Dans Le Bus Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu sais, je crois que nous avons tous envie de voir... ça... Dit Paul en avançant sa main.

Le doigt tendu il soulève un peu le bas de mon chemisier. On voit brièvement mon ventre avant que je baisse les mains pour rabattre le tissu. Bien sûr, ça les fait tous rire.

En entendant ces rires tout en tenant mon chemisier, quelque chose de bizarre se produit. Je ressens un picotement comme jamais auparavant entre mes jambes. C'est une sensation profonde, une sorte de plaisir sexuel profond. D'où cela vient-il ? Du fait qu'il essaie de soulever mon chemisier ? Où est-ce d$u à la peur et à la honte que je ressens ?

Soudain Paul a un sourire méchant sur le visage. En même temps, ses yeux rouges s'illuminent et révèlent qu'il vient de penser à quelque chose. Il me regarde dans les yeux fixement.

- Hé Jen, donne-moi tes menottes ! Dit-il en continuant de me regarder.

Puis il se tourne vers la fille. Celle-ci le regarde un moment sans trop comprendre, l'esprit embué par la drogue. Finalement elle réagit et d'une manière maladroite elle détache les menottes de sa ceinture puis elle les tend à Paul.

- Sois une bonne fille et donne-moi ta main ! Me dit-il d'un ton moqueur en me tendant la sienne pour que j'y mette la mienne. Une sueur froide me parcoure la colonne vertébrale quand je comprends qu'il veut me menotter. Alors je secoue la tête pour dire NON, que je ne le ferais pas. Il ne dit rien mais agite ses doigts comme pour dire : « Allez, donne-là ». je secoue une nouvelle fois la tête pour dire NON, mais il ne fait que répéter son geste avec sa main.

- Veux-tu me voir en colère, ringarde ? Demande-t-il soudainement sérieusement les yeux braqués sur les miens.

Son visage affiche une contrariété qui me fait très peur. Me sentant lâche et pathétique, je tends ma main gauche. Il sourit comme un chat qui vient d'attraper un canari, puis il fait claquer une menotte métallique sur mon poignet.

- Nonnnn, s'il te plaît, ne fais pas ça ! Gémis-je.

Mais je ne fais aucun mouvement pour retirer ma main. Sous le regard des autres il amène l'autre menotte vers la cadre de la banquette où il l'attache. Maintenant ma main est menottée au cadre du siège sur le côté.

- Excuse-moi ! Dit-il en se levant et en passant entre moi et la banquette devant.

Il fait exprès de me bousculer. Comme il y a peu de place, je suis obligée d'écarter les jambes de sorte qu'il se place entre elles, son entrejambe à la hauteur de mon visage. Il ne dit rien et se baisse calmement pour saisir ma main droite. Je l'implore de ne pas faire ça, que quelqu'un va le voir, qui n'aura pas simplement des problèmes à l'université, mais qu'il ira aussi en prison. Il ne m'écoute pas et attache ma main droite au côté droit du siège. Je ne peux plus utiliser mes mains.

- Voilà, c'est beaucoup mieux ! Dit-il d'un ton moqueur en retournant sur son siège.

Ses amis rigolent. Soudain il attrape le bas de mon chemisier et il le tire vers le haut. Il force et le remonte si bien qu'il peut recouvrir ma tête avec. Il l'enroule à l'arrière de mon cou pour qu'il ne puisse pas redescendre.

Stupéfaite, choquée, effrayée, il y a tant de mots qui ne peuvent décrire totalement ce que je ressens. Mon chemisier est totalement relevé et cache mon visage. A travers le tissu je ne peux seulement voir que de vagues contours de ce qui se trouve devant moi. Je me rends qu'il vient de dévoiler mon ventre... Mon soutien-gorge... Et ma poitrine.

Je gémis de manière audible quand j'entends les petits cris de stupéfaction en voyant la taille de mes seins. Ils sont tous surpris, ne se doutant pas de ce que je cachais. J'avais toujours fait attention de me tenir de manière à ne pas faire ressortir ma poitrine, m'asseoir en restant penchée. Je voulais être sûre que les gens ne sachant pas que j'avais une grosse poitrine.

- Putain de merde ! Dit l'un des garçons, choqué.

J'essaie en vain de lever les mains. Le bruit du métal qui s'entrechoque doucement se fait entendre encore et encore alors que je me débats pour essayer de lever les mains et abaisser mon chemisier. Mais je n'y arrive pas.

