De Mari à Esclave Ch. 19

Informations sur Récit
De mari à esclave.
2.4k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 19 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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C'est Maitresse Patricia qui me réveille aller ta punition est terminer, Robert s'habille et voit Maitresse Patricia qui paye Lady Chatou.

On part en auto vers sa villa, arriver elle m'ordonne de aller prendre une douche et revenir.

Ce matin, après m'avoir douché, nourri Elle me mit deux suppositoires à la glycérine, Maitresse Patricia m'a fait revêtir un ensemble short de cycliste particulier, le rembourrage qui protège les fesses et les parties a été modifié, il est fixé par des bandes velcro, ce qui permet de dévoiler le sexe et les fesses en un rien de temps.

Le haut ressemble à un tee-shirt de lycra noir qui adhère fortement à la peau et de grands ronds on été façonnés pour laisser les seins apparents. Dans le dos, j'ai vu les inscriptions type publicité « aime la pénétration ».

Maitresse Patricia me passe une ceinture avec des menottes de chaque côté et y fixe mes poignets puis m'emmène dans une aile du mas que je ne connais pas encore.

C'est une salle de sport aménagée avec des accessoires que l'on voit rarement dans ce genre de lieu. Je ne l'avais jamais encore vu cette salle

- Comme tu peux le constater, ce matin c'est tu fait du sport sexuel avec son sourire sadique, me dit-elle en accrochant ma laisse à un des anneaux fixé dans le mur de bon client qui paye bien obéie leur bien sinon retour chez Lady Chatou? Robert fait gulp avale croche dit oui je suis a vous ordre Maitresse Patricia qui se met à sourire.

Quelque temps plus tard Maitresse Patricia arrive accompagnée d'un homme d'une quarantaine d'années. Elle lui rappelle qu'il ne dispose que d'une heure car d'autres clients doivent arriver. Le client ne semble pas apprécier d'être pressé.

Aussitôt la porte fermée, il détache ma laisse et me tire sans ménagement vers ce qui ressemble à un vélo. La selle a été modifiée, la partie arrière a disparu et une barre dépasse légèrement. Sur cette barre, le cycliste visse un gode de bonne taille et me demande de m'empaler dessus. Avec beaucoup de difficultés je monte sur le vélo et doucement je tente de faire entrer le gode dans mes fesses. Il m'attrape par la taille et m'empale brutalement. Les suppositoires venaient juste de commencer à fondre et c'est presque à sec que le gode force mon anus et mes couilles s'écrasent sur la partie restante de la celle.

Je pousse un cri mais il semble indifférent à ma douleur, il a une heure et compte bien en profiter pleinement. Il fixe mes pieds sur les pédales au moyen de sangles puis lie mes poignets au guidon lui aussi modifié car abaissé et surmonté d'une mini banquette. Ma laisse, enroulée à la barre du cadre, m'oblige à être penché, la tête en avant.

- Allez Robert, pédale, me dit-il en me posant sa casquette de cycliste sur la tête.

Comme je ne démarrais pas assez vite à sa guise, il me donne de violentes claques sur les fesses. Au premier tour de roue, je sens le gode s'enfoncer dans mes entrailles et y faire des vas et vient. Comme je ne vais pas assez vite, il prend un fouet et me distribue une volée de coups. Le gode prend également de la vitesse et me défonce littéralement. Il se poste devant moi, retire son short, s'assoit sur la banquette posée sur le guidon et me fait entrer sans ménagement sa queue dans la bouche.

- Suces!

Je me vois contraint de le sucer, pédalant et pris en même temps par le gode qui monte et descend dans mes reins. Presque étouffé par les va et vient dans ma bouche, j'arrive avec peine à respirer. Mais il ne reste pas bien longtemps dans ma bouche, il se retire et descend du vélo. Il fixe un double martinet équipé de lanières des deux cotés à la roue puis me colle à nouveau des claques pour que je me remette à pédaler. Quand je pédale, le gode se remet en mouvement et le martinet qui se met à tourner avec la roue me cingle les fesses. Il est vrai que pour des plaisirs solitaires, un tel vélo à la maison doit être agréable.

Je commençais à éprouver du plaisir mais la suite est moins agréable. Il fixe d'énormes pinces à la pointe de mes seins, elles sont reliées entre elles par une chaînette vraiment très, très longue. C'est lorsqu'il s'est allongé sur la banquette du guidon en me présentant ses fesses devant le nez que j'ai compris le pourquoi de la longueur de la chaînette.

