Domino Ch. 04

Informations sur Récit
Domino s’initie au SM auprès de Maître Paul.
8.1k mots
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 07/03/2023
Créé 04/29/2023
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Lorsque Domino comprit que Maître Paul ne travaillait pas dans l'éducation nationale mais qu'il était un dominateur, elle regretta d'avoir accepté d'accompagner Hélène.

Pourtant, en vérité, elle ne savait pas du tout en quoi cela consistait.

Elle en avait vaguement entendu parler lorsqu'elle était plus jeune et elle les imaginait habillés tout en noir, vivant dans une prison et enfermant les femmes qu'ils capturaient.

Mais pourquoi son amie l'emmenait-elle chez un tel homme, voulait-elle se débarrasser d'elle pour la punir de vouloir partir.

Plus la voiture s'approchait de sa destination finale et plus la jeune femme sentait la peur monter en elle. Elle qui voulait de l'aventure, ne voulait pas finir enfermée dans une geôle.

Pour se rendre chez maître Paul, Hélène avait pris son auto, laissant celle de la jeune femme dans sa cour. Domino se dit qu'ils allaient sûrement la vendre lorsqu'elle serait entre les mains de cet homme.

Elle avait pour se rendre chez l'ami d'Hélène, remis un minishort et une petite brassière sans aucun sous-vêtement et pour la première fois depuis longtemps, elle les aurait bien troqués contre une épaisse armure.

Lorsque la femme de l'artiste franchit un portail tout ce qui avait de banal pour se garer devant une maison ordinaire, Domino fut surprise. Elle s'attendait à arriver devant une grande bâtisse lugubre entourée de murs très hauts et gardée par de méchants molosses.

Là, même si la maison était plutôt jolie, ça n'avait rien à voir avec ce qu'elle s'imaginait.

- Maître Paul nous attend et je te fais un dernier rappel. Tu ne dis pas monsieur mais Maître et tu le vouvoies tout le temps et normalement ça devrait bien se passer.

- Pourquoi? demanda avec une voix inquiète la jeune femme.

Hélène rigola en voyant que son amie n'était vraiment pas rassurée.

- Cela fait partie du protocole, mais tu verras il est très gentil.

Domino allait rajouter qu'elle ne voulait pas être enfermée mais ne préféra rien dire. Elle se rendit compte qu'un autre sentiment était venu se joindre à la peur depuis qu'elles étaient arrivées dans la cour. Elle ne savait pas trop pourquoi mais malgré son appréhension, elle était attirée par la porte de la maison comme si derrière il y avait une chose importante pour elle.

Lorsque les deux femmes quittèrent la voiture pour aller sonner chez l'homme, Domino n'était pas très fière.

Après une minute qui parut interminable pour la jeune femme, la porte s'ouvrit sur un homme d'une soixantaine d'années, habillé en t-shirt et en bermuda. En le voyant, Domino crut qu'elles s'étaient trompées d'adresse tant il paraissait ordinaire.

Pourtant en y regardant mieux, l'homme avait de la prestance même vêtu de la sorte et un charisme indiscutable se dégageait de lui.

- Bonjour Maître, je suis heureuse de vous revoir

- Bonjour Hélène, je suppose que cette charmante demoiselle est ton amie dont tu m'as parlé.

- Bonjour monsi.... Maître... bégaya Domino, beaucoup plus impressionnée qu'elle ne l'aurait pensé.

L'homme sourit en l'entendant et les invita à entrer.

- Vu qu'il n'est pas encore dix heures, j'ai préparé du café si cela vous va, à moins que vous ne préfériez autre chose.

- Pour moi ce sera très bien.

- Heu... moi aussi.

Maître Paul regarda Domino et il lui dit en souriant.

- Détendez-vous jeune fille, je ne vais pas vous manger, du moins par pour l'instant.

- Heu, oui... pardon... excusez-moi.

Le sexagénaire les guida vers un salon très joliment meublé et les invita à prendre place dans un gros canapé.

- Je reviens, je vais chercher le café.

Lorsqu'il revint avec un plateau sur lequel se trouvaient les tasses, le sucre et le café, Domino se demanda s'il n'y avait pas une erreur. Ce n'était pas du tout à ce qu'elle s'attendait et en fut presque déçue. Elle aurait été chez un instituteur à la retraite que ça n'aurait pas été différent.

