Dans Les Méandres de l'Ombre : 1-1

Informations sur Récit
Un thriller policier noir.
2.9k mots
4.78
5.9k
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Récit n'a pas de balises

Partie 11 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
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Dans les méandres de l'ombre

Dans les méandres de l'ombre, un thriller haletant, nous plonge dans une chasse à l'homme intense entre deux enquêteurs, Chrystel Louveton et Elias Tabi, et un esprit criminel diabolique surnommé le 'Poursuiveur'. Tandis que Chrystel et Elias parcourent la France pour démêler un enchaînement de crimes sinistres, le Poursuiveur orchestre ses actes avec une précision glaciale, défiant la police à chaque étape. Ce jeu du chat et de la souris prend une tournure personnelle lorsque des secrets enfouis refont surface, menaçant de bouleverser la vie des protagonistes. 'Dans les méandres de l'ombre' est un récit captivant de manipulation, de trahison et de quête de justice, où chaque révélation vous entraîne plus profondément dans un labyrinthe de suspense et de tension.

Chapitre 1

Je suis là, tapi dans l'ombre, dans ma camionnette blanche, guettant la vieille maison abandonnée qui se dresse, solitaire, dans la campagne de la Somme. J'observe. Toujours. J'aime cette sensation, la traque, elle me donne un sentiment de pouvoir, d'excitation. Chaque victime est une conquête, un trophée. Et là, j'en ai repéré une nouvelle. Une proie parfaite. Je savoure déjà le frisson de la chasse. Elle ne sait pas encore qu'elle est dans mon viseur. Elle se croit en sécurité dans sa petite maison de brique. C'est ça, le plus jouissif : l'ignorance de mes victimes avant que je ne frappe, avant que je ne les possède. Je suis patient, très patient. J'étudie chaque mouvement, chaque habitude. C'est une danse macabre où je tiens les fils.

Mon plan est toujours le même, rodé à la perfection. D'abord, je récolte des informations, je l'observe de loin, apprenant tout ce que je peux sur elle. Ses allées et venues, ses faiblesses, ses peurs. Puis, je prépare mon intervention, chaque détail méticuleusement planifié. Rien n'est laissé au hasard. Mon équipement est toujours prêt, mes outils soigneusement choisis pour le travail à venir. Et enfin, j'agis. L'action, c'est le moment où je me sens le plus vivant. Ensuite, je les outrage ou je les enlève. Mon cœur bat à la chamade, mais je reste calme, maîtrisé. J'aime sentir la peur de ma victime, la voir réaliser soudain qu'elle est prise au piège. C'est une symphonie de terreur, et je suis le chef d'orchestre.

Chaque victime est un nouveau défi, une nouvelle excitation. Et celle-ci ne sera pas différente. Elle sera mienne bientôt. Et alors, le vrai jeu pourra commencer.

***

Mardi. Dans le bureau parisien du commissaire Gabriel Durieux, un silence lourd règne, rompu seulement par le froissement des pages d'un rapport de meurtres et d'enlèvements répétés. Durieux, un homme de petite taille, au ventre rebondi et à la calvitie prononcée, parcourt les lignes avec une nervosité palpable. Ses yeux parcourent les détails du crime commis près de Strasbourg, chaque mot résonnant comme un écho d'une terreur ancienne.

Le rapport détaille l'enlèvement de Sarah Magari, une femme d'une quarantaine d'années, dont le courage et la détermination lui ont permis de survivre à une expérience traumatisante. Agressée chez elle. Elle raconte sa nuit d'enfer, la torture psychologique, et surtout, ce sentiment oppressant d'être observée, analysée par un esprit aussi méthodique que dérangé. Elle décrit que l'homme était grand et costaud. Quand il l'avait plaquée sur son lit, elle avait vu ses yeux noirs à travers la cagoule et le tatouage sur son bras. La victime décrit ensuite tout en détail. La brûlure sur sa peau quand il lui a arraché sa chemise et qu'elle s'est retrouvée seins nus devant l'homme à la cagoule. Elle se débattait mais il prenait son temps et à force, elle était épuisée de lutter et se retrouva entièrement nue attachée sur son lit aux quatre coins. Avec une tendresse insupportable, il la caressa partout.

Dans sa déposition, Sarah décrit comment son poursuiveur prit son temps pour l'embrasser, la caresser doucement, comment finalement, les doigts de l'homme s'infiltrèrent dans son intimité et qu'il su lui soutirer un orgasme à force de massage de sa zone sensible et d'un appareil qui vibrait autour de son clitoris. Elle a déclaré aux enquêteurs qu'il avait prit son temps pour la prendre et qu'il n'avait pas mis de préservatif, qu'il avait ensuite forcé son anus. Après, il était sorti pour revenir plus tard afin de terminer son travail.

