Dans la peau de Charlotte

BÊTA PUBLIQUE

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La fille avait du ressentir quelque chose car je vis dans ses yeux une sorte d'incompréhension comme si elle avait ressenti la tentative de prise de contrôle de son corps.

Je préférais ne pas insister car je compris tout de suite que je ne pourrais pas m'emparer d'un corps éveillé.Qu'a cela ne tienne, je reviendrais dans un peu de temps.

Un peu déçu, je l'avoue, je retournais dans mon appartement. Je me rendis compte que je n'avais pas encore mangé et que j'allais y remédier. Au moins, ça me permettra de patienter en attendant l'heure d'agir.

Vers onze trente, je retentais l'expérience. Si je patientais plus je risquais de m'endormir. Une fois hors de mon corps, je me dirigeais chez Charlotte.

Là, je n'avais pas raté mon coup. La petite Charlotte était profondément endormie sur son lit sauf que cette fois, elle n'était plus en nuisette. Elle avait enfilé un pyjama vraiment très moche. Elle avait du se dire qu'il serait plus difficile à enlever en étant somnambule.

Des que j'eus pris le contrôle de son jeune corps, je me sentis vraiment très bien.

Après avoir allumé, je me hâtais de retirer le pyjama mais cette fois ci j'allais le mettre dans la poubelle de la cuisine. Je sais, c'était plutôt con mais j'avais envie de jouer et j'imaginais sa tête en le découvrant.

Une fois nue, je décidais de sortir de son appartement. Vu l'heure et connaissant tous mes voisins, je savais que je ne risquais pas de croiser quelqu'un sur le palier.

Une fois hors de son appartement, je revenais cette fois dans le mien que j'avais laissé éclairé. J'ignorais pourquoi mais j'eus envie d'aller me voir et je pénétrai dans ma chambre.

Cela me fit une drôle d'impression que de me voir allongé, immobile, comme si j'étais mort.

D'un coup inquiet, je me rapprochais du lit et posais la main sur mon bras. Il était chaud et je pu constater que je respirais. Cela me rassura tout de suite.

Je me regardais un instant, il faut dire que je suis un mec plutôt pas mal même si ma tenue qui se composait uniquement d'un caleçon et d'un tee-shirt, ne me mettait pas en valeur.

Je n'avais jamais eu de penchant pour les garçons mais je constatais que lorsque j'étais dans le corps de la fille, je ressentais les choses différemment.

Par curiosité ou par je ne sais trop quoi. Je m'asseyais a coté de mon corps et je baissais mon caleçon, faisant apparaître mon membre.

Il était au repos, normal mais j'eus envie de tenter une expérience et je me penchai pour faire une fellation.

D'avoir mon sexe dans la bouche, chose impossible en temps normal, me fit bizarre. Je trouvais ça plutôt excitant même si le membre restait flasque. Je trouvais presque dommage de ne pas pouvoir bander mais bon...

J'arrêtais l'expérience et décidais d'aller m'habiller.

Retournant dans ma pièce a vivre je pris les vêtements sur ma table basse et commençai a les enfiler.

Houaaa, trop fort le mec, ça m'allait comme un gant.

Je me mis devant la glace et m'admirai un instant. La mini jupe m'allait à mi cuisse, elle était un tout petit peu plus longue que je l'avais imaginée mais cela restait sexy. En sachant que je ne porterais aucune culotte et que le tissu était très léger, c'était peut-être mieux finalement.

Pour ce qui était du top, il était vraiment très bien. Les fines bretelles mettaient en valeur mes épaules, le petit décolleté laissait voir le haut de mes seins et on pouvait voir le bas de mon ventre ainsi que mon nombril.

En me regardant je me trouvais vraiment très sexy et d'un coup je restais figé sur mes pieds

Mais quelle bougie!!! J'avais complètement oublié les talons hauts, surtout que je n'en avais pas vu chez charlotte

Je commençais à me dire que j'étais nul, puis en y réfléchissant, je me réconfortais en me disant qu'avec des talons hauts j'aurais sûrement fini aux urgences.Je décidais de retourner chez charlotte et en fouillant dans ses chaussures, je me décidais de prendre une paire de basket blanche Ce n'était pas très sexy mais c'était mieux que rien

Après tout, j'étais peut-être à la mode

Il ne me restait plus qu'une petite chose à faire. Trouver un sac a main et finalement ce fut beaucoup plus facile que prévu. Il y en avait un tout petit à bandoulière dans l'entrée.

