Domino Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsque l'heure à laquelle les invités devaient arriver sonna, le propriétaire des lieux plaça ses deux soumises dehors, de chaque côté de la porte avec comme consigne de ne pas bouger. Heureusement, l'issue principale n'était pas visible de la route pour le plus grand soulagement d'Hélène. Pour Domino, être vue par des passants ne lui aurait pas posé de problèmes elle qui aimait montrer son corps.

Elles étaient magnifiques toutes les deux, telles des statues ornant l'entrée. L'homme leur avait demandé de garder les mains dans le dos et de se tenir bien droites. Leurs poitrines mises en valeur par leurs postures étaient des plus appétissantes.

Ils avaient dû se donner le mot car les invités arrivèrent en même temps, à dix-neuf heures pétantes. En fait ils savaient tous que Maître Paul était à cheval sur la ponctualité et de peur de ne plus être invités par la suite, ils faisaient tout pour arriver avec aucun retard.

Les convives étaient tous âgés entre cinquante et soixante ans et le sourire qu'ils arboraient trahissait la joie qu'ils avaient d'être là.

Ils ne tarirent pas d'éloges sur la plastique des deux femmes qui ne bougeaient pas un cil. Certains ne se génèrent pas pour les caresser un peu mais elles étaient un peu là pour ça.

- Messieurs, nous allons passer à l'intérieur pour prendre un petit apéro avant que le souper soit servi.

- Tu sais recevoir toi au moins.

Maître Paul aima la remarque d'un de ses amis et une fois ses invités rentrés dans la maison, il fit signe aux deux femmes de les suivre.

Durant tout le temps que dura l'apéritif, elles firent les navettes entre la salle à manger et la cuisine pour chercher des petits fours, des glaçons ou tout simplement de l'eau. Dès qu'elles étaient près d'un invité, elles se faisaient systématiquement tripoter et, appliquant les consignes à la lettre, elles restaient immobiles le temps des attouchements.

Domino était aux anges, se faisant toucher plus souvent que son amie. Il faut dire que son corps plaisait même si Hélène était très belle aussi.

- Il faudra que tu nous dises où tu les as trouvées, lui demanda l'un de ses amis, elles sont exceptionnelles.

- Ce sont des soumises que j'ai dressées et que j'utilise de temps en temps, se vanta-t-il un peu

- Celle-là, elle a un cul exceptionnel.

Le dernier qui venait de parler était en train de caresser les fesses de Domino qui telle une petite chatte, ronronnait presque sous les caresses de l'homme.

La jeune femme était tellement excitée de se comporter telle une esclave qu'elle sentait de la cyprine couler de son sexe tant convoité. Jamais encore elle n'avait eu ce genre de sentiment et elle n'avait qu'une hâte, c'était de passer à la casserole, façon de parler.

Lorsque l'apéro prit fin et qu'elles durent emmener devant chaque convive, les assiettes préparées en cuisine, ce fut de nouveau du tripotage à outrance. L'un des invités se rendit même compte que la jeune femme mouillait lorsqu'il glissa ses doigts dans sa vulve, manquant de lui faire renverser l'assiette qu'elle tenait.

- J'ai l'impression que la plus jeune est déjà tout excitée.

- C'est normal, lui répondit Paul, je les ai éduquées pour le plaisir et elles seront à point pour le dessert.

L'homme continua à la doigter un certain moment alors qu'elle restait immobile, les jambes bien écartées pour bien offrir sa chatte. Le plaisir envahissait tout son corps et elle gardait la bouche ouverte pour bien respirer.

- Tu vas manger froid, l'interrompit le maître de maison. Tu auras le temps de t'occuper d'elle après.

- Je ne vais pas m'en priver.

Avec regret il abandonna le sexe de la jeune femme pour se consacrer au confit de canard qui trônait dans son assiette. Libérée, Domino continua un peu pantelante à effectuer le service, essayant de ne pas montrer son émoi.

En passant à côté d'Hélène alors que personne ne les regardait, cette dernière ne put s'empêcher de l'embrasser sur la bouche, excitée elle aussi par ce qui se passait. Les deux femmes ne regrettaient pas d'avoir accepté l'invitation du Maître en restant pour la soirée, trouvant cette dernière de plus en plus torride.

