Dans les Méandres de l'Ombre 02-01

BÊTA PUBLIQUE

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J'aurais quand même adoré qu'il me plaque contre la voiture et, même si je m'étais un peu défendu pour exprimer ma féminine liberté, je l'aurais laissé me prendre comme une bête. Je me couche après être passé dans la salle de bain. Sous la couette, mes doigts dérivent vers ma poitrine et mon ventre. Sans vraiment m'en rendre compte, dans le flot et le flou de mes oniriques pensées, ma main passa sous ma culotte. Du bout des doigts, je fouille mes plis humides sans vraiment chercher le plaisir. Ma poitrine gonfle, mon corps se détend, le sommeil m'enveloppe comme une caresse douce et tendre.

Plus tard dans la nuit, en revenant des toilettes, je me rappelle une enquête compliquée, où tout semblait perdu. Elias, avec son esprit vif et son incroyable capacité d'analyse, avait dénoué les fils de l'affaire avec une maîtrise qui m'avait laissée bouche bée. J'étais nouvelle dans l'équipe à l'époque, impressionnée par chaque détail, chaque intuition qu'il avait. Sa manière de connecter les points, son assurance dans les moments de doute, tout cela m'avait fascinée. Je me souviens aussi d'un après-midi pluvieux où nous étions tous les deux penchés sur des photos de la scène de crime, et il avait soudainement pointé un détail minuscule qui avait tout changé.

- Regarde ça, Cassandre. Tu vois cette marque? C'est notre clé.

Ses yeux brillaient d'excitation, et j'avais ressenti une vague d'admiration. Et un désir profond d'être à lui. C'était ce moment précis qui avait marqué le début de mon admiration pour lui, une admiration qui, je le sais maintenant, a évolué en quelque chose de plus profond. J'ai peur. Je pourrais tout accepter de lui. Je ferme les yeux, bercée par ces souvenirs et par les émotions de la soirée. Mon cœur est partagé entre la joie d'avoir passé un moment agréable avec Elias et la frustration de ne pas savoir où je me situe réellement dans sa vie. Mais pour l'instant, je me contente de chérir ces petits instants, ces fragments de bonheur dans un monde souvent trop sombre.

Je me lève à nouveau et sort de mon tiroir à culotte deux des mes sextoys. Un gode assez fin et un womanizer. Installée sous la couette, j'imagine le torse nu d'Elias en longeant ma fente avec la pointe de mon petit gode. Rapidement, je mouille et humidifie mon jouet. C'est quand j'imagine les abdominaux de l'inspecteur, que je pénètre une ou deux fois le gode dans ma chatte pour bien le mouiller. Puis, j'active le womanizer. Je place l'embouchure sur le capuchon de mon clitoris et je laisse la sensation de douce vibration et d'aspiration sortit mon bouton. C'est si bon. Rapidement, je me vois dans les bras puissants d'Elias qui me plaque au sol et me baise comme une pute. Le plaisir monte doucement et j'en profite pour faire migrer le gode de mon vagin vers mon anus. Il s'insinue doucement dans mon cul. L'électricité commence a cisailler mon ventre. Les vibrations du womanizer augmentent et font frissonner tout mon clitoris. L'orgasme est là!

***

LA SEMAINE D'APRES, ILS SE RETROUVENT A NOUVEAU dans l'ambiance tamisée du bar lounge, où les lumières douces créent des reflets dans les verres et les murmures des conversations se mêlent à une musique discrète, Cassandre et Elias boivent verre de Quincy. Le lieu dégage une élégance feutrée, avec ses fauteuils confortables et son comptoir en bois poli, créant un cadre à la fois intime et détaché.

La jupe courte que la brigadière a choisi, dévoile ses jolies jambes mais masque ses hanches larges. Cassandre, assise en face d'Elias, est captivée par sa présence. Il a ce quelque chose d'hypnotique, un mélange de charisme et de mystère qui la laisse légèrement décontenancée. Elle observe ses mains, ses gestes précis en prenant son verre, la façon dont la lumière joue sur ses traits. Va-t-il faire le premier pas ce soir? se demande-t-elle.

