Des Cours Très Particuliers, E02

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La suite des aventures du professeur particuliers si pervers.
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CHAPITRE 1

Carla avait tenu un mois avant de plonger dans le rouge. Désormais privées de la pension alimentaire versée par Simon, la mère et la fille avaient été incapables de réduire leur train de vie et les dettes commençaient déjà à s'accumuler. Elle avait bien tenté à d'augmenter son temps de travail et, ainsi, son salaire mais son employeur ne semblait pas plus motivé que cela. Elle n'était visiblement pas sa commerciale la plus efficace.

Alexandra se comportait toujours de manière aussi puérile. En plus de ses notes catastrophiques, elle commençait à avoir de mauvaises fréquentations avec des garçons et des filles qui avaient déjà des problèmes disciplinaires. Elle semblait prendre le même chemin que Mégane quelques années auparavant mais cela Carla ne le savait pas.

Elle avait, bien entendu, contacté son avocat afin de relancer des poursuites pour forcer la main à Simon. L'homme de loi lui avait expliqué qu'ils arriveraient sans doute à obtenir une nouvelle condamnation du père d'Alexandra mais que cela allait prendre du temps. Les arguments avancés par Simon n'étaient pas suffisants pour justifier l'arrêt du paiement de la pension mais pouvaient interpeller un juge pour lui permettre de faire durer l'affaire.

Carla se rappela alors comment s'étaient passées les premières procédures. Il avait fallu deux ans à Simon pour finalement céder. Carla avait alors douze ans de moins et des habitudes de vie beaucoup plus modestes. Elle avait su supporter cette période d'autant plus qu'elle avait une activité bien plus rémunératrice et qu'Alexandra était encore enfant.

Elle était devenue, par la suite, totalement dépendante de la rente versée par son ex-compagnon surtout en comptant les dépenses souvent excessives de sa fille.

Si au moins Alexandra pouvait modifier son comportement, reprit l'avocat. Si vous pouviez prouver que les arguments concernant votre éducation de votre ex-mari sont fallacieux alors cela pourrait aller plus vite. Le juge pourrait penser que c'est une simple vengeance d'un homme frustré et monsieur Palermo et se retrouverait sous la menace d'une d'amende importante. Je pense que c'est un homme qui comprend ce genre langage et qui reculera s'il pense, qu'à la fin, il risque de payer des fortunes. »

Carla n'avait pas répondu à cette explication mais elle savait qu'elle était incapable de remettre Alexandra dans le droit chemin. Alors elle repensa à la proposition plus qu'inconvenante de Fernand Dernau.

CHAPITRE 2

À l'anniversaire de Mégane s'était continué sans autre anicroche. La malencontreuse situation de ce « cadeau » inconvenant avait été rapidement mise de côté et les quelques amies qui avaient vu le string n'en avaient plus parlé par la suite.

Paola avait tenu son rôle de maîtresse de cérémonie et d'hôtesse à la perfection et ce serait de fabuleux souvenir pour toute la famille. La plupart des invités partirent aux alentours de dix-huit heures et tout fut terminé vers dix-neuf heures. Ils rangèrent rapidement une partie du désordre consécutif à la fête ; le reste serait nettoyé le lendemain par la femme de ménage. Paola rangea les cotillons et autres décorations. Elle les entassa dans un carton et sortit dans le jardin pour les ranger.

Ils habitaient dans une villa à flanc de colline. Le jardin était donc en pente. Elle descendit un petit escalier pour se retrouver dans la partie inférieure. Au fond du patio se trouvait un petit cabanon qui leur servait de débarras. Paola y entra pour ranger le carton des festivités.

Elle connaissait l'endroit par cœur et n'avait pas besoin d'allumer pour se repérer. Ce fut pour ça qu'elle ne vit pas l'homme assis dans un coin.

La fête a été bonne? Fit la voix de Fernand dans son dos. »

Paola sursauta, surprise, puis se retourna pour voir le professeur particulier tranquillement assis sur une petite chaise. Il la transperça de son regard qui lui donnait en permanence des sueurs froides.

