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Rainett
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« Dis-moi, à quelle fréquence baises-tu avec Bernard? » me demande Bérengère. Elle veut comprendre.

Nous sommes vautrées sur le canapé, ce dimanche paresseux, écoutant de la musique légère en buvant un vin sirupeux. Elle sait pour Chérif. Elle sait que j'ai un amant. Elle sait qu'il me sort en boîte, au resto, et qu'il me présente à ses amis. Comprendre le rôle de mon mari Bernard dans cette intrigue, comment s'articule ce ménage à trois, c'est l'avantage d'être intime avec une femme comme moi. Il y a des stéréotypes pour ce style de vie, mais elle n'en veut pas. Elle veut connaître les sentiments, comprendre l'interaction, savoir comment on peut accepter l'intolérable.

« Bernard ne me baise pas. Pas au sens coïtal. Bernard ne met plus sa bite dans ma chatte. Il me prépare avant, et me nettoie après » lui précisais-je, en versant un plus de vin dans son verre.

« Tu ne baises jamais avec Bernard? »

« Non, jamais, même pas si nous passons une soirée romantique, seulement en tête-à tête. » Souriante, rassurante, car je ne veux pas effrayer Bérengère. J'aimerais qu'elle expérimente ce mode de vie. Yacine, l'un des frères de Chérif, l'apprécie beaucoup. Il l'a remarquée dans ses jeans moulants, avec son joli cul arrondi, et ses décolletés pigeonnants. Elle lui plaît. Il me l'a dit : « C'est ton amie? Elle est très belle ! »

« Chérif baise Bernard » ai-je ajouté, afin qu'elle comprenne bien la situation et le rôle de chacun. « Bernard se penche en avant, et Chérif lui met sa bite dans le cul. Il le baise. Le frottement de la bite de Chérif, contre sa prostate, provoque une réaction qui fait éjaculer Bernard. »

Bérengère éclate de rire, un rire aigu de femme énervée, mais elle reste incrédule. Elle ne peut pas encore comprendre cela. C'est vraiment trop inhabituel. Je dois mieux lui expliquer :

« Quand Bernard a su, et qu'il a accepté qu'on se voit, Chérif et moi, il s'est arrêté de penser en mâle dominant, et il a dû réfléchir à son comportement, vis-à-vis de nous deux. Il ne pouvait pas prétendre que Chérif n'existait pas. Il ne pouvait pas ignorer que je préférais Chérif, parce qu'il me faisait jouir, et pas lui. Alors, il s'est posé la question, que lui restait-il? »

Je change de position, en posant mes bottes sur le fauteuil. De la boue macule le fauteuil, mais Bernard fera le ménage plus tard..

« Chérif baise Bernard » Bérengère est songeuse « Et ça ne lui fait pas mal? »

« Comment font les homosexuels, Bérengère? Les mecs se prennent par le cul. Bernard se fait foutre dans le cul, bien qu'il ne soit pas gay. Cette position n'est qu'une question de soumission, pour lui. Un rite animal. Chérif lui rappelle, à chaque fois, que c'est lui mon homme, parce que Bernard n'est pas assez viril pour moi. C'est la loi, le dominé offre son cul au dominant, pour lui prouver sa subordination »

Ce n'est pas facile pour Bérengère, de comprendre, et d'accepter. C'est le nœud d'un ménage à trois. Le côté visuellement sexy, l'idée d'être baisée par un étalon devant mon mari, de l'humilier avec mes cris de plaisir, de l'asservir, que reste-t-il du mari, après? Qu'est-il devenu pour moi? Et pour mon amant? Pourquoi ne pas rejeter ce pauvre type, et m'installer avec l'homme le plus satisfaisant? Si Bérengère peut comprendre mes sentiments, si elle peut les désirer, alors je pourrai la présenter à Yacine ...

