Dans les Méandres de l'Ombre 02-02

Informations sur Récit
Thriller
5.1k mots
4.64
2.8k
1

Partie 7 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
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Chapitre 2 : Cassandre et ses Doutes

LE REVEIL SONNE ET JE M'EVEILLE, les yeux encore lourds de sommeil. Ma journée commence par une nouvelle routine, motivée en partie par le désir de me sentir bien dans ma peau, et en partie par l'admiration que je porte à Elias. Chaque matin, je me lance dans une séance de sport intense, des exercices ciblés pour maigrir, pour sculpter un corps qui, je l'espère, attirera peut-être son regard. Les mouvements sont rythmés, presque mécaniques, mais ils m'apportent une certaine satisfaction, un sentiment de contrôle sur au moins une partie de ma vie. Après l'effort, je passe dans la salle de bain. L'épilation est une autre étape de ce rituel matinal. Je prends soin de chaque détail, consciente que l'apparence peut parfois influencer la manière dont on est perçu, surtout dans un environnement majoritairement masculin comme le nôtre. Je n'ai plus de poil sous les aisselles, sur les jambes, sur le sexe et sur l'anus. J'adore la sensation de douceur sur ma rondelle quand je me prépare à m'enculer avec mon gode. Puis vient le moment du maquillage. Devant le miroir, je m'applique à dissimuler les imperfections, à mettre en valeur mes traits. Je sais que j'ai un joli visage. Mes derniers amants me trouvaient très jolie. Je trace une ligne parfaite d'eyeliner, applique une ombre à paupières discrète, et finis par un rouge à lèvres qui rehausse subtilement la couleur de mes lèvres. C'est un processus presque artistique, une transformation qui me donne confiance.

Mais alors que je me regarde dans le miroir, une pensée persistante vient ternir ce moment de satisfaction. Malgré tous mes efforts, je ne peux m'empêcher de me sentir un peu trop ronde encore, un peu trop loin de ces idéaux de beauté que l'on voit partout. Je sais que je ne devrais pas me comparer, que je suis compétente et forte, mais il y a cette petite voix dans ma tête qui me chuchote que je pourrais être plus mince, plus attrayante. Je sais qu'Elias doit aimer les tops modèles. Est-ce que j'ai une chance? Je secoue la tête, chassant ces pensées négatives. Aujourd'hui, je vais voir Elias. Travailler avec lui, être à ses côtés, cela me donne un but, une raison de vouloir être la meilleure version de moi-même. Je m'arme d'un sourire confiant.

J'ai du temps avant de prendre le métro. Je m'allonge dans mon lit et saisit mon gode dans ma table de nuit. Mes doigts écartent mes lèvres et j'enfonce sévèrement le jouet dans ma chatte sèche. J'aime bien me violer. J'aime être prise à sec sans préparation. Rapidement, je mouille et mon index et mon majeur tournant sur mon clitoris tandis que le gode envahit ma chatte, je défaille trop vite à mon goût. J'aime quand mes amants ne me permettent pas de jouir. Soit ils sont trop rapide soit ils le font exprès. L'orgasme me terrasse et je mets quelques minutes à me remettre.

J'ajuste ma tenue de brigadière qui souligne mes rondeurs disgracieuses, et me prépare à affronter une nouvelle journée, avec ses défis et ses espoirs.

EN FRANCHISSANT LA PORTE DU COMMISSARIAT, je sens immédiatement les regards de mes collègues se poser sur moi.

- Tu es charmante aujourd'hui, Cassandre. Cette touche de féminité te va bien, lance l'un d'eux avec un sourire amical.

Je réponds par un sourire timide, appréciant le compliment tout en essayant de ne pas trop y penser. En me dirigeant vers mon bureau, je remarque Elias, plongé dans des dossiers. La façon dont il interagit avec les autres, son charme naturel, tout cela me pousse à l'observer plus attentivement. Depuis nos soirées ensemble, une partie de moi ne peut s'empêcher de se demander s'il voit d'autres femmes. Cette pensée me traverse l'esprit à chaque sourire qu'il partage, à chaque conversation un peu trop amicale avec une collègue. Et pourquoi n'a-t-il encore rien tenté avec moi?