Elle se rappela alors qu'elle lui avait laissé un jeu de clé. Il l'avait exigé car il estimait qu'elle devait être totalement à sa disposition. Il était venu déjà à deux reprises à l'improviste chez elle mais, à chaque fois, elle était seule. Cette fois, toute sa famille se trouvait à quelques centaines de mètres.

Elle demeura ainsi figée comme statufiée par la présence de cet homme en ce lieu incongru. Il ne sembla pas du tout s'offusquer de sa réaction, au contraire.

J'espère que la petite caille a aimé mon cadeau.

Comment as-tu osé? Devant tout le monde. C'était obscène.

Je t'ai fait des choses encore plus obscènes à ce que je me rappelle. »

Elle tiqua devant cette remarque. Ce n'était pourtant que la stricte vérité. Depuis qu'elle avait conclu cet accord avec lui, elle s'était commise dans des actions qui l'auraient dégoûtée auparavant et de manière bien plus intense que ce qu'elle ne l'eut jamais cru.

Elle demeura debout dans ce petit réduit à moins d'un mètre de lui, l'air indécis. Il avait poussé l'audace jusqu'à un point qu'elle n'aurait cru possible. Elle se doutait qu'il n'avait pas fait cela pour en rester à une simple petite conversation.

Ramène-toi par là! Ordonna-t-il »

Elle tiqua à peine devant cet ordre et ne mit que quelques secondes pour s'approcher lentement mais sûrement. Il était toujours assis mais avait ostensiblement écarté les cuisses pour lui faire comprendre ce qu'il attendait d'elle.

Comme une chienne bien éduquée, elle se mit alors à genoux et entreprit de libérer son sexe de la gangue de son pantalon. Le membre, de taille supérieure à la moyenne, sortie mollement. Il n'était pas encore vraiment dressé bien que son expression montrait qu'il était déjà un peu excité.

Elle engouffra le sexe dans sa bouche et commença à aller venir en le mordillant doucement. Elle avait déjà pratiqué bien des fellations avant de le rencontrer. Elle était d'une génération où cette pratique était bien plus généralisée que dans celle de ses parents mais elle n'avait pas eu pour autant à la pratiquer aussi souvent.

Elle se rappela alors d'une soirée étrange qu'elle avait passée avec lui dans une espèce de club glauque. Elle avait été alors amenée à faire une sorte de jeu concours avec une autre jeune femme pour savoir laquelle arriverait à faire jouir le maximum d'hommes avec sa bouche. Ce soir-là, elle avait sucé bien des sexes qu'elle avait fait gicler à chaque fois. Elle avait gagné, se rappelait-elle. Mais elle avait oublié le nombre, ce souvenant seulement qu'il avait dépassé les trente.

Elle avait fini cette soirée la mâchoire extrêmement douloureuse et avec un arrière-goût acide au fond de la gorge bien qu'elle eut été autorisée à ne pas avaler ce liquide poisseux que ces hommes avaient expulsé.

Ce genre de soirées n'était pas fréquente mais elle n'était pas exceptionnelle non plus. Il lui était même arrivé à la partager avec d'autres hommes, comme un cadeau destiné à certains amis.

Alors qu'elle pensait à ces souvenirs glauques, elle continuait à monter et descendre avec sa bouche autour du membre qui devenait de plus en plus dur. Elle ne se faisait aucune illusion sur sa capacité à le faire jouir ainsi. Il semblait se contrôler totalement et venir quand il l'avait décidé et pas avant. Elle tremblait à l'idée d'être obligée de continuer longuement cette fellation ainsi cachée dans ce débarras situé à quelques mètres de sa famille.

Paola? fit la voix de Karl, son mari. Tu es là? »

Elle se fixa alors et sa bouche se crispa autour du sexe qu'elle était en train de sucer. Son mari se trouvait dans le jardin à quelques mètres d'eux. Elle sentit alors les mains de Dernau se poser sur sa tête et la petite pression lui fit comprendre qu'il avait un peu mal. Elle desserra la pression de sa mâchoire et releva les yeux dans sa direction. D'un geste, il l'autorisa à se lever.