« Tu ne peux pas imaginer ton mari Roger présenter son cul devant un gars qui te baiserait, n'est-ce pas? »

Je lui présente les apéritifs salés. Grignote, ma fille, et tu boiras plus de vin. Le vin aidera à te détendre, et à t'imaginer vivre à ma façon. Je veux que tu sois ma sœur, que tu rejoignes mon mode de vie, je le veux !

« Non, pas vraiment. Je veux dire, ce n'est pas un colosse, il n'est pas physiquement imposant, mais je ne peux pas l'imaginer se soumettre et prendre une bite dans le cul. »

« Ça ne commence jamais comme ça, ma chérie ! C'est une lente évolution. D'abord, cela vient du désir. Le désir que ton mari éprouve pour toi, et les efforts qu'il fait pour te plaire. Comme tous les hommes, il sait qu'il doit être gentil avec toi s'il veut obtenir ce qu'il désire. Que tu écartes les cuisses pour lui. Mais si tu le pousses un peu, il se soumettra. De bonne grâce. Tu l'as titillé l'autre jour, quand nous étions au meeting d'athlétisme. Tu lui as fait remarquer, devant tout le monde, le paquet de noisettes que ce noir avait dans son short. Et tu as dit que Roger ne pouvait pas rivaliser. Rappelle-toi son air contrit. Il n'a rien répondu. Tu sais le ridiculiser. Tu l'as fait devant tous tes amis ! »

Eh bien, c'est vrai, elle l'avait dit, et elle l'a admis. Elle a ri en reconnaissant que c'était vrai.

« C'est la partie de l'humiliation. Il doit comprendre que tu n'es pas heureuse, qu'il ne peut pas te contenter. Quand tu sors avec ton petit ami, tu dis à ton mari à quel point il est décevant, et tu t'habilles sexy pour plaire à cet homme. Tu te comportes de manière hautaine avec Roger, de sorte que son estime de soi s'effondre»

« Alors, quand tu commences à baiser avec un autre mec, tu dis à ton mari que tu ne veux plus de sa bite, mais qu'il peut te lécher? »

J'ai laissé cette pensée pénétrer l'esprit de Bérengère. Elle commence à s'exciter. Je jette un coup d'œil sur sa main qui masse l'entrejambe de son jean. Et son autre main, celle qui tient son verre, tremble un peu.

« Que pense Chérif du fait que Bernard te lèche? »

« Il approuve »

« Il approuve !? »

« Bien sûr qu'il approuve ! Ce n'est pas du sexe. Le sexe, c'est quand tu baises. Quand le mâle te pénètre et te fait jouir avec sa queue. Le sexe, c'est quand tu te soumets au macho qui te fais crier de joie »

« Ouais, c'est vraiment excitant » admet Bérengère.

Je me penche sur elle pour lui chuchoter : « Tu dois ressentir cela, ce besoin primitif que nous avions quand nous vivions dans des cavernes, d'être inséminée par le mâle alpha. Ne bouge pas, je vais te montrer ... »

Je repousse sa main pour dégrafer le zip de son jeans. Sans hésitation, j'enfonce mes doigts, et je commence à jouer avec les lèvres de sa chatte. La rapidité et l'assurance de mon attouchement la captivent complètement. Elle reste bouche bée tandis que je commence à la masturber.

« Non, ma chérie, je ne suis pas lesbienne. Je t'apprends à ressentir le sexe, à penser sexe, pendant que je t'explique. »

Je commence à titiller le capuchon de son clitoris. Merde, Yacine apprécierait cette poupée. Elle a vraiment tout pour lui plaire. À peine un doigt dans la chatte, elle halète déjà.

« Quand tu fais lécher ta chatte à ton mari, après avoir été baisée par ton amant, tu l'humilies. C'est un moins que rien, pas assez bon pour toi, incapable de te procurer du plaisir. Rapidement, sa virilité va décliner, et il sera très heureux que tu le gardes pour faire le ménage ... »

Je promène le bout de mon doigt sur son clitoris et le long de sa fente. Je peux la sentir se presser contre moi, avec sa respiration lourde, et ses mamelons qui pointent. Je pose mon verre pour pouvoir exercer ma magie sur elle.

