De Mari à Esclave Ch. 18

Informations sur Récit
De mari à esclave.
3.3k mots
4.5
1.3k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 18 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Robert se réveilla brutalement en sursaut, comme sortie d'un cauchemar. La première chose qu'il récent fut. La chaleur. Lorsque sa vue fut. Plus clair, iL vit un plafond vouté en Pierre. On devinait des arches plus loin. La lumière de la pièce était douce et mouvante.

Sons regard se porte au-dela de lui. La salle était plus petite, plus intime, ses parois capitonnées. Tous les bruits semblaient absorber. Toute une série de fauteuils comfortable longeait un des murs. IL y régnait une odeur indéfinissable. Animal presque.

Dans cette salle seul trois tables de supplices étaient présentes.

Une magnifique croix très basse à l'horizontal, en bois massif et poli. Cette croix était surmontée d'un appui tête capitonnées.

Des sangles tombaient au sol à différent niveau de leur support, n'attendant que leur prochaine victime. Seules les attaches des chevilles étaient différentes: des ferres capitonnées en metal, mais avec un système qui devait remonter sur le coup de pied. Ce système enclenché, Robert supposa qu'il devenait impossible de tendre ses pieds en arrière pour échapper à un supplices.

Les deux autres tables étaient identiques. Rectangulaires toutes deux avec des courroies en haut, en bas ainsi qu'une autre plus large en son centre.

Leur originalité était qu'elles étaient trouées. Un trou en haut et un trou plus étroit au centre.

Robert ne sut pas leurs utilités et ne chercha pas à savoir plus.

IL voulu bouger et là stupeur: on l'avait attaché. Pas vraiment attaché mais Pluto soudé à une table.

IL paniqua, continua à se débattre, mais rien ne bougea plus.

IL cria au scours pour qu'on le libère. Rien.

IL était seul et totalement immobile.

Robert se força à se calmer. Sa respiration redevint plus régulière et il commença à réaliser sa situation.

IL était sur une table en forme de Y inversé.

Ses jambes étaient écartées et bloquées à chacun des prolongements de ce Y par de solides sangles en cuir aux niveau des chevilles et au dessus des genoux.

Ses mains étaient aux dessus de sa tête. Mais autant que le bas de son corps était dans une position « comfortable », que pour le haut du corps iL subissait une traction.

On lui avait étiré les bras le long de la table. La tension était supportable mais le solidarisait totalement à la table. Cet étirement rendait son torse complètement immobile, son ventre se creusait un peu et faisait saillir ses côtes.

Robert était presque nu. On ne lui avait laissé que son sous-vêtement: un boxer.

Robert avait chaud. Très chaud. il Tourna la tête. iL vit une magnifique cheminée dans le fonds de la salle.

Elle fonctionnait à plein régime, diffusant sa chaleur comme pour lutter contre une journée hivernale qui n'existait pas.

A la lumière de ce feu, il vit d'autres tables et des chevalets. Tous portaient des sangles, cordes, ferres et chaînes.

Une boule d'angoisse contracta son estomac.

IL était dans une salle de torture!

Sa punition pour quoi Maitresse Patricia et Maitre Barthélémy l'envoyais se faire punir ici.

IL Tourna son visage de l'autre côté cette fois.

Et ce qu'il découvrit le laissa sans voix.

A une bonne trentaine de pieds de lui, une seconde table identiques à la sienne lui apparue.

Une femme entièrement nue y était attachée de la même manière que lui.

Mais en y prêtant plus attention, il y avait des variantes à ses attaches. IL devinait qu'elle portait une astreinte au niveau de sa bouche. Un bâillon boule peut-être.

Une large sangle bloquait sa tête entre ses avant bras, lui empêchant de la tourner ou de la relever.

Et surtout ses chevilles étaient bloquées dans des carcans individuels et chacun de ses orteils étaient étirés en arrière par une fine lanière à des petits cliquets situés en haut des carcans.

Ses plantes de pied et orteils étaient parfaitement immobilisés par cette tension.

Sa position et son mutisme forcé expliquent son manque de réaction lorsque Robert avait appelé à l'aide tout à l'heure.