Elle se leva alors, réajusta ses vêtements et se dirigea vers la porte. Alors qu'elle glissait la main sur la poignée, elle se reprit. En ouvrant la porte, elle risquait de révéler en pleine lumière la présence de Dernau et cela aurait provoqué un drame fantastique. Elle se dirigea alors vers la petite fenêtre qui se trouvait à la droite. Elle l'ouvrit et sortit la tête.

Je suis là, fit-elle en adoptant le ton le plus anodin qu'elle pouvait.

Je croyais que tu allais ranger seulement les affaires? Tu en mets du temps.

Je cherche quelque chose, mentit-elle. Un document dont Mégane a besoin. Je... »

Sa phrase mourut dans sa gorge alors qu'elle sentait les mains de Dernau qui se posaient sur sa jupe. Il s'était approché d'elle dans son dos en prenant bien soin de rester invisible depuis l'extérieur.

Et quoi? Demanda son mari.

J'ai trouvé la boîte mais il faut que je fouille. »

Dernau avait remonté sa jupe et fait descendre sa culotte. Il commençait à la caresser et ses doigts s'enfonçaient entre ses cuisses. Elle se mordit brièvement la lèvre inférieure alors qu'elle sentait monter une chaleur dans son bas-ventre.

Tu es sûr que ça va bien? Interrogea de nouveau Karl. Tu m'as l'air un peu rouge. Tu es fatiguée par cette journée?

Un petit peu, affirma-t-elle alors que le doigt de son amant commençait à aller et venir dans son intimité. Il faut que je retrouve ce document.

C'est si important que ça?

Oui, mentit-elle alors qu'il venait de rajouter un doigt et d'accélérer son rythme. Oui, il faut que je l'amène au lycée rapidement. C'est pour le bac.

Ils sont toujours pressés ceux-là. Tu veux que je t'aide?

Non! Refusa-t-elle un peu sèchement alors qu'elle sentait le sexe de Dernau qui pressait contre son antre d'amour. Non, tu sais comme c'est étroit là-dedans et, à deux, on se gênerait plus qu'autre chose. Ce n'est pas la peine de tout déranger. »

Karl se trouvait à deux mètres d'eux mais la nuit était déjà bien tombée et il discernait à peine ses traits de sa femme. C'est pour cela qu'il avait du mal à voir les petites grimaces qu'elle ne pouvait retenir alors que le membre de son amant commençait à aller et venir en elle.

Elle se sentait comme prise au piège à se laisser ainsi posséder sous le regard même de son mari. Elle ne pouvait cependant pas s'opposer à ses actions car, ce faisant, elle aurait révélé sa présence et donc son propre comportement.

Karl afficha alors une mine un peu détachée, la salua rapidement puis fit demi-tour pour retourner à la maison. Alors qu'il grimpait les escaliers, Dernau glissa ses mains sous les aisselles de Paola et défit un à un les boutons de son chemisier. Il commençait à jouer avec sa avec sa poitrine alors que son mari disparaissait dans la nuit. Paola abandonna alors toute résistance et se laissa faire en commençant à pousser des petits soupirs.

Il la prit ainsi en levrette dans ce débarras et ce coït dura plus d'un quart d'heure. Ce qui, avec lui, semblait presque ressembler à une éjaculation précoce. Il finit par jouir en elle et la libéra enfin. Elle s'empressa de refermer les pans de son chemisier et la fenêtre d'où on pouvait toujours la voir depuis le jardin. À nouveau, telle la petite chienne qui a été devenue, elle se remit à genoux et se mit à lécher le membre de son amant, nettoyant les quelques gouttes de sperme qui l'imbibaient encore. Si elle n'avait pas avalé le sperme des hommes auquel il la prêtait parfois, elle devait le faire systématiquement avec le sien. Elle nettoya donc consciencieusement ce pénis qui venait de la posséder sous le regard crédule de son mari.

Il reprit sa place d'origine sur cette petite chaise cachée dans l'ombre et elle comprit qu'elle avait l'autorisation de partir.

Je veux que Mégane porte ce string vendredi, lui lança-t-il alors qu'elle avait posé la main sur la poignée de la porte. Qu'elle ne l'oublie pas surtout sinon j'arrête tout! »

Elle déglutit devant cette parole trahissant ainsi l'angoisse qu'elle avait que tout cela se terminât.

