Dans les Méandres de l'Ombre 02-01

Informations sur Récit
Suite du thriller.
6.7k mots
4.88
2.5k
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Partie 6 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
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PARTIE 2

Résumé de la première partie :

Les enquêteurs Chrystel Louveton et Elias Tabi sont désignés par leur commissaire pour prendre en charge une enquête complexe, portant sur les agissements d'un violeur en série qui sévit à travers la France. Au fil de leur investigation, ils recueillent les témoignages des survivantes, traçant lentement mais sûrement le profil de l'assassin. Cependant, malgré leurs efforts, le prédateur reste insaisissable, anticipant et contournant chaque tentative de capture.

Dans l'ombre, le prédateur, surnommé le Poursuiveur, chasse ses victimes avec une prédilection macabre. Il les capture, les soumet à d'indicibles tortures avant de les baiser à volonté. Conscient de l'attention policière à son égard, il utilise son intelligence et sa ruse pour échapper à la poursuite des forces de l'ordre. Il a aménagé des cellules secrètes dans le sous-sol d'un immeuble lui appartenant, où il détient ses captives loin de tous regards.

Alors que l'enquête progresse, Elias, l'un des enquêteurs chargés de l'affaire, est en réalité le Poursuiveur. Il est responsable de la mort du commissaire et de sa femme ayant enlevé leur fille. Il a également enlevé sa collègue et partenaire, Chrystel.

Chapitre 1 : La Double Vie d'Elias

DANS L'AUBE GRISATRE, le vaste appartement d'Elias Tabi s'éveille sous le murmure constant de la ville. L'homme au visage sculpté par des nuits sans sommeil, prépare son café matinal avec des gestes mécaniques. La vapeur s'élève dans un sifflement régulier, rythmant le début de sa journée. Le café corsé coule, goutte après goutte, dans la tasse et Elias se prépare pour une nouvelle journée. Ses mouvements sont précis, ceux d'un homme qui a longtemps maîtrisé l'art de paraître ordinaire.

Dans sa chambre sobrement meublée, des dossiers d'enquête s'étalent sur son bureau, éparpillés comme les pièces d'un puzzle macabre. L'inspecteur de police les survole du regard, chaque page un rappel des enquêtes en cours, chaque photographie un écho de ses propres actes inavouables. C'est un jeu de miroir entre le chasseur et le traqué, où il joue les deux rôles avec une aisance troublante.

Il se dirige ensuite vers un écran discret, encastré dans le mur. Là, un réseau de caméras alimente un flux vidéo continu, révélant les entrailles de l'immeuble : un très vaste sous-sol transformé en un labyrinthe de cellules et un immense donjon. Chaque écran montre une scène différente - des fragments de vies brisées, capturées dans leur isolement. Les cinq prisonnières, réduites à l'état d'ombres dans ces boîtes de béton, se meuvent lentement, leurs mouvements captés par l'œil impitoyable des caméras. Leur nudité réveille la libido du Big Brother pervers qui sent une barre gonfler dans son caleçon. Avec un sourire en coin, son plaisir morbide, Elias ajuste l'angle d'une caméra, s'assurant que chaque coin de ces cellules est sous son contrôle.

Dans le sous-sol, une scène étrangement ordonnée se déroule. Toute vêtue de nudité et de soumission, plongées dans un demi-jour permanent, les prisonnières exécutent leurs exercices de fitness avec une discipline forcée. Chaque flexion, chaque étirement, est un rappel de leur condition : prisonnières réduites à l'état de marionnettes dans une pièce macabre. L'obligation d'exécuter deux fois par jour une séance de trente minutes de fitness garantie au geôlier une marchandise svelte et dynamique. Elias observe depuis son écran, un directeur de scène calculateur surveillant ses actrices involontaires. La sueur perle sur leurs fronts, témoignant de l'effort et de la peur mêlés. Leurs seins ballotant, lumière de son désir, feu de son sexe. Pour elles, ces exercices ne sont pas un choix mais une contrainte, un marché cruel -- bougez pour manger, bougez pour éviter les électrocutions, bougez pour survivre - un règlement imposé par leur geôlier.

