Des Cours Très Particuliers, E02

BÊTA PUBLIQUE

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Le chauffeur prit alors plusieurs photos avec son téléphone. Il gardait cette expression totalement impassible et ne semblait ressentir aucun plaisir ni aucune gêne à ce qu'il faisait. On avait l'impression qu'il était en train de photographier un arbre ou une voiture.

Il se retourna alors et Mégane le vit pianoter sur son téléphone. Elle demeura ainsi pour savoir si elle devait ou non se rhabiller.

Vous pouvez vous réajuster, reprit-il. Monsieur Dernau et satisfait. »

Alors que Mégane faisait redescendre sa jupe afin de cacher son intimité, le chauffeur fit remonter le plexiglass de séparation et la voiture redémarra.

CHAPITRE 5

Mégane connaissait parfaitement le chemin qui conduisait à la maison de Fernand Dernau puisque c'était là qu'il prodiguait ses enseignements. Elle ne fut donc aucunement surprise par le luxe du lieu qu'elle connaissait très bien pour le fréquenter régulièrement depuis presque trois ans. Bien entendu, certaines choses lui apparurent quand même bien différentes alors qu'elle se rendait en ces lieux pour se donner.

Le chauffeur la déposa au pied du grand escalier qui menait à la grande entrée. Il l'aida à descendre de la voiture mais repartit immédiatement. Le majordome, qu'elle connaissait très bien, l'attendait en haut des escaliers et elle le rejoignit sans attendre. L'homme la guida jusqu'au salon même si cela était totalement inutile.

Monsieur Dernau est encore en plein travail, fit-il avec cet accent anglais si stylé qui le caractérisait. Il vous prie de l'attendre. Ce ne sera plus long. Voulez-vous que je vous serve à un thé? Rouge comme d'habitude? Rajouta-t-il alors qu'elle hochait la tête. Parfait. »

Il paraissait tout aussi impassible que le chauffeur comme s'il trouvait tout cela tout à fait normal. Une jeune femme de dix-huit ans qui venait en ce lieu pour devenir le jouet sexuel un homme en âge d'être son père. La sensation d'irréel était totale.

Il lui apporta son thé qui était comme à son habitude excellent. Elle le but mais son ventre serré n'arrivait pas à profiter de son goût si exceptionnel.

Il ne s'attarda pas avec elle et la laissa seule avec sa ses sombres pensées. Elle demeura ainsi silencieuse à détailler les riches ornementations de la salle comme si elle le voyait pour la première fois. Son esprit était la proie de milliers de pensées différentes.

La porte du bureau de Dernau s'ouvrit alors et le professeur sortit, accompagné d'une jeune femme. Mégane ne la reconnut pas. Il s'agissait d'une jeune maghrébine dont les vêtements, visiblement achetés en grande surface, tranchaient avec ceux que portaient les élèves que Mégane avait déjà croisés. Dernau ne semblait pourtant d'habitude s'intéresser qu'à des enfants de la bourgeoisie. Ce genre de « petites écervelées » comme il disait qui gâchaient la chance que la vie leur avait données et qu'il fallait remettre dans le droit chemin.

C'était très bien Yasmina, dit-il tout simplement. Je pense que, dans quelques mois, tu pourras te féliciter de ton bac et penser à tes études. Tu as eu des échos pour ta bourse?

Oui, répondit la jeune femme dans un sourire. Si j'ai mon bac, j'aurai une bourse maximale. Vraiment merci, sans vous tout cela n'aurait pas été possible. »

Dernau eut alors une réaction que Mégane pensait impossible. Il sourit. Pas le sourire sadique ou ironique qu'il utilisait souvent pour l'humilier ou pour souligner son incompétence mais un sourire simple et franc radieux qui traduisait une véritable affection.

Son regard aussi était différent. Il n'y avait aucun sous-entendu. On pouvait y lire comme une sorte de plaisir d'être avec cette jeune fille. Mégane, qui n'avait jamais été gratifiée par autre chose que de l'ironie ou de la concupiscence, trouva cela bien déstabilisant et elle se dit que cette fille n'avait sans doute pas signé de contrat.

La jeune fille gratifia Dernau d'un sourire radieux en lui disant au revoir et elle prit la direction de la porte. Ce fut à ce moment qu'elle remarqua la présence de Mégane mais ne sembla nullement gênée. Elle salua chaleureusement sa congénère tout en continuant son chemin. Mégane lui répondit de manière un peu mécanique ce qui ne sembla pas du tout la déranger.

Elle adressa un dernier aurevoir à son professeur avant de sortir et ce dernier continua à observer la porte qui se refermait avec une expression qui tenait presque de la nostalgie.

