Dans les Méandres de l'Ombre 02-03

Informations sur Récit
Thriller.
3.2k mots
4.67
1.6k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
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Chapitre 3 : Les Secrets du Sous-Sol

DANS LES PROFONDEURS SINISTRES du sous-sol, la vie quotidienne des prisonnières suit un rythme implacable et répétitif. Leur journée commence avec des exercices de sport, une routine épuisante imposée par Elias pour les maintenir en forme et les sculpter à son envie. Un ventre plat pour celle-ci, un cul très rond pour celle-là. Chaque matin, elles se lèvent à l'aube, leurs corps fatigués se pliant aux exigences physiques sous la surveillance constante des caméras et du chien. C'est un moment de résilience, où elles puisent dans leurs dernières forces pour garder espoir.

Après l'épuisement du sport, Elias leur fait regarder des vidéos. Ces séquences sont trafiquées, conçues pour les conditionner à obéir, à se soumettre. Les images tournent en boucle, des messages subliminaux censés briser leur volonté.

La dynamique entre les prisonnières est complexe. Chrystel et Lula, malgré leur désespoir, tentent de se soutenir mutuellement. Elles partagent des mots d'encouragement, des regards qui transmettent de la force. Lula, la plus jeune, trouve souvent du réconfort auprès de Chrystel, qui avait développé une sorte de rôle protecteur envers elle. Pourtant, depuis la dernière séance, Chrystel trouve moins de connexion avec elle.

Djamila, la plus ancienne des captives, est devenue totalement obéissante. Cette obéissance lui a valu certains privilèges de la part d'Elias, comme une couverture pour se réchauffer et quelques livres pour occuper son esprit. Sa soumission est vue avec une certaine tristesse par les autres prisonnières, mais aussi avec compréhension. Djamila a trouvé sa manière de survivre dans cet environnement brutal.

Les journées s'écoulent lentement, marquées par l'ennui et la terreur. Les moments de conversation, les petits gestes de solidarité, sont leurs seules échappatoires.

Malgré la présence intimidante du chien de garde, qu'Elias a introduit dans le sous-sol et dont elles doivent s'occuper trois fois par jour, les prisonnières ne perdent pas espoir. Elles savent que leur situation est désespérée, mais refusent de se laisser vaincre sans combattre. Entre les séances de sport, les moments de surveillance et les soins apportés au chien, elles commencent à élaborer un plan d'évasion audacieux.

Seul Djamila n'espère rien. Elle a accepté complètement sa condition. Ce matin, après sa séance de sport, elle a longuement brossé le chien qui cherchait à l'embrasser sans cesse. Le canidé a vite pris l'habitude d'être sucé par la black chauve. Djamila le branle un peu pour faire sortir le sexe de son fourreau poilu, puis elle l'introduit dans sa bouche et le suce pas trop longtemps. A l'inverse de son maitre, le chien n'est pas très endurant, il éjacule rapidement dans la bouche de Djamila qui s'habitue à avaler le liquide séminale du canidé.

Chrystel et Lula cohabite dans leur cellule. Il y a quelques jours, Chrystel était assez tendre avec sa colocataire. Elles se serraient l'une contre l'autre, leur deux corps nus. Mais maintenant, Chrystel est inconsciemment plus distante. Les deux femmes se mettent à observer attentivement leur environnement, cherchant des objets qu'elles pourraient utiliser pour leur évasion. Elles découvrent que certaines parties de leurs lits métalliques peuvent être manipulées. Avec beaucoup d'effort et de patience, elles parviennent à dévisser discrètement une petite barre métallique de chaque lit. Ces barres pourraient servir d'outils pour forcer une serrure ou comme armes de fortune en cas de besoin.

Elles savent qu'elles ne peuvent pas faire confiance à Djamila. C'est pourquoi, Julie, la barmaid rousse, doit se rapprocher du chien qui pourrait être un obstacle à leur évasion. Elles planifient donc de détourner l'attention du chien. Julie, donne des soins quotidiens au chien et pense pouvoir l'utiliser à leur avantage. La première fois, la rousse a vomi. Le fait de prendre le sexe du chien dans sa main, l'a complètement écœurée. Une nausée l'a envahit. Mais, chaque jour, elle s'y habitue et elle nourrie une bonne relation avec le canidé.