Elias, quant à lui, paraît légèrement distrait, son regard se perdant parfois dans le vide avant de revenir à Cassandre. Il y a une tension nerveuse en lui, presque imperceptible, comme s'il portait un poids invisible. Leur conversation est ponctuée de questions banales sur le travail, des échanges polis, mais Elias semble ailleurs. Mais il a parfaitement remarqué la tenue vestimentaire comme une invitation à avancer dans la relation.

À un moment, alors que Cassandre rit à une de ses plaisanteries, un éclair fugace traverse son regard -- un calcul, une évaluation. Pour un instant, l'idée que Cassandre pourrait elle aussi devenir une prisonnière dans son monde secret effleure son esprit. Elle a toutes les qualités qu'il recherche : intelligente, belle quoique un peu boulotte, et surtout, vulnérable dans son admiration pour lui. Par contre, elle est trop grosse, se dit-il. Mais Elias écarte cette pensée. Il s'est promis sa prochaine victime, une asiatique, un plan qu'il ne peut se permettre de changer.

Cassandre, inconsciente de ces sombres pensées, continue d'être absorbée par la conversation. Elle joue avec ses cheveux, minaude à chaque réplique et glousse pour n'importe qu'elle plaisanterie. Chaque mot d'Elias, chaque sourire, renforce l'image qu'elle s'est faite de lui -- un enquêteur brillant, un homme fascinant. Le string en dentelle est trempé. Elle est pourtant loin de se douter des abîmes qui se cachent derrière son regard bleu, des ombres qui dansent dans l'esprit d'Elias, là où personne ne peut les voir.

***

ASSISE EN FACE D'ELIAS DANS CE BAR LOUNGE au charme discret, je me sens comme enveloppée dans un cocon d'attentes et d'émotions. La soirée se déroule à merveille, jusqu'à ce moment où son téléphone vibre silencieusement sur la table. Elias jette un coup d'œil rapide à l'écran, son visage se figeant légèrement, et il répond avec une vague évasivité. J'ai vu qu'il avait remarqué mes jambes qu'offre ma jupe courte.

- Ce n'est rien, juste un vieux collègue, dit-il en reposant le téléphone avec son sourire charmeur.

Un sentiment d'incertitude s'insinue en moi. Était-ce vraiment un collègue? Ou peut-être quelqu'un d'autre, une autre femme peut-être? Je tente de chasser ces pensées, mais une once de doute persiste, ternissant légèrement la magie de la soirée. Je me rappelle soudain toutes ces histoires de collègues qui mènent des vies doubles, et une pointe de jalousie s'invite dans mon cœur. Malgré cela, je ne peux m'empêcher d'admirer Elias, de me laisser captiver par son aura de mystère et son esprit brillant. Je suis trop pouffiasse. Je me vois rigoler à toutes ses blagues. Mon string est trempé. J'espère qu'il ne me l'enlèvera pas ce soir car j'aurais trop honte. En fait si!

Lorsqu'il se lève pour partir, il se penche pour me faire la bise, et mon cœur s'emballe. Sa proximité, l'effleurement de ses lèvres contre ma joue, fait naître en moi un mélange de désir et de confusion. Je me sens à la fois déçue et excitée, une tempête d'émotions qui se bousculent en moi.

- Je te remercie pour cette soirée, Cassandre, dit-il, son regard bleu plongeant dans le mien. On se voit demain au commissariat.

Alors qu'il s'éloigne, je reste là, un peu sonnée, me demandant si cette soirée avait été aussi spéciale pour lui que pour moi. Le doute et l'admiration se livrent une bataille dans mon esprit. J'aimerais pouvoir lire dans ses pensées, comprendre ce qui se cache derrière ce masque de perfection. Mais pour l'instant, je me contente de savourer le souvenir de sa bise, un souvenir que je chérirai jusqu'à notre prochaine rencontre.

Après notre rendez-vous, quelque chose en moi a changé. Je ne peux m'empêcher de garder un œil sur Elias au commissariat. C'est presque comme si une partie de moi, la détective, avait été réveillée par ces petits moments étranges que j'ai remarqués lors de notre rencontre. J'observe Elias de loin, essayant de discerner les nuances de son comportement.