- Présente-moi ton amie

- Oui Maître, Il s'agit de Domino qui est venue servir de modèle à Nicolaï pour ses peintures et qui avait envie de vous rencontrer.

La jeune femme, en entendant Hélène, n'était pas tout à fait d'accord car elle était venue juste pour lui faire plaisir.

- Très bien, comme ça, jeune Domino, vous aimez la douleur?

Elle ne s'attendait pas à cette question de la part de l'homme et bafouilla sa réponse.

- Heu, je... oui... mais...

Le dominateur rigola en l'entendant.

- Ça m'a l'air un peu brouillon dans votre tête. Je suppose que vous ne savez pas trop ce que vous éprouvez vis-à-vis de la souffrance.

- Elle m'a dit qu'elle avait eu une expérience et qu'elle avait aimé ça, répondit Hélène pour venir au secours de son amie qui était un peu perdue.

- C'est très bien, si cela vous dit, après le café, on pourrait étudier cela.

Les regards se tournèrent vers Domino qui n'eut pas d'autres choix que d'acquiescer de peur de décevoir. Lorsque l'homme débarrassa la table, la jeune femme se sentit tout excitée, ignorant pourtant ce que l'homme allait faire.

- On va descendre dans mon sous-sol, on y sera mieux pour étudier notre nouvelle amie.

En entendant le mot sous-sol, la jeune femme repensa à la prison qu'elle avait imaginée et sentit son stress remonter d'un coup. Pourtant, elle suivit l'homme et son amie qui prirent un escalier qui n'avait rien de rassurant.

Lorsqu'il alluma lumière en arrivant en bas, Domino fut prise de stupeur en découvrant la salle.

Elle était immense et devait faire toute la surface de la maison. Des piliers espacés de quatre mètres supportaient la bâtisse et donnaient à l'endroit un air féodal.

Il n'y avait pas de cellules mais plusieurs appareils faisant penser à une salle de torture. Une table immense était appuyée contre un des murs et sur laquelle une multitude d'objets y étaient déposés.

En rentrant dans ce qui ressemblait à un enfer, Domino aurait dû paniquer alors qu'elle resta figée. Une incroyable excitation s'empara d'elle, ne comprenant pas ce qui lui arrivait.

- N'aie pas peur, tous ces appareils ne te sont pas destinés, il faut déjà être aguerri pour en tester certains. Tu veux que je t'initie un peu?

Domino hésita tout en continuant à regarder autour d'elle.

Ne sachant pas pourquoi, elle se décida enfin à parler sans vraiment contrôler ce qui sortit de sa bouche.

- Oui maître, je veux bien.

- Très bien, comme toute soumise qui se respecte, déshabilles-toi.

Domino qui avait pris depuis quelques jours l'habitude de se dévêtir devant des étrangers, n'hésita pas un seul instant. Retirant son petit haut puis son minishort, elle fut rapidement nue.

- Houa! Hélène ne m'avait pas menti, tu as un corps stupéfiant.

- Merci.

L'homme la fixa et lui dit d'une voix froide.

- Merci qui?

- Merci Maître, excusez-moi... j'avais oublié.

Il fit alors le tour de la jeune femme, examinant ce corps qui le captivait. La jeune femme resta immobile, tremblant en peu en ignorant à quelle sauce elle allait être mangée.

- Tu es sublime.

Se mettant devant elle, il gifla un de ses seins sans prévenir, ne frappant pas trop fort.

- Aie!!!

Ce fut plus la surprise qu'autre chose qui fit pousser un petit cri à la jeune femme qui le regretta aussitôt.

- Je croyais que tu aimais la douleur et tu gémis alors que je n'ai fait que te caresser.

- Excusez-moi Maître, je ne recommencerais pas.

Ce jeu avec cet homme excitait de plus en plus la jeune femme qui ne se reconnaissait plus. Lorsqu'il frappa un peu plus fort sur le même sein, Domino qui s'y attendait un peu, ne poussa aucun cri même si cela lui fit un peu plus mal.

- Mieux, c'est beaucoup mieux.

A côté, Hélène fixait Domino avec un regard plein d'admiration. Elle aimait beaucoup la jeune femme et de la voir aussi passive avec son Maître la remplissait de joie.