Je m'approche discrètement, feignant de chercher un dossier sur une étagère, tout en gardant un œil sur lui. Je remarque qu'il parle souvent avec une jeune recrue, une femme brune aux yeux pétillants, une mince avec des petites fesses toutes rondes. Ils rient ensemble, et quelque chose dans la façon dont il la regarde me fait tressaillir. Est-ce qu'il la trouve attirante? Serait-elle une de ses conquêtes? Un pincement de jalousie me saisit, me surprenant moi-même. Je me rappelle que je n'ai aucun droit sur lui, que nous ne sommes que collègues. Mais il est difficile d'ignorer ce sentiment d'exclusivité que je désire.

Le lendemain, en observant Elias tout au long de la journée, je me mets à remarquer des petites contradictions dans son comportement qui m'avaient échappé jusqu'à présent. Je le vois parler avec le nouveau commissaire, son visage affichant une expression sérieuse, concentrée, mais dès que le commissaire s'éloigne, son regard s'assombrit, comme s'il portait un poids qu'il dissimulait aux autres. À la machine à café, alors qu'il discute avec quelques collègues, je l'entends raconter une anecdote sur son week-end. Cependant, je me souviens qu'il avait mentionné une autre version de cette histoire quelques jours plus tôt. Pourquoi changerait-il de récit? Cela me semble insignifiant, mais en même temps, c'est assez étrange pour éveiller ma curiosité.

Je m'approche discrètement, prétendant chercher un papier près de leur groupe, et je remarque quelque chose de nouveau sur son blouson. Il y a des cheveux longs et roux accrochés à l'arrière de son vêtement. Ce n'est pas grand-chose, mais c'est suffisamment inhabituel pour attirer mon attention. Elias a-t-il été en contact avec quelqu'un aux cheveux longs et roux? Ces petits détails, ces changements dans ses habitudes et son apparence, commencent à former un tableau plus complexe. Est-ce que je suis simplement paranoïaque, ou y a-t-il vraiment quelque chose qu'Elias cache?

Mais putain, malgré cela, le voir autant m'excite et je dois régulièrement me cacher dans les toilettes pour me branler. Mon index et mon majeur s'énervent sur mon clitoris à travers mon tanga. Heureusement que je jouis vite! ça me permet de me détendre.

***

À MESURE QUE LA SOIREE ENVELOPPE la ville de son voile obscur, Elias se trouve tiraillé entre deux mondes que tout oppose. Dans son bureau au commissariat, il est l'image même de l'efficacité, ses doigts volant sur le clavier de l'ordinateur, analysant les données de l'enquête en cours. Ses collègues le voient concentré, entièrement dédié à sa quête de justice, un enquêteur assidu dont l'engagement ne fait aucun doute. Pourtant, sous cette façade de dévouement se cache une réalité bien plus sombre.

Alors que la nuit tombe, Elias s'éclipse discrètement, se dirigeant vers son domicile. Une fois chez lui, il troque son costume d'enquêteur contre celui de geôlier. Dans le sous-sol secret de son immeuble, loin des regards inquisiteurs, il vérifie méticuleusement ses dispositifs de sécurité. Seul pour surveiller quatre prisonnières, il se dit qu'il va commettre une erreur. Chaque caméra est ajustée, chaque verrou vérifié. Sa paranoïa croissante le pousse à des mesures de plus en plus extrêmes pour assurer que son double jeu reste indétectable.

Ce soir, Elias introduit une nouvelle pièce dans son jeu macabre : un chien de garde. L'animal, de grande taille et à l'allure menaçante, est amené dans le donjon central, ajoutant une couche supplémentaire de terreur pour les prisonnières. Le chien renifle l'air, ses yeux brillants scrutant les cellules, tandis qu'Elias le surveille avec satisfaction.

- Voilà une sécurité supplémentaire, murmure-t-il pour lui-même, convaincu que l'animal dissuadera toute tentative d'évasion.

Les prisonnières, déjà épuisées et effrayées, observent l'arrivée du chien avec un mélange de peur et de désespoir. Leurs espoirs d'évasion, déjà minces, semblent s'amenuiser davantage. La présence du chien, son aboiement grave résonnant dans les couloirs de béton, est un rappel constant de leur impuissance et de la vigilance implacable d'Elias.

- Djamila! Viens au pied.

La grande black se prosterne devant son maitre. Le chien est au pied de ce dernier et la soumise a peur de l'animal.