« Qu'est-ce que ça te ferait si ton mari léchait ta chatte, avant de l'offrir à un étalon comme Chérif? »

« Torride » souffle Bérengère. Je glisse deux doigts en elle. Elle expire fortement, et le fumet de son excitation remplit la pièce.

« Pourquoi torride? » je la tourmente.

« Parce que ça me ferait mouiller, qu'il avait envie qu'un autre homme me baise. S'il me préparait pour un homme mieux équipé, plus performant, meilleur amant, et que je préférerais à mon mari »

Bérengère prend peu à peu conscience, qu'humilier son mari, c'est aussi excitant que d'être baisée par un étalon bien monté. Son côté chienne se révèle peu à peu. Je fais rouler entre mes doigts son clitoris dardé. Un mouvement bien dosé, un délicieux tiraillement qui aiguillonne sa libido. Mes chuchotements continuent :

« En rentrant à la maison, après avoir baisé avec ton amant, la chatte pleine de sperme, aimerais-tu qu'il te lèche pour te nettoyer et apaiser ta chatte en feu? »

« C'est sordide, et si sale. Mais si délicieux d'être cajolée après avoir été malmenée. C'est cruel pour Roger, mais j'adore cette idée. Suis-je un monstre? »

« Pourquoi ma chérie? »

« Parce que Roger me nettoierait, comme une lingette, comme mon esclave ! »

« Mais oui, chérie. Mais pas seulement ! Pendant que ton mari léchera ta chatte, cela te remémorera les merveilleux moments que tu viens de vivre avec ton amant. Tes instants les plus torrides, avec cette magnifique bite qui t'a rempli la chatte, qui t'a fait crier de joie ! Te rappeler les odeurs de foutre, et les sons? Le sommier qui grinçait en cadence, la tête de lit qui heurtait la cloison pendant qu'il te baisait, encore et encore ... »

Je malmène son bouton bombé.

« Putain, oui ! Ah, merde ! Oui ! Là, juste là ! » Elle suffoque.

« Tu apprendras ... T'asseoir sur le visage de Roger, oublier qui il était, ce qu'il représentait pour toi, et le traiter comme ton serviteur. Un jouet, rien de plus que ton jouet pour lécher ta chatte » Je lui susurre,

« Une fois qu'un type s'est humilié à ce point, une fois qu'il sait qu'il n'est qu'une lavette, qu'il n'est là que pour te rappeler les bons moments passés avec le mâle qui te baise, je te promets, Bérengère chérie, les prochaines étapes arriveront très vite. Tu lui fera sucer la bite de ton amant et après, peu après, ton amant le sodomisera. Devant toi, pour montrer à tous qui est le maître des lieux. »

Bérengère résiste. Elle a lutté si fort sous mes doigts. Sa chatte ruisselle et elle gigote, tremblante.

« Un mâle alpha, un homme comme Chérif utilisera ton mari comme un jouet. Et tu vas aimer regarder ton amant asservir ton mari. Tu auras besoin de voir Roger humilié de cette façon »

« Aaaah ! » crie Bérengère. Elle attrape un coussin et mord dedans. Ma main virevolte sur sa chatte.

« Tu vivras une nouvelle vie. Un vie de princesse, servie par ton mari, et baisée par un mâle puissant. Avec un amant comme Yacine, un ami à moi que je te présenterai, tu seras heureuse d'asservir ton mari, d'en faire un jouet de baise »

J'ai l'impression qu'elle m'arrache les doigts. Sa chatte gicle encore plus fort. Son jeans est trempé. Elle hurle dans le coussin.

Je souris au lampadaire, dans lequel sont dissimulés le caméscope et le microphone. Tu vois Yacine, elle va être ta salope. Bérengère va être tienne. Je te l'avais promis, et je tiens toujours parole.

Rainett
Rainett
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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

1er commentaire ? Pourtant une histoire sacrément excitante merci Rainett !

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