L'homme se dirigea vers la grosse table pour revenir avec deux pinces équipées de vis pour augmenter le serrage.

- Je veux qu'aucun son ne sorte de ta bouche, c'est compris?

- Oui monsie... Maître.

Domino se mordit la lèvre inférieure lorsque son premier téton fut pincé tout en réussissant à rester silencieuse. Lorsqu'il serra la vis, la douleur irradia son sein de façon plus intense mais elle demeura tout de même muette.

Le deuxième mamelon fut lui aussi mis à mal en subissant le même sort et, courageuse, Domino n'émit aucun son.

Jamais encore la jeune femme n'avait été aussi fière d'elle. Ses seins lui faisaient mal mais elle finit par s'y habituer. Elle était nue et sans défenses et cela lui plaisait.

Le dominateur retourna chercher un autre objet et revint avec un martinet. En voyant ça, la jeune femme eut peur que cela laisse des marques mais préféra ne rien dire. Même si elle n'avait pas peur de souffrir, elle ne voulait pas abîmer son corps dont elle était si fière.

Voyant le regard anxieux de la jeune femme, Maître Paul expliqua.

- Les neuf lanières de cuir que composent ce martinet te feront mal mais bien moins que s'il s'agissait d'un fouet. De plus, avec cet ustensile les marques ne seront que provisoires si cela peut te rassurer.

Voyant qu'elle ne disait rien, l'homme rajouta.

- Je ne te fouetterai que si tu es d'accord. Acceptes-tu que je le fasse.

Domino regarda éperdue Hélène qui lui souriait. En voyant que la femme ne paraissait pas inquiète, cela la rassura aussi répondit-elle d'une voix mal assurée.

- Oui Maître, je veux bien.

- Très bien, écarte les jambes et les bras et je ne veux pas que tu bouges.

Elle connaissait bien cette position car c'était celle que Nicolaï lui avait demandé de garder durant plusieurs heures lorsqu'il avait peint son corps.

En se positionnant comme le lui demandait le sexagénaire, elle se mit à trembler sans pouvoir se contrôler.

L'homme lui tourna autour, l'admirant en silence avant de s'arrêter derrière.

Elle poussa un léger gémissement lorsque les lanières vinrent frapper ses fesses. L'homme avait bien dosé pour ne pas trop faire mal mais cela laissa tout de même quelques traces.

- Tu aimes? je ne veux surtout pas entendre une négation.

- Oui Maître, j'aime... répondit-elle par pure provocation ou par obligation

L'homme frappa de nouveau mais cette fois entre les omoplates, surprenant la jeune femme qui resta tout de même silencieuse.

Étrangement, la peur avait quitté la jeune femme pour faire place à de l'excitation. Le dominateur savait doser les coups pour ne pas trop faire mal, ne voulant pas la dégoûter. Il aimait la façon dont elle se comportait, décelant en elle une soumise qui s'ignore.

Il donna un dernier coup, un peu plus fort, entre les cuisses bien écartées. Les lanières vinrent fouetter sa petite chatte complètement sans défenses et cette fois Domino poussa un petit cri sans pour autant resserrer ses jambes.

- Très bien jeune femme, tu peux bouger et j'avoue que tu m'as impressionné.

Domino, en entendant l'homme, vint machinalement se frotter son sexe douloureux avec une de ses mains, heureuse d'avoir fait plaisir au Maître.

- Vu que tu t'es bien comportée, tu peux garder les pinces, c'est un cadeau.

- Merci Maître.

- On va remonter dans le salon, restes nue pour l'instant, j'aime regarder ton corps.

- Oui Maître, chez Hélène je devais également rester nue. Je commence à en avoir l'habitude.

L'homme se mit à rigoler et il ne put s'empêcher de dire, tout en regardant Hélène.

- Les grands esprits se rencontrent, ton mari est vraiment un connaisseur pour ce qui concerne les femmes.

- Normal vu qu'il m'a épousé.

Domino se contenta de prendre ses vêtements à la main avant de remonter au salon. Elle avait gardé les pinces accrochées à ses tétons, aimant les sentir compressés.

Le sexagénaire leur servit un autre café et parut hésitant pour la première fois depuis qu'elles étaient arrivées chez lui. Il avait envie de demander quelque chose à Domino tout en cherchant ses mots.