IL se sentait moins seul dans son désarroi mais encore plus inquiet.

D'où il était, il pouvait assez peu distinguer la femme attachée. Elle semblait assez sportive, d'une constitution solide, brune, peut-être les cheveux courts.

De profil, il pouvait admirer sa poitrine qui semblait bien plantée et ferme.

Elle devait l'entendre sans pouvoir le voir et lui répondre. Troublant.

Soudain, il fut sorti de sa rêverie par de nombreux bruits de pas qui s'approchaient d'eux. Cela raisonnait; on descendait un escalier. IL était dans une salle de torture en sous-sol, dans des soupiraux ou anciens cachots.

IL se sentait désespérément isolé du monde réel.

Un bruit de serrure métallique et ancienne confirma ses craintes. Une porte qu'il ne pouvait voir d'où IL était s'ouvrit. Lourde, épaisse. IL sentit une légère fraîcheur entrer dans cette salle surchauffée.

IL entendit trois démarches différentes don't une avec des talons.

« Je constate avec plaisir que vous êtes enfin réveillé Robert! » dit une voix de femme.

Et là, Robert les vit enfin, ils étaient arrivés à hauteur de sa tête.

Deux hommes avec le torse nu, puissant, ne portant qu'un pantalon en cuir et une cagoule qui ne leur couvre que le haut du visage. La caricature du bourreau.

Leurs visages étaient impassibles, durs, Ils encadraient une magnifique créature. Grande, svelte, les cheveux noirs, des yeux splendides s'ils n'y avait cette petite étincelle de méchanceté, de qui instinctivement vous deviez vous méfier.

Elle était presque feline, ses yeux, ses mains fines aux ongles parfaitement entretenus...une sauvagerie domptée.

Elle portait une longue robe noire qui cachait bien peu de chose de sa belle silhouette.

Une gorgone, une amazone, une mangeuse d'homme, une beauté inquiétante.

Sa voix était décidée, autoritaire et on devinait qu'elle pouvait aussi feuler comme une lionne pour amadouer n'importe quel homme.

« Appréciez-vous ce décors et votre position forte attrayant pour moi? »

C'est vrai que le spectacle qu'elle admirait était de qualité. Robert était très attirant. Elle l'admira en détail.

Son visage est énergique. Ses yeux soutenaient son regard...l'impertinent.

Musclé, mais sans plus, racé plutôt. Un torse large mais élégant. Légèrement velu à la poitrine et d'où partait une petite ligne discrète de poils qui descendaient pour devenir un fin duvet recouvrant le ventre.

Son boxer cachait son intimité tout en mettant en valeur des formes pleines de promesses.

Ses jambes sont plus velues, puissantes.

Ses pieds sont beaux, bien entretenus, le dessous bicolore comme tout pied sensible digne de ce nom.

En résumé, c'était une très belle proie. Cela va être un véritable plaisir de le tourmenter des manières des plus sadiques qu'il soit.

« Je vous ai appelé par votre prénom pour la première et dernière fois! Sachez que maintenant vous n'êtes plus qu'un simple mâle bon à supplicier, soumettre et commander! ».

Cette femme est folle!! Dangereusement folle!

Elle va le torturer et ses aides vont la seconder...qu'allait-il lui arriver? Le brûler, le taillader, l'écraser?

Soudain, il pensa à sa rébellion devant les clients ses fautes commises conséquences que cela a peut-être eues avec sa situation actuelle.

Non, tout de même pas. Il refusait de croire à cela. Sa passion fut toujours pour chatouiller des femmes pour amuser les filles quand il était adolessant, mais pas pour être lui-même chatouillé!

Il se sait très chatouilleux. Sa position d'homme et ses muscles l'ont toujours protégé naturellement aux petites chatouilles suite à des jeux avec quelques Femmes. De gentilles bagarres entre amants.

Mais là, presque nu, totalement immobilisé et offert à cette femme dont sa capacité ne fait aucun doute, il sait qu'il ne tiendra pas longtemps.

A son plus grand soulagement, les trois bourreaux se dirigèrent vers la table voisine à la sienne.

La Lionne (surnom qu'il donna immédiatement à cette femme terrible) se dirigea vers les pieds de la femme immobilisée.

