Confinement Bis Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Et justement devant la punition d'Anne caroline, une fessée magistrale, une correction hallucinante administrée par une Emma inflexible, Hortense reste interdite, stupéfaite, figée devant cette raclée, bouche bée face à la puissance des claques mais surtout, subjuguée par l'atmosphère torride qui se dégage. Elle découvre avec effroi combien son corps réagit à cette scène, les battements de son cœur s'emballent, une chaleur grandissante envahit son corps et pire encore, des picotements, des fourmillements ininterrompus se propagent dans son bas-ventre.

Elle aurait dû s'apitoyer sur le sort de cette malheureuse suppliciée or, ni la vision du cul marqué, des fesses bleuies, d'Anne-caroline pleurant à chaude larmes, suppliant, implorant de taper moins fort, n'ont pu entamer l'excitation grandissante qui l'occupe. Ce châtiment est une révélation et là, en prenant une douche, elle repense à cette soirée : "mon dieu comme je coule ...!!! "

Habillée pour la nuit Hortense est maintenant sur le lit. Elle a un livre entre les mains mais, nonchalamment étendue sur le ventre en plein milieu du matelas, elle n'arrive pas à rester concentrée. Elle attend Olivier. Elle porte sa tenue de nuit sauf que négligemment son déshabillé ne couvre pas ses fesses, il est remonté sur son dos et aucun sous vêtement ne couvre les belles courbes. Avec une jambe allongée, l'autre repliée, Hortense dévoile négligemment ses trésors. La pause est on ne peut plus équivoque voir provoquante. Le spectacle de cette femme alanguie est un régal pour les yeux, un spectacle hautement érotique pour le moins, un attentat à la pudeur surement, une provocation perverse de toute évidence. C'est le but.

Et justement Olivier ouvre la porte.

A la fois médusé par la lubricité de sa sœur il ne peut que sourire devant un tel tableau. Il bande. Le sourire aux lèvres il se déshabille promptement, les vêtements volent dans la chambre.

« Madame a envie de dormir!!!» lui dit il avec ironie en situation instable, nu, debout sur une jambe avec l'autre pliée, tenant sa cheville pour enlever sa dernière chaussette.

« J'aime lire un bon livre avant de dormir » réplique t'elle en tournant la tête vers lui, un sourire narquois illuminant son visage.

« Oui, je me doute » s'exclame Oliv en rejoignant sa sœur. Nu, il la couvre et attrape délicatement sa tête à de mains pour plonger sa bouche dans la sienne. Le baiser est long, passionné. En même temps il laisse ses mains glisser sur le corps, caressant les courbes douces et délicates puis glissant sa paume sous son buste il saisit le sein moelleux. Il l'englobe, le presse délicatement, le malaxe. « mmmmmmmm » soupire Hortense. Elle adore les attentions de son frère surtout que son désir se presse contre ses fesses. Cela l'enflamme. Elle a envie d'être vilaine, le manger avec gourmandise, le sucer comme une forcenée, aspirer sa sève. Rien qu'à imaginer la bite de son frère au fond de sa bouche, son bout forçant la glotte, son gland compressé dans sa gorge, elle frissonne.

« J'ai envie de sucer ta bite » dit-elle vulgairement en le repoussant. Oliv est toujours surpris par le tempérament volcanique de sa sœur, mais s'en réjouit. Aussi il ne faut pas le pousser pour qu'il se retourne et s'allonge à coté de sa sœur pendant qu'Hortense rampe entre ses jambes.

Il n'a pas le temps de souffler qu'elle est déjà à genoux et l'embouche. Elle le suce avidement, avec une énergie insoupçonnable, comme si sa vie en dépendait. Sa langue diabolique court le long de son membre, s'attarde sur le frein, revient sur le bout. Olivier manque d'air.

" la garce! Elle sait s'y prendre, et elle vient de m'enfourner jusqu'à la garde. Sa langue s'enroule autour de mon membre qui n'avait pas besoin de ce traitement de choc pour être tendu à l'extrême. Elle me lèche la hampe, le bout de sa langue titille mon méat tandis que ses mains ne restent pas inactives et me malaxent les boules. De temps en temps, elle se retire de ma queue, et la façon magistrale que sa main droite a d'imprimer d'amples va-et-vient à ma verge est à deux doigts de me faire voir des étoiles. O00h... Ce regard de braise quand elle me fixe, la bouche immobile. Oooooh putain qu'est-ce que c'est que ça!!! ses mains sont sur mes hanches, mon bout calé sur sa glotte. Et elle appuie... nom de dieu elle va me faire défaillir... De nouveau elle fait coulisser sa bouche autour mon dard, elle bave, mes couilles sont trempées, il me semble qu'elle est en train de m'engloutir à chaque fois un peu plus...... nooonn... c'est pas vrai"

« aaaaaaaaaaahhh... tu es...aaaaaaah magnifique » grogne Oliv.