En bas, elles obéissent, Elias se tient devant son écran en haut, dans son appartement. Sa perversion ne respecte rien, ni pudeur, ni empathie. Il s'absorbe dans cette routine matinale avec une froideur clinique en se masturbant. Son pénis a gonflé. Dans son esprit, Elias se perçoit comme un gardien, un maître veillant au bien-être de ses captives pour son propre plaisir. Pourtant, pour les femmes dans le sous-sol, il est l'incarnation de leurs pires cauchemars, un monstre qui se drape dans une logique tordue et perverse. Leur endurance et leur force, arrachées par la peur et la soumission, sont autant de trophées pour lui, des preuves de sa suprématie sur leur monde confiné.

Chrystel Louveton, dans la dernière cellule, effectue des squats avec une rigueur mécanique. Les longs cheveux bruns et ondoyants de l'ancienne collègue d'Elias collent à son front en sueur, ses yeux verts fixent un point invisible sur le mur nu devant elle. Ses tétons pointent à cause de la fraîcheur matinale.

Dans la cellule voisine se trouve Lula Durieux, la fille du commissaire qu'Elias a tué avant de violer l'épouse et la fille devant ses yeux. Petite et mince, elle se plie et se déplie dans une série de push-up épuisants. Sa bouche reste serrée dans un silence obstiné. Ses bras tremblent sous l'effort, mais elle persiste, motivée par une lueur de défi dans ses yeux. Son énorme poitrine frotte le sol en ciment à chaque descente et les tétons aux larges aréoles s'irritent. Depuis des semaines de cette routine ont affiné sa silhouette de jeune fille de dix-huit ans.

Dans une autre cellule, Lila Magarie, dix-huit ans également, étire ses longues jambes dans une série de lunges. Ses cheveux noirs, retenus sous un hijab même en captivité, oscillent au rythme de ses mouvements. La fille de la seule victime ayant réussi à réchapper au Poursuiveur, a vu sa mère violée une seconde fois par son bourreau avant qu'il ne l'enlève. Elias la force à porter le foulard islamique. Ca l'excite, dit-il. Les yeux noirs et brillants de la beurette trahissent une concentration intense, chaque mouvement une tentative d'échapper, ne serait-ce qu'un instant, à la réalité de sa prison.

La quatrième captive, la black Djamila se trouve dans une cellule plus lumineuse. Sa silhouette athlétique se plie en un exercice de yoga, cherchant un semblant de paix dans ces gestes fluides. Première locataire du donjon, la grande black est complètement soumise à Elias.

Enfin, Julie, la barmaid aux cheveux roux, est enfermée dans la dernière cellule. Elle saute à la corde, ses cheveux flamboyants créant un halo autour de son visage déterminé. Ses yeux verts brillent d'une lueur sauvage, chaque saut une défiance silencieuse contre son ravisseur.

ELIAS S'APPROCHE DE LA CELLULE de Djamila. La lumière crue des néons se reflète sur sa peau noire, mettant en évidence sa stature athlétique. Ses muscles sont dessinés par l'effort et la résilience, une beauté sombre. Ses yeux, d'un brun profond, scrutent Elias avec une lueur de résignation et d'excitation. Elias s'arrête devant les barreaux, observant Djamila avec une satisfaction mesurée.

- Tu as bien travaillé, Djamila, dit-il d'une voix calme, presque douce.

Djamila se redresse, son regard se fixant sur Elias.

- Merci, maître, répond-elle, sa voix portant une nuance de satisfaction.

Son usage du terme 'maître' est automatique, un réflexe conditionné par des mois de captivité et de domination. Elias sourit légèrement, satisfait de cette soumission.

- Je vois que tu obéis. C'est bien. Cela rendra les choses plus faciles pour toi.

Djamila acquiesce silencieusement, baissant les yeux.

- Je fais de mon mieux, maître. Je... je veux vous servir, murmure-t-elle, sa voix trahissant un mélange de crainte et de satisfaction.

Djamila hoche la tête, une larme perlant au coin de son œil mais qu'elle réprime rapidement. Elle s'agenouille sur le sol froid. Le pénis sort du jogging, la black le serre. Il est raide et dur. Elle n'a pas le temps de s'étonner. La bite de son Maitre danse devant ses yeux. Elias l'attrape par les cheveux, elle ouvre docilement la bouche pour avaler son sexe en entier. La pauvre a du mal à absorber dans sa bouche la totalité du long mandrin. Ses lèvres ourlées entourent la tige veinée. Rapidement, le liquide chaud rempli la bouche et après plusieurs déglutitions, la verge se retire.

