Dans Le Bus Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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De temps à autre, je reçois une claque sur les fesses et je glapis. Le petit gars aime bien aussi me secouer pour faire encore plus balancer mes nichons, ça les fait rire. Je les entends discuter et ils disent qu'ils n'en reviennent pas de leur chance. Ils ont retrouvé leur esclave sexuelle dans une autre ville, une esclave qui avait une chance sur un million de tomber sur eux la première fois, et dont il semblait impossible de la retrouver.

Nous allons jusqu'au bout de la ruelle, juste au petit espace qu'il y a derrière le bâtiment de gauche. Dans ce passage, ils me conduisent dans une zone couverte qui semble être un terrain de stockage ou quelque chose dans ce genre. Je dirais que ça a la taille d'une petite maison avec un toit métallique et des poteaux en fer pour le tenir.

- Regardez ce que l'on a trouvé! Crie le petit gars.

Au début je ne sais pas qui il appelle, car je ne vois rien. Mais une fois que mes yeux se sont habitués à l'obscurité, je vois qu'il y a un petit camp ici. Des tentes et des abris en carton jonchent l'espace avec peut-être vint à vingt-cinq personnes.

A son cri, les personnes se tournent pour regarder et alors les exclamations commencent. Beaucoup crient de surprise tandis que d'autres semblent étonnés. Quelques-uns ont l'air extrêmement excités tandis que d'autres semblent méfiants.

Ce qui est différent de la première fois, c'est que je n'ai pas les yeux bandés et que je vois les visages de tous ces gens, sans oublier que je n'ai pas bu et que je suis complètement sobre. Ainsi, c'est très différent. C'est terrifiant et à la fois excitant et pas excitant.

- Allez viens! Dit le petit gars derrière moi.

Il tire sur la ceinture et me fais marcher à reculons. Je lui obéis sans un mot, car je ne peux rien faire d'autre. Il me plaque le dos et les fesses contre un des poteaux métalliques. Puis il saisit mes cheveux, fait des boucles avec comme s'il voulait me faire des nattes. Il est très brutal, ne se souciant par de tirer ou arracher mes cheveux.

- AIE! Crié-je alors qu'il tire mes cheveux aussi fort que possible.

Mais il ne lâche pas. Il continue à tirer encore et encore. Puis je le vois reculer devant moi alors que mes cheveux sont toujours tirés.

- Bienvenue à la maison! Me dit-il.

Les autres rient. J'essaie alors de bouger ma tête, mais je ne peux pas. Mes cheveux sont attachés. Je crois bien qu'il a attaché mes cheveux de l'autre côté du poteau? Je suis coincée. Je suis vraiment impuissante, attachée au poteau les mains derrière la nuque et les coudes en l'air.

- Laisse-moi être le premier à te souhaiter la bienvenue! Dit-il encore en s'avançant vers moi.

Toue en me regardant dans les yeux, il déboutonne son pantalon qui n'a plus de ceinture. Ensuite il le descend ainsi que son caleçon tout en me souriant. Et il exhibe une bite bien raide.

Il soulève alors ma jambe droite. N'arrivant toujours pas à croire ce qui est en train de se passer, je regarde fixement devant moi alors qu'il se presse contre moi, son corps contre ma peau nue. Mon cœur commence à battre plus fort quand je le sens poser sa bite sur ma chatte. J'étais juste dans un bus... Sur le trottoir... Pour aller à l'université.

Nous gémissons tous les deux alors qu'il insère sa bite en moi. Il l'enfonce et je sens la chaleur de sa queue de SDF. En tenant toujours ma jambe en l'air, il commence doucement à pousser vers l'avant avec ses hanches. Il continue et nous gémissons encore. Sa bite glisse facilement dans le fourreau de ma chatte mouillée. Puis il commence à aller plus vite, me baisant contre le poteau, chacun de ses coups de reins me faisant gémir et remuer mes seins.

- Bienvenue... À la... Maison... Bienvenue... Répète-t-il encore et encore, chaque mot correspondant à un de ses coups de rein.

J'aurai pu croire que je n'étais pas prête à ça, trop surprise. Mais en fait non, ma chatte est bien humide et accueillante, ce qui lui facilite le travail.

- Oh ouais! Gémit-il tout d'un coup.