CHAPITRE 3

Dernau laissa passer une bonne demi-heure après le départ de Paola avant de sortir de sa cachette. Il aimait jouer à ces petits jeux sadiques où il poussait une bourgeoise bon teint à s'avilir toujours plus. Cependant, il était allé un petit peu trop loin. Si ce cher Karl avait réalisé ce qui se passait, tout cela aurait tourné au psychodrame et jamais il n'aurait pu goûter à la petite chatte toute neuve qui l'attendait vendredi. Mais cela avait été trop tentant et bien trop jouissif. Il ne regrettait pas une seconde d'avoir profité de cette occasion.

Il sortit donc de la résidence en utilisant la porte du jardin et le fit de manière la plus discrète possible. Il rejoignit sa voiture, s'installa au volant et pris le téléphone qu'il avait laissé dans le vide poche afin de ne pas risquer qu'un appel malvenu ne révélât sa présence au cocu.

L'idée avait été bonne car il avait effectivement reçu un message. Il prit le petit appareil pour lire le message et sourit en voyant le nom de Carla s'afficher en en-tête. Décidément la soirée tournait à la perfection.

CHAPITRE 4

Vendredi soir, à la sortie du lycée. Mégane quitta la salle alors que la cloche venait de résonner. La jeune femme affichait une expression fermée alors qu'une de ses amies semblait vouloir lui raconter sa vie.

Les deux jeunes femmes progressèrent dans les couloirs du lycée puis atteignirent la porte extérieure. Son amie vit la voiture de son père et la laissa en lui faisant un grand salut de la main. Mégane lui répondit d'un geste un peu distrait alors qu'elle regardait la file de voiture qui attendaient les adolescents à la recherche de celle censée venir la chercher.

Elle n'eut pas de mal à la trouver. Même dans ce lieu qui accueillait tous les enfants de la bourgeoisie, ce n'était pas souvent que l'on voyait une Limousine. Mégane dévisagea le grand véhicule d'un blanc immaculé en sachant pertinemment qu'il l'attendait.

Un petit attroupement s'était formé à moins d'un mètre de la voiture. Garçons et filles admiraient ce symbole de luxe autant qu'ils s'étonnaient de l'incongruité de sa présence.

Mégane hésitait toujours. Elle n'avait aucune envie de monter dans ce véhicule mais elle savait aussi les conséquences de son refus. C'était là le plus incroyable de cette situation. A aucun moment, Fernand Dernau ne leur avait mis de contraintes. Il se contentait juste de leur rappeler les termes de l'accord. Elles pouvaient à tout moment dire stop mais alors tout s'arrêterait y compris les choses positives.

Tout s'arrêterait? Mais quoi en fait? Elle n'avait en réalité que de souvenirs vagues de chaque séance qu'elle passait avec ce professeur si particulier. C'était un peu comme dans un rêve. Comme si elle était dans une sorte de limbe durant cette heure qu'elle passait avec lui chaque semaine.

Pourtant à chaque fois qu'elle sortait de la séance, elle se sentait totalement au point sur l'ensemble des sujets qu'elle avait étudié durant la semaine. Elle avait aussi une force et une motivation qu'elle ne s'était jamais connue.

Mais les changements ne s'arrêtaient pas là. Elle se sentait plus calme et pleine de sérénité à l'opposé de la tempête qui la tenait quelques années auparavant. Les adultes comprenaient-ils vraiment ce que pouvait ressentir une adolescente? Certainement pas, bien qu'ils eurent eux-mêmes connus cette période étrange. C'était tellement incroyable et, quand elle se souvenait de cette époque, elle repensait à la bêtise dont elle avait fait preuve à ces moments-là mais aussi à l'incroyable angoisse et l'incertitude permanente qui la tenaient. Elle avait tenté de les combattre en montrant son indépendance et prenant des décisions absurdes. Le regard des autres était essentiel aussi et on tentait désespérément de se coller à un modèle imposé.

Depuis qu'elle avait commencé les cours, tout cela avait changé. La peur s'était estompée. L'envie de plaire aussi. Mais, étrangement, cela l'avait rendu plus intéressante pour beaucoup de ses congénères.