Cette dernière, même bâillonnée, sa panique est palpable. Elle sait se qui l'attend.

Et ses plus grandes craintes et fantasmes se déroulèrent devant les yeux de Robert. Il ne pouvait plus quitter la scène des yeux.

La Lionne approcha ses mains d'un des pieds de sa victime et ses ongles commencèrent à gratter délicatement le creux de la plante du pied. Méticuleusement.

La réaction fut immédiate, malgré le bâillon, des gémissements pathétiques se font entendre.

Un des aides bourreau s'installa devant l'autre pied; et le bal commença.

Une danse immobile, où la victime hurle intérieurement, panique, perd totalement le contrôle de son corps.

La Lionne semble se nourrir de ces hurlements étouffés.

Robert est fasciné par ce spectacle, plaint de tout cœur sa voisine et en même temps il sent son sexe durcir de désire.

Il a honte, il voudrait disparaître sous terre pour cacher cette réaction.

Pourvu que la Lionne ne remarque pas cela.

Mais pour l'instant, elle est bien trop occupée. On sent son plaisir à tourmenter sa proie

Cette dernière devient vite couverte de sueur. Elle n'en semblait que plus belle pour Robert.

Elle vivait l'enfer, mais lui continuait à la contempler.

Le 3ème bourreau, sur un signe de tête de sa Maîtresse la Lionne, se positionna sur le côté de la victime, celui qui ne gênait pas la vue de Robert.

La Lionne et son aide arrêtèrent soudainement de chatouiller les pieds de la jeune femme.

On l'entendait souffler, tenter de reprendre sa respiration. Elle semblait épuisée et cela sans faire un seul mouvement.

Et le 3ème bourreau commença son office seul. Il caressa les aisselles de la femme, tout doucement, de la pulpe des doigts. Commença à accélérer ses mouvements de doigts, y mettant un peu plus de pression. Il souriait tout en taquinant cette peau offerte.

A ce moment, Robert constata un détail qu'il n'avait pas remarqué à son réveil : on lui avait rasé les dessous de bras... « Mon Dieu, je serai bien la prochaine victime!! ».

L'officiant commença à attaquer plus sérieusement le torse de sa victime.

Par un regroupement de 3 doigts, il palpa de chaque côté la base de des seins. L'effet fut ravageur. Les hurlements étouffés reprirent de plus belle. Enfin, il lui fit subir la pire des craintes pour Robert : le bourreau pris à pleines mains les flancs et les côtes de sa proie.

Ses doigts fouillèrent tout les muscles de cette zone, suivirent les dessins des ses côtes, descendirent sur son ventre, pour revenir de plus belles sur les seins ou aisselles. Et cela dans un éternel recommencement.

La pauvre fille n'en pouvait plus de hurler.

Et tout cessa brutalement.

La Lionne et ses aides regardèrent la femme, tous satisfaits du résultat qu'ils contemplaient.

Et leurs 3 visages se tournèrent ensemble lentement vers Robert, dont l'un le terrifiait d'avance tant qu'il montrait un appétit féroce...

« La Lionne » s'approcha lentement de lui. Ses deux aides restèrent en arrière, en spectateur.

Elle le contempla, sourit lorsque son regard s'arrêta sur son entre jambes. Son excitation se voyait encore. Sa peur le calmait un peu, mais pas encore assez vite pour échapper à cet examen de contrôle.

« Je constate que le spectacle vous a plu, mais maintenant cela va être à vous de chanter un peu.

Comme vous pouvez le remarquer, vous n'êtes pas bâillonné. Je veux vous entendre crier, rire, hurler, me supplier d'arrêter. Ne connaissant pas encore votre corps ; vous entendre me servira de repère pour les autres séances à venir ».

« Aujourd'hui, je vais juste explorer votre potentiel, et seule, sans mes aides ».

Une vague de mécontentement se fit sentir derrière elle. « Seule, j'ai dit! ».

Un silence absolu régna dans la salle. Seul le feu crépitant et la respiration encore irrégulière de la jeune femme torturée venaient rompre ce vide.