Je le sens alors éjaculer en moi. Il ne fait pas d'efforts pour se retirer. Il enfonce profondément sa bite et gicle son foutre dans ma chatte. Une fois qu'il a fini, il recule et remonte son pantalon comme si rien n'était. Avec un sourire, il gifle mes nichons et s'en va.

- A mon tour! Dit son compagnon de ruelle.

Il s'avance vers moi et appuie sur ma tête avec sa main. Je ne comprends pas toute de suite ce qu'il veut, mais il continue d'appuyer. Je comprends alors qu'il veut que je m'agenouille . Alors lentement et prudemment, je fais glisser ma tête le long du poteau jusqu'à ce que ma bouche soit à la hauteur de son entrejambe.

Il défait sa ceinture et son pantalon pour sortir sa bite bien dure. Il s'avance et la presse contre mes lèvres. Encore incrédule j'ouvre la bouche et il pousse sa queue à l'intérieur.

Des souvenirs de cette même situation se produisant encore et encore me reviennent et je fais comme à l'époque. Mes lèvres se resserrent autour de sa queue et je penche la tête autant que je peux pour le sucer. Il ne faut pas longtemps avant que je reprenne le rythme, avec la sensation familière de mes seins qui se balancent et d'une bite qui tape le fond de ma bouche.

Il ne lui faut qu'une demi-minute avant qu'il ne gicle dans ma gorge et ne me fasse avaler son foutre. De toute façon il ne me laisse pas le choix, car il tient ma tête alors qu'il jouit.

Je reste comme ça, à goûter son sperme alors qu'il range a bite. Je ferme les yeux, car je me dis encore que ce n'est qu'un rêve, que je vais bientôt me réveiller, que je ne suis pas nue et attachée par les cheveux à un poteau, que je ne suis pas encore une esclave sexuelle pour un groupe de sans-abris, que je ne suis pas sur le point de jouir de cette situation.

- Viens! Dit quelqu'un en s'approchant de moi.

En ouvrant les yeux, je vois deux types à côté de moi. Ils m'attrapent sous les bras et me soulèvent lentement. Un instant plus tard, l'un défait ce qui retient mes cheveux.

Ils m'emmènent jusqu'à un vieux bureau en métal. L'un d'eux me penche par-dessus et se place derrière moi. L'autre se place où se trouve ma tête. Les deux sortent leur bite comme si de rien n'était.

Et un moment plus tard, l'un enfonce sa bite dans ma chatte tandis que l'autre l'enfonce dans ma bouche. Incapable de faire que ce soit, je les laisse me baiser comme ça. Ils rythment leurs coups de rein de façon à écraser mon corps douloureusement.

Les larmes aux yeux, je jouis. Être prise par deux hommes en même temps est une chose que la plupart des femmes ne connaissent pas. Et en étant une simple esclave sexuelle, encore plus. Et moi je suis là, adorant secrètement qu'ils s'amusent avec moi sans que je puisse faire quoi que ce soit. Donc avec une bite dans la chatte et une dans la bouche, je jouis.

Ils me baisent pendant au moins cinq minutes après mon orgasme de façon brutale. Une fois qu'ils ont terminés, ils se retirent après avoir éjaculé en moi. Puis sans rien dire, ils me ramènent au poteau où ils m'attachent à nouveau par les cheveux. Mais ils ne serrent pas autant ce qui me permet de bouger un peu la tête.

Après dix minutes à rester debout et à regarder fixement devant moi, une femme s'approche. Elle est âgée, peut-être la cinquantaine. Elle semble plus agressive que les hommes comme si elle cherchait à me blesser. Elle me fixe d'un regard qui pourrait tuer.

- Écarte tes jambes de pute! On a intérêt de voir ta chatte à tout moment! Dit-elle sur un ton tranchant.

Effrayée, j'écarte mes jambes. Je suis gênée de devoir faire ce que me demande une femme, une femme plus âgée que moi de surcroît.

- Donc tu es revenue, hein? Ajoute-t-elle avec mépris.

Je ne réponds pas. d'ailleurs je n'ai rien dit depuis le début. Je la regarde juste, me demandant ce qu'elle va faire.

- Hé, bouge de là! Crie un homme que je ne connais pas et qui regarde.