Leur plan inclut également l'observation des rondes d'Elias. Elles commencent à noter les moments où il descend dans le sous-sol, essayant de trouver un schéma régulier dans ses visites. L'idée est de choisir un moment où il est le moins susceptible de venir pour tenter leur évasion. Ces préparatifs se déroulent dans le plus grand secret, les prisonnières communiquant par des chuchotements et des signes discrets sans se faire repérer par les caméras ni par Djamila. Chaque action est calculée, chaque mouvement étudié pour ne pas éveiller les soupçons.

LE SOIR VENU, UNE TENSION palpable règne dans le sous-sol alors qu'Elias fait son apparition. Son visage est marqué par une sévérité froide, ses yeux scrutant chaque recoin de la pièce comme pour y déceler le moindre signe de rébellion. Sa présence est un rappel constant du contrôle qu'il exerce sur ses prisonnières, un pouvoir qu'il ne manque pas d'affirmer ce soir-là. À l'exception de Djamila, qui observe la scène, toutes les prisonnières sont rassemblées. Elias s'adresse à elles avec une autorité implacable.

- Je sais que certaines d'entre vous pensent à s'évader. Mais sachez que je vois tout. Il y a des micros et des caméras partout ici, dit-il, sa voix résonnant dans le silence lourd du sous-sol.

Ses mots tombent comme des coups, écrasant les espoirs naissants des prisonnières. Il a sorti la télécommande des colliers électriques qu'elles portent toutes autour du cou. Djamila est derrière lui, debout les jambes écartées, les bras croisés derrière son dos. Les quatre autres sont dans la même position devant leur maitre.

- A genou!

Les quatre obéissent et pose leurs genoux sur le sol en ciment. Le chien se balade entre les filles et les lèche de temps en temps sur le visage et les seins. Il s'attarde sur la rousse qui n'ose pas broncher.

- Je vois qu'il t'aime bien. Mets-toi à quatre pattes et suit le. Une petite chienne avec son chien.

Julie hésite un peu mais obtempère. Derrière le chien qui va au grès de ses envies, la rousse le suit à quatre pattes. Il se retourne souvent pour lui lécher le visage.

- Lila, tu vas prendre le martinet que Djamila va te donner. Tu vas fouetter les seins de Chrystel et de Lula sans t'arrêter. Très fort!

La grande black chauve remet l'objet à lanière en cuire à la jeune fille magrébine qui porte toujours son foulard. Devant la trentenaire aux longs cheveux bruns et la petite blonde à forte poitrine, elle brandit le martinet qui tombe d'abord sur la jeune Lula. Ses gros seins se zèbrent. Les coups continuent et ne se tarissent pas. Chrystel essaye de ne pas crier mais sa jeune voisine n'y parvient pas.

Le chien déambule toujours suivit de la rousse. Elias se tourne vers Djamila qui comprend l'ordre. Elle attache Julie sur des crochets fixés au sol. Pieds et poignets, la prisonnière demeure à quatre pattes sans pouvoir bouger. Les claquements des lanières de cuir résonnent dans le donjon suivit par des petits cris. La grande black dirige le chien vers le cul de Julie. L'épaisse langue du canidé lèche les fesses et la fente de la rousse qui se met à pleurer. Pendant ce temps, Djamila branle l'animal.

La peau de la poitrine de Chrystel et Lula rougit. La couleur d'abord rosé vire au rouge puis au cramoisi. Elias passe derrière chacune et leur caresse le cul. Il palpe la marchandise. Il remarque que Lila pleure à grosses larmes en fouettant les prisonnières.

Au sol, la jeune barmaid gueule. Les pattes avant du chien sont montées sur le bas de son dos. Aidé par Djamila, il approche son sexe de la fente de la prisonnière. La rousse sent la pression de son bâton qu'elle a branlé pendant des jours, sur l'entrée de son vagin. Quelle ignominie! Un tel avilissement n'est pas possible, se dit-elle. Elle hurle mais la grande black chauve réussit à faire entrer le chien dans la chatte. Le rythme du coït est effréné. Julie a de la chance car le chien jouit rapidement dans son ventre.