Il ne semblait pas avoir remarqué Megane et cette dernière cherchait presque à se faire toute petite comme si elle pouvait ainsi passer inaperçue. Mais son sourire changea et elle vit réapparaitre ce rictus qu'elle détestait.

Te voilà donc ma petite caille, déclara-t-il alors en l'affublant de ce surnom qu'elle détestait tant. Ce soir nous allons bien nous amuser. »

Il se retourna alors et elle le sentit qu'il la détaillait. Il avait exigé de la voir habillée de manière distinguée pour sortir et avait demandé un décolleté plongeant.

C'est ce que tu appelles un décolleté? Balança-t-il d'un ton sec. C'est à peine si on voit la naissance de tes nichons »

Elle jeta, gênée, un regard sur sa poitrine. Elle avait pourtant choisi une tenue moulante avec un col en U assez large qui montrait parfaitement sa poitrine bien généreuse. Elle pensait que cela était suffisamment suggestif pour lui. Bien entendu, elle se trompait car elle n'avait aucune idée de jusqu'où il comptait le voir plonger.

Il tapa dans ses mains et son majordome arriva immédiatement, portant un vêtement noir.

Tu vas mettre ça! Ordonna-t-il. »

L'homme lui tendit le vêtement et elle le prit avant de déglutir. La profondeur du décolleté manqua lui donner un haut-le-cœur. De plus, le tissu semblait très fin. Elle fut incapable de s'imaginer portant un tel vêtement. Elle se leva alors et jeta des coups d'œil circulaire à la recherche d'un endroit pour se changer. Il n'y avait rien même pas un petit recoin un peu plus sombre.

Et bien? S'impatienta-t-il. Qu'est-ce que t'attend?

Mais, commença-t-elle en réalisant qu'il comptait qu'elle se changeât sous le regard de ce majordome qui semblait aussi âgé que lui.

Arrête un peu de faire ta mijaurée. Tu sais très bien pourquoi tu es ici. Bientôt ton anatomie n'aura plus aucun secret pour moi et Charles en a déjà vu bien d'autres. »

Elle déglutit bruyamment devant ce manque de tact qui révélait cependant une pure vérité. Elle se leva alors de son fauteuil et entama de défaire le haut de son vêtement. Elle le retira rapidement et se retrouva ainsi en soutien-gorge. Il poussa un nouveau cri de déception.

C'est une blague? S'énerva-t-il. Tu crois peut-être que ce genre de vêtements se porte avec ça? Tu vas m'enlever ça de suite! »

La jeune fille se sentait presque au bord de l'évanouissement. Il l'avait déjà obligée à s'exhiber devant son chauffeur mais au moins elle avait gardé un semblant de dignité avec ses vêtements mais là elle allait devoir carrément se mettre quasiment nue. Elle n'avait aucune idée de ce que sa mère vivait exactement avec lui. Elle savait juste qu'il profitait d'elle sans vergogne et ne se doutait pas qu'elle-même devait sans cesse s'exhiber dans des tenues indécentes devant bien des hommes.

Elle lui adressa un regard de petit animal affolé, espérant peut-être une sorte de pitié mais ne reçut comme réponse qu'une expression froide et sans détour. Il ne la menaça même pas car ils étaient déjà passé à autre chose. Elle était venue au rendez-vous. Elle avait passé le pas de cette porte et il n'y avait plus de possibilité de retour en arrière. On lui avait laissé cette chance dans la voiture et elle l'avait refusée.

Elle mit alors les mains derrière son dos et dégrafa l'arrière de son soutien-gorge. Elle s'empressa rapidement de le retirer comme si cela rendait la chose moins pénible. Il eut cette fois-ci un sifflement d'admiration.

Alors là, commença-t-il avec un nouveau sourire satisfait. Ils sont aussi beaux que le chirurgien l'avait promis. »

Mégane baissa les yeux honteusement. Oui. Elle avait eu recours à la chirurgie esthétique mais pas pour les raisons habituelles. En plein cœur de son adolescence, alors qu'elle venait à peine de commencer les cours avec lui, sa poitrine avait gonflé de manière excessive jusqu'à devenir pathologique. Son médecin traitant avait indiqué, qu'avec sa corpulence, il fallait avoir recours à une opération de réduction mammaire afin de soulager son dos.

Quand il avait appris cela, Dernau avait mis son grain de sel. Il avait exigé de diriger la reconstruction mammaire. Le chirurgien avait donc reconstruit les seins de la jeune femme pour qu'il devînt de parfaits arguments sexuels. Elle avait gardé un tour de poitrine plus que conséquent, bien que beaucoup moins imposant qu'auparavant, et, finalement, cela avait été encore plus attirants pour les hommes.

