Dans les Méandres de l'Ombre 02-05

BÊTA PUBLIQUE

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Je ressens une étrange satisfaction en accomplissant ces actes. Obéir à Elias, agir comme son bras droit, m'apporte un sentiment de plénitude. Je me sens importante, essentielle à la réalisation de ses desseins. Cette sensation m'enveloppe, une douce affirmation de ma nouvelle identité dans ce monde obscur. Elias, lui, s'installe confortablement dans un fauteuil en retrait, son expression détachée, presque royale. Chrystel est à genoux à côté de lui. Le bras tendu, elle le masturbe doucement le laissant admirer le spectacle que je lui offre. Sa main longe toute la longueur de la tige qui se tend.

Maï, maintenant immobilisée sur la croix, est l'image de la peur pure. Ses yeux parcourent la pièce, cherchant désespérément une échappatoire, une once de pitié dans mon regard. Mais je ne suis plus la personne qu'elle pourrait implorer pour de la compassion. Sa terreur abreuve la lave qui corrode et détruit mon empathie. Mon visage est impassible, un masque de détermination forgé dans l'acceptation de mon rôle aux côtés d'Elias. Je me tiens devant Maï, attachée et vulnérable et, avec assurance, je commence à lui dicter les règles de sa nouvelle réalité.

- Tu dois obéir, Maï, lui dis-je, ma voix ferme et sans appel. Et chaque fois que tu t'adresses à Elias, tu diras 'oui maître'.

Je peux voir la confusion et la peur dans les yeux de Maï, mais aussi une étincelle d'incompréhension, comme si elle ne pouvait pas croire que cela lui arrive réellement. Pour renforcer le message, pour graver les règles dans son esprit, je saisis le fouet. Chaque coup est un mot brutal, une ponctuation cruelle qui souligne son absence de choix. Sa peau juvénile marque rapidement et je m'acharne sur ses seins que je trouve si jolis. Je ne suis pas juste en train de discipliner Maï ; je fais une démonstration à Elias. Chaque geste, chaque regard que je lance vers lui est chargé d'un zèle fervent, une volonté de lui montrer que je suis non seulement capable, mais aussi passionnée par le rôle que je joue à ses côtés.

Chrystel, présente mais effacée, s'occupe d'Elias, massant doucement sa longue queue. Lui, confortablement installé, observe la scène avec une satisfaction évidente. Son regard alterne entre Maï, qui apprend douloureusement à accepter sa soumission, et moi, qui me montre digne de sa confiance et de sa tutelle. Il semble apprécier le spectacle. Chaque mouvement de Maï, chaque frisson de douleur, et chaque coup de fouet que je donne renforcent le lien pervers qui s'établit entre Elias et moi.

Après un temps qui semble s'étirer indéfiniment, marqué par les claquements répétés du fouet et de la cravache, je sens que l'intensité de la leçon a atteint son apogée. Ma chatte est trempée et j'ai une furieuse envie de me doigter ou qu'Elias me prenne violemment. Maï, secouée par les épreuves qu'elle vient de subir, est un mélange de douleur et de confusion. Je la détache de la croix, ses membres tremblants à peine capables de la soutenir, et la guide doucement vers un cheval d'arçon qui a été modifié pour ces séances d'éducation douloureuse.

Sa soumission, à ce stade, est moins un acte de volonté qu'une réaction à la sidération. Elle se laisse faire, presque mécaniquement, comme si son esprit cherchait encore à fuir la réalité de sa situation. Avec un soin méthodique, je l'allonge sur le dos, la positionnant et l'attachant de manière à bien écarter ses maigres cuisses et commencer à les traiter. Ses yeux suivent les miens, cherchant dans mon visage un signe de compassion ou de répit. Je travaille silencieusement.

Elias, toujours dans son rôle d'observateur, me regarde agir. Il est le maître silencieux de ce théâtre de contrôle, son expression impassible mais attentive. Chrystel, à ses genoux, se montre prévenante, caressant son pénis, commençant à lécher les testicules gonflés par le désir. Elle est complètement soumise au plaisir de son maitre et pourtant ancien collègue. Je suis impressionnée par son pouvoir.

***

LA PREMIERE SEANCE DE DOMINATION de Cassandre fut inaugurale. Elle bascula dans un monde totalement nouveau pour elle. La vietnamienne fut attachée à une croix de Saint André. Elle ne comprenait pas vraiment ce rituel.

- Tu dois comprendre qu'une soumise accepte tout de ses Maîtres, commença Cassandre. Je vais te faire souffrir.

Maï ne comprenait toujours pas. Elle regardait Chrystel à genoux sur le sol en ciment tandis que Monsieur Elias se collait à elle. La patronne détacha un lourd martinet aux lanières en cuir et abattit l'engin sur les flancs de l'apprentie. La douleur cuisante fit crier la jeune femme mais un autre coup fouetta sa poitrine. Un bouton du chemisier sauta. Les lanières de cuir claquèrent encore au même endroit et deux autres boutons s'arrachèrent. Comme Maï ne portait pas de soutien-gorge, on découvrit ses jolis seins ronds.

Elias frottait son sexe dur sur le visage de Chrystel qui ne bronchait pas. Cassandre continua longtemps le traitement jusqu'à lacérer la poitrine de l'asiatique. Maï pleurait et hurlait. Des larmes coulaient sur sa belle peau mate.

-Veux-tu obéir?

- Oui.

- Non. Tu m'appelles Maîtresse à partir d'aujourd'hui salope, cria Cassandre en giflant la soumise.

Elias approcha. Il planta ses doigts dans la vulve de la jeune asiatique et fourragea le sexe sans douceur.