La jeune femme fut étonnée de voir l'homme aussi embarrassé alors qu'il était si directif jusqu'à présent. Même Hélène l'avait remarqué et elle aussi était surprise. C'est alors qu'il se lança et d'une voix pas trop assurée, il s'adressa à Domino.

- J'organise une soirée ce soir avec deux amis et j'aimerais que tu y participes.

- Moi?

- Oui, tu as un très joli corps et j'ai envie de le faire découvrir à de vrais connaisseurs

- Et ils vont me faire mal?

L'homme se décontracta et tout sourire, il lui répondit.

- Non, tu seras juste une jolie attraction que je parerais pour l'occasion.

- Et... il n'y aura pas de sexe?

- Seulement si tu le désires.

Hélène qui était restée silencieuse, intervint à la plus grande surprise de l'homme.

- Et ils ne seraient pas aussi intéressés par le corps d'une quarantenaire.

- Mais! Nicolaï est d'accord?

- Il est à Paris et je n'ai pas envie de rester seule chez moi. Si Domino le fait, je le ferais aussi.

- Dans ce cas, je vais inviter un peu plus de monde pour que vous passiez une agréable soirée.

Domino frémit en pensant à la soirée qui s'annonçait. Elle ne savait pas trop ce qu'il avait sous-entendu en disant qu'il allait la parer mais elle était impatiente d'y être.

Le midi, L'homme leur fit un bon repas, étant aux petits soins pour elles. C'était un excellent cuisinier et elles se régalèrent.

À l'issue du dîner, il passa plusieurs coups de téléphone pour préparer sa soirée et faire appel à un cuisinier qu'il connaissait bien. Il voulait profiter de ses amis et des deux femmes et n'avait pas envie de passer son temps dans la cuisine.

C'est vers 15h00 que l'homme se décida à leur faire un petit débriefing. Domino était toujours nue, n'ayant pas eu l'autorisation de se rhabiller mais cela ne la gênait pas. Hélène était un peu perturbée de participer à cette soirée sans l'accord de Nicolaï. Pourtant lorsque l'homme se mit à parler, elles l'écoutèrent bibliquement, désireuses de savoir comment ça allait se passer pour elles.

- Mesdames, ce soir, j'ai invité du coup cinq amis qui devraient être là pour 19h00. Je suis désolé mais vous ne serez pas à table avec nous car vous ferez le service.

- C'est pour ça que vous nous avez invitée, demanda Domino déçue.

L'homme sourit en l'entendant s'attendant un peu à ce genre de remarque.

- Je vais juste vous poser une question avant de continuer, êtes-vous d'accord pour qu'il y ait du sexe.

Les deux femmes acquiescèrent en même temps ce qui fit très plaisir au dominateur.

- Dans ce cas, j'ai prévu pour le service une tenue spéciale pour vous, mesdames.

- Une tenue sexy? demanda Hélène.

- Très sexy, vous serez nues et durant toute votre prestation, vous serez à la disposition de mes hôtes. Vous êtes censé être des soumises et vous devrez obéir à tous leurs ordres.

Domino demanda naïvement.

- Mais s'ils veulent nous baiser alors qu'on fait le service.

- Eh bien, ils mangeront froid. Mais je pense que les choses sérieuses seront sûrement après le repas.

Au tout début, Maître Paul avait pensé à les habiller en cuir, équipées de quelques équipements SM avant de changer complètement d'avis. Après y avoir réfléchi, il pensa qu'en leur demandant d'être nues, ce serait beaucoup plus chaud.

Le cuisinier devait arriver vers 18h00, les plats étant préparés pour la plupart à l'avance. Paul leur demanda d'être nue avant son arrivée car même pour cet homme elles étaient des soumises.

Vu que Domino était déjà déshabillée, Hélène en fit autant sans attendre davantage, dévoilant son très joli corps.

- Retire tes pinces, demanda le maître de maison à la jeune femme, si l'un des hôtes tires fort sur l'une d'elles ça pourrait te faire très mal.

Domino qui les avait depuis le matin, fut un peu déçue de devoir les enlever mais obéit tout de même, les rangeant soigneusement avec ses affaires. Ça lui fit mal lorsqu'elle les retira et elle dût se masser sa poitrine pour se soulager un peu.