PLUS TARD DANS LA MATINEE, le commissariat bourdonne de l'activité caractéristique d'une journée typique. Les téléphones sonnent sans cesse, les agents se déplacent avec des dossiers sous le bras, et des conversations énergiques remplissent l'air. C'est un monde en contraste frappant avec le silence pesant du sous-sol du Poursuiveur.

Les cellules et le donjon ont été abandonné par le Poursuiveur, Elias entre dans le commissariat, son visage affichant une expression professionnelle. Il salue ses collègues avec une aisance feinte, un sourire cordial qui ne touche jamais vraiment ses yeux. Il échange des plaisanteries légères, offre des réponses brèves mais pertinentes à des questions sur des affaires en cours, se fondant parfaitement dans le décor de l'activité policière.

Parmi la foule, la brigadière Cassandre Pivot attire son attention. Petite mais avec une présence qui défie sa stature, elle se distingue par un visage fin encadré par des cheveux soigneusement coiffés. Son maquillage, subtil mais efficace, souligne des traits délicats, et ses yeux suivent Elias avec une intensité à peine voilée. Cassandre, dotée d'une silhouette légèrement boulotte et d'une poitrine qui attire souvent les regards, semble absorber chaque détail d'Elias, chaque mouvement, chaque mot.

Lorsqu'Elias s'approche, Cassandre rougit légèrement, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres.

- Bonjour, Elias, dit-elle d'une voix douce, légèrement tremblante. J'ai entendu dire que tu as fait des progrès sur l'affaire Louveton.

Elias hoche la tête, son sourire s'élargissant légèrement.

- On avance, oui. Mais il y a encore beaucoup à faire, répond-il, feignant de ne pas remarquer l'admiration dans ses yeux.

Cassandre acquiesce, jouant avec un stylo entre ses doigts.

- Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas à me le dire. Je suis là pour ça, dit-elle, insistant un peu trop sur le 'je'.

Elias lui adresse un regard reconnaissant, bien conscient de l'affection qu'elle lui porte.

- Je n'y manquerai pas, Cassandre. Merci, répond-il avant de continuer son chemin, laissant derrière lui une Cassandre à la fois ravie et tourmentée par ce bref échange.

- Ca tient toujours pour ce soir... enfin après le boulot.... pour boire un verre? bégaie la brigadière soudain sous le feu de ses émotions.

Elias opine de la tête avec un sourire charmeur.

L'ATMOSPHERE AU COMMISSARIAT prend une tournure légèrement différente lorsque Marcel Bourge, le nouveau commissaire, fait son entrée dans la pièce principale. De stature modeste, il dégage une présence surprenante, sa carrure sèche et son regard vif balayant la pièce comme un faucon. Ses yeux perçants semblent sonder chaque recoin, chaque individu, évaluant et calculant. Elias, observant le nouveau commissaire de loin, ajuste son comportement en conséquence. Il se redresse, son expression se teintant d'un sérieux professionnel. Lorsqu'il s'approche de Bourge, Elias présente une image de dévouement total à son travail.

- Commissaire Bourge, c'est un honneur de travailler sous votre commandement, dit-il avec une respectueuse fermeté.

Bourge, scrutant Elias avec un regard aiguisé, hoche la tête.

- Je suis au courant de votre implication dans l'affaire Louveton, Elias. J'attends des résultats rapides et efficaces, répond-il d'une voix qui, malgré son calme, porte un ton de commandement.

- Je fais de mon mieux, commissaire. Nous sommes tous dévoués à retrouver Chrystel et à apporter des réponses à sa famille, assure Elias, sa voix chargée d'une sincérité feinte.

Autour d'eux, les collègues observent l'échange, impressionnés par l'assurance d'Elias face au nouveau commissaire. Bourge, pour sa part, semble légèrement impressionné, mais ses yeux ne perdent rien de leur intensité scrutatrice. Après quelques mots supplémentaires, Bourge s'éloigne, laissant Elias au centre d'un petit groupe de collègues.

- Il va nous falloir redoubler d'efforts sur cette affaire, dit Elias, captant l'attention de ses collègues. Chaque indice compte. N'oublions pas que l'un des nôtres est toujours là-bas, quelque part.