Pourquoi un sac me demanderiez vous?

Parce que là où j'ai l'intention d'aller, après 22h00 ils font partir les mineurs pour ne garder que les adultes.

Je vidai sur la table le contenu du sac et ne gardais que la carte d'identité et le petit porte-monnaie. Je préférais ne pas prendre plus de chose par sécurité. Maintenant, il était temps d'aller faire un tour dehors

Alors, si j'avais vraiment été une fille, je reconnais que je ne serais jamais sortie dans cette tenue.Mais là, avec le corps de charlotte, j'étais tout excité de l'exhiber.

J'avoue que je suis peut être un peu cruel, mais je trouvais vraiment amusant d'exposer le corps de cette petite conne.

Quittant l'appartement, je descendis en bas de l'immeuble. Vu l'heure, il faisait nuit noir dans mon quartier mais je savais très précisément ou me rendre. En fait, pour me venger, j'avais envie de lui griller sa réputation en me rendant dans une salle de jeu fréquentée par beaucoup de jeunes et qui fermait vers 01 h du matin.

Cette salle se trouvait à un kilomètre de chez moi et dix minutes de marches dans ce joli corps ne m'effrayaient pas.

Pour les jeunes et les moins jeunes, cette salle était plutôt sympa car le patron avait tout misé sur le vintage. On pouvait y trouver des flippers, des billards, des jeux de palets et encore bien d'autres jeux des années 80.

En me montrant ainsi, je savais que j'allais faire le show. Je n'avais d'ailleurs pas l'intention de rester trop longtemps, juste faire voir ce joli petit corps à tous.

En glissant mes doigts entre mes cuisses, je constatais que je mouillais, preuve que tout ce que je ressentais était ressenti par mon corps.

C'est d'un pas léger que je pris la direction de la salle. Finalement, heureusement que je portais des baskets sinon ça aurait pu être une vraie galère.

Même si le quartier n'était pas éclairé, cela ne me gênait. Je connaissais par cœur la route et je savais très exactement pas ou passer. Tout en marchant je sentais l'air frais sur ma vulve protégée par aucun tissu. C'était vraiment très agréable, ne comprenant pas pourquoi Charlotte ne mettait que des vêtements qui lui cachait le corps.

J'étais de plus en plus excité et si cela avait été possible, j'aurais bien gardé ce jeune corps définitivement. Oui mais voilà, je ne suis pas un voleur mais juste un emprunteur...

J'avais du faire la moitié du chemin lorsque je les vis. Ils étaient deux, immobiles sous un lampadaire et surtout se trouvaient sur mon passage.

Je réalisais alors que je n'étais pas dans mon corps mais dans celui d'une jeune fille de dix neuf ans, très peu vêtue et désirable comme rarement.

Même si je trouvais excitant d'exposer son corps, je ne voulais pas qu'il lui arrive des choses graves aussi je me demandais si je ne devais pas faire demi tour.

Oui, mais voila, je savais qu'ils m'avaient vu et faire demi tour et me sauver pourrait les énerver. Après tout, j'étais la pour être vue et pour donner une mauvaise réputation à ma voisine.

J'essayais de rester calme et je décidais de continuer ma route, de ne pas changer de trajectoire et de voire ce qui allait se passer.

Qu'est ce qui se passerait si je quittais son enveloppe maintenant? Ce serait dégueulasse de ma part mais après tout, je n'avais aucune affinité avec cette fille, à part l'attirance pour son joli petit corps.

Mais je ne le fis pas, excité et apeuré tout de même de connaître la suite.

Alors que j'étais au niveau des deux ombres, je constatais qu'ils ne devaient pas avoir plus de vingt ans. L'un des deux portait une petite moustache qui le rendait ridicule alors que l'autre, un peu plus costaud, avait le visage abîmé par de l'eczéma mal soigné et c'était plutôt flippant

- Bonsoir, me dirent-ils alors que je passais à coté d'eux

- Heu... bonsoir

Je pensais qu'ils allaient me sauter dessus, que j'allais devoir essayer de me sauver, d'hurler pour que l'on vienne me secourir....