Mégane le vivait mal et cachait toujours sa poitrine dans des tenues amples et des cols roulés. Elle avait du mal à supporter l'idée que cette partie de son corps ne lui appartenait pas vraiment et qu'elle avait été dessinée selon les bons vouloirs d'un homme qui n'attendait que le moment de la posséder.

Elle demeura pétrifiée, sentant le poids du regard de cet homme qui profitait de la forme si idéale de sa poitrine. Derrière lui, le majordome la regardait aussi mais son expression était indiscernable. Comme le chauffeur avant lui, il semblait totalement indifférent à tout cela, n'étant ni horrifié ni intéressé par le spectacle.

Il fit un signe de la main de s'approcher et elle hésita à peine pour s'exécuter. Il tendit la main et toucha délicatement de son sein droit. Le contact de la main chaude sur sa poitrine déjà frissonnante dans l'air frais de la pièce provoqua en elle une réaction qu'elle ne connaissait pas bien. Son petit téton se leva doucement et le sourire de l'homme s'accentua. Il prolongea sa caresse, jouant doucement avec l'extrémité de sons sein.

C'est du vrai travail d'orfèvre, estima-t-il. Le touché est naturel. Il faut vraiment savoir que tu as été opérée pour faire la différence. C'est de l'argent fabuleusement bien dépensé. »

Il confirma ainsi quelque chose dont elle se doutait. C'était lui qui avait payé cette opération. Certes, la réduction mammaire avait été gratuite puisque dépendant de la santé mais la reconstruction suivante si fine pratiquée par un vrai professionnel et qui avait pris un temps bien plus élevé que d'habitude avait été payante. Son père avait toujours tiqué quand il avait reçu la facture mais ne se doutait pas une seconde, qu'en réalité, il n'avait payé que le tiers de la vraie somme. Il ne se doutait pas aussi celui qui avait payé le reste, l'avait fait pour s'offrir une petite poupée aux mensurations idéales pour assouvir ses penchants. Il retira sa main soudainement.

Non, ce n'est pas encore le moment, décida-t-il. Nous allons faire les choses bien. D'abord un bon petit dîner romantique puis nous passerons aux choses sérieuses ensuite. »

CHAPITRE 6

Simon avait été intrigué quand on lui avait annoncé la visite de maître Hazavanian. Il n'avait pas pour habitude de recevoir des invités-surprises chez lui alors que la nuit était déjà tombée mais quand l'un des plus redoutables avocats du barreau se présentait, même à l'improviste, on évitait de le froisser.

Hazavanian était de ces avocats qui ne prenait des clients que s'ils avaient des comptes en banque avec des crédits à neuf chiffres. C'était l'homme capable de miracles mais aussi capable de vous envoyer en enfer s'il se dressait contre vous. Simon n'était pas croyant mais il croyait en l'enfer et ne voulut pas jouer avec le diable.

Il reçut donc son visiteur dans son grand bureau en évitant de le faire attendre. Il l'accueillit aimablement mais froidement afin de tenter de l'impressionner mais cela n'eut aucun effet en face d'un tel animal à sang froid.

Hazavanian était un homme de grande taille et avec un physique agréable. Ses longs cheveux bruns qui retombaient sur ses épaules n'altéraient aucunement son air déterminé avec un regard bleu qui vous transperçait.

Que me vaut le plaisir, maître Hazavanian, fit Simon.

Je doute que vous trouviez cette rencontre plaisante, répondit l'avocat sans prendre de gants. Je suis ici pour vous parler de la pension alimentaire que vous êtes censé verser à madame Orléane.

C'est une affaire personnelle. Je ne vois pas en quoi cela vous concerne. »

Simon avait répondu sèchement, trahissant ainsi son trouble. Il se demanda comment Carla avait pu se payer un tel avocat et cela ne lui plaisait pas du tout.

Je suis concerné par ce qui concerne mes clients, répondit simplement Hazavanian aucunement impressionné par la colère apparente de son interlocuteur. Mon cabinet va reprendre le dossier et je peux vous promettre que les choses pour devenir très compliquées pour vous.

J'avais un accord avec elle.

Un accord? Rien de légal en tout cas. Vous devez comprendre une chose. Je suis missionné pour m'occuper de cette affaire. Missionné par une personne qui a, elle aussi, un accord avec madame Orléane. Cette personne m'a autorisé à vous proposer un accord des plus simple. Alexandra retrouve une scolarité normale avec des notes plus qu'acceptables et vous continuez à verser la pension.

Et si cette petite conne continue ses bêtises? Je suis dégagé de cette obligation?