Les collègues acquiescent, galvanisés par ses paroles.

***

EN M'APPROCHANT D'ELIAS ce matin-là, mon cœur bat la chamade. C'est étrange, cette manière dont sa présence semble toujours altérer mon rythme cardiaque. Je me sens comme une adolescente, alors que je suis une policière chevronnée. Je l'observe un instant, discret dans son costume impeccable, la lumière soulignant ses traits forts. Ses cheveux châtains courts donnent l'impression d'une rigueur militaire, et ses yeux bleus semblent toujours capter quelque chose de plus profond, plus mystérieux.

- Bonjour, Elias, je dis, ma voix trahissant une pointe d'excitation que je tente désespérément de masquer. Tu as vu le nouveau commissaire? Il a l'air... intense.

Elias se tourne vers moi avec un sourire qui, je le sais, est destiné à m'apaiser.

- Oui, intense, c'est le mot. Nous devrons être à la hauteur de ses attentes.

Je hoche la tête, consciente que notre conversation est purement professionnelle, mais mon esprit est ailleurs. C'est ce soir que nous devons nous retrouver pour boire un verre ensemble. Un "rendez-vous", comme j'aime à le penser, bien que je sache que c'est probablement plus dans ma tête qu'une réalité.

- Je suis sûre que tu retrouveras Chrystel, tu vas réussir comme toujours, je me balance, un peu trop rapidement.

Elias me regarde un instant, et je me demande s'il perçoit la profondeur de mes sentiments. C'est effrayant et excitant à la fois.

- Merci, Cassandre. On se voit ce soir, alors, dit-il en me lançant un dernier regard avant de s'éloigner.

Alors qu'il s'éloigne, je reste un moment immobile, son image gravée dans mon esprit. Ce soir, je me dis. Ce soir, peut-être que je comprendrai enfin ce qui se cache derrière ce regard bleu perçant, ce sourire énigmatique. Peut-être que ce soir, Elias...

***

APRES AVOIR PARTAGE un verre avec la brigadière Cassandre Pivot, Elias rentre chez lui, ses pensées se mêlant entre devoir et déception. Cassandre, avec son visage fin et sa silhouette légèrement boulotte, l'avait observé toute la soirée avec des yeux pleins d'admiration. Elias, conscient de l'importance de maintenir son image de collègue dévoué et charmant, avait joué son rôle à la perfection, souriant et riant aux bons moments. Il savait qu'il devait la séduire, la garder sous son charme pour éviter qu'elle ne soupçonne sa véritable nature de Poursuiveur.

À la tombée de la nuit, après cette rencontre, Elias retrouve la solitude de son antre. La façade de son immeuble, banale et discrète, cache un monde souterrain que seul Elias connaît. Il pénètre dans le sous-sol avec la précision d'un horloger et l'autorité d'un tyran. Dans cet espace confiné et sombre, les prisonnières attendent, leurs cœurs battant au rythme de leurs pensées anxieuses. Le grincement de la porte métallique annonce l'arrivée d'Elias. Peut-être, espèrent-elles en secret, apporte-t-il des nouvelles de libération. Mais au fond, elles savent que ce n'est qu'une chimère.

Elias, avec une froideur méthodique, distribue la nourriture à chacune. Elles sont dépouillées de leur humanité, nues face à lui, soumises à son bon vouloir. Il parcourt le couloir, s'arrêtant devant chaque cellule, son regard impassible scrutant les visages fatigués et résignés des femmes. Il leur parle avec une voix détachée, donnant des ordres simples et des règles strictes.

- Mange, reste en forme, dit-il, sa voix dénuée d'émotion.

Les femmes acquiescent silencieusement, acceptant leur sort avec une résignation douloureuse. Agenouillées et nues, elles sont la soumission. Lorsqu'Elias a terminé sa ronde, il s'attarde un instant, observant ses captives. Dans ses yeux, il n'y a ni remords ni compassion, juste la satisfaction d'un pouvoir absolu. Puis, il se détourne, remontant vers le monde des vivants, laissant derrière lui un silence lourd et un sentiment d'abandon.