- Maintenant on va faire la course roue dans roue et le nez dans le cul, comme on dit chez nous. Quand je tire sur tes seins tu accélères y compris les mouvements de ta langue, quand je relâche tu ralentis. Attention, c'est parti.

La chaîne se tend, j'entreprends alors de lui lécher les fesses.

- Idiot, le cul pas les fesses, me dit-il en tirant violemment sur la chaîne.

Contraint et forcé, je fais descendre ma langue entre ses fesses à la recherche de son anus. C'est malheureusement parfumé et sent la transpiration. Je suis convaincu qu'il est venu en vélo. Je me force et manque vomir. La chaîne se tend de plus en plus je me lance et lèche franchement. Il a le cul poilu, c'est ignoble! Je suis peut-être maso mais là je n'apprécie pas du tout. Pour y parvenir, je me concentre sur le gode qui continue ses vas-et vient et sur les coups de martinet que je me distribue en pédalant.

Après un temps que je trouve horriblement long, il me demande d'arrêter et se lève. Il passe derrière moi et me fait lever en appui sur les pédales, je le vois retirer le gode et la barre qui l'actionnait. Le cycliste se met derrière moi et me fourre sauvagement sa queue dans le cul puis me demande de pédaler. Il reçoit à ma place les coups du martinet tournant. Il me prend de plus en plus rapidement. Il me balance des mots très crus, me traitant de pédale et de petite salope en me faisant pédaler de plus en plus vite. Mon plaisir monte doucement car pédaler avec une bite dans le cul et le sexe qui frotte sur la selle commence à m'exciter. Mais hélas, je sens qu'il va venir trop vite, ses grognements me le confirment.

Lorsqu'il éclate, il pousse des grognements que dis-je il beugle. Il me demande d'arrêter puis vient s'asseoir à nouveau sur le guidon pour me forcer à le nettoyer. Cet homme est vraiment un cochon mais je résiste. La claque que je reçois est violente et me dissuade de résister trop longtemps. Je prends son sexe dans ma bouche pour le sucer, le goût est amer et acre mais je suce ardemment pour en terminer au plus vite. Soudain il se lève, enfile son short, récupère sa casquette et s'en va précipitamment.

Maitresse Patricia arrive quelques minutes plus tard, me détache puis m'accompagne au cabinet de toilette pour me refaire une beauté. Après m'avoir remis le bas du short elle me raccompagne à la petite salle où je retrouve mon anneau.

Deux nouveaux clients arrivent, l'une est petite mais une femme musclé, l'autre, l'autre me membre tremble de peur le regarde de la tête au pied gulp, c'est un géant noir baraqué, je m'affole. Ils connaissent apparemment bien les lieux et semblent être des habitués.

La petite femme musclé détache la laisse et me dirige fermement vers un appareil de musculation.

- Tu vois, un appareil de musculation peut devenir érotique, me dit la petite femme musclé. Avec les bras il faut resserrer deux barres métalliques elles sont accouplées à un système de poids qui montent et qui descendent. Tu vas faire du sport érotique.

Le grand noir me tient fermement pendant que son amie me lie les poignets aux barres. Ensuite, ils m'aident à resserrer les barres, accrochent des pinces à mes seins et les relient aux barres avec des petits sandows.

- En terme clair, soit tu es bien musclé et tu gardes les barres serrées pour que cela ne tire pas sur les pinces, soit tu les laisses s'ouvrir et tu va souffrir mes ses toi qui décide me dit la petite femme musclé avec son sourire sadique, mais c'est toi qui choisis. On augmentera au fur et à mesure les poids, grâce à nous tu vas faire de la musculation. Attention on lâche.

Les barres se sont écartées subitement et mes seins se sont tendus sur les côtés. La douleur est fulgurante, immédiatement je resserre les barres mais l'effort est énorme. La petite détache le bas de mon short, attrape mes testicules et commence à les serer fermement. Elle s'accroupit entre mes jambes et entreprend de me faire une fellation. J'ai mal aux couilles et aux seins mais sa langue qui se promène autour de mon gland provoque mon érection. D'une main, Elle tient mes testicules en les tirent vers le bas et de l'autre elle prend ma queue bien à fond puis elle lèche goulûment.

Je sens un doigt inquisiteur passer entre mes fesses et se glisser dans mon anus. Le noir est en train de me préparer, son doigt tourne et retourne, étire mon sphincter. Mes bras se relâchent, aussitôt mes seins sont étirés et la douleur me rappelle à l'ordre, je resserre immédiatement les barres.

- Allez, dit le géant noir, maintenant on va jouer pour savoir qui te saute. C'est simple, on rajoute des poids et on prend les paris sur ta résistance. Je vais te fourrer un gode dans le cul, le moment où tu le feras tomber fait aussi partie du jeu.