Au fil des jours, je commence à remarquer des incohérences. Il y a ces moments où Elias semble préoccupé, fixant l'écran de son téléphone avec une intensité qui semble hors de propos pour notre environnement de travail habituel. Il s'éloigne parfois pour répondre à des appels, tapant frénétiquement des messages qui semblent urgents. Lorsqu'il quitte la pièce, je sens une précipitation dans ses pas, comme s'il était appelé ailleurs, par quelque chose d'important.

L'idée qu'Elias puisse avoir plusieurs liaisons commence à prendre forme dans mon esprit. Cela me dérange plus que je ne l'aurais imaginé. Pourtant, en tant que professionnelle, je sais que je ne peux ignorer ces observations. Chaque détail, chaque incohérence vient s'ajouter à une image qui devient de plus en plus floue et complexe de l'homme que j'admire.

***

DANS LE SOUS-SOL LUGUBRE DE L'IMMEUBLE du Poursuiveur, un rayon de lumière artificielle filtre à travers une petite ouverture, éclairant faiblement la cellule où Chrystel et Lula, la fille de feu le commissaire Durieux, sont enfermées. Aujourd'hui, il fait froid. Chrystel, avec ses cheveux bruns longs et ondulés qui tombent en cascade sur ses épaules, semble avoir perdu une partie de son éclat habituel. Ses yeux verts, autrefois vifs, sont désormais ternis par la peur et la confusion. À ses côtés, Lula, plus petite et d'une minceur presque fragile, ses traits délicats contrastant avec la détermination qui se lit dans ses grands yeux. Les deux femmes nues ont été mises ensemble dans la même cellule par leur maitre comme une récompense de leur obéissance. Assises sur le sol froid, elles partagent leurs pensées dans un murmure, craignant d'être écoutées par leur geôlier.

- Comment a-t-il pu nous prendre? murmure Chrystel, sa voix trahissant un mélange de peur et d'incrédulité. Je me souviens juste d'être sortie et puis... rien.

Lula serre les genoux contre sa poitrine pour se réchauffer, ses yeux parcourant la cellule comme pour y trouver une réponse.

- Je ne sais pas. C'était si soudain. Un moment, j'étais en train de marcher vers ma voiture, et l'instant d'après, je me suis réveillée ici. Elle marque une pause, puis ajoute, Penses-tu qu'il nous observe en ce moment même? demande Julie en regardant le corps nu et fragile de la jeune fille recroquevillée sur elle-même.

Le grand corps très mince de la fille de son ancien commissaire avec sa poitrine massive attire son regard. Elle se surprend à vouloir les toucher. Leurs spéculations sur le geôlier tournent en boucle, alimentées par l'incertitude et la peur.

- Il est intelligent, calculateur, murmure Chrystel, pour avoir réussi à nous capturer sans laisser de traces. Cela fait des années qu'il enlève et...

Lula hoche la tête, son regard se perdant dans le vide. Les seins lourds de la jeune fille de dix-huit ans pendent sous son corps malingre.

- Et cruel, ajoute-t-elle doucement. Pour nous garder ici, à l'écart du monde, à jouer ce jeu tordu.

La conversation tourne autour de leur situation, chaque mot chargé d'une tension palpable. Elles parlent de leurs familles, se demandant si elles sont à leur recherche, si elles savent ce qui leur est arrivé. Elles frissonnent souvent.

- Il fait froid aujourd'hui tu ne trouves pas?

Après des heures à ne rien faire, Chrystel et Lula, malgré l'écrasante réalité de leur captivité, murmurent des plans d'évasion, leurs voix portant un mélange de détermination et de désespoir.

- Que dirais-tu d'essayer de déjouer les caméras? suggère le jeune Lula, son esprit fonctionnant à plein régime malgré la peur. Si nous pouvions trouver un angle mort, ou peut-être les aveugler temporairement...

Chrystel hoche la tête, captivée par l'idée. Elle frisonne de froid.

- Oui, et si l'une de nous pouvait se cacher pendant le repas, rester dans l'ombre quand il vient vérifier...

Elles envisagent également de créer des armes improvisées avec les objets disponibles dans leur cellule -- un morceau de métal détaché d'un lit, une brosse aux poils aiguisés. Cependant, chaque plan est suivi d'un "et après?", la réalité de leurs limitations les ramenant brutalement à terre.