Le repas continua pour les hommes de façon aussi agréable et le fromage et le dessert furent servis de la même manière par les femmes.

Lorsqu'elles finirent de déposer toutes les tasses à café devant les invités, celui qui l'avait doigtée la fit asseoir sur ses genoux. Un autre convive, pour ne pas être en reste, fit de même avec Hélène qui n'en demandait pas tant.

Tout en lui caressant un sein, l'homme embrassa Domino qui se laissa faire avec joie. Elle adorait les baisers, sentir des lèvres contre les siennes ou une langue venir fouiller sa bouche.

Elle écarta les cuisses lorsque la main quitta son sein pour venir caresser sa vulve sous le regard intéressé et excité des autres hommes. Hélène, sur les genoux d'un autre convive, subissait le même sort alors que Maître Paul, un grand sourire aux lèvres, regardait ses convives s'exciter avec ces deux salopes.

- Si vous le voulez, j'ai deux chambres d'amis à votre disposition.

Il ne fallut pas insister plus pour convaincre tous les hommes et sans vraiment s'en être rendu compte, domino se retrouva dans les bras d'un des invités.

Deux groupes s'étaient formés et alors que deux des convives partaient avec Hélène, Domino fut emmenée par un trio pressé de goûter à son corps.

Maître Paul resta seul dans la grande salle, heureux de la tournure de sa soirée. Il finit son café et sortit pour fumer une bonne pipe, espérant que ses invités prendront beaucoup de plaisir.

******

Domino gémissait de plaisir alors que les trois hommes la caressaient en toute impunité. Elle avait été mise sur le dos, bras et jambes écartées alors que six mains et trois bouches parcouraient tout son corps.

Elle adorait de plus en plus s'offrir, ne plus avoir le contrôle d'elle-même pour donner du bonheur. Et dire qu'avant ce mois de juillet, elle était une jeune femme pudique n'ayant que très peu d'expérience sexuelle.

Si sa route n'avait pas croisé celle de Paul, elle n'aurait jamais découvert ces plaisirs et elle serait encore cette jeune femme timide, avec ses jeans et ses vêtements trop amples.

Lorsqu'un des hommes s'allongea sur elle pour la pénétrer, elle était tellement excitée qu'elle gémit tout de suite. Ce fut une vraie extase lorsqu'elle sentit le pieu bouger en elle, la limant lentement alors que des mains la tripotaient toujours.

Elle était leur soumise, leur pute et leur laissa tout faire. Elle adora sentir le sperme inonder son vagin avant d'être retournée. Elle poussa un long cri lorsqu'une verge lui força son anus, lui faisant vraiment mal. Mais elle se laissa faire car elle était à eux et elle avait promis au Maître d'être obéissante.

L'homme était endurant et son cul fut longtemps baisé avant que la semence vienne le libérer.

C'était bon et elle aurait voulu que cela dure toujours.

De nouveau sur le dos, sa chatte fut pénétrée par une nouvelle queue qui la prit avec force. Les coups de reins étaient violents et la jeune femme adora ça. Durant toute la soirée avec ces hommes, elle eut des orgasmes à répétition, goûtant à une jouissance sans nom.

Elle avait tellement été excitée durant tout le service que son corps était devenu vraiment très réceptif. Elle ignora durant combien de temps ils jouèrent avec elle mais lorsqu'ils la laissèrent seule dans la chambre pour aller boire un verre, elle était rassasiée de bonheur.

Elle resta immobile sur le lit et somnola un peu avant qu'ils ne reviennent pour reprendre du plaisir. Cette fois, le premier à la prendre ne fut autre que Maître Paul qui s'avéra un excellent amant. Les autres hommes étaient ceux qui avaient dû baiser Hélène et qui voulait posséder eux aussi la jeune femme.

Finalement la nuit passa très vite et au petit matin lorsque les convives retournèrent chez eux, la jeune femme était complètement vidée. Elle avait adoré la soirée et la nuit qui avait suivi, adorant jouer la soumise pour satisfaire ces hommes.

Chancelante, elle se leva pour chercher son amie, la trouvant endormie dans la chambre à côté. Doucement, elle la rejoint sur le lit et se lova contre elle. Hélène devait être elle aussi épuisée aussi préféra-t-elle de ne pas l'embrasser de peur de la réveiller.