Non, ce n'était pas les pour bonnes notes, pour la perspective d'avenir florissante ni même à cause de la peur de la prison qui faisait que Mégane acceptait les affreuses conditions de son professeur. C'était l'idée de revenir à cet état d'angoisse, à cette insécurité qu'elle ressentait jusque dans ses rêves. Si le prix pour conserver cette paix intérieure qui lui avait tant manquée depuis le début de sa puberté était de monter dans cette voiture alors elle allait le faire en dépit des conséquences.

Le chauffeur avait patienté tranquillement pendant deux minutes puis il s'était approché de Mégane en fendant le petit groupe de lycéens. Il se contenta de saluer la jeune fille avec déférence sans montrer le moindre signe de mépris. Plusieurs jeunes gens qui suivaient la scène affichèrent des mines étonnées en comprenant que limousine l'attendait.

Elle sentit cette jalousie et cette envie que ressentaient de plus en plus ses congénères. Elle était devenue le centre de nombre d'intérêts. Elle semblait incarner la réussite à tous. Elle ne recherchait plus forcément à être dans le groupe mais se sentait quand même gratifiée par ce genre de réactions. Elle prit alors la main du chauffeur et lui emboîta le pas en direction de la voiture.

Il lui ouvrit la porte et elle monta sans un mot. Il ferma derrière elle doucement puis se dirigea vers l'avant. Mégane jeta un dernier un dernier regard à l'intention du petit groupe d'adolescents qui ne s'était pas encore disloqué. Elle ne put retenir un sourire en voyant les mines défaites de certaines jeunes femmes.

CHAPITRE 4

La voiture s'éloigna donc doucement du lycée. La petite satisfaction de lire la jalousie dans le regard ses rivales estompa rapidement et Megane retrouva cette gêne terrible. Elle allait passer le week-end entier avec un homme qui avait plus du double de son âge qui comptait bien faire d'elle une « femme » comme il disait. Il y avait eu une contrainte supplémentaire à son petit contrat quand sa mère l'avait accepté. Elle devait se présenter totalement vierge à cette première rencontre. Depuis le moment où elle avait commencé les cours, elle avait interdiction de fréquenter le moindre garçon afin de se réserver pour Fernand Dernau.

En bon élève studieuse, elle avait parfaitement suivi les consignes de son professeur et était devenue une sorte de reine des glaces qui faisait fantasmer bien les garçons de son lycée. Il fallait dire, qu'au au fil des années, son physique s'était affiné pour différentes raisons. Elle était devenue incroyablement séduisante. Bien plus que ne l'était cette jeune collégienne qui avait failli se faire violer sur la banquette arrière d'une voiture par un apprenti voyou issu de la bonne société.

Une vitre opaque séparait le chauffeur de l'arrière de la voiture et celle-ci s'abaissa doucement.

J'ai reçu cette certaine consigne, fit-il sur un ton totalement neutre. Monsieur Dernau m'a demandé de vérifier si vous portiez bien le vêtement qu'il vous a offert. Vous devez me le montrer maintenant. Je dois prendre une photo et l'envoyer afin de prouver que vous avez respecté votre part du contrat. »

Il parlait sans émotion calmement comme s'il lui demandait de montrer sa carte d'identité ou un quelconque ticket de cinéma. Elle ne savait pas s'il avait parfaitement conscience de ce qu'il lui demandait ou non.

Ici? Demanda-t-elle en rougissant. Maintenant?

Ce sont les consignes, répondit-il toujours aussi calme en garant la voiture. Je me doute que ce n'est pas facile pour vous mais monsieur Dernau a été clair. Il m'a bien précisé vous n'étiez pas obligée mais que, si vous refusiez, je devais vous ramener immédiatement chez vous et que votre contrat serait alors rompu. Avec effet immédiat.

Qu'est-ce que je dois faire?

Relevez votre jupe jusqu'au-dessus de vos fesses et écartez vos cuisses »

Toujours aussi rouge, Mégane il se releva un petit peu pour exécuter les consignes du chauffeur. Dans cette position, le petit string en soie semi-transparent était parfaitement visible et, au travers du fin tissu, son intimité surmontée de ce petit fin duvet châtain qu'elle entretenait étaient parfaitement discernables.

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