- Elle n'est pas sèche du tout, cette salope!

- Ça ne m'étonne pas, Maitre, répondit la brigadière qui raccrochait le martinet en cuir. Tu as vu comment elle s'habille avec ses jupes courtes et ses chemisiers transparents quand elle est au restaurant.

La naïve attachée trouva injuste la remarque. Elias éclata de rire. Il fit nettoyer ses doigts par Chrystel qui les lécha avec dévotion. L'inspecteur roula une petite desserte sur laquelle plusieurs ustensiles étaient rangés. Sur les petits tétons noirs de Maï, il colla des patches reliés par des câbles à une machine. Il planta un plug anal entre les petites fesses de l'asiatique. Ce dernier était également branché à la même machine. Puis, de la même manière, il enfonça un gode dans le vagin en laissant les câbles passer entre les cuisses écartées par la croix de Saint André. Enfin, Elias installa un petit appareil qui engloba le clitoris qu'il avait tiré du capuchon.

Il s'écarta un peu pour admirer son installation. Des fils longeaient le corps fin et élancé de la jeune fille à la peau mate. L'homme appuya sur le bouton marche de la machine. Cassandre s'était assise dans un large fauteuil tandis que Chrystel lui léchait les seins.

Les vibrations commencèrent doucement, sporadiquement. Les bras de Maï devenaient douloureux dans la posture d'écartèlement mais les frissons au niveau de sa poitrine la détendirent. Ses tétons se dressèrent. Son anus vibrait plus régulièrement mais l'intensité variait. Dans son vagin, elle comprit qu'une bille ou une boule devait tourner à l'intérieur du godemichet pour masser tout l'intérieur de ses parois qui s'humidifiaient.

- C'est bon, n'est-ce pas? susurra Elias à l'oreille de sa prisonnière en embrassant son cou gracile.

C'est alors que le petit aspirateur qui entourait son clitoris se déclencha d'abord faiblement. La sensation d'enveloppement et de plaisir envahissant fit gémir Maï qui ferma les yeux. C'était trop bon. Son désir était si puissant qu'il n'y avait que sa survie qui comptait plus. Les vibrations autour de son bouton érectile montaient en vagues successives sans jamais cesser. Elles culminaient puis diminuaient un peu, avant de recouvrir l'état de désir de la prisonnière encore plus fort. Et, Elias qui lui parlait doucement à l'oreille en caressant son ventre et le dessous de ses seins ronds. Le premier orgasme monta et délivra la jeune fille.

- C'est bien, petite salope. Tu as jouis sous mon traitement. Tu apprendras dans quelque temps, que ton plaisir appartient à tes Maitres. Aujourd'hui, tu vas jouir tant que je le voudrais.

Les paroles n'atteignirent pas Maï qui ne redescendait pas vraiment de la vague de plaisirs qui l'avait fait crier. L'appareillage sur son corps ne se reposait pas. Le traitement continuait n'ayant cure du corps et de l'esprit de la prisonnière. C'est de son anus que partit le nouvel orgasme, peut-être un peu moins fort mais beaucoup plus profond.

Cassandre se branlait tandis que Chrystel suçait sensuellement ses tétons et empaumait ses gros seins. Elias frottait sa queue sur la cuisse nue de l'asiatique qui gémissait encore. Son clitoris trépidant toujours et, alors qu'elle commençait à pleurer de plaisir ou de honte ou de douleur, une sensation puissante la submergea à nouveau la faisant gueuler. Pour accentuer le traitement, ses tétons furent aspirés dans des mini pompes que Elias posa. Le bout des jolis seins de Maï s'étirèrent dans le tube en verre déclenchant une curieuse sensation de douleur mêlée de plaisir. La bille qui naviguait dans le sexe cessa ses pérégrinations vaginales et se fixa au niveau du point G avant de chauffer et de vibrer fortement. Les yeux de l'asiatique s'écarquillèrent d'un coup, la bouche ouverte ne cria qu'un long silence et toute la peau frissonna. Elle faillit s'évanouir de plaisir.

Cassandre enferma Chrystel dans sa cellule et vint sucer Elias qui jouait avec son nouveau jouet.

- Je vais te laisser ici ma petite salope, murmura Elias en enfonçant sa queue au fond de la gorge de Cassandre. Tu vas jouir toute la matinée. C'est moi qui contrôle tes orgasmes! Tu comprends?

- Ouiiiiiiiiii arrrgggggggg Maitres, jouissait encore la petite serveuse attachée.

Elias éjacula au fond de la bouche de sa partenaire de perversité. La douleur compte les heures ; le plaisir les oublie. Mais Maï se perdit dans les heures d'orgasmes qui la vidèrent de tout contrôle, de toute énergie.

***

VOILA DES MOIS QUE JE JOUE AVEC ELIAS. Je suis sa chose mais également sa partenaire. Maï et Chrystel sont totalement soumises à présent. Lula a été libérée au milieu d'un champ en pleine nuit.

Lors de mes tournées de surveillance dans les rues de la ville, je me surprends à trouver une perle rare à offrir à mon Maitre. Une belle petite naïve que nous dresserions ensemble.

FIN

(Merci chers lecteurs pour vos retours. Au début de ce projet, je n'étais pas certain de réussir à développer une intrigue de thriller. Je laisse à votre imaginaire le soin de conter la suite de l'association de Cassandre et Elias.)

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 8 jours

Cette histoire m'a fait aller plus loin encore dans le plaisir que je peux tirer de situations de soumission... La proposition est tentante ! A voir... On est un peu frustrés de quitter cette atmosphère. Un grand merci en tout cas

AnonymousAnonymeil y a 13 jours

Quelle histoire ! Merci super sympa

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