Bin non, juste un bonsoir et ils se remirent a discuter, ne me calculant même plus.

Mais quels cons... je suis à moitié à poil devant eux, je suis mignonne, il fait nuit noire et même pas ils essayent de me violer....

D'un autre coté, ce n'était pas plus mal.

Cinq minutes plus tard et sans autre frayeur, j'arrivais à la salle.

La salle n'était pas très remplie mais c'était normal vu l'heure. Il devait y avoir en tout une dizaine de garçons et pas une seule fille.

Dans un coin, assis sur une chaise, se tenait le patron. Âgé d'une cinquantaine d'années, il était là pour surveiller sa salle.

Il était en train de consulter un magazine et lorsqu'il me regarda, je vis sur son visage de l'étonnement. Je remarquais alors qu'il me fixait bizarrement et je crus qu'il allait venir me contrôler pour voir si j'étais majeur mais il resta assis sans me quitter des yeux.

Je me dis alors que ce devait être ma tenue et quelque part, d'exhiber ce corps m'excitait vraiment.

A une table de billard, deux hommes ayant dépassé la quarantaine, faisaient une partie assez tranquille. Un groupe de quatre garçons d'une vingtaine d'années, s'amusait avec un jeu de galets en faisant pas mal de bruit. Puis il y avait deux autres hommes en train de jouer au flipper.

Moi qui pensais faire sensation en rentrant dans la salle de jeu je remarquais qu'a part les jeunes du jeu de galet, les autres étaient trop occupés pour me regarder.

Comme si de rien était, je me dirigeais vers un flipper et après avoir fouillé dans mon sac a main, j'introduisis une pièce dans la machine.

Je me dis que j'allais faire une partie puis je repartirais.

C'est alors que l'homme qui était assis, quitta sa place pour se diriger vers moi. Je pensais qu'il venait sûrement pour vérifier mon âge même si je faisais plus de dix huit ans ou alors c'était peut-être une façon pour connaître mon nom. En l'observant du coin de l'œil je me dis qu'il avait l'air soucieux et je ne le trouvais pas très sympathique

J'attendis qu'il soit là pour lancer ma boule.

Lorsqu'il fut à cote de moi il me dit

- Bonjour Charlotte, j'ai mis du temps a réaliser que c'était bien toi..

Mon sang se glaça. Je venais de tomber sur une connaissance de ma voisine et je ne savais plus comment m'en sortir.

- Bonsoir ...

- Je ne savais pas que tu aimais t'habiller aussi sexy, tu ne nous as pas habituée à ça.

- C'est que... je ne suis pas charlotte

- Je te rassure, la prochaine fois que j'irais pêcher avec ton père, je ne lui dirais rien, mais tu es une petite coquine.

La, ça devenait de plus en plus compliqué. Il avait fallut que je tombe sur un copain de pêche du père. Moi qui voulais lui pourrir sa réputation, c'était gagné.

- Je fais cette partie et je rentre après.

- Tu sais que l'on a prévu avec ton père d'aller pêcher le weekend prochain

- Et?

- Et parfois, on parle de tout et de rien.

- Et vous allez parler de moi?

- Non, bien sur que non. Je lui dirais juste qu'il a une fille charmante et il me répondra qu'elle a un caractère de cochon. D'ailleurs, tu ne m'as même pas encore dit une méchanceté dont tu as l'habitude. A croire que de t'habiller court te rend gentille.

Je venais de comprendre que c'était une garce même avec ses proches et du coup je comprenais l'homme qui voulait se venger. Je ne sais pas pourquoi mais je répondis

- c'est parce que j'ai une double personnalité.

- J'aime bien celle-la, que je trouve à croquer. On se voit après?

- Heuuu, j'ai sommeil

- Ce soir je ferme dans une heure, tu peux attendre une petite heure

L'homme sortit une poignée de pièce de sa poche

- tient, en attendant, tu pourras jouer gratuitement... cadeau

Je n'aimais pas trop la tournure que prenait la soirée mais après tout, il ne s'agissait pas de moi mais d'une petite peste détestée par tout le monde.