Croyez-moi cela n'arrivera pas. »

Simon ne fut guère étonné par l'assurance de l'avocat. Dans ce genre de métier, il n'y avait jamais place au doute, en tout cas dans les apparences. Mais en homme avisé, il sut parfaitement saisir le message explicite dans son allocution.

Hazavanian ne travaillait pas pour Carla mais pour quelqu'un d'autre. Cette personne n'était visiblement pas un ami de Carla. Il ne comprenait pas tous les tenants et aboutissants de cette histoire mais il savait une chose. Hazanavian ne travaillait pas pour le commun des mortels. La personne qui se trouvait derrière lui était particulièrement riche et, sans doute, très puissante. Se lancer dans un conflit ouvert avec une telle personne dont il ignorait jusqu'à l'identité ne pouvait qu'être source de gros problèmes.

Simon avait envie d'envoyer paître cet avocat prétentieux et de retrouver cette personne qui osait le menacer ainsi mais la voix de la raison se rappela à lui. Défier une personne puissante était déjà dangereux mais quand cet ennemi était capable de rester dans l'ombre en tirant les ficelles d'autres hommes puissants, cela tenait du suicide.

J'espère que vous tiendrez parole, répondit-il en actant une reddition qui lui faisait mal. Je vais faire verser la pension à cette pute mais que sa petite connasse arrête ses conneries et tout de suite! »

CHAPITRE 7

Mégane s'était donc rhabillée. Si on pouvait appeler ça s'habiller car la tenue qu'elle portait désormais lui donna l'impression d'être encore plus exposée. Le haut de son vêtement était constitué avec un décolleté ouvert qui descendait quasiment jusqu'au nombril. Se raccrochant par l'arrière du cou, il n'y avait que deux fines bandes de tissus qui recouvraient ses seins et ainsi dévoilaient l'essentiel de son anatomie. Même à l'époque où elle se sentait très rebelle, elle n'aurait jamais osé sortir ainsi vêtue. Ce fut pourtant ce qu'elle fit ce soir-là.

Fernand Dernau avait réservé dans un des restaurants les plus fréquentés de la ville. Pas particulièrement chic mais quand même d'un certain standing.

Quand ils arrivèrent, ils trouvèrent une salle bondée et elle ne fut pas vraiment surprise de découvrir qu'il avait réservé une place bien centrale d'où ils étaient visibles de toute la salle. Alors qu'elle s'installait, elle commençait à sentir le poids des regards qui pesaient sur elle. Avec sa poitrine mise ainsi en évidence, elle ne pouvait qu'être que le centre des intérêts autant masculins que féminins. Elle n'osait relever les yeux de peur de croiser tous ces regards qui témoignaient autant du désir, de la concupiscence, de la jalousie et d'une sorte de mépris.

Dernau semblait parfaitement satisfait de son petit spectacle. Il faisait la conversation sans trop s'offusquer du fait que la jeune femme conservait toujours les yeux baissés et tentait surtout de ne pas rougir. En fait, il semblait s'en réjouir. Toute la gêne qu'elle ressentait durant cette situation était autant de joie pour lui.

Le serveur leur apporta les premiers plats. Elle l'avait laissée choisir, persuadée qu'il saurait parfaitement ce qui lui plaisait. Elle avait réalisé, avec le temps, qu'il savait parfaitement lire en elle et cerner les détails de sa personnalité. C'était sans doute là l'un des secrets de sa réussite. Il lisait dans ses élèves comme dans un livre ouvert.

Le jeune serveur se fixa quasiment alors qu'il se baissait pour poser le plat devant elle. Il semblait comme hypnotisé par ces seins qui se révélaient dans leur quasi-totalité. Il avait la bouche entrouverte et les yeux qui semblaient pétiller. Mégane fut incapable ne serait-ce que de croiser ce regard et ne sut jamais quel visage il avait.

Après avoir laissé scène perdurer un peu trop longtemps, Dernau se contenta juste d'une petite toux pour sortir le serveur de sa torpeur. Ce dernier se redressa rapidement et repartit comme s'il avait le diable aux trousses.

C'est exactement ce que j'espérais, murmura-t-il alors en se penchant vers la jeune femme pour s'assurer que personne autour ne l'entendit. Tu es vraiment fantastiquement excitante et je sens que ce week-end va être mémorable. »

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 11 mois

une histoire bien écrite qui monte crescendo avec des détails appréciables

on attend la suite avec beaucoup de possibilités de mélanges de protagonistes

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Pourquoi deux chapitre 4 ?

Cordialement

APVapvAPVapvil y a 11 mois

J'ai apprécié les deux premiers textes et attends le troisième avec impatience. Le contrôle que le protagoniste exerce sur la gente féminine est fascinant. L’éducation de la jeune Mégane promet excitantes lignes.

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