- Tu es la plus obéissante. Donc je vais te récompenser.

Le cœur de Djamila bat plus fort dans sa poitrine. Le conditionnement et le dressage ont eu raison de sa raison et la femme africaine est complètement soumise aux désirs de son maitre.

- Tu es une chienne et voilà un chien. Ton devoir est de t'occuper de lui.

Djamila relève sa tête chauve vers Elias.

- Tu vas brosser et laver ce chien tous les jours.

- Oui maitre.

- Pour commencer, approche et embrasse-le!

Un instant d'expectative récompensé par un coup de cravache sur sa lourde poitrine, Djamila obtempère. A quatre pattes, elle avance vers le canidé et approche son visage du museau. Le chien lèche la black. Elle tend ses lèvres et tente d'embrasser l'animal.

Debout, Elias admire l'obéissance de Djamila. Il se dit qu'il a bien réussit à la dresser. Il veut la tester encore plus. Voir jusqu'à quel point elle lui est dévouée.

- Maintenant tu vas le branler et le faire éjaculer. Quand ça sera fait, tu amèneras Lula dans sa cellule et tu resteras avec elle. Tu as compris?

Elias remonte à l'étage après avoir fermé correctement la porte métallique. Il se poste devant son écran de contrôle et constate que Djamila a déjà pris le sexe canin dans sa main. Elle le masturbe doucement et caresse en même temps le flanc de l'animal. La soumise referme ses doigts autour du pénis qui sort déjà du fourreau. L'animal bande ferme. Forcée, l'africaine tient le sexe long d'au moins 20 centimètres. Sur toute la partie extrême du gland, la tige est plutôt fine et Djamila sent un liquide légèrement visqueux. La black chauve commence à branler le pénis canin comme elle le fait pour son maitre. Le membre est très long. Vers la base, elle distingue une sorte de boule, un bulbe pas très gonflé. Le chien se tient bien droit, gémissant la langue pendante avec dans l'œil, une sorte de reconnaissance.

La bouche de Djamila approche difficilement vers le pénis toujours en érection qu'elle tente d'orienter. Dans cet abîme de perversité, le tortionnaire se complait dans la déchéance de sa chose, ignorant ses supplications et se réjouissant de sa détresse. Le regard d'Elias dépourvus de compassion se teinte d'une lueur sadique. Quand le bout de la langue frôle le sexe du chien, l'africaine émet un long râle de dégout qui sort directement de sa poitrine. Mais la puissance de sa soumission à raison de sa résistance et le pénis canin entre profondément dans sa bouche.

« Suce salope. Suce » se dit Elias en fixant l'écran de contrôle.

Djamila commence à sucer le chien. Comme une danse trop souvent répétée, elle s'applique à entourer la chair de sa bouche et sa langue à lécher la tige canine. Le chien gémit et sa queue se balance de plus en plus rapidement de droite à gauche. Comme hypnotisés par la scène qu'il a orchestrée, Elias s'extasie de la perversité qui se déroule devant lui. Elle enfonce le pénis du chien au fond de sa bouche pour le faire bander encore plus fort. Elias constate que l'arrière train du chien a des soubresauts. Djamila se recule d'un coup. L'animal vient d'éjaculer.

Le tortionnaire observe avec une satisfaction glaciale le fruit de son œuvre. Djamila, autrefois animée par sa propre volonté et son esprit indépendant, est désormais réduite à l'état d'obéissance servile, sa personnalité effacée sous le poids du dressage et de la domination. Il tire un plaisir malsain à la voir se comporter comme un animal dressé, répondant à ses ordres sans la moindre hésitation. Son désir : que toutes ses proies deviennent ses choses. Leur soumission totale est la preuve ultime de son pouvoir, chaque geste docile renforçant son sentiment de supériorité. Pour lui, il n'y a pas de plus grande jouissance que de briser l'esprit de ses captifs, de les voir abandonner tout espoir de liberté. Dans ces moments-là, il se sent comme un dieu parmi les mortels, maître absolu de leur destin.