- C'est pas possible ? Dit l'une des filles.

Bientôt les commentaires fusent :

- Ils sont plus gros que sa tête !

- Ils sont peut-être même plus gros que des ballons de basket !

- Je ne savais pas que les ringardes avaient des seins !

Je suis obligée de rester assise et de subir leurs insultes en sachant mes seins seulement couverts d'un soutien-gorge. Et ce qui n'arrange pas les choses, c'est qu'avec le déplacement du bus, je sens mes seins se balancer, rebondir et trembler. Je sais que personne d'autres dans le bus ne peut voir ça. Le groupe de gothiques fait en sorte de bloquer la vue pour que personne ne puisse voir ce qu'ils font. Personne ne se rend compte qu'ils me violentent.

Je suis incapable de dire quoi que ce soit tant je ressens une pluralité d'émotions. La première chose que je voudrais faire c'est de pleurer, la deuxième de crier. Mais étrangement la troisième, aussi étrange que cela puisse être, c'est de ronronner. C'est vraiment horrible, mais le picotement étrange entre mes jambes est plus intense. C'est un picotement sombre, sûrement sexuel, mais si sombre.

- Continue à être une bonne fille et reste assise là gentiment et tranquillement. Je pense que tu ne voudrais pas que quelqu'un te voit comme ça, non ? Dit Paul d'un air moqueur.

Et les autres qui renchérissent :

- Tu ne voudrais pas que ça finisse sur Facebook, non ?

Je ne dis rien et je ne bouge pas. Je reste assise en pensant que peut-être si je ne dis rien ils me laisseront tranquille. Je ne me suis jamais sentie autant humiliée de toute ma vie. Je ne me suis jamais sentie aussi stupide et aussi honteuse. Et par-dessus tout, je n'ai jamais ressenti une telle excitation.

- Attends ! Non, ne fais pas ça ! Dis-je en voulant crier, mais je ne fais que chuchoter quand je sens les mains de Paul sur mon soutien-gorge.

Avec une facilité déconcertante, mon soutien-gorge s'ouvre juste entre les bonnets comme s'il s'agissait d'un fermoir à ouverture frontale. Il s'ouvre, le soutien-gorge que j'ai dû commander en ligne.

Mes seins sont soudainement libérés. Ils tombent lourdement puis commencent immédiatement à trembler avec le mouvement du bus. Ma poitrine est à nue alors que mon chemisier est relevé. Mes seins sont exposés dans un bus scolaire.

- Putain, qu'ils ont l'air ferme ! Dit une des filles sous le choc.

Je voudrais me mettre à hurler, mais je me retiens. J'ai envie de crier pour qu'elles sachent à quel point c'est horrible. Elles laissent Paul faire ça à d'autres femmes. Mais je ne dis rien parce qu'en fin de compte elles sont pires que lui puisqu'elles prennent leur pied à le voir me maltraiter.

Les commentaires se succèdent alors qu'ils regardent ma poitrine nue à l'arrière du bus. Ils se moquent de moi et de mes seins trop gros alors que mes mains sont menottées et le chemisier couvre mon visage.

- Bouge-les ! Commande un des garçons.

Quand il le dit, les autres sont d'accord. Une fille répète même l'ordre. Puis les autres me l'ordonnent aussi. Tous sont d'accord pour que je remue ma poitrine devant eux. Ça devient même une litanie.

Je fais rouler mon épaule droite puis mon épaule gauche ce qui fait remuer mes seins. Je continue à le faire de plus en plus fort jusqu'à ce que mes seins ballottent carrément. Il y a de brèves acclamations et des rires de leur part, ce qui aurait dû attirer l'attention de l'avant du bus, mais personne ne vient.

En les entendant, je ne suis pas sûre de ce que je ressens, de ce que je veux. Bien sûr je veux que le chauffeur voit et arrête cette folie. Mais une partie de moi ne le veut pas. Une partie sombre dans mon cerveau aime que je sois exposée ainsi. J'aime que l'on puisse voir ma grosse poitrine, c'était un fantasme. J'aime remuer mes seins de cette manière obscène, comme une pute. J'aime être un objet.

- Heureusement que tu as couvert le visage de cette ringarde, sinon ses nichons ne seraient pas aussi beaux. Dit l'un des gars en riant.