C'est vers dix heures que Domino émergea et en voulant bouger elle réveilla Hélène.

- Bonjour, tu as bien dormi? demanda la jeune femme

- Comme une masse, ils m'ont épuisée.

- Tu n'es plus très jeune, tu devrais te ménager

- Hééé! tu es bien méchante de bon matin

- Je plaisante

Et pour se faire pardonner elle embrassa goulûment la femme qui répondit à son baiser. Lorsqu'elles se levèrent, restant nues toutes les deux, elles trouvèrent le propriétaire des lieux assis dans son salon, une tasse de café à la main.

- Bonjour mesdames, si vous voulez déjeuner il y a un thermo de café dans la cuisine, des brioches sont sur la table et le beurre et la confiture sont dans le frigo.

- Bonjour Maître, on y va car on a comme une petite faim.

Les deux femmes qui n'avaient pas mangé la veille au soir, prirent un gros déjeuner. Elles étaient heureuses et savaient bien pourquoi car leurs corps en frémissaient encore.

Alors qu'elles avaient presque fini de manger, le dominateur vint les rejoindre pour parler un peu avec elles.

- Mes invités ont été heureux de leurs soirées et m'ont demandé d'en organiser d'autres avec vous.

- Je ne pense pas que Nicolaï soit d'accord dit en souriant Hélène

- Je m'en doutais et je pensais surtout à Domino.

- Moi?

- Oui, tu serais ma soumise à temps plein.

La jeune femme était surprise d'une telle demande et cela la flattait qu'il puisse avoir envie de l'avoir avec lui tout le temps. Mais elle avait encore plein de choses à découvrir et surtout il y avait les deux hommes qu'elle aimait qui attendaient toujours sa réponse.

- C'est tentant mais je ne peux pas.

- Je ne te demande pas une réponse tout de suite mais si tu acceptes de m'appartenir, tu verras souvent Hélène et tu découvriras plein de nouveaux plaisirs.

C'est vrai que c'était une proposition alléchante mais la raison lui disait de ne pas accepter. Elle avait vraiment envie de devenir l'esclave de cet homme mais sa liberté était encore plus importante.

- Merci Maître de me l'avoir proposé mais je ne peux pas accepter, du moins actuellement. J'ai des choses à faire mais un jour peut-être que je reviendrais.

- Dans ce cas je t'attendrais, dit-il sans vraiment y croire.

L'homme les regarda avant de rajouter.

- Vous n'êtes pas pressées, vous pouvez manger avec moi à midi. Je vais vous gâter pour vous remercier de votre prestation d'hier.

- C'est avec plaisir, Nicolaï ne devrait rentrer que demain alors j'accepte.

- Et moi j'accepte aussi car ma voiture et chez Hélène et que je n'ai pas envie de marcher.

L'homme rigola

- Vous n'allez pas le regretter et s'il vous plaît, restez nues, vous êtes tellement belles ainsi. En attendant que le repas soit prêt, allez vous prendre une douche.

- Oui Maître répondit les deux femmes d'une seule voix.

Une fois sous la douche les deux femmes se caressèrent longuement, se donnant du plaisir. Leurs nudités respectives intensifiaient leur sens et elles avaient du mal à résister aux plaisirs de la chair.

Alors qu'elles se séchaient, Hélène demanda

- Tu es sûre de ne pas vouloir devenir la soumise de Maître Paul. On aurait pu se voir souvent.

- J'ai failli dire oui mais j'aime trop ma liberté.

- Dommage, tu aurais été une très belle esclave sexuelle.

Le repas se passa bien et l'ambiance fut amicale. L'homme était vraiment un cuisinier exceptionnel car elles se régalèrent.

Lorsque les deux femmes furent sur le point de prendre congé, Paul eut une dernière demande.

- J'aimerai garder Domino jusqu'à demain, je sais que sa voiture est chez toi mais je la ramènerais sans faute pour huit heures.

Hélène fut surprise par la demande de l'homme mais ne répondit pas. C'était à la jeune femme de prendre sa décision.