Avec une précision méthodique, il descend les marches menant à ses captives, portant avec lui de la nourriture pour chacune d'elles. Ses pas résonnent dans le couloir, annonçant son arrivée. Les prisonnières, reconnaissant le bruit familier, se préparent silencieusement à son entrée. Le chien suit son maitre dans les couloirs. Elias s'arrête devant chaque cellule, distribuant les rations avec une efficacité froide. Son visage reste impassible, ses yeux dénués de toute empathie alors qu'il observe brièvement chaque femme. Il adore détailler leur nudité. Voir leurs seins nus, leur chatte imberbe et leur cul ferme. Il bande toujours devant sa collection.

Dans la cellule de Djamila, Lula est allongée. La black attend à genoux, les genoux écartés et les mains croisées dans le dos.

- Tu as bien obéis à mes ordres.

- Merci maitre.

- La prochaine fois, je veux que tu avales son sperme.

- Oui maitre.

Dans la cellule de Lila et Chrystel, Elias retrouve son ancienne collègue. Il sait qu'elle n'est pas encore brisée. Sa résistance lui plaît, mais il espère que le temps et son dressage feront d'elle une jolie pièce dans sa collection.

Quelques minutes plus tard, Chrystel est attachée sur un fauteuil gynécologique. Les jambes bloquées dans des étriers qui relèvent et écartent les cuisses de l'ancienne inspectrice. La position offre son vagin. Ses mains et son corps sont encordés sur le dossier du fauteuil. Dans sa bouche un mors en acier l'empêche de parler. Elias prépare tranquillement sa séance. Il fait venir la jeune Lila Magarie, la fille de Sarah qu'il a tué après l'avoir une seconde fois violée. La jeune fille de 18 ans est obligée de porter un foulard, mais son corps est nu. Le collier électrique autour de son cou est sa maitresse, le porteur du bouton, son seigneur. Elle ne bronche plus depuis longtemps.

Elias demande à la jeune musulmane de le branler pour le faire bander. Elle referme ses doigts tout fins autour de la colonne de chair et elle secoue doucement l'engin qui gonfle lentement. Pendant ce temps, Elias caresse la peau de Chrystel qui a du mal à respirer avec le mors dans la bouche. Ses longs cheveux bruns collent un peu sur son front et sa joue.

- Suce, salope!

Lila Magarie s'agenouille sur le sol en ciment du donjon. La queue s'enfonce entre ses lèvres et se loge au fond de sa gorge comme elle a appris depuis le début de sa détention. Elias apprécie mais il est occupé à rouler les tétons de sa collègue qui, malgré son dégoût, sent un désir monter en elle. Elias sait parfaitement faire monter le plaisir. Les borborygmes de Lila amusent Elias. Studieuse, la petite applique toutes les règles de la fellation que son maitre lui a apprise. La jeune musulmane était sportive. Avec l'hygiène de vie imposée dans cette prison, son corps a été sculpté aux désirs du maitre. Le ventre, les cuisses sont musclés. Surtout, les fesses ont gonflé.

Elias a pénétré deux doigts dans la chatte mouillée de Chrystel qui bave sur sa petite poitrine. L'index et le majeur tapissent l'intérieur du vagin et reviennent sporadiquement vers la zone G qui fait frémir la femme. Elle déteste aimer cela. Elle n'a qu'une appréhension, c'est que son ancien collègue enfonce son merveilleux sexe dans le sien. Elle sait qu'elle en jouirait.

Le foulard sur la tête de Lila a bougé et de longues mèches de cheveux noirs tombent sur les épaules graciles. La queue de son maitre est complètement enduite de sa salive. Elle n'a pas conscience qu'un sentiment de satisfaction monte en elle. Trop jeune, trop naïve.

- Lève-toi et prend la cravache!

Elias cesse de doigter Chrystel qui est au bord de la jouissance. Il regarde méchamment Lila qui comprend qu'elle doit frapper sa colocataire de cellule. Elle fait une petite gifle sur la cuisse de la brune avec le bout de la cravache.

- Si tu ne lui donnes pas de vrais coups, je vais t'électrifier!

Le sifflement précéda le coup sur la cuisse. Le cri vient après. Lila frappe surtout les cuisses et n'ose pas regarder Chrystel qui hurle à chaque coup. Elias l'arrête et pénètre à nouveau ses doigts dans le vagin de la trentenaire attachée. Il la fourrage comme il faut et rapidement, elle gémit. Elias insiste de plus en plus sur la zone et quand il perçoit que sa chose est au bord de l'orgasme, il stoppe. C'est à ce moment-là que la cravache retombe par coups violents et successifs. Sur le ventre, les côtes, les seins. Les hurlements de Chrystel sont immondes. Une bête blessée.