D'autres blagues sont faites, ils insistent sur le fait qu'ils me trouvent laide, mais que je n'ai jamais été aussi belle de toute ma vie. Que si j'allais à l'université comme ça, je pourrais avoir des amis.

- Je suis curieux de savoir une chose... Dit Lynn.

C'est alors que je sens des mains sur mon jean. Des doigts qui essaient de le déboutonner.

- Ne faites pas ça, s'il vous plaît. Vous vous êtes bien amusé déjà... Dis-je en me penchant en avant pour supplier.

C'est alors que Paul bouge et je sens son visage appuyé contre le côté de ma tête. Même avec le chemisier qui me couvre la tête, il colle sa bouche contre mon oreille.

- Assieds-toi salope ! Grogne-t-il à voix basse dans mon oreille, d'un ton furieux.

Effrayée par son ton et sachant qu'il est drogué, je lui obéis immédiatement et je m'assois.

- Tu vas rester assise et être une bonne petite ringarde, compris ? Dit-il encore.

Je ne réponds rien, mais je déglutis, montrant ainsi à quel point j'ai peur. Je reste donc sagement adossée au siège.

- En fait, dis-nous que tu es heureuse que nous jouions avec toi. Dis : « Merci de regarder mes seins de ringarde », Dis-le maintenant ! Grogne Paul en attrapant mon menton avec sa main en guise d'avertissement.

- Mer... ci à tous de reg... arder mes... seins de ringarde ! Dis-je rapidement la voix tremblante montrant à quel point je suis effrayée.

Bien sûr, ils rigolent et chacun d'eux répond :

- Avec plaisir !

En les entendant je lutte contre l'envie de serrer mes jambes l'une contre l'autre pour essayer de faire cesser les picotements.

- Dis que tu as l'air stupide comme ça ! Ordonne Paul qui a fini par lâcher mon menton et reculer sa tête.

Il ne retourne pas à son siège, mais au moins il ne me touche plus.

- Je sais que je dois avoir l'air stupide comme ça, avec mes mains menottées et mes seins exposés. Dis-je, le visage rouge de honte.

Même s'ils ne peuvent pas le voir, je sais qu'ils sentent au ton de ma voix que c'est très humiliant.

- Ce ne sont pas des seins, ringarde. Tu n'as pas de seins. Les filles normales comme Lynn et moi ont des seins. Toi tu as des mamelles, de grosses mamelles ! Me dit Jennifer.

E les autres continuent à se moquer de ma poitrine.

- Je sais que j'ai l'air stupide avec mes... grosse mamelles à l'air. Dis-je, les larmes aux yeux.

Cela dit, les rires recommencent. Je ne me suis jamais sentie aussi impuissante et désemparée. Je n'ai jamais été autant maltraitée. Pourtant, avec ma poitrine qui se balance au rythme du mouvement du bus, je constate que j'ai effectivement serré les jambes l'une contre l'autre. Je n'arrive pas à croire à quel point je suis excitée.

- Bonne petite ringarde ! Dit Paul.

Puis il me gifle le sein gauche. Je glapis assez fort sous la douleur. Je sens mon sein se balancer et frapper mon sein droit. C'est une sensation très étrange que je n'ai jamais ressentie auparavant. Je suis sûre que ça a dû déjà arriver, mais là je le ressens vraiment. Je sens comme c'est humiliant de voir mes deux seins se balancer lourdement à la vue de tous. J'ai l'impression que le haut de mon corps veut se balancer en rythme. Plus important encore, je sens... Je sens que j'aime ça.

Les doigts reviennent à mon entrejambe. Mon jean est déboutonné et la fermeture éclair ouverte. Cette fois je ne dis rien pendant que la fille le fait. Je sais que Paul serait mécontent. Je la laisse faire, elle enlève ma ceinture maintenant. Et comme je l'ai prévu, je la sens monter sur le dossier de son siège pour essayer de baisser mon jean.

Sachant que l'on me l'ordonnera de toute façon, je lève mes fesses pour l'aider à baisser mon pantalon et exposer ma culotte. Elle tire encore et encore. Elle a du mal à cause de l'espace restreint. Mais elle réussit à descendre mon jean sous mes fesses. Elle s'arrête quand il est autour de mes genoux. Maintenant ils peuvent voir

ma culotte et mes cuisses.