- Vous ne pouvez pas me tromper. Vous ne pouvez pas vous échapper. C'est inutile, continue-t-il.

Elias prend un malin plaisir à déconstruire méthodiquement leur résistance, utilisant des mots tranchants comme des lames pour entailler leur courage. Les quatre prisonnières écoutent, figées par la peur, par la douleur et l'humiliation. Chacune d'elles ressent le poids de ses paroles, la réalité de leur captivité se faisant plus oppressante que jamais. La possibilité d'une évasion, qui semblait un mince rayon de lumière dans leur obscurité, s'évanouit sous le regard perçant d'Elias.

Alors qu'il termine son discours, Elias jette un dernier regard aux prisonnières, un regard qui ne laisse place à aucune équivoque sur sa détermination à les garder sous son contrôle. Puis, il les enferme chacune dans une cellule, les laissant seules avec leurs pensées troublées et leurs espoirs brisés.

DANS LES JOURS QUI SUIVENT, Elias continue son jeu de séduction avec Cassandre, mais quelque chose a changé. Chaque sourire, chaque geste d'affection semble maintenant teinté d'un effort conscient. Cassandre, de son côté, demeure éperdument attirée par Elias. Elle fait tout pour lui plaire, se parant de ses plus beaux atours, affinant sa conversation pour correspondre à ses intérêts, cherchant constamment à attirer son attention. Elle est à la fois captivée et intriguée par cet homme complexe, dont elle a entrevu les profondeurs.

Elias, malgré son jeu de plus en plus forcé, ne peut s'empêcher de trouver Cassandre attirante. Il y a quelque chose chez elle, son côté chienne, une combinaison de vulnérabilité et de force, qui le touche malgré lui. Cependant, conscient du danger que représente cette proximité, il lutte pour garder une distance émotionnelle, pour ne pas se laisser entraîner plus loin dans une relation qui pourrait menacer son secret. Leur interaction devient un ballet délicat. Elias jongle entre l'attirance qu'il ressent et la nécessité de maintenir sa façade, tandis que Cassandre, de plus en plus investie dans cette relation, cherche à se rapprocher de lui. Chaque conversation, chaque rencontre est chargée d'une tension sous-jacente, un mélange de désir et de retenue.

***

DEPUIS QUELQUE TEMPS, j'ai commencé à remarquer des aspects du comportement d'Elias qui m'intriguent. Sous ses manières charmantes et son attitude prévenante, j'aperçois parfois des éclats d'une personnalité plus dominatrice. C'est subtil, presque imperceptible, mais suffisamment présent pour éveiller ma curiosité. Je crois que c'est ça au fond qui me fait vibrer. Pour mieux comprendre cet aspect de sa personnalité, j'ai une idée un peu audacieuse. Je décide de lui proposer une sortie un peu différente, quelque chose qui pourrait révéler davantage de lui-même.

- Elias, tu as déjà été dans un club? lui demandé-je un jour, essayant de sonder sa réaction.

Il me regarde, un peu surpris par la question.

- Un club? Tu veux dire, comme une discothèque? répond-il, légèrement incertain de ce que je sous-entends.

Je ris légèrement, consciente que ma proposition est un peu hors norme.

- Pas exactement. Je parle d'un club un peu plus... spécialisé. Un endroit où les gens explorent différentes facettes de leur personnalité. Je le regarde attentivement, guettant sa réaction.

Elias semble intrigué, un brin de curiosité dans son regard.

- Ça semble intéressant, dit-il finalement. Je suis ouvert à de nouvelles expériences.

Je suis une habituée de ces clubs. C'est un monde que j'ai exploré par le passé, une partie de ma vie que je garde habituellement séparée de mon travail et de mes relations ordinaires. Mais avec Elias, je ressens le besoin de pousser les limites, de voir jusqu'où il est prêt à aller. Peut-être que cette sortie nous permettra de mieux nous connaître, de voir au-delà des masques que nous portons au quotidien. Ou peut-être que cela me révélera une partie de lui qu'il préfère garder cachée. Quoi qu'il en soit, je suis déterminée à découvrir qui est vraiment Elias, à percer le mystère qui l'entoure.