Ce manège, Elias le fait durer. Il veut la briser, il s'amuse. A la fin, il congédie Lila qui retourne dans sa cellule. Il soigne son ancienne partenaire avec un baume et il la couvre de baisers et de caresses avant de la doigter délicatement. Le cerveau de Chrystel est en ébullition. Son corps, elle ne le contrôle plus. Mais quand Elias approche son gland des lèvres ouvertes, elle devient impatience. Tout son corps réclame la queue, sa tête vomit l'idée de plaisir. Les coups portés par Lila ont abîmé son corps, les caresses d'Elias ont calmé son désir. Elle devient folle.

La colonne de chair s'enfonce irrémédiablement jusqu'au fond de la matrice et Chrystel se tend et hurle en pleurant. Le mors dans sa bouche interdit les 'putains de merdre' qu'elle professe lorsque ses orgasmes sont profonds. Elle jouit comme une bête sous les coups de butoir de son nouveau maitre.

EN RANGEANT UN PEU LE DONJON ET APRES AVOIR NOURRI LE CHIEN, Elias Tabi pense à la brigadière. Il a remarqué sa surveillance accrue, ses regards prolongés, sa curiosité apparemment innocente. Elias sait qu'il doit agir pour détourner ses soupçons. En remontant vers son appartement, il décide d'inviter Cassandre au restaurant, un lieu public où ils pourront parler librement. Dans son esprit, il prévoit chaque détail de la soirée, de la conversation aux gestes, tout est minutieusement préparé pour la séduire. Elias envisage même de l'inviter chez lui après le repas. Dans son espace privé, il pourrait contrôler davantage la situation. Il la baisera si bien, que la fille oubliera les éventuels soupçons qu'elle a. Il sait qu'il joue un jeu dangereux, mais sa confiance en sa capacité à manipuler Cassandre est totale. Et puis, ça fait longtemps qu'il n'a pas fourrer une grosse, se dit-il.

VENDREDI SOIR ARRIVE avec son cortège de promesses et d'attentes. Cassandre se prépare avec soin, choisissant une robe audacieuse qui souligne sa silhouette récemment amincie. La robe, d'une éclatante couleur rouge, moule son corps et révèle la profondeur de son opulente poitrine, une touche de féminité audacieuse qu'elle a rarement osé montrer. Elle se sent à la fois vulnérable et puissante, prête pour la soirée avec Elias.

Elias Tabi l'attend déjà au restaurant, un établissement chic aux lumières tamisées et à l'ambiance intime. Les tables sont disposées de manière à offrir un espace privé à chaque convive, les nappes blanches et la vaisselle raffinée ajoutant à l'élégance du lieu. Lorsqu'il aperçoit Cassandre, Elias ne peut s'empêcher de remarquer le changement. Elle est un peu plus mince, plus affirmée, sa démarche empreinte d'une confiance nouvelle.

- Tu es magnifique, lui souffle-t-il en se levant, un compliment sincère qui illumine le visage de Cassandre.

Le dîner se déroule dans une atmosphère agréable, ponctuée de rires et de conversations légères. Cassandre se sent progressivement détendue, ses soupçons et ses inquiétudes s'évanouissant dans la chaleur de l'instant présent. Elias est charmant, attentif, faisant d'elle le centre de son attention.

Après le repas, Elias propose de continuer la soirée chez lui. Cassandre, emportée par l'euphorie du moment, accepte avec enthousiasme. Le moment qu'elle attendait depuis longtemps. Ils arrivent à son appartement, un espace vaste et moderne et bien agencé. Les murs sont ornés d'œuvres d'art contemporaines, et un grand canapé en cuir trône au centre du salon, invitant à la détente. Cassandre se dit que l'inspecteur a les moyens pour être propriétaire d'un tel domicile. Elias sert du champagne. Ils s'installent sur le canapé, le champagne faisant rapidement son effet. La proximité d'Elias, la chaleur de l'alcool, l'ambiance douce de l'appartement, tout concourt à faire baisser la garde de Cassandre qui ne veut qu'une chose : que son collègue la démonte!

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