Je m'appelle Lady Chatou dit tout sa avec son sourire sadique, elle vient calmement se rapprocher de Robert. Du bout des doigts, elle effleura sa poitrine, son ventre, remonta le long d'un des flancs et finit son mouvement dans le creux d'une aisselle.

Ses ongles commencèrent à titiller ce creux, en même temps, elle fit de même pour l'autre aisselle.

La peau tendre et fragile des aisselles rasées de Robert fut soumise à des frôlements et grattements qui devinrent vite difficiles à supporter.

Il serrait les dents, prit sur lui, banda tous ses muscles pour tenir.

Son effort amusa beaucoup « lady Chatou ». Elle commença à promener ses doigts le long des côtes.

A se demander si elle ne savait pas d'avance l'endroit où il ne fallait surtout pas aller!

Ses doigts caressaient doucement ses flancs, la respiration de Robert devient plus rapide, c'est à celui qui guettait le plus l'autre.

Ses doigts se firent de plus en plus pressants, attendant les premiers signes où la muraille allait se fissurer.

Robert tenait désespérément sous ces caresses irrégulières, il tentait d'étouffer le gémissement qui le trahirait définitivement aux yeux de son bourreau.

Mais ces maudits doigts n'arrêtaient pas. Maintenant, ils le fouillèrent, le palpèrent, puis à pleines mains, massant les muscles, les nerfs....et ...il craqua...

Ce fut un véritable hurlement de bête. Sa vaine résistance avait amplifié ce premier cri.

Comme un enfant à la naissance, mais le monde qu'il découvrait était un enfer.

« Lady Chatou » n'arrêtait pas de lui chatouiller les côtes, les aisselles. Il criait, suppliait déjà, rien n'y faisait.

Cette immobilité le rendait fou, la torture était intense et son univers s'effondrait.

Elle cessa enfin sa torture. Il soufflait comme un poisson sortit hors de l'eau de son bocal. Les deux aides le regardaient en souriant devant le spectacle qu'il devait leur offrir.

« Lady Chatou » s'approcha de son oreille et lui murmura :

« Bon. C'est bien. Un très bon début pour l'avenir. Calmez-vous. Ce n'est pas bien méchant...calme, tout doux. Voyons voir votre sensibilité sous les pieds maintenant ».

Robert reprenait confiance. Il se savait modérément sensible à cet endroit, pourquoi cela changerait?

Il avait oublié quelques détails : la chatouille intense de son torse l'avait fragilisé, sa température avait augmenté et la chaleur étouffante de la salle. Tout cela allait le rendre bien plus réceptif.

Et « Lady Chatou » le savait.

Elle s'installa devant le pied droit de Robert. Elle appela un des ses servants pour l'autre pied.

Et là, elle prit son temps. Elle frôlait le côté du pied, revenant sur le dessus des orteils, pour encore revenir sur les côtés du pied. Jamais aucun de ses deux bourreaux ne le touchèrent réellement sous les plantes de pied.

Mais ce petit jeu était déjà assez sournois. Robert s'aperçu vite qu'il était déjà très sensible. Ces secteurs bourrés de nerfs étaient entrain de lui jouer de mauvais tours.

Les réflexes devinrent impossibles à contrôler.

Enfin «Lady Chatou » bloqua son pied au niveau de ses orteils et commença à frotter doucement sa plante de pied avec ses ongles. Son aide fit de même.

Robert reçu comme une décharge électrique. Il était terriblement chatouilleux sous les pieds. Ses nerfs étaient entrain de frire sous d'atroces chatouilles. Il rit, à pleine gorge, un mélange de cris, de rires, de mots incompréhensibles envahirent la salle. Mais comme cette dernière, ses bourreaux en avaient déjà entendu d'autres.

Sa peau fut testée avec minutie, ses orteils écartés pour découvrir des zones encore plus insupportables.

Robert tentait d'éloigner ses pieds de ces vingt doigts intransigeants. Mais dès qu'il plissait ses plantes pour tenter de se protéger, on le chatouillait sur le dessus ou sur les côtés du pied. Il tentait de retirer ses pieds en arrière, on se glissait entre ses orteils.

Après un siècle, ses bourreaux stoppèrent leur travail. Il était en sueur. Épuisé.