Le lendemain, au commissariat, une révélation perturbante vient bouleverser mes pensées sur Elias. Tandis que je discute avec une collègue au détour d'un couloir, elle évoque, sans y penser, un détail qui attire immédiatement mon attention.

- Tu sais, le jour où Chrystel a disparu, j'étais sûre d'avoir vu Elias dans le sous-sol du commissariat, bien après l'heure à laquelle il prétendait être reparti sur sa moto.

Ces mots résonnent en moi avec une intensité soudaine. Je me souviens clairement qu'Elias avait mentionné être reparti tôt ce jour-là, justifiant son alibi par un trajet en moto. Mais si ce que ma collègue dit est vrai, cela signifierait qu'il était encore là, qu'il avait menti sur son emploi du temps. Cette contradiction majeure enclenche quelque chose en moi. Je commence à revoir mentalement tous les moments passés avec Elias, chaque conversation, chaque détail partagé. Les pièces du puzzle commencent à s'assembler, formant une image qui renforce mes soupçons.

Toutefois, la complexité de mes sentiments pour Elias rend cette réalisation difficile à accepter. J'ai tellement envie de croire qu'il est l'homme que j'admire, que j'ai choisi de voir. Mais la détective en moi sait que je ne peux pas ignorer ces incohérences. Je me trouve à un carrefour, partagée entre mes sentiments et mon instinct professionnel.

Je décide de garder cette information pour moi pour l'instant, tout en commençant à observer Elias de plus près, à la recherche de preuves supplémentaires. Quelque chose en lui ne cadre pas, et je suis déterminée à découvrir quoi, peu importe les conséquences pour mon cœur.

***

SAMEDI SOIR, LE CLUB que Cassandre a choisi pour leur sortie est un lieu à part, un monde où les conventions sociales habituelles sont mises entre parenthèses. L'atmosphère est chargée d'une énergie électrique, les lumières tamisées et la musique rythmée créant un espace où tout semble possible. Les murs sont ornés de décorations exotiques et d'œuvres d'art audacieuses, reflétant la nature du club. Des photos de femmes encordées partagent l'espace avec des croix de Saint André.

Dès leur entrée, Cassandre se sent dans son élément. Elle salue plusieurs connaissances, échangeant des sourires et des accolades chaleureuses. Elle se meut avec aisance dans la foule, son assurance et sa familiarité avec l'endroit contrastant fortement avec l'image qu'elle projette habituellement au commissariat.

Elias, quant à lui, semble d'abord légèrement décontenancé par cet aspect méconnu de sa collègue. Il observe avec une curiosité mêlée d'étonnement les interactions de Cassandre, sa façon de se fondre naturellement dans ce milieu inhabituel. Il regarde sa jupette très courte qui laisse apparaître le bas de ses grosses fesses. Le décolleté qu'elle a choisi ne cache rien. D'ailleurs, de nombreuses femmes sont quasi dénudées. Un homme en costume noir et lunette noir conduit une femme en combinaison de cuir par une laisse attachée à son collier. Cassandre se colle à Elias. Régulièrement, elle l'embrasse et lui sert le sexe à travers le pantalon. Au fur et à mesure que la soirée avance, Cassandre commence à entrevoir un autre aspect de la personnalité d'Elias. Dans cet environnement où les jeux de pouvoir et de séduction sont plus explicites, elle découvre son côté dominateur.

Ils boivent un verre sur un canapé un peu en retrait du dance floor. Une dominatrice approche d'eux avec sa soumise qui la suit à quatre pattes. Le regard d'Elias se pose sur la dominatrice puis sur la soumise qui parait un peu âgée.

- Tu es intéressée? lance la domina d'une voix grave.

- Je n'attends rien de ta soumise. C'est plutôt toi que j'aimerai dominer!

Cassandre est estomaquée. Le visage de la dominatrice ne trahit aucune réaction. Elle prend sa soumise par les cheveux et plaque son visage sur sa chatte. Cassandre a la respiration coupée. Elle a pourtant l'habitude de ces endroits mais le duel sous ses yeux la sidère. Elle pensait bousculer Elias en l'emmenant ici. C'est elle qui est bousculée.