- Et si on feignait une maladie? propose Chrystel, sa voix basse. Si l'une de nous peut simuler quelque chose de grave, il pourrait baisser sa garde.

Lula acquiesce, mais ses yeux trahissent ses doutes. Elle frotte ses longues cuisses et ses jambes pour se réchauffer.

- Mais même si cela fonctionne, et qu'il ouvre la cellule, comment sortir de là? Nous ne savons même pas où nous sommes.

La température d'habitude supportable est fraîche. Elles décident de se rapprocher et de se serrer l'une contre l'autre pour se réchauffer. La chaleur entre elles les détend. Joue contre joue, elles se parlent à l'oreille et leur souffle descend entre leurs cuisses pliées. Elles parlent de surveiller les habitudes d'Elias, d'essayer de déterminer les moments les plus propices pour une tentative d'évasion, en notant les moments où il semble le moins attentif ou les horaires où il apporte la nourriture. Le ventre de Lula vibre à l'intérieur, à l'extérieur son corps maintient une immobilité neutre. Chrystel sent sa petite poitrine contre les seins massifs de sa jeune colocataire. Chacune sent une douce excitation sans se l'avouer.

Les desseins pervers du Poursuiveur avancent.

UN SOIR, ALORS QUE LA VILLE s'enveloppe dans l'obscurité, Elias rentre chez lui, son visage affichant une impassibilité calculée. Dans sa chambre, éclairée d'une lumière douce, se trouve une armoire en bois massif, élégante et imposante. Il l'ouvre, révélant non pas des vêtements ou des objets personnels, mais une ouverture secrète. Derrière les vêtements soigneusement rangés, un passage étroit s'ouvre, menant à un escalier en colimaçon qui descend dans les profondeurs de l'immeuble.

Elias emprunte cet escalier, ses pas résonnant sur les marches de pierre froide. L'air se fait plus humide et plus lourd à mesure qu'il descend, la lumière se faisant plus rare. Il arrive finalement dans un donjon central, une pièce spacieuse et austère, aux murs de béton brut et au sol nu. Cet espace, éclairé par quelques ampoules suspendues, révèle des chaînes fixées aux murs et divers instruments qui trahissent la nature sinistre des activités d'Elias.

Djamila et Lila sont déjà là, leurs visages marqués par une anxiété silencieuse. Djamila, avec sa stature athlétique et ses yeux bruns perçants, se tient debout, tentant de masquer sa peur sous une façade de bravoure. À ses côtés, Lila, la beurette plus menue, ses cheveux noirs encadrant son visage, jette des regards inquiets autour d'elle. Elias s'approche d'elles, son regard froid balayant la pièce.

- Bonsoir, mes chères, dit-il d'une voix doucereuse qui contraste avec l'atmosphère oppressante du donjon.

- Bonjour Maitre, lancent-elles de concert la tête baissée.

- J'espère que vous avez réfléchi à l'importance de coopérer.

Djamila répond d'une voix ferme, bien qu'une légère tremblote trahisse son angoisse.

- Nous t'obéissons Maitre.

Elias sourit, un sourire qui ne touche pas ses yeux.

- Juste votre obéissance et votre corps, votre âme et vos orgasmes, répond-il.

Il s'approche alors de la jeune Lila, ses doigts effleurant légèrement sa joue. Lila se crispe, mais reste immobile, son regard fixé sur un point invisible loin devant elle tandis que son corps se tend et sa poitrine frémit. Dans ce donjon, Elias est le maître absolu, son emprise sur Djamila et Lila se manifestant à travers chaque mot, chaque geste. C'est un lieu où la peur et le désespoir se mêlent à l'air même qu'elles respirent, un endroit où la notion de temps semble se dissoudre dans l'obscurité éternelle des murs de béton.

Les mains de l'homme voyage sur le corps de la beurette, mais son cœur se ferme au fur et à mesure. Une sinistre emprise s'empare d'elle à nouveau, faisant taire les tourments qu'elle subit, plongeant son esprit dans les ténèbres de la soumission. Elias force la jeune beurette à se mettre genou et dégrafe son pantalon pour présenter sa verge raide.

- Ouvre la bouche et suce bien.

La tige s'enfonce dans la bouche et Lula débute une fellation des plus maladroite.

- Lèche d'abord, salope. Tu es une vraie gourde!