ELIAS S'ENGOUFFRE DANS LA CELLULE de la jeune Julie, la Barmaid rousse. Il l'enlace, cherche ses lèvres. Son baiser est chaud, sa langue s'enroule autour de la sienne. La poitrine de la jeune femme frotte contre la sienne. La main de Julie passe entre les ventres, elle saisie le sexe déjà dur. Elle préfère offrir son corps et son intimité plutôt que de subir une séance de fouet ou pire, d'électrocution. Elias la pousse dans le coin, la fait asseoir sur le lit en métal. Le visage de la rousse est à hauteur de sa queue. Sans hésiter ni réfléchir, elle ouvre la bouche. Elle fait à cet homme ce qu'elle n'a jamais fait à personne.

La verge prend peu à peu du volume. Le frottement sur le palais et sa langue lui donne un étrange plaisir. Espérer un possible c'était enlacer la déception, elle le savait. Elle veut vouloir faire plaisir à son maitre. Mais elle sait pas y faire, il attrape sa tête et enfonce son membre plus profond. Elle suffoque et a des hauts le cœur. Elle bave. Brusquement, Elias s'arrête.

- Tu n'as pas l'habitude? On verra plus tard.

Elias attrape les mains de Julie, la fait se lever, les monte au-dessus de sa tête, la tient comme ça d'une main. Son autre main descend sur les menus seins qu'il palpe, puis il la retourne face au mur en béton. Avec un pied, il écarte les siens. Elle sait ce qu'il va faire et elle sent sa queue qui frotte entre ses fesses. Elle a peur. Mais il glisse entre les lèvres de sa chatte épilée et il fait plusieurs va et vient. Puis la chatte de Julie s'ouvre comme un réflexe de femelle avant la saillie. La rousse sent la pénétration lente. Elias marque un temps d'arrêt et goûte la souffrance de sa chose. Il passe ses mains sur les seins entre le béton et sa peau. Elias tiraille les mamelons. Malgré toute la violence, malgré ce nième viol, malgré l'humiliation, elle sent sa jouissance venir, alors qu'il ne me pénètre pas entièrement. Cela la rend folle, en ayant le désir pour la proximité des corps et pour ce corps la fureur.

Finalement, elle gémit. Elias la laisse jouir et il sent sa chatte qui suinte. Puis, le tortionnaire s'enfonce d'un seul coup au fond de la chatte. L'ancienne barmaid le sent taper contre son utérus et elle pousse un cri, aussitôt arrêté par la main sur sa bouche. Il la pilonne avec force. Les pieds de Julie décollent du sol. Elias a une main sur sa bouche, l'autre sous ses seins. La rousse a toujours les mains contre le mur au-dessus de sa tête. Elias donne de grands coups de reins, la décollant du sol. Elle a la sensation qu'il va lui perforer le ventre. Julie est folle. Elle est entre douleur et plaisir, elle ne sait plus. Elle s'abandonne et c'est nouveau pour elle, le plaisir et la brutalité. Elias va de plus en plus vite, cognant son ventre contre le cul. A chaque fois qu'il s'enfonce elle répond par de petits cris

Elias fait à sa soumise ce que le torrent faisait à la vallée, il l'ouvre inexorablement pour gonfler la rivière de plaisir inexploré. Julie sent son ventre qui se crispe, son cœur va exploser. Elle ne sent plus ses jambes, sa tête gronde, inconstamment et la rousse serre les cuisses. Puis un voile devant les yeux, elle entend une femme crier. Finalement elle comprend que c'est elle. Le bourreau se crispe derrière elle, projette son ventre en avant, la tient sur sa bite, ses pieds dans le vide, et son sperme chaud lui inonde le ventre. De longues giclées qui n'en finissent pas. Elle tremble de tout son corps. Ce vertige n'en finit pas et les yeux verts de la jeune rousse s'embrouillent.

***

ALLONGEE DANS MON LIT, je revis la soirée que je viens de passer avec Elias. Il y avait quelque chose de spécial dans l'air, une étincelle que je n'avais jamais ressentie auparavant. Il était charmant, plein d'humour, et surtout, il a respecté mes limites. En me raccompagnant à ma voiture, il n'a pas tenté de se rapprocher trop près, ce qui, étrangement, me laisse à la fois soulagée et légèrement déçue. Je me surprends à penser que j'aurais peut-être aimé qu'il fasse un pas de plus, mais le respect qu'il a montré me fait l'apprécier davantage. C'est comme s'il me voyait vraiment, pas seulement comme une collègue ou une simple conquête.

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