Une fois de plus, je sens qu'il me détaille dans tous les sens, même si je ne peux voir leur visage. Je les sens qui regardent non seulement ma poitrine, mais aussi ma culotte, ma culotte noire en coton. Et plus je reste assise sans qu'ils ne disent ou ne fassent quelque chose, plus je me sens excitée. Je suis furieuse d'être excitée par cette situation, mais je le suis vraiment. J'ai l'impression d'être un objet que l'on regarde, dont on se moque. Ça touche une partie de mon subconscient qui voulait être réveillé.

- Vous savez quoi ? Je pense qu'on devrait la laisser comme ça quand on arrivera là-bas ! Dit Paul à sa bande.

Ils sont tous d'accord bien sûr. Ils n'arrêtent pas d'imaginer qui pourrait me trouver et ce qui se passerait. L'un d'entre eux dit qu'il faudrait que ce soit un des professeurs et qu'il vomirait en me voyant. Un autre dit que ce devrait être un des joueurs de foot pour qu'il s'amuse avec moi. Et un autre ajoute que ça devrait être un ringard afin que nous perdions notre virginité ensemble.

Ils me demandent alors de bouger à nouveau mes seins et de dire que ce sont des « mamelles de ringarde ». En soupirant, j'obéis. Les larmes coulent encore sur es joues de temps en temps, mais secrètement je commence à apprécier ce traitement. Je pense que je dois être exhibitionniste au fond de moi. Nous sommes à l'arrière d'un bus où il y a au moins une vingtaine d'étudiants. Chacun d'eux pourrait me voir ou m'entendre. N'importe lequel pourrait voir ce qu'ils me font. Si j'étais seule avec Paul, je ne ressentirais sûrement pas ça.

- Autant continuer !

C'est Lynn qui vient de parler. Je sens alors des mains saisir l'élastique de ma culotte. Je sursaute même si je sais que cela allait arriver, qu'elles allaient baisser ma culotte. Mais au lieu de faire ça elle la tire vers le haut.

Une main recouvre ma bouche alors qu'elle tire ma culotte ver le haut, la faisant remonter sur mon sexe. Incapable de m'en empêcher, je crie et j'essaie de bouger mes mains. Comme je montre que j'ai clairement mal, le groupe rigole et elle continue. En fait, elle tire plus fort ce qui m'oblige à bouger les hanches pour essayer d'atténuer la douleur alors que ma culotte s'infiltre entre mes lèvres.

Lynn se clame enfin et baisse un peu ma culotte pour qu'elle ne s'accroche pas à mes lèvres. Je prends une grande respiration à ce moment-là, car elle pressait mon clitoris et je commençais à me sentir bizarre. Quand je pense que c'est Lynn qui m'agresse, l'effrayante Lynn avec son crâne partiellement rasé.

La main est toujours sur ma bouche, donc quand elle recommence à tirer sur ma culotte, on ne peut entendre mon cri. Une fois de plus, je pousse mes hanches en hauteur tandis qu'elle tire encore. Avec horreur, j'entends le tissu se déchirer. Lynn déplace alors sa main qui tient ma culotte de gauche à droite, pour me faire le plus mal possible. Les autres doivent apprécier le spectacle, car ils rient.

- Secoue tes mamelles ! Ordonne Paul.

Je commence à secouer ma poitrine, dans l'espoir qu'elle lâche ma culotte. Et je le fais de plus en plus fort alors qu'elle continue à tirer.

On entend clairement le bruit de déchirure. Ma culotte se déchire et casse juste sur mon clito. En un instant la douleur s'arrête et je sens l'air frais sur mon sexe nu. Je n'ai plus de culotte, ma féminité est bien visible. Ils peuvent voir ma chatte.

Je suis totalement exposée. Ils rient. Ils se moquent de moi. Je suis impuissante et complètement exposée devant eux et ils se moquent. Ils se moquent de la ringarde aux grosses mamelles.

- La ringarde se rase la chatte, regardez ! Dit Jennifer comme si elle était surprise.

Les autres ont de fausses exclamations de surprise, ce qui me fait encore rougir. Le fait que je les connaisse n'arrange rien. Ils sont tous en train de regarder entre mes jambes pour voir ma chatte. L'envie d'écarter mes cuisses pour qu'ils puissent mieux voir brûle en moi, car je sais que si je le fais, je vais jouir d'excitation. Mais heureusement, mon jean qui entoure mes genoux m'empêche de le faire. De plus si je faisais une chose aussi perverse, je serais considérée comme une pute.