Sarah, a réussi à s'échapper de cet enfer. Ses descriptions précises, son témoignage poignant, tout concorde avec les méthodes du poursuiveur, cet assassin insaisissable qui hante la France depuis des années. Son mode opératoire est unique, un mélange de cruauté calculée et d'intelligence froide. Le commissaire Durieux sait que ce n'est pas un meurtrier ordinaire. C'est un prédateur en pleine chasse, et sa prochaine proie pourrait être n'importe qui. Le commissaire bedonnant se lève, sa chaise craquant sous son poids. Il doit agir, et vite. Il prend son téléphone et compose un numéro. Il est temps de convoquer ses meilleurs éléments, Chrystel Louveton et Elias Tabi. L'heure est grave, et l'enquête qui s'annonce sera sans doute la plus difficile de leur carrière.

La nuit tombe sur la banlieue parisienne, plongeant les pavillons dans une tranquillité bourgeoise. Gabriel Durieux, commissaire aguerri, franchit le seuil de sa demeure, laissant derrière lui les ombres de ses responsabilités. L'intérieur chaleureux, illuminé par le sourire de sa femme, Charlotte et le regard timide de sa fille Lula qui est en première année de fac, offre un répit bienvenu dans son monde souvent sombre.

Alors que le dîner familial se prépare, une atmosphère de normalité enveloppe la pièce, contrastant avec la tension qui n'a cessé de l'habiter tout au long de la journée. Avant de s'asseoir à table, Durieux s'isole un moment, téléphone en main. Il compose le numéro de Chrystel Louveton, son enquêtrice de confiance. Sa voix, teintée d'une gravité mesurée, lui confie l'affaire du poursuiveur, un défi à la mesure de son talent.

Après son appel avec son supérieur, dans leur appartement du 18e arrondissement, Chrystel partagent le repas avec Philippe Louveton, son mari, dans une ambiance intime et détendue. Chrystel, les cheveux bruns ondulant sur ses épaules, parle de l'affaire avec un mélange d'excitation et de sérieux. Philippe comprend l'importance de cette enquête pour elle mais il est surtout intéressé par les cuisses qui émergent de la courte nuisette. Ensemble, ils échangent des regards complices. La soirée se termine dans la douceur de leur chambre, où ils s'allongent côte à côte, regardant un film d'horreur. La lumière de l'écran danse sur leurs visages, créant des ombres qui rappellent étrangement les ténèbres qu'ils affrontent au quotidien.

Philippe remonte la nuisette de son épouse. Elle a toujours ses longues et belles jambes qu'il aime tant. Tous les deux devant la télévision qu'ils ne regardent plus, ils sont allongés sur le large lit. Pendant que son mari cajole ses jambes, Chrystel passe sa main dans le dos et à tâtons, elle déboucle la ceinture. Au moment où les doigts de Philippe trouvent les replis du sexe de sa femme, cette dernière extrait la verge du pantalon. Elle le branle doucement pour ne pas trop l'exciter afin qu'il s'occupe bien de sa chatte. Elle aime son doux Philippe qui la caresse pendant des heures.

Comme il sent la moiteur de son épouse, Philippe se colle de plus en plus aux fesses et dirige sa verge contre la fente humide qu'il a caressée longtemps. Chrystel aurait aimé que ça dure encore mais l'excitation de son mari la pénètre et elle est soulagée. C'est bon de sentir une queue dans sa chatte. Depuis qu'ils sont mariés, leur vie sexuelle a évolué. L'enquêtrice se dit qu'ils font encore l'amour régulièrement et que finalement ce n'est pas mal. Elle sent que son mari ne va pas voir ailleurs.

Philippe va et vient en se plaquant contre sa femme. En cuillère tous les deux, la position permet au mari de caresser les petits seins et de branler le clitoris pendant qu'il s'enfonce dans la chatte. Ca monte. Chrystel gémit et il en est content. Il est excité de donner du plaisir à sa femme malgré les années de mariage. Elle monte encore et les petits cris ainsi que les coups de bassins de son épouse l'excitent trop. Il ne se contrôle plus et éjacule dans la matrice pendant qu'elle cri également.

Les orgasmes passés, ils restent collés l'un à l'autre et reprennent le film d'horreur à la télévision.

***

La nuit est mon terrain de jeu, mon domaine. Je m'approche de la maison en brique, mon cœur battant à l'unisson avec les ténèbres qui m'entourent. Tout est calme, tout le monde dort. C'est le moment parfait. Je force l'entrée avec une précision chirurgicale, m'efforçant de ne faire aucun bruit. Chaque mouvement est calculé, chaque pas est silencieux. Je suis un fantôme dans cette nuit silencieuse. Mon déguisement est une œuvre d'art. Une perruque qui change mon apparence, des lentilles de couleur pour masquer mes yeux, un parfum entêtant pour brouiller mon odeur naturelle, et un faux tatouage pour tromper quiconque essaierait de me décrire. Je suis méconnaissable, un caméléon dans la nuit.