- Qu'y a-t-il d'intéressant à utiliser une soumise qu'il l'est totalement? Où se trouve le plaisir?

La domina reste sans voix.

- Je te propose un jeu. Si tu gagnes, tu peux me demander ce que tu veux. Si je gagne, tu te soumets à moi toute la soirée avec ta soumise.

Cassandre manque de s'étrangler. La soumise à quatre pattes lève son regard vers sa maitresse qui finalement accepte en riant.

- Voici Cassandre. C'est une collègue à moi. Elle n'est pas ma soumise. Mais ce soir, elle va m'obéir. Je te propose de voir celui ou celle qui domine le mieux.

La dominatrice s'accorde avec Elias sur les éléments du jeu.

***

JE NE SAIS PAS POURQUOI je n'ai pas refusé. Elias ne m'a même pas demandé mon avis. Je suis à quatre pattes devant tout le monde. Sur le dance floor vide, entourée pour une foule de libertins, je me déplace comme une chienne en tournant du cul. Je suis la soumise. Je suis hyper excitée mais en même temps, je ne comprends pas pourquoi j'ai accepté ce jeu.

Nous en sommes à la troisième épreuve et Elias ne semble pas broncher. C'est un stoïque. Ca me fait mouiller de le voir aussi sûr de lui.

- Suce tous les hommes autour de vous!

La voix grave d'Elias a claqué l'ordre et des frissons parcours mes flancs. Comment peut-il me demander ça! Je ne suis pas une pute. Déjà, je suis à poil devant tout le monde et à quatre pattes. La soumise de la domina est comme moi. Elle s'est retournée vers sa maitresse avec de la peur dans les yeux. Cette dernière commence à lui crier dessus. Debout autour de la piste, les spectateurs assistent aux coups de cravache que lui assène la Domina. Elias me demande de venir à ses pieds. J'obéis. Il sort sa belle queue et me demande de la sucer. J'entre son sexe presque dur dans la bouche et débute une fellation. Il me caresse les cheveux comme satisfait de sa chienne. Sa vigueur s'enfonce entre mes lèvres et j'adore son goût.

- Maintenant suce tous les hommes, me commande-t-il calmement en me caressant les cheveux.

Je m'exécute docilement et, à quatre pattes, je passe d'homme en homme en prenant leur sexe dans ma bouche. L'autre soumise est en larme au pied de sa Domina qui a cessé de lui hurler dessus. Quand j'ai terminé mon tour, je lève les yeux vers Elias qui fixe la Domina.

- J'ai gagné!

Les jeux sont faits. Nous nous retrouvons tous les quatre dans une chambre tapissée de miroirs. La Domina, sa soumise et moi sommes au pied d'Elias qui tâte nos poitrines et les compares avec force de commentaires pas toujours élogieux. Il est odieux avec la Domina qui fulmine.

Je me retrouve les cuisses écartées et la soumise me lèche. Elle sait y faire et je sens le désir monter au fond de mon ventre. A côté de moi, sur le large lit, la Domina est à quatre pattes, le cul relevé. J'observe Elias qui est posté derrière elle et qui semble lui caresser le cul.

- Je... non, se plaint la perdante. Je n'ai jamais...

- Chuuuut, murmure mon collègue. Tu es à moi et tu as perdu. Je vais te sodomiser pour que tu saches qui est le vrai maitre ici.

- Noooon! crie-t-elle.

Mais je crois qu'Elias a déjà pénétré plusieurs doigts dans son anus. De mon côté, la langue de la soumise darde mon clitoris et je coule abondamment. La situation m'excite de plus en plus et quand je vois mon maitre d'un soir, saisir sa longue queue pour pénétrer sa chose, un puissant orgasme me terrasse et j'entends le hurlement de la Domina. Ça dure longtemps et la soumise n'arrête ses léchouilles que lorsqu'Elias lui ordonne.

En rentrant, j'ose à peine regarder mon collègue. Je suis à la fois hyper excitée de la soirée et sidérée de son autorité.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 jours

Admirable.

C'est très palpitant

Rudy

AurailiensAurailiensil y a 10 jours

Prends ton temps pour finir... quel plaisir

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