Domino allait lui demander pourquoi il voulait qu'elle passe la nuit ici mais se retint à temps. Cet homme la fascinait et elle pouvait lui accorder encore un peu de sa personne.

- D'accord, je veux bien rester jusqu'à demain

Hélène sourit en voyant que la jeune femme acceptait. Elle ne la connaissait pas depuis longtemps mais s'était doutée de sa réponse. Elle aimait trop le sexe pour passer à côté d'une telle invitation.

- Vous me la ramenez pour 08h00 sans faute

- Je suis l'homme le plus ponctuel de la planète

- Ça je le savais.

À contrecœur, la femme de l'artiste dût se résigner à remettre ses vêtements, mais elle ne se voyait pas rentrer chez elle toute nue. Elle embrassa longuement Domino avant de dire au revoir au Maître.

Lorsqu'elle s'éloigna avec sa voiture, ce fut avec une certaine excitation. Elle laissait la jeune femme entre les mains du dominateur sans savoir ce qu'il avait prévu de faire.

Si elle avait été célibataire, elle aurait bien pris la place de Domino mais elle aimait son mari même s'il était impuissant et elle avait déjà fait un gros écart en restant cette nuit sans son autorisation.

*******

- Six, hurla-t-elle

Le martinet vint cingler son ventre, lui faisant très mal et pourtant elle ne gémit pas. Elle essaya de se calmer un peu avant de crier de nouveau.

- sept

Cette fois ce furent ses seins que les lanières vinrent mordre et malgré toute sa résistance, elle ne put s'empêcher de crier.

Le maître l'avait suspendue par les poignets dans son sous-sol, lui attachant les chevilles pour immobiliser ses jambes. Elle était tel un sac de frappe, à quelques centimètres au-dessus du sol, ne pouvant se défendre. L'homme lui avait demandé de compter et à chaque chiffre elle recevait un coup.

Elle avait mal sur tout le corps rougi par les lanières et il restait encore trois chiffres à venir.

L'homme ne l'avait pas forcé, lui ayant proposé de la fouetter un peu si elle était d'accord et sans savoir dans quoi elle s'engouffrait, elle avait accepté. Maintenant, même si le cuir lui faisait mal, bizarrement elle aimait ça.

- Huit, cria-t-elle

Cette fois le martinet frappa sur son petit cul déjà rougi. Elle se mordit les lèvres et aucun son ne sortit de sa bouche.

- Bien, très bien, commenta l'homme. Tu es vraiment très courageuse et j'adore ça. Tu es sure que tu ne veux pas devenir ma soumise.

- N...non Maître...

- Dommage

Les deux autres chiffres qu'elle énonça mirent à mal son dos et de nouveau ses seins. Elle ne savait pas d'où le coup allait venir car un bandeau masquait ses yeux. Elle s'était livrée sciemment dans la gueule du loup et d'être ainsi à sa merci l'excitait énormément.

L'homme allait la libérer, estimant lui avoir suffisamment fait mal lorsque sa voix retentit dans la salle.

- Onze

Le maître n'en crut pas ses oreilles en entendant le chiffre. Là, elle réclamait un coup qui n'était pas prévu et l'incompréhension laissa place à de l'admiration.

Cette jeune femme d'à peine vingt ans était sûrement la plus courageuse des soumises qu'il ait eu à dresser.

Cette fois, il frappa un peu plus fort entre les omoplates, la faisant vraiment gémir.

- Douze

Jusqu'où allait-elle aller, il se dit qu'il ne voulait pas l'abîmer et pourtant elle réclamait encore un coup.

Cette fois ce furent ses jolies cuisses qui reçurent la flagellation et pas un son ne sortit de sa bouche.

- Treize

L'homme posa son martinet. Il estimait qu'elle avait suffisamment était fouettée et il ne souhaitait plus du tout martyriser son corps. Elle était magnifique et il avait plus envie de lui faire l'amour que de lui faire du mal.

Actionnant la manivelle de la poulie qui la maintenait en l'air, il la redéposa au sol tout en la maintenant. Lui ôtant ses liens et son bandeau, il lui sourit pour montrer tout son contentement.

- Tu as été magnifique, mais il faut savoir s'arrêter.

- Je voulais vous montrer que...