******

Le cuisinier connaissait très bien Maître Paul mais jamais encore il n'avait vu d'aussi belles femmes chez lui, surtout la plus jeune. Il déposa ses glacières dans la grande cuisine et commença ses préparations sans tarder.

Le propriétaire des lieux demanda à Hélène de l'aider un peu pendant que Domino mettrait la table et l'aiderait à faire quelques décorations.

Lorsque la table fut dressée et les décorations installées, l'homme demanda à la jeune femme d'aller voir si le cuisinier avait besoin d'une aide supplémentaire.

En rentrant dans la cuisine, Domino stoppa net en découvrant la scène. Hélène était penchée en avant, les mains sur la table et les jambes écartées alors que le cuistot était en train de la prendre sauvagement par-derrière.

La jeune femme trouva cela des plus existants et eut envie de se caresser en les voyant ainsi.

La quarantenaire était magnifique et les gémissements qu'elle poussait étaient des plus érotiques. La soirée n'avait pas encore commencé et déjà elle se faisait baiser.

Domino fut tout de même un peu jalouse mais essaya de ne pas le montrer, attendant qu'ils finissent. Lorsque l'homme éjacula dans le ventre de la femme, Domino resta immobile en attendant qu'ils se rhabillent. C'est en remontant son pantalon qu'il la vit près de la porte et en voyant l'expression de son visage, il sut qu'elle était là depuis le début.

La jeune femme fut impressionnée en constatant que le cuisinier ne montrait pas de sentiment. Il était impassible comme si ce qu'il venait de faire était tout à fait naturel.

Voulant se justifier pour ne pas passer pour une voyeuse, elle dit :

- Maître Paul m'a envoyé pour voir si vous aviez besoin d'aide.

- Non, ça va très bien, j'ai déjà une aide qui est très efficace. A moins que tu ne veuilles me nettoyer la queue.

Il avait dit ça en plaisantant et fut tout surpris en voyant Domino s'approcher devant lui et se mettre à genoux. La jeune femme appliquait les consignes du Maître à la lettre qui avait dit de satisfaire tous les désirs des hommes, même si le cuisinier ne faisait pas partie des invités.

En fait elle avait été tellement excitée en voyant Hélène se faire prendre que lorsque l'homme lui avait demandé de le nettoyer, elle avait sauté sur l'occasion. Elle avait envie de son sexe et avait décidé de se comporter comme une soumise bien dressée.

Le cuisinier, en voyant la jeune femme se positionner pour la fellation, avait baissé de nouveau son pantalon pour libérer sa queue. Domino trouva cette dernière très appétissante même si elle restait de taille moyenne.

Hélène, un peu en retrait, admirait la scène et découvrait une jeune femme encore plus délurée qu'elle ne s'était imaginée. Non seulement elle était belle mais en plus elle adorait le sexe, un peu comme elle lorsqu'elle était plus jeune.

Domino se saisit du sexe et comme à son habitude, commença par le lécher, débutant par le gland avant de s'occuper du reste. Pour bien nettoyer le pénis, la jeune femme trouvait qu'utiliser sa langue était la meilleure solution.

- Putain, jamais encore on m'avait fait une pipe comme ça, s'étonna le cuistot.

Lorsqu'elle estima que le sexe était suffisamment nettoyé, Domino l'enfourna dans sa bouche et commença des vas et vient jusqu'au fond de sa gorge. Il faut dire que le membre avait vite pris de la grosseur étant donné le traitement que la fille lui infligeait.

Hélène s'était rapprochée et se mit à se caresser, excitée par le spectacle quoiqu'elle ait été baisée peu de temps avant.

La jeune femme le suça durant de longues minutes, adorant l'avoir en bouche. Lorsqu'il gémit tout en se crispant, elle sut qu'elle allait être récompensée de ses efforts et avec gourmandise, but le nectar qui jaillit jusqu'au fond de sa gorge.

Elle s'était mise à adorer le goût du sperme et même lorsqu'il se fut tari, elle pressa bien le membre entre sa langue et son palais pour en extraire jusqu'à la dernière goutte.

Lorsqu'elle se releva, le cuisinier lui caressa la joue comme pour la remercier. La jeune femme était tout heureuse de voir qu'elle avait bien travaillé et avec un grand sourire, elle quitta la cuisine pour voir si le Maître avait encore besoin d'elle.

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