un anaconda de la taille de ce tuyau dans le caleçon.

Puis, en voulant me hisser à la place conducteur, j'ai renversé "accidentellement" mon sac à main, et toutes mes affaires se sont répandues sur le siège et par-terre. Je devais me pencher pour ramasser mes affaires tombées au sol, et je pouvais sentir son regard brûler mes fesses. Il est venu "galamment" derrière moi pour m'aider à atteindre des choses que je pouvais facilement attraper. Mais il n'y avait aucun doute sur sa virilité pressée contre mon popotin. La bosse qui déformait son pantalon, et qui s'incrustait dans la raie de mes fesses, me prouvait à quel point ce gars pouvait me satisfaire.

À cet instant, j'ai été conquise. Je me suis relevée, il a tourné mon visage vers lui en me tenant sous le menton, et sa bouche s'est posée sur la mienne. Le premier baiser n'était même pas hésitant. J'étais allumée, j'ai ouvert la bouche, et j'ai subi l'assaut de sa langue. Je sais bien comment ces gars fonctionnent, et je lui ai cédé tout de suite. Il m'a invité dans sa chambre d'hôtel, et je l'ai suivi !

Les préliminaires ont été brefs. Plutôt que de me dénuder en me câlinant, il s'est déshabillé en un temps record. Pendant ce temps, je me suis allongée sur le lit, toute habillée, pour contempler son corps nu. Il avait une belle bite, qui palpitait déjà quand il s'est approché de moi. Il a soulevé ma jupe, baissé ma culotte, et m'a prise comme un hussard, mais je n'en attendais pas moins de lui.

Je ne sais pas pourquoi, mais son corps sur le mien, me clouant sur le lit, m'a fait venir. Alors que mon copain consacre de longues minutes à m'émoustiller, avant de me pénétrer avec précaution, ce gars-là m'a fait prendre mon pied presque sans rien faire. Juste en entrant par effraction.

Un long baiser lubrique accompagnait la pénétration initiale. J'étais perdue dans son regard de braise qui revendiquait une soumission totale de ma part. Après quelques minutes de va-et-vient, il s'est retiré, puis il a roulé ma jupe autour de ma taille. J'ai levé mes jambes à sa demande, et alors qu'il s'allongeait à nouveau sur moi, il a replié mes jambes afin que j'ai les genoux près des aisselles. Avec ses grands bras musclés, il a enserré mes bras et mes jambes ensemble pour me maintenir fermement. C'était une question d'emprise et de domination. Une fois qu'il fut entré en moi, il m'immobilisa solidement. Je ne pouvais plus bouger.

Alors, naturellement, j'ai essayé. J'ai feint de protester, demandant qu'il arrête, que c'était trop douloureux, qu'il était trop gros, trop fort, trop puissant. Immédiatement, j'ai obtenu l'effet escompté. Sa réponse a été davantage que ce à quoi je m'attendais. Sa performance est devenue plus agressive, et mes sensations ont atteint de nouveaux sommets. Quelque chose dans les crêtes de sa bite frottant le long de mes terminaisons nerveuses sensibles, mes émotions se sont multipliées, et cela m'a époustouflée.

Je l'ai supplié de ne pas éjaculer en moi, parce que je ne voulais pas avoir un bébé à la suite d'un viol. Que mon mari me quitterait si j'accouchais d'un bébé noir. Que j'étais dans ma période fertile, et qu'il devait se montrer raisonnable. Toutes ces supplications l'ont stimulé, et de son agressivité est venue ma soumission.

Bien entendu, je ne suis pas mariée, et avec mon copain nous n'avons aucun projet d'enfant. Donc, je suis parfaitement protégée. Mais je savais qu'en pleurnichant et en le suppliant d'être prudent, il allait se déchaîner sur moi, et que j'allais passer un merveilleux moment. Il m'a consommée à un rythme furieux, alors que je le suppliais de ne pas le faire.

J'insistais sur le fait que j'étais fertile, qu'il n'utilisait pas de préservatif, toutes ces choses qui motivent un homme dominant comme lui. Alors, il l'a fait. Il a planté sa bite tout au fond de moi, et il a éjaculé. Le souffle coupé, ma jouissance tellement grisante m'a fait perdre momentanément conscience. J'avais totalement perdu le contrôle de mon corps et de mon esprit, et j'étais comme une poupée de chair entre ses bras.

Sans attendre, il m'a littéralement retournée comme une crêpe, m'a installée sur mes genoux. Le visage plaqué sur le matelas, les fesses en l'air, il a replanté sa bite en moi pour empêcher son sperme de fuir. C'était l'étape suivante de ma consommation totale. Il voulait absolument me mettre enceinte.

Je n'étais pas inquiète, j'étais sûre qu'il pouvait encore me satisfaire. Après quelques fessées, pour bien me montrer qu'il était le maître, il a continué ses va-et-vient vigoureux, faisant convulser mon corps sur sa virilité tendue. Après plusieurs minutes de forage profond, ses mouvements se sont fait saccadés. J'ai exulté si fort que j'ai cru mourir de plaisir. Mais il ne m'en a pas laissé le temps. Il m'a remise sur pieds, m'a giflé le cul et m'a dit de déguerpir, car sa femme allait arriver dans les prochaines minutes.

Remontée dans le gros 4x4 de mon patron, j'ai pris le temps de réfléchir. Qu'est-ce qui s'était passé, pourquoi j'étais une proie aussi facile pour les hommes dominants. Et surtout, ce que j'avais ressenti, le plaisir de la soumission. C'est ce qui m'a étonnée. Sexuellement, c'était si grisant, ma jouissance avait été si forte, que ma seule préoccupation, c'était de le revoir pour qu'il me baise encore.

Rainett
Rainett
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Anonymous
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5 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus d’un an

Je me suis caressée et j'ai joui en lisant ce récit, je m'imaginais dans les bras de cet homme puissant qui me pénétrait sans ménagement, sauvagement. Et pourtant j'ai fait l'amour avec beaucoup d'hommes, des blancs ou des noirs. Surtout depuis que ma séparation avec mon mari, à 48 ans j"ai eu des occasions quasiment tous les jours, car j"ai bien entretenu mon corps, resté séduisant, c'est ce qu'ils me disent tous les jours. Il parait que faire souvent l'amour, avoir de forts orgasmes est salutaire pour la peau. Ces pénétrations de belles jeunes bites me rajeunissent.Vive l'amour, Vive le sexe!

JeanFrancoisJeanFrancoisil y a plus d’un an

Bon récit, très excitant

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Hummmm…Une suite est envisageable ?

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Super escitant...et bien écrit

vivement la suite

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Hmmm très agréable à lire, un fond de vécu ?

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