Je progresse avec prudence, chaque sens aux aguets. La maison semble respirer dans son sommeil, inconsciente du prédateur qui s'y est introduit. J'atteins enfin la chambre, mon cœur battant plus fort à chaque pas. La porte s'ouvre sans un bruit, révélant ma proie, endormie et vulnérable. La femme, là, devant moi, ne sait pas encore que son destin vient de basculer. J'approche silencieusement, savourant l'anticipation.

Je l'avais repérée sur Facebook. La célibataire aux abois qui se donne l'air d'être patiente. J'avais habillement engagé une discussion mais ce n'était que du virtuel puisque je lui disais que j'habitais dans le sud de la France. Sur son profil, des photos de ses vacances montraient cette trentenaire en bikini sur des plages. Les poses suggestives trahissaient son désir de plaire. Nous sommes ensuite passés sur WhatsApp. Je constatais qu'elle était sous le charme de la personnalité que j'avais inventé. Un fantôme attrayant : bel homme, situation financière aisé, cultivé et voyageant dans le monde entier. Rapidement, elle m'envoya des photos d'elle dénudées. Un sein d'abord puis les deux. Deux jolis galbes bien plein. Puis, son dos nu et ses fesses.

En recoupant toutes les informations qu'elle m'avait données au fil des conversations, je déduisais sa région et son emploi. Après, c'était simple de la trouver.

Je suis là devant elle. Sous sa couette, elle est sereine. Rapide comme l'éclair, je la maîtrise, étouffant ses tentatives de cris. Son corps se débat, mais je suis plus fort. Je suis le chasseur, elle est ma prise. Mon cœur bat la chamade, non pas de peur, mais d'excitation. Elle est rapidement attachée aux quatre coins du lit, nue. Sa chatte n'est pas rasée. Quelle faute de goût!

Je la regarde essayer de se débattre et de gueuler derrière son bâillon. Dans mon sac, le nécessaire est là. J'étale délicatement la crème sur son pubis poilu en profitant pour effleurer ses lèvres. J'essuie mes mains dans un torchon en regardant ses yeux emplis de terreur. Le rasoir glisse doucement sur sa peau et coupe les poils avec une précision chirurgicale. En quelques coups la voilà présentable.

- Une femme qui se donne à un homme doit être sous son plus beau jour.

Derrière le bâillon, elle marmonne. Ses deux bras tirés vers le haut dévoilent des aisselles également poilues.

- Vraiment! Tu n'es pas très jolie comme ça. On va remédier à ton manque de soin.

J'étale la crème sur les deux aisselles en profitant pour jouer avec ses seins. Je tire sur les tétons pour les ériger. Le rasoirs fait son office et enfin la voilà prête.

Je me déshabille lentement devant elle en observant son regard angoissé et son corps tremblant de peur. L'inéluctable viol ne peut pas être accepté. Pourtant, elle voit bien que je vais la baiser et qu'elle ne pourra rien y faire. C'est la partie que je préfère, sentir le contrôle total, la domination sur ma victime. C'est un sentiment grisant, addictif. Et maintenant, il est temps de la violer. Le jeu continue, et je suis toujours le maître.

Je m'allonge sur ce corps de femme nue qui tente de se débattre encore malgré l'impossibilité de se soustraire à ma puissance. Je dirige mon érection vers sa vulve et je prends ce qui m'appartient : sa candeur et sa liberté. Je m'enfonce au plus profond de ses chairs et de son humiliation. Lentement, en rythme, tout en contrôle, je laboure son sexe et sème l'affolement en elle. Les larmes qui coulent sur ses joues témoignent de ma puissance sur elle. J'aime les lécher et m'abreuver de ce jus de détresse.

Je me redresse et vais boire un peu d'eau. Il faut prendre son temps pour déguster. La vie est parsemée de petites joies simples qui méritent d'être savourées. En prenant le temps d'apprécier la délicatesse des saveurs, des peaux, des seins, des sexes, je peux cultiver une gratitude pour les plaisirs de la vie quotidienne et trouver un refuge dans le présent. Déguster ce qui est rare m'invite à ralentir, à célébrer la beauté des plaisirs simples qui enrichissent mon existence.

La victime se remet à hurler derrière le bâillon lorsque je m'approche à nouveau. Je pose une main sur sa cuisse et une autre sur un sein. Je le malaxe tranquillement. Il est lourd et bien ferme comme je les aime.

- Tu es vraiment belle tu sais. Je vais continuer de profiter de toi mais je pense que tu n'es pas encore assez présentable pour continuer.