Le gland force quelques instants le passage étroit et de nouveau Hortense se retire en fixant Oliv. Elle a les yeux humides mais heureuse de cette prouesse, fascinée par l'éblouissement de son frère. Elle veut tellement lui faire plaisir, qu'elle devait essayer la gorge profonde, dépasser ses inhibitions et réaliser un acte aussi méchant. Et puis le sentir dans sa gorge, comprimé, palpitant, expulsant son jus directement dans son estomac est le summum de la perversion. Son ventre se tord à cette pensée.

« Tu vas me faire venir ma sœur »

C'est les paroles qu'attendait Hortense, elle va le finir. Apres un dernier regard vicieux, elle refait coulisser ses lèvres sur la tige et puis sentant l'imminence de son frère, la bouche ouverte au maximum elle force le gland à franchir le passage étroit et pousse encore afin que le bulbe spongieux soit enfoncé profondément dans sa gorge. C'est un peu difficile car elle doit maitriser sa respiration cependant cet acte insensé lui procure un plaisir indescriptible et l'apogée arrive quand elle entend Oliv hurler comme un possédé, se vider par longues saccades. Elle passe alors sa main entre ses jambes, récolte du jus entre ses lèvres, et frotte furieusement son bourgeon tumescent. Ebahit et fasciné par sa sœur, il la voit blêmir, tandis qu'avec une force incroyable elle se repousse brutalement. Il voit tout son corps vibrer.

Pendant quelques instants ils récupèrent, puis Olive entoure tendrement sa sœur et se positionne en cuillère derrière elle.

« Tu as aimé mon frère » dit-elle en souriant.

« Tu rigoles.... Je n'ai pas aimé, j'ai adoré...tu as été incroyable ma chérie » lui répond-il. « Je t'aimes »

« Oh moi aussi.... Si tu savais à quel point!»

Détendue, apaisée et heureuse, Hortense en profite pour se met à nu devant son frère. Cela fait plus de trois mois qu'elle vit un rêve sans en dévoiler les racines. Elle voue à son frangin un amour sans borne sans toutefois se l'avouer ni lui révéler. Mais voilà il lui a dit pour la rassurer qu'ils vivraient à fond leur idylle pendant le confinement et qu'après elle ferait ce qu'elle voudrait, ils reprendraient leurs rapports frère sœur comme si rien ne s'était passé. Cette période serait comme une parenthèse.

Or voilà, elle mesure maintenant toute la place que prend Olivier dans sa vie, la façon dont il la regarde, qu'il s'occupe d'elle, et sent au plus profond d'elle-même qu'elle n'est pas prête à renoncer à lui.

« Doudou.... Tu dors » lui dit-elle en se retournant sur lui et en l'embrassant. « Il faut que je te parle » continue t'elle, « c'est important ».

« Je t'écoute ma sœur adorée » lui répond-il en soulevant ses paupières.

« Tu ne m'interrompt pas s'il te plait car c'est assez difficile, je n'ai pas l'habitude de me livrer, de me mettre à nu... Mais avec toi tout est possible. »

« D'accord, je t'écoute. »

« Voilà, adolescente j'avais des fantasmes d'exhibition, de punition, de contrainte, de mise à nu forcée et cela par un homme sévère, un homme dont je ne voyais pas le visage. Je n'en connais absolument pas l'origine. Plus tard j'ai refoulé ces envies et je me suis persuadé qu'une sexualité normale les ferait complétement disparaitre.... Je me suis trompée sur ce plan. Il a fallu la rupture avec mon compagnon pour que je me rende compte combien j'étais insatisfaite et surtout comment mes fantasmes revenaient avec encore plus de force au fur et à mesure de notre complicité accrue. Je n'arrivais plus à dormir, tenaillé entre mes envies et cet incompréhensible bonheur d'être à deux avec le désir secret que tu me comprennes et que tu ne te comportes pas seulement comme un frère.

« Oh la vilaine fille!!! »

« Moque toi salaud... tu en profites bien!!! »

« Ce n'est pas vrai » ironise t'il.

« Soit sérieux doudou, écoute-moi » dit-elle en lui caressant affectueusement la joue. « Dis-moi ce que tu comptes faire avec le déconfinement » insiste t'elle en lui bécotant les lèvres.