Je pris les pièces que je fourrais en vrac dans mon sac a main et commençais ma partie alors que l'homme s'éloignait.

Mon joli petit corps en train de faire une partie ne passa pas inaperçu longtemps. Je vis que les autres clients me regardaient de plus en plus, que certains avaient même sortis leur téléphone mais que personne n'osait vraiment m'aborder car le patron de la salle surveillait.

Toujours est-il, que personne ne quitta la salle durant l'heure qui suivit et je fus un peu l'attraction de tous même si je fis semblant de ne rien voir.

Lorsque le patron annonça la fermeture de la salle, il annonça aussi a voix haute qu'il allait raccompagnait sa nièce, voulant ainsi éviter que des mâles, en manque de romantisme, m'attendent dans l'obscurité, le drapeau dressé.

Je savais que ce n'était pas raisonnable de suivre cet homme mais je n'avais pas peur ce qui était normal vu que ce n'était pas mon corps.

Les clients se dissipèrent dans l'obscurité alors que j'attendais sagement à coté de la porte d'entrée pendant que le quinquagénaire fermait comme il faut son établissement.

- Je suis surpris par ta passivité ce soir toi qui démarre toujours au quart de tour.

Ne sachant pas trop quoi répondre je dis un peu au hasard

- en fait.... Quand je suis désagréable, c'est une façon de me protéger!

- et bien, tu te protèges vachement alors, me répondit-il en rigolant

Une fois la salle fermée, il me demanda

- que dirais-tu d'aller parler chez moi, on sera plus tranquille

- heuuu, si vous voulez

- mais bien sur que je veux et arrêtes de me vouvoyer. D'habitude tu me tutoies et tu m'envoies chier

- heuuu!!! et vous préférez ça?

- finalement, continues de me vouvoyer

Lorsque l'homme pris la direction de chez lui et que je lui emboîtais le pas sans rien dire, il ne put s'empêcher de dire

- jamais je n'aurais pensé que tu serais aussi facile à persuader. Quand je t'ai vu habillée aussi... sexy, j'ai eu peur que tu m'envoies balader lorsque je me suis approché. Là tu es vraiment très différente et cela te va bien.

- Après minuit, je suis une autre

- Et bien, restes comme ça.

On ne marcha pas trop longtemps et lorsqu'on s'arrêta devant une façade de maison de ville, je sus qu'on était arrivé

C'était maintenant que les choses sérieuses allaient commencer et j'étais toute excitée

(vu que je suis un homme dans le corps d'une fille, j'ai décidé de parler au féminin pour ce qui va suivre, j'espère que cela ne gène personne.. )

Il ouvrit la porte sur une entrée assez surprenante. Des canes à pêches éparpillées sur un sol qui ne devait pas être lavé souvent, des manteaux divers et variés pendus sur le mur et surtout cette odeur de moisi qui était assez prenante.

Pas besoin d'aller plus loin pour comprendre que j'étais chez un célibataire un peu désordonné.

D'ailleurs, on n'alla pas plus loin

Il me prit dans ses bras et essaya de m'embrasser. Je ne me débattis même pas et répondis à son baiser comme je pus. Sa langue entra dans ma bouche et cela m'écœura un peu mais je ne voulus pas le montrer.

Alors qu'il m'embrassait, ses mains me caressaient le dos, s'infiltrant sous mon top et je commençais à me sentir bizarre. Lorsque enfin, il se décida a me laisser respirer il me dit tout en me gardant serrer contre lui

- Haa charlotte, depuis le temps que je rêve de toi, de ton corps. Mais tu as toujours été si odieuse avec moi que jamais je pensais que ce jour arriverait

J'avais envie de lui répondre qu'il y avait tout de même un peu de chantage dans son invitation mais je préférais lui laisser ses illusions

- c'est mon armure a moi, lui dis je avec une petite voix toute douce

- c'est le plus beau jour de ma vie.

Et tout en disant ça, il me lâcha pour prendre ma main et sans être trop devin, je devinais ou il allait m'emmener.

Encore gagné.

Une chambre de célibataire, avec un lit pas fait, des draps douteux et du linge sale à même le sol.