En inspectant l'homme je me pose beaucoup de questions. Je me demande qui m'a baisée? Tous ceux-là? Ou seulement certains? Lesquelles se souviennent de moi en captivité il y a quelques mois? Qui a fait quoi?

Ce gars appelle un ami et les deux s'approchent de la femme âgée. Ils lui parlent. Elle me montre du doigt et leur dit ce qu'elle veut, mais je ne fais pas attention. Bizarrement, je continue à penser que je vais me réveiller. Que rien de tout cela n'est vraiment réel. Donc je ne peux pas me concentrer sur leur conversation.

On me déplace à nouveau. Mais cette fois on me mène dans un coin éloigné, où il y a un crochet au plafond. Ils y suspendent une corde. Mais au lieu de relier cette corde à la ceinture qui lie mes bars, ils font une sorte de nœud coulant qu'ils mettent autour de mon cou. Ainsi je ne peu pas bouger sinon je m'étrangle.

- Tu sais, on avait des projets pour toi et puis tu es partie. Et j'ai dit jambes écartées, sale pute! Me dit la femme très énervée.

La voyant en fureur, j'écarte mes jambes autant que je peux sans que le nœud coulant ne se resserre trop. Ma chatte est ainsi bien en vue.

CLAC! Quelqu'un claque violemment mes fesses. Je pousse un cri en sentant l'empreinte de la main qui doit s'imprimer sur ma chair tendre. Et en plus, j'entends des rires d'au moins deux gars derrière moi.

- Tu le méritais! Tu es partie! Accuse la femme.

Et je suis de nouveau claquée. En fait je suis fessée comme si c'était de ma faute de les avoir quittés. Ils me claquent les fesses l'une après l'autre.

- Dis-nous que tu le mérites et peut-être on arrêtera. Me dit la femme ensuite.

Mon cœur bat fort et mes fesses sont douloureuses. J'ouvre la bouche, mais les mots ne sortent pas. Cela me vaut trois autres claques violentes.

- Je mérite une fessée pour être partie! Dis-je finalement.

Mais ils m'ont menti. Les rires fusent alors que la fessée continue. Cela dure bien cinq minutes et c'est tellement humiliant que mon visage devient rouge.

- Dis que tu es notre esclave sexuelle, dis-nous que tu es revenue pour nous, et je te laisserai avoir un peu de ça!

Mes yeux s'écarquillent quand je vois la vodka. Je secoue la tête pour dire non, car je n'en veux pas. Si je la bois, ça va vraiment recommencer. Je vais complètement céder, je le sais. Je céderai et je les laisserai faire ce qu'ils veulent de moi. Je vivrais la vie ici qu'ils m'ont fait vivre il y a quelques mois. L'endroit est différent, mais ce sera la même chose.

J'ai le souffle coupé lorsque la femme met deux doigts sur mon clitoris. Avec mes jambes bien ouvertes, c'est facile pour elle. Elle appuie simplement ses doigts sur ce point sensible, doucement, en guise d'avertissement. Lorsque je continue à secouer la tête pour faire comprendre que je ne dirais rien, elle commence à déplacer ses doigts en cercle.

Mes yeux roulent dans leurs orbites quand elle fait ça. C'est une sensation qui m'a manquée. A vrai dire, c'est la première fois que quelqu'un me touche le clito depuis... Hé bien, depuis le camp de SDF. Je me souviens que beaucoup d'entre eux s'amusaient à me l'agacer quotidiennement.

- D'a... D'accord, je suis... Je suis une esclave sexuelle... Pour vous, les sans-abris. Dis-je, le visage tout rouge.

Aussitôt elle se penche et attrape ma bouche. Elle y enfonce la bouteille et l'incline vers le haut. La vodka me pique lorsque je bois, mais la femme ne s'arrête pas. Gorgée après gorgée, j'avale l'alcool. Et pendant que je bois, j'entends beaucoup de rires.

Et elle ne baisse toujours pas la bouteille. J'ai l'impression qu'elle veut que je boive tout ce qu'il y a dedans, mais je sais bien que je ne peux pas le faire en une seule fois. Mais elle retire la bouteille, laissant du liquide se répandre sur ma poitrine nue, mon ventre, et le long de mes jambes. Mon corps devient mouillé et brillant.