La surprise dans ses yeux m'amuse intérieurement et je ressors mon matériel. Le vrombissement l'alerte et elle se débat encore plus que lorsque je l'ai violée. Curieux... elles me font toutes ça! Le rasoir électrique arrache des épaisses mèches de cheveux laissant des sillons vides dans sa coiffure volumineuse. Son corps nu et attachée s'arcqueboutte mais je continue en la regardant. Enfin, la voilà chauve. Plus un cheveu sur la tête. Quel changement!

Je m'allonge à nouveau sur son corps et je dirige ma queue vers son anus. Je commence à pousser sur l'orifice rétif et ma victime qui pleurait déjà tente encore de se débattre. J'adore quand elles me font ça. Je pousse en embrassant gentiment ses tétons. Soudain, l'œillet cède et je m'enfonce de son humiliation. Son cul est serré comme une vierge et je lui perfore sans compassion pour sa douleur. Au contraire, j'avais été jusque là très gentleman ; maintenant je vais la baiser comme une pute, une esclave.

Bras tendus sur le lit, je balance mes hanches pour labourer son derrière et bientôt je jouis en gueulant. C'est si bon de profiter des plaisirs de la vie sans entrave. Encore une dans ma collection. Je prends des photos avec mon numérique, je remballe la caméra qui a tout filmé et je me rhabille.

Il n'est pas tard... je vais pouvoir rentrer et dormir un peu. Avant de retirer les liens qui l'attachent au lit, je prends son oreiller et je l'étouffe.

De retour chez moi, je m'engouffre dans les rues tranquilles de Courbevoie, mon véhicule glissant silencieusement à travers la nuit. Mon immeuble, un petit bâtiment de trois étages, se dresse discrètement dans le quartier, parfait pour quelqu'un qui, comme moi, préfère rester inaperçu. Avant de rentrer, je me débarrasse de mes vêtements, les jetant dans une benne à proximité. Rien ne doit me relier à ce que je viens de faire. Je me glisse ensuite dans mon appartement du rez-de-chaussée. Spacieux, trop grand peut-être pour un homme seul, mais j'ai mes raisons pour avoir besoin de cet espace.

Une fois à l'intérieur, je me prépare un repas simple et m'installe devant la télévision. Un film d'horreur y est diffusé, mais pour moi, il ne s'agit que d'un divertissement banal, rien comparé à l'adrénaline de mes chasses nocturnes. Après avoir mangé, je me dirige vers ma chambre, où une petite porte discrète mène à ma pièce cachée. J'ouvre la porte et descends les escaliers en béton, me dirigeant vers mon sanctuaire secret. Le sous-sol mal éclairé m'attend, un lieu où je suis vraiment moi-même.

Alors que j'atteins le bas des escaliers, les pleurs étouffés d'une femme me parviennent. Elle est ma dernière prise, un trophée de plus dans ma collection. Chaque victime a son histoire, et chaque histoire renforce mon pouvoir, ma domination. Ici, dans mon antre, je suis le maître incontesté, le prédateur au sommet de la chaîne alimentaire. Je m'approche de la cellule où elle est enfermée, un sourire satisfait se dessinant sur mes lèvres. La peur, le désespoir dans leurs yeux, c'est ce qui me fait vibrer. Et chaque nouvelle victime est un rappel de mon ingéniosité, de mon contrôle absolu. C'est mon monde ici, et je suis le roi de cet univers sombre et tordu.

Djamila dort sur le minuscule lit en métal de la cellule. Quand j'ouvre la porte en acier, elle se redresse. Elle est nue et ne porte qu'un collier assez épais autour du cou. La sénégalaise a les cheveux rasés. Ils ne repousseront pas car j'ai effectué une épilation au laser sur son crâne, ses aisselles, son sexe et son anus.

Elle est nouvelle dans mon univers. Il faut qu'elle comprenne. Alors, j'actionne le petit boitier dans ma poche et une décharge électrique cisaille le cou de la black. Elle tombe à genou en hurlant.

- Tu dois m'obéir!

- Oui Maitre. Je vous obéirai en tout.

- En tout?

- Oui Maitre. Mon corps vous appartient. Vous pouvez me baiser et faire de moi ce que vous voulez.

En quelques semaines, le dressage prenait forme. Plus de révolte ; juste l'acceptation de ma dominance absolue.

(à suivre)

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4 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Belle atmosphère

horpheuhorpheuil y a 4 mois

Salut, je vois que tu as testé Chat GPT ou une de ses versions Jailbreak pour l'écriture... Oui j'ai testé aussi et il a la fâcheuse tendance à être emphatique redondant dans ses formulations, ce qui fait une sorte de signature...

Au moins le texte est original, curieux de voir où tout celà va finir...

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Bonne montée en tension bravo cela change des autres banalités du site ou des traductions d autres auteurs!

Félicitations

Alexandre1965Alexandre1965il y a 4 mois

Bravo. Original et excitant !

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