« Passer en troisième année... »

« Oui rage t'elle, mais en ce qui nous concerne? »

« Je ne sais pas » lui répond-il, « je vais repartir dans mon studio et je reprendrais ma vie étudiante, il faut bien que je continue mes études »

Hortense se décolle alors subitement d'Olivier pour se retourner et serrer son oreiller contre elle. C'est une femme amoureuse qui n'arrive plus à cacher ses sentiments et son frère s'en aperçoit, il en joue. Il ne savait comment lui présenter son désir de vivre avec elle or il vient d'avoir la confirmation maintenant que leurs sentiments sont réciproques. Cependant il souffle le chaud et le froid, il profite de la situation pour agacer sa sœur, même si sa frangine lui semble acquise, il fait monter les enchères, il veut savoir jusqu'où sa frangine est prête à aller, il aimerait l'entendre dire qu'elle ferait tout pour lui, il aimerait tellement maintenant aller aussi loin que possible dans la transgression. Rien que d'y penser son bâton reprend de la vigueur.

Il se tourne alors vers sa frangine, épouse son corps en lui déposant une myriade de bisous dans le cou puis lui susurre : « A moins que... »

« Quoi! » lui répond Hortense soudain intéressée.

« Peut être que je pourrais prendre un T2... »

« Et? » lui retourne t'elle le souffle court.

« Tu me rejoins et on voit si on arrive à se supporter dans un petit appartement » lui répond-il en frottant vicieusement sa hampe toute dure sur les fesses de sa sœur.

« C'est vrai? » relance immédiatement Hortense, « tu aimerais que l'on partage le même appartement » continue t'elle euphorique?

« Et toi »

« Oh oui, j'aimerai tant. »

Elle tourne alors la tête pour regarder Olivier puis plonge immédiatement sa bouche à la rencontre de celle de son frangin. Elle l'embrase passionnément en lui enserrant le cou d'une main caressante. Son cœur a failli exploser à cette annonce.

« Tu crois que tu sauras capable de t'adapter à la vie étudiante, les sorties, une vie un peu dissolue. »

« J'ai accepté de ne plus tout contrôler quand je suis avec toi. Je crois avoir réussi tu ne crois pas? »

Les premières paroles lâchées, Hortense n'a plus aucune inhibition pour se mettre à nu devant son frère, elle a besoin de se livrer, elle ne s'est jamais autant sentie en confiance avec une personne, en osmose, qu'elle doit tout lui dire, elle ne veut pas gâcher la chance de pouvoir s'épanouir avec son frère malgré le tabou. Elle est fatiguée, frustrée de se cacher derrière l'honorabilité, les conventions, le bien penser.

« Si je suis avec toi je peux lâcher-prise et une sensation d'abandon total m'envahit. Je suis bien avec toi. Personne d'autre que toi ne me connait aussi bien continue-t-elle. J'ai honte de te l'avouer » poursuit-elle « mais à ton contact je n'ai plus peur de laisser mes fantasmes s'exprimer, tu sais si bien faire en sorte que mes résistances soient balayées. Je sais que tu seras toujours bienveillant avec moi-même si des fois tu me fais peur. Je suis quelquefois anxieuse de ce que tu me réserves et en même temps cela ne fait qu'accroitre mon excitation. Te connaissant de mieux en mieux je sais que mes retenues ne t'arrêteront pas, tu chercheras à contourner les barrières, briser ma volonté, Depuis trois mois tu m'as ouvert toujours plus de portes, tu brises mes réticences, ma volonté, me fait dépasser mes peurs et je suis obligé de m'abandonner totalement avec en définitif encore plus de plaisir et je..... »

Elle hésite à dire davantage or, vicieux à son tour, Olivier l'encourage :

« Je...? »

« Je jouis comme une folle. »

« Et tu éjacules comme une grosse cochonne... dis le! »

« Oui tu es le premier à me faire éjaculer... tu me rends dingue. » continue t'elle en ne nichant dans le cou de son frère. « Je crois que je t'aime mon doudou » lui murmure t'elle en se rapprochant de sa bouche tout en quémandant un baiser.

« Mais il faudra que tu sois sage de temps en temps... »

« Sage comment » lui répond-elle frottant ses seins contre lui en le fixant.

Anniversaire d'Hortense.

« Tu rêves gros poulet » lui souffle Emma dans son cou!!!

« Oh » sursaute Olivier.

Surpris dans ces réflexions, Olivier n'a pas entendu sa copine arriver, appuyée maintenant sur le dos du fauteuil elle se penche et lui parle à l'oreille.

« Tu lis quoi » lui demande t'elle en lui faisant un gros câlin.

Olivier et Emma ont depuis de nombreuses année une relation privilégiée. Ils se parlait de tout, connaissaient leur vie dans les moindre détail, travail, social, loisirs, sentimental, et aussi sexuel. Depuis trois semaines, ils approfondissent leurs discussions en abordant des sujets encore plus intime, les fantasmes, les tabous. .....

Depuis cette soirée, la punition d'Anne-ka, Olivier lui avait fait part de ses interrogations quant à la fabuleuse excitation Hortense. Il lui racontait au jours le jour ce qu'il faisait avec Hortense, ne négligeant aucun détail, ses impressions et les réactions de sa sœur. Il avait expérimenté de nombreux jeux soumis par une Emma vicieuse.