L'humiliation de ce viol corrode les entrailles et ses seins durs et son sexe humide la dégoute.

- Suce le bout comme tu suces une glace.

Elle suce la verge dure un moment. À l'ordre du Poursuiveur, Djamila met sa coreligionnaire à quatre pattes. La gifle sur les fesses bien rondes fait pleurer la beurette. Écartant le cul ferme, il crache sur l'œillet et très rapidement, avant que la gamine ne se cabre, il pénètre violemment l'anus. Lula gueule et ses yeux sortent de leur orbite tandis que la bite s'engouffre dans son ventre. Le bourreau s'agrippe aux hanches de sa proie pour la fourrer à son envie comme le pervers qu'il est.

La douleur est éphémère mais la honte est éternelle, la honte est donc la douleur suprême. Le cul déchiré, Lula subit sachant que sa vie sera un horizon de souffrances et de douleurs. Mais le pire c'est que son sexe coule et que de petits orgasmes se multiplient pendant que le tortionnaire la sodomise comme une chienne.

- A genoux devant moi, salope!

Le violeur se vide dans la bouche pendant que Djamila tient la tête de Lula pour qu'elle ne puisse pas se soustraire.

- Garde mon jus dans ta gueule. Ne crache pas, ne bois pas.

Toute perdue, Lula obtempère écœurée du goût âcre du sperme. Elias lui demande d'ouvrir la bouche pour lui montrer le liquide.

- Maintenant, avale!

Il laisse Lula et se dirige vers Djamila. Elle est debout, les jambes et les bras écartés. Elias lui tourne autour et la caresse ou la gifle, à son envie. Il enfonce son poing dans sa chatte, il écarte violemment les fesses, il crache sur le visage et gifle les seins qui se balancent. Djamila ne bronche pas. Obéissante, elle maintient sa position.

Puis Elias revient vers Lula. Avec Djamila, ils l'installent sur un plateau. Une boule d'angoisse étrangle la jeune beurette quand elle doit s'allonger. Les membres attachés en croix, la jeune arabe ne bouge pas et ses yeux pleins de frayeur observe le bourreau qui s'affaire autour du plateau. Il ne parle pas en posant des patchs reliés à des fils sur ses tétons. Des modulations de vrombissements commencent à agir. Puis Djamila s'installe entre les cuisses ouvertes de la musulmane. Du bout de l'index, elle caresse les lèvres lisses et le capuchon.

- Ton corps m'appartient, salope. Ta volonté m'appartient, sale chienne. Tes orgasmes sont à moi, sale pute.

Lula n'aime pas ces insultes. Elle pleure quand l'homme pose un appareil sur son clitoris. L'embout creux du womanizer embrasse le bouton. Elias demande à Djamila de maintenir l'appareil en position. La peur monte chez la jeune femme. Puis, tout commence. Les appareils sont déclenchés. Les tétons vibrent agréablement. Le clitoris est légèrement aspiré et vibre en même temps. Pendant ce temps, Elias caresse la peau halée de la jeune fille voilée. Les minutes passent et Lula pense qu'elle ne souffrira pas aujourd'hui. Espérer un possible c'est enlacer la déception. Sans qu'elle ne puisse se contrôler, le plaisir progresse dans son corps. L'homme embrasse toutes les parties de son corps. Ses seins frémissent agréablement. Sous le traitement du sextoy que Djamila maintient, son clitoris se gorge de sang et gonfle fatalement.

Cet homme ne connait qu'un seul plaisir : la domination, se dit la beurette quand elle comprend qu'il l'oblige à avoir du plaisir. Violée de plaisir, voilà son traitement. Non, non, se commande-t-elle. Je ne vais pas jouir! Au moment où elle s'intime cet ordre, le plaisir s'accentue encore et une vague de sensations déferle dans tout son corps comme un tsunami infâme d'une extase redoutée. Ses gémissements se mêlent à ses pleurs. La respiration coupée par un premier orgasme ne revient qu'à la fin du deuxième. Lula tente de remuer pour se soustraire au traitement mais rien n'y fait et les appareils remplissent leur office sous le regard satisfait d'Elias qui se branle tranquillement en admirant la beurette voilée. Les orgasmes se répètent inlassablement malgré les cris étouffés.