Je commence à me demander si tout ceci n'est pas un cauchemar. Si on était dans la vraie vie, quelqu'un aurait déjà remarqué que quelque chose se passe à l'arrière du bus, non? Pas inscrite pour le voyage, on m'aurait fait descendre du bus. Le conducteur aurait crié pour que les gothiques s'assoient afin qu'il puisse voir par la vitre arrière du bus. Donc ça doit bien être un cauchemar, non ?

Alors que j'essaie de m'en persuader, je sais bien qu'il en est rien. Les professeurs en ont manifestement rien à foutre. Tout le monde a plus de 18 ans, les étudiants sont tous majeurs, donc s'il arrive quelque chose, l'université n'y est pour rien. Alors pourquoi les professeurs se soucieraient-ils de quelque chose ? Et le conducteur, il doit s'en foutre aussi. Il n'a pas besoin de regarder à travers la vitre arrière puisqu'il a ses rétroviseurs latéraux. Et pourquoi ferait-il quelque chose qui pourrait lui causer du tort en énervant une bande d'adolescents.

- Elle a l'air complètement stupide comme ça, n'est-ce pas les gars ? Demande Paul.

Ils sont tous d'accord. Encore une fois, et je ne sais pas vraiment pourquoi, le fait de l'entendre dire ça fait vibrer quelque chose en moi. Quelque chose de sombre qui fait que les picotements augmentent en intensité. J'en arrive au point où je sens que j'ai besoin d'être touchée... maintenant.

- Je crois que ça ne lui sert plus à rien alors il vaut mieux les enlever. Dit Paul.

Je vois alors sa silhouette se déplacer vers moi. Il se penche et dans un moment de panique et d'excitation, je crois qu'il va se mettre à genoux, pour peut-être embrasser ma chatte...

Je suis à la fois déçue et soulagée, car il ne le fait pas. Au lieu de ça il enlève une de mes chaussures. Puis l'autre. Bientôt mes chaussettes sont également enlevées et je me retrouve pieds nus. Paul se redresse un peu, remet sa main sur ma bouche comme pour me dire de me taire.

- Vas-y, jette tout ça par la fenêtre !

Je proteste aussitôt. Mai je me plains en silence, car il appuie sa main sur mon visage pour que l'on ne m'entende pas. A travers le fin tissu de mon chemisier, je vois un des gars ouvrir la fenêtre et balancer mes chaussures et mes chaussettes.

- Oh, attendez ! Attendez, j'ai une idée géniale ! Dit le garçon assis devant moi. Il est joyeux comme s'il venait de recevoir un cadeau. Comme je ne peux pas faire grand-chose, je me contente de le regarder alors qu'il se penche sur le dossier de son siège pour atteindre le mien. Au début je pense qu'il veut me claquer, mais il ne le fait pas. Il tire mon sac à dos et commence à farfouiller dedans. Apparemment il recherche quelque chose.

Pendant ce temps, Paul tire sur mon jean, montrant clairement qu'il veut l'enlever. Encore une fois, je sais que je devrais donner des coups de pieds, ruer, mais je ne le fais pas. Je garde mes jambes immobiles pendant qu'il descend mon jean jusqu'à ce qu'il l'enlève complètement. Je le supplie de ne pas faire ça, mais il ne m'écoute pas.

- Ça aussi, par la fenêtre ! Dit Paul après avoir mis sa main sur ma bouche.

Bon sang, je peux me passer de mes chaussures et de mes chaussettes, mais mon Jean ? NON, sans culotte et sans pantalon, je ne peux pas couvrir mon cul et ma chatte. Alors je me débats brièvement en essayant de secouer la tête pour enlever sa main de ma bouche.

Je vois alors mon jean passer par la fenêtre du bus en marche. Je n'ai plus rien pour couvrir ma chatte. Et tandis que je vois mon jean disparaître à travers le fin tissu de mon chemisier, je sens une vague de plaisir m'envahir. Elle me traverse d'une manière qui ne m'est jamais arrivée auparavant. Il me faut un moment pur comprendre que je viens d'avoir un mini orgasme. C'était bref, mais c'était bon. J'ai joui à cause du sentiment d'être impuissante et exposée.