« Lady Chatou » le contempla. Très calme, sure d'elle, imperturbable. Elle préparait une suite...

« Messieurs, j'ai à faire avec notre invité, je vous confie donc notre jeune femme. Amusez vous un peu avec elle, mais je vous le rappel : je ne vous autorise que ses pieds! »

Les deux servants ne se firent pas répéter deux fois leur ordre et laissa « Lady Chatou » seule avec : son invité.

« Lady Chatou » quitta momentanément le champ de vision de Robert.

Ce dernier vit une scène qui restera longtemps dans sa mémoire. Il était épuisé, mais il suivit des yeux les deux servants. Ils s'étaient installés chacun sur un tabouret près des pieds de la jeune femme.

Robert sentait la nervosité de cette dernière.

Et les deux servants commencèrent à lécher les pieds de leur victime. Comme de petits animaux, mais avec le vice d'un homme.

Robert n'eu pas le temps de contempler d'avantage le calvaire de sa voisine, « Lady Chatou » revenait auprès de lui.

Elle tenait un ciseau à la main. Il craignait le pire. Et le pire arriva.

« Lady Chatou » découpa délicatement son boxer. Il se retrouva totalement nu devant cette créature infernale.

« Lady Chatou » le caressa machinalement près du sexe. Ce contact l'empli d'effroi car il sentit tout de suite qu'on l'avait également rasé à cet endroit. Il était aussi imberbe qu'un enfant.

Elle montra deux belles plumes devant le visage de Robert qui devina sans problème son futur supplice.

Des plumes de quatre pouces, très souples, avec une pointe un peu arrondie.

Elle se positionna entre ses jambes et commença à promener les plumes sur son sexe. Patiemment.

Robert aurait trouvé en d'autre circonstance ce jeu certainement très érotique et provoquant. Sa partenaire de jeu n'aurait guère attendu pour subir les conséquences de son acte, mais là, le jeu devient redoutable.

Il était soudé à cette table, il se sentit à merci de cette femme qui allait manipuler son désir comme une marionnette.

Mais il découvrit aussi un autre mélange. Plus le moindre poil ne le protégeait des passages des plumes.

Ses hanches totalement bloquées augmentaient la sensation d'excitation et de chatouilles. Un subtil mélange. Enfin une autre chose vint attiser son supplice, il entendait les gémissements de sa voisine et savait la torture qu'elle subissait. Les langues de ses bourreaux entre ses orteils, ses plantes de pied devenues brillantes de salive.

Son supplice devait être bien pire que le sien, mais il se doutait très bien que son sexe devait être autant en feu que le sien en ce moment.

« Lady Chatou » continuait son office, elle savait que ce supplice allait vite être insupportable.

Le sexe de Robert en devient douloureux de désir. Mais il était entre des « mains expertes ». Les plumes venaient varier le supplice en s'attaquant plus particulièrement à ses testicules. L'effet de chatouilles prit le pas sur l'excitation.

Ces plumes avaient leur vie propre, jamais de mouvements coordonnés, jamais prévisibles, l'une passait le long de sa verge, l'autre taquinait l'arrière de ses testicules.

Son sexe devenait en éternel désir, un désir immobile et sans espoir d'explosion.

Les chatouilles prenaient de plus en plus d'importance. Il ne pouvait soupçonner qu'on pouvait devenir aussi chatouilleux à cet endroit. Ses testicules, l'intérieur de ses cuisses, les chairs tendres du pourtour immédiat de son sexe devenaient aussi sensibles qu'un corps de femme.

Il haletait, poussait de petits rires incontrôlables. Il aurait donné n'importe quoi pour qu'elle s'arrête ou qu'elle le laisse au moins jouir.

Elle appela ses aides. Sur un signe de tête, ils commencèrent à chatouiller Robert sans aucune recherche, ils exécutaient leur office sans état d'âme. Ils se mirent de chaque côté de lui et quatre mains malaxèrent ses flancs. L'un s'occupait plus des flancs et du ventre, l'autre pour les côtes, la poitrine et les aisselles.

Robert hurla comme jamais il hurla, des cris de panique totale, d'impuissance.

12