- J'ai vu, tu es très courageuse. Je vais t'aider à monter les escaliers. Les traces sur ton corps ne resteront pas longtemps.

Domino était heureuse en ayant réussi à dépasser ses limites. Lorsqu'il lui avait proposé de descendre dans son sous-sol, elle n'avait pas hésité une seconde. Elle voulait tester son courage et elle était très fière de ne pas trop avoir crié.

Tout son corps irradié de douleur mais elle se sentait bien. Elle savait que si un jour elle revenait, elle n'aurait pas d'appréhension.

L'homme l'emmena dans sa chambre et l'allongea sur le lit. Se déshabillant, c'est tout naturellement qu'il vint s'allonger sur ce corps magnifique. La séance de flagellation l'avait tellement excité qu'il bandait comme un turc.

Le cri qu'elle n'avait pas poussé en bas, jaillit du fond de sa gorge. Elle adora le sexe qui rentra dans sa vulve et elle ne put s'empêcher de hurler.

L'homme la prit lentement, avec douceur alors qu'il l'embrassait pour se faire pardonner. Cette femme était unique et tout au fond de lui, il avait de la peine en sachant que demain elle allait s'en aller.

Ce fut un moment d'une tendresse incroyable et lorsqu'il éjacula en elle, il eut beaucoup de mal à retirer son sexe.

- Merci Maître

- Tu es adorable, je ne sais pas si je ne tombe pas amoureux de toi.

La jeune femme avait déjà deux prétendants et un troisième risquait d'être de trop. Pourtant elle lui sourit et l'embrassa de nouveau.

Lorsqu'ils quittèrent la chambre, Paul passa sur le corps de la jeune femme un baume aux endroits où les traces demeuraient. Le soir, ils ne soupèrent pas très tard pressés de retourner en chambre.

Malgré son âge, l'homme lui fit plusieurs fois l'amour durant la nuit et ce n'est pas vraiment reposés qu'ils s'éveillèrent à 06h30 au son d'un réveil pas très mélodieux. Il avait promis de la ramener pour 08h00 et il allait tenir parole.

******

Lorsque Hélène vit la voiture se garer dans la cour, elle sortit de la maison heureuse de revoir son amie. Elle fut un peu inquiète en voyant les traits fatigués de la jeune femme mais le dominateur n'avait pas meilleure mine. Elle sourit en pensant qu'ils avaient dû faire des folies de leurs corps et les envia un peu.

L'homme ne voulut pas rester, n'aimant pas trop les au revoir. Il se contenta d'embrasser sur la bouche Domino et de faire un petit signe à Hélène.

La jeune femme fut un peu triste de voir partir le dominateur mais cette peine fut vite compensée par le plaisir de retrouver la maîtresse de maison même si c'était pour une courte durée.

- Tu restes manger avec nous, Nicolaï et Ceydric devraient être là pour midi.

Domino savait que si elle était encore là lorsqu'ils arriveraient cela risquait d'être compliqué pour repartir. Nicolaï tenait à la garder comme modèle et il ne la laisserait pas partir facilement.

- C'est gentil mais je préfère partir avant qu'ils ne rentrent. Mais promis je reviendrais.

- J'espère bien, que l'on puisse se faire d'autres soirées chez Maître Paul. Tu as l'air fatiguée, tu es sure d'être en état de rentrer.

- Je ferais des pauses, mais j'aimerais aller à la plage avant de retourner chez moi. Être dans le sud et ne pas se baigner dans la mer c'est un comble.

Les deux femmes discutèrent un moment avant que Domino ne se décide à aller chercher son petit sac à dos. De nouveau vêtue de son minishort et de sa brassière, elle se sentait trop habillée mais n'avait pas vraiment le choix.

- Si tu veux te baigner, tu as un maillot?

- Hein, heu non, mince, c'est vrai.

- Et si tu te baignes nue il risquerait d'y avoir des émeutes.

La jeune femme rigola. Si ça n'avait été que d'elle, elle l'aurait fait sans problème.

- Bien que tu sois plus mince que moi je vais voir si je te trouve un maillot de bain. Viens avec moi.

En fouillant dans ses affaires, Hélène trouva un petit bikini qu'elle avait depuis plus de vingt ans et qu'elle ne portait plus depuis longtemps.