La vodka commence à faire son effet, je me sens étourdie. J'ai chaud comme quand j'avais honte d'être nue en public. Et un picotement se développe dans mon ventre et s'étend à mes seins et à ma chatte. Toutes les vieilles émotions commencent à revenir.

Les doigts de la femme reviennent sur mon clitoris et le frottent, plus fort cette fois. Comme je me sens de plus en plus libérée, ses doigts sont de plus en plus agréables. A tel point que je commence à me déhancher vers cette femme. Pendant qu'elle me fait ça, je me rappelle qu'elle était l'une des nombreuses personnes à me le faire. En fait, je pense que mon départ l'a beaucoup attristée.

- Je suis une esclave sexuelle pour les sans-abris! Murmuré-je en fermant les yeux et en me laissant aller.

La femme accélère les frottements de mon clito et je gémis. Chaque fois que je répète cette phrase, elle titille plus vite jusqu'à ce que je gémisse assez fort pour que tout le camp puisse entendre. Couverte de vodka, ivre et jambes écartées, je jouis.

- Oh, nous avons beaucoup de choses prévues pour toi! Murmure-t-elle alors qu'un homme dans mon dos s'avance.

Mes yeux sont fermés, mais je l'entends baisser son pantalon. Un moment plus tard, je le sens positionner sa bite sur ma chatte.

- Comme des tournages pornos avec des sans-abris que nous vendrons sur internet! Dit-elle au moment où le bite glisse dans ma chatte. l'homme ne perd pas de temps et commence à me baiser violemment. Mes seins se balancent et rebondissent, heurtant presque le femme proche.

J'ouvre les yeux pour la regarder. Je ne crois pas ce qu'elle vient de dire. Ils vont faire un porno avec moi et des SDF, puis le vendre? Je ne comprends pas bien, ils vont le faire à partir de maintenant?

- Des vidéos de sexe qui seront personnalisées et commandées par des gens. Ajoute-t-elle alors que je me fais baiser devant tout le camp.

Le bruit du claquement de ses hanches contre mes fesses est bien audible. Tout le monde doit l'entendre, comme ils peuvent entendre mes gémissements quand il est brutal avec ma chatte.

- Et des photos de sexe personnalisées, tu sais, avec des trucs bizarres fourrés dans tes trous.

En l'entendant, l'étrange picotement au creux de mon estomac devient si intense que j'ai peur de ne plus pouvoir respirer. Il devient de plus en plus fort et je pense que je vais avoir un orgasme que je ne pourrais pas contrôler.

- Et peut-être même qu'on te prostituera à des hommes dans la rue. Je parie qu'on va se faire un bon paquet de pognon avec ta chatte et ta bouche. Continue-t-elle en riant.

Tous les autres rient avec elle. Ils rient de moi. L'homme continue de me baiser et ma chatte est en feu. Puis je ris. Je ris ouvertement alors que mes seins rebondissent et que ma chatte est en feu. Et ça n'a rien à voir avec le fait que je sois ivre. Je ris, car je ressens enfin ce qui m'a manqué pendant des mois. J'ai le sentiment d'être à la maison, de savoir qui je suis vraiment. Je suis à la maison . Je suis vraiment à la maison.

Après tout, je suis une esclave sexuelle maintenant.

FIN

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7 Commentaires
chdecrivainchdecrivainil y a environ 1 an

M. TROUCHARD, n'écoutez pas les bêtises ! Remettez nous vite des traductions. Elles sont bien choisies et bien traduites. Merci à vous.

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

L’exigence de google va jusqu’à demander une copie de ma carte d’identité ce que je n’accepte pas. Je me vois donc contraint de me priver de votre blog, jusqu’à ce qu’il soit placé ailleurs. :(

trouchardtrouchardil y a plus d’un anAuteur

Je suis désolé, mais Google a décidé de mettre une vérification d'âge sur mon blog. Il faut donc avoir un compte "gmail" pour y accéder. Ce n'est pas de mon fait et je perds des lecteurs, mais ça évite que mon blog soit supprimé.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très belle histoire merci !

Je voulais me rendre sur votre blog mais il nécessite à nouveau de se créer un compte. Cela vient il de l’hébergeur ou vous souhaitez limiter le retentissement de votre travail?

Bonne journée.

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Très bonne histoire merci

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