La petite dépose des poids sur l'appareil. Cela tire sur mes bras mais je résiste pour que mes seins ne soient pas étirés, clac en même temps je reçois un coup de fouet puis quatre autres supplémentaires. Je me déconcentre laisse s'écarter mes bras et sens mes seins s'étirer. La douleur devient intolérable, je laisse le gode s'échapper.

Le noir éclate de rire, « va pas tenir longtemps celui qui aime la pénétration a un sourire gulp ». Il passe le fouet a la petite femme musclé et entreprend de rajouter des poids pendant que son amie me refourre le gode dans le cul. Je reçois encore cinq coups de fouet mais je résiste à la tension des poids et serrant les fesses, j'arrive à conserver le gode. Aussitôt ils changent les rôles et recommencent le même jeu. Je craque, mes bras ne peuvent plus résister, je laisse les barres s'écarter, les pinces attachées à mes seins s'arrachent me provoquant une douleur horrible. J'ai l'impression qu'ils s'arrachent, le gode s'est encore une fois échappé de mes fesses.

- J'ai gagné s'écrie le noir, veinard lui répond la petite mais heureusement j'ai un lot de consolation.

Le noir retire des poids, resserre les barres et me fixe à nouveau les pinces sur mes seins.

- Le lot de consolation, c'est de te mettre le cul en feu, mais c'est toi qui décide d'arrêter quand tu veux. Il suffit d'écarter les barres. Si au bout de 50 coups tu n'as pas lâché les barres, je te retire les pinces, ou alors, tu te les retires tout seul et il s'arrête de te frapper, c'est toi qui décides.

Le jeu est pervers, soit j'arrache les pinces et je déguste des seins, soit je reçois les 50 coups de fouet. J'hésite car lorsque les pinces s'arrachent c'est horrible. Les coups commencent à pleuvoir, la petite n'y va pas de main morte. Les fesses étant déjà douloureuses à cause du client précédent, je décide soudain d'arracher les pinces mais c'est terrible car je souffre un maximum. Aussitôt, le noir prend mes seins entre ses doigts et commence à les faire rouler puis à les lécher. C'est à la fois bon car sa langue adoucie la douleur sur un de mes seins et l'inverse pour l'autre.

Au bout de quelques minutes, ils me détachent et me font allonger sur une banquette. Le noir pose son short et laisse apparaître une queue gigantesque. A ce moment là, je suis sûr qu'il va m'éclater et me déchirer. La petite retire son short et s'assoit devant moi. Elle s'amuse à me gifler avec sa main. Pendant ce temps, le noir enduit abondamment mon cul de lubrifiant faisant entrer et sortir ses doigts pour en faire entrer un maximum. Puis je sens sa grosse tige dure contre ma raie je frissonne de peur. Il me dit :

- A ta place, j'essayerai de me détendre, sinon tu vas le sentir passer!

Je ressens une douleur, je tente de me soustraire. Il me bloque de ses bras puissants et force mon passage. Je sens mon anus s'ouvrir, et cela me semble sans fin. Je ferme les yeux, il claque mes fesses, inconsciemment je me relâche, une brûlure intense me vrille le bas du dos. Il me tient les hanches de ses deux mains puissantes et continue à entrer. Il souffle et pouce des hum, hum et commence ses allers et venues, doucement, puis de plus en plus rapidement. Sa grosse queue me chauffe. J'ai l'anus en feu. J'ai l'impression d'être empalé, ouvert en deux, il m'encule maintenant si fort que je ne sens même plus ses allers et venues, seulement cette chaleur intense irradiante, je hurle de douleur et de bonheur.

La petite musclée en profite pour me fourrer son sexe dans la bouche. Je délire complètement mais je dois l'avouer c'est bon un gros noir. Je m'applique, je suce avec délice la chatte de la petite qui est également affamer de sexe. Au bout d'un moment sa cyprine se répand dans ma bouche en gémissant, le noir accélère ses mouvements, je sens que la délivrance approche mais aussi le plaisir monter en moi. Mon sexe frotte contre le cuir depuis un moment, je suis très excité. Soudain j'entends un râle de plaisir, je sens sa queue qui se vide en moi, mais au lieu de s'arrêter il entreprend de grands mouvements. Mon sexe frotte de plus en plus fort sur la banquette et lorsque le noir me plante sa queue le plus profond qu'il peut dans un dernier mouvement, je jouis à mon tour.

Lorsque Maitresse Patricia est revenue me chercher, je dormais profondément le cul à l'air la tête posée sur la banquette.

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