- excuses moi du désordre me dit-il, mais ce matin je n'ai pas fait le ménage.

J'aurais tendance à dire qu'il ne l'avait pas fait du mois mais là, c'était une autre histoire.

Il se colla de nouveau à moi

- tu sais que tu es mon fantasme, je ne connais pas de femme plus belle que toi et dans cette tenue, tu es ... houaaaa

- merci

Tout en disant ça, il glissa sa main sous mon top et me saisit un sein. Je me les avais déjà caressé lorsque j'avais pris possession de ce corps mais là, c'était bien plus excitant.

Il me fit un peu mal mais c'était tellement bon d'être dans ce corps si gracile que je laissais l'homme maltraiter ma poitrine.

Il ne me caressa pas très longtemps, trop excité par mon corps. Lorsqu'il voulut me faire passer le vêtement par-dessus la tête, je l'aidais en levant les bras.

Je ne me rendais pas compte que je lui offrais un corps qui ne m'appartenait pas mais je m'en moquais. J'avais trop envie.

Une fois que je fus seins nus, il me regarda avec des grands yeux émerveillés et j'en conclus que ma poitrine lui plaisait.

Mais il en voulait plus et saisit les bords de ma jupe qu'il tira vers le bas. Il se mit à genoux pour me faire glisser le petit vêtement le long de mes cuisses.

Je ne faisais aucun geste, le laissant prendre l'initiative. Lorsqu'en faisant glisser ma jupe il découvrit que je ne portais pas de culotte, il resta de longues secondes à fixer ma vulve complètement épilée.

- Tu es magnifique, réussit-il à dire.. et en plus tu es une jolie coquine

- Juste un peu, répondis-je

Il se redressa et m'allongea sur le lit. Il se déshabilla en vitesse trop pressé de prendre ce corps qui le faisait fantasmer depuis longtemps.

Je crus qu'il allait me pénétrer mais je me trompais. Une fois nu, il vint à coté de moi pour me caresser avec beaucoup de douceur.

C'était vraiment très agréable et je reconnus que le corps de charlotte était de plus en plus réceptif aux caresses. Je poussais un petit gémissement lorsque sa bouche vint se poser sur un de mes tétons alors que sa main, lentement, glissa sur mon ventre, se dirigeant vers mon sexe déjà mouillé.

Que c'était bon et que j'aimais être dans ce corps.

Lorsque ses doigts vinrent avec délicatesse, glisser entre mes grandes lèvres, ce fut l'apothéose. J'écartais encore plus mes cuisses par réaction ce qui ne lui déplut pas.

Alors que sa bouche me butinait la poitrine, ses doigts furent de plus en plus précis et il commença à me titiller le clitoris qui devait être déjà bien gonflé. Je me mis à haleter, ne comprenant pas ce qui m'arrivait.

C'était inouï la sensation qu'une femme pouvait ressentir ou alors j'avais pris possession d'un corps exceptionnel.

Lorsque l'homme cessa de me caresser pour venir sur moi, ce fut avec une sorte d'ivresse que je le reçu. J'ouvris grand la bouche en sentant le membre glisser en moi. C'était incroyable et tellement bon comme sensation.

L'homme m'embrassa et cette fois, je répondis a son baiser de façon fougueuse.

Je n'étais plus moi, j'étais elle, je ressentais et pensais comme si j'étais devenue cette fille que je détestais pourtant.

Lorsqu'il se mit à faire des vas et vient dans mon corps, le plaisir grandit encore d'un cran.

Je venais de découvrir que j'étais nymphomane lorsque j'étais dans le corps de cette femme. C'était la première fois qu'un acte sexuel était autant exceptionnel.

Cela dura quelques minutes et, c'est alors que sans prévenir, une vague de plaisir bien plus forte que les autres envahit tout mon être. Ce fut de la folie et cela était tellement puissant que je perdis contact avec la réalité.

Je sentis tout de même des jets chauds venir dans mon utérus, asperger mon intérieur et j'en fus heureuse ou heureux, je ne savais plus qui j'étais.

Il me fallut un peu de temps pour me calmer alors que l'homme s'était retiré et qu'il me regardait tendrement.

- tu es magnifique, me dit-il, c'est le plus beau jour de ma vie.