Cela avait commencé par : « tu lui as déjà attaché les mains à la tête de lit» pour continuer ensuite par de nombreuses situations telles que ; faire l'amour tout nu dans la grange ; la contraindre bâillonnée et attaché à quatre patte sur la moquette pour lui donner une fessée ; habillée d'une nuisette lui faire quitter la chambre le soir, rejoindre la grange, la déshabiller, jouer et remonter avec elle toute nue. Hortense s'est insurgée quelque fois, sans conviction, mais à toujours obtempéré avec beaucoup de plaisir pour elle et son frère.

Au cours des discussions avec son ami Oliv, elle sentait le besoin croissant de celui-ci non seulement d'appliquer ses conseils mais aussi d'accueillir avec entrain ses suggestions toujours plus transgressives. Aussi voyant Oliv réceptif et demandeur, elle devait passer à une autre étape, soumettre à son ami des jeux moins soft. Hortense se plierait, elle en était certaine, seulement il fallait qu'Emma soit habile afin de convaincre son ami. A partir du moment ou elle lui démontre qu'Hortense cherche à réaliser ses fantasmes inavouables et que lui seul peut l'aider, Oliv sera prêt pour passer à des jeux plus durs. Evidemment cette fois ci, Emma veut participer activement et c'est le plus délicat.

Avec calme et patience, sans montrer son impatience, elle lui soumet son idée.

« Tu sais que dans une semaine c'est l'anniversaire d'Hortense »

« Bien sûr. Pourquoi? »

« J'ai une idée pour le cadeau que tu pourrais lui faire »

« Ah »

« C'est un peu spécial, mais elle va adorer crois moi... et toi aussi » Elle lui expose alors le point de départ, une partie du déroulement de la surprise, l'oriente afin qu'il se projette dans la situation, puis l'amène habilement à lui demander son aide active. Impatient et excité à l'idée de cette soirée, il avoue qu'elle sera une aide indispensable et mieux encore il la laissera prendre les initiatives nécessaires et fera exactement ce qu'elle lui dit. Emma cache sa joie, elle n'en demandait pas tant.

Pendant plusieurs jours ils améliorent la surprise.

Il fait encore chaud ce soir et tous les convives sont habillés léger. Hortense a même pris quelque liberté en ne mettant pas de soutien-gorge, elle voulait surprendre son frère ce soir. Elle est à croquer dans ce chemisier à fleur, celui-ci est de plus assorti avec le short en polyester bleu. Les filles sont surprises quant à Oliv, il est subjugué par cette tenue, il n'a jamais vu sa sœur porter ce type de short qui lui moule complétement les fesses épousant ses formes jusqu'à lui rentrer entre ses globes et dessinant l'orteil de chameau. C'est indécent se dit-il, il ne peut s'empêcher de bander. De son côté Hortense ne se reconnait pas tellement sa tenue est révélatrice. D'un autre coté revivre ses 18 ans, redevenir la garce qu'elle était à cette époque-là, est grisant, se le permettre l'incendie.

L'ambiance est à la fête car c'est un jour particulier, Hortense ne doit s'occuper de rien, dans la joie, tous ces colocataires ont préparé ce repas du soir. C'est sa journée aussi elle fait preuve de toutes les attentions. Apres un apéritif bien arrosé, un diner ponctué de rire, tout le monde s'est retrouvé dans le salon pour une fin de soirée animée par des jeux de rôles. Ce n'est que vers onze heures que tout le monde se sépare Olivier et Hortense sortent fumer une cigarette et lorsqu'ils rentrent, mystérieusement, tout le monde a rejoint son lit. La maison est calme, or ce n'est pas le cas d'Hortense. La porte de la chambre franchie, elle entame un striptease. Elle est euphorique avec toutes les boissons ingurgitées mais aussi fortement excitée.

« Attend ma chérie, j'ai encore une surprise pour toi » lui dit Olivier en lui mettant un bandeau sur les yeux. Sa sœur frémit de joie. Il l'allonge sur le lit pour la titiller quelques instants puis lui prend la main et la redresse.

« Viens ma chérie » lui dit-il en la tenant par le bras. Enjouée elle le suit et avec précaution ils descendent tous les deux les escaliers. Aucun bruit ne perturbe leur marche aussi Hortense, plongée dans ses pensées lubriques, imagine rejoindre la dépendance ou Olivier lui a déjà fait vivre de merveilleux moments. Elle est donc surprise quand il l'arrête dans le salon. Il la tourne plusieurs fois sur elle-même puis se serre contre elle, l'embrasse avec passion puis avec fougue. Elle se laisse porter. Ses sens sont en ébullition, le bâton rigide qui se presse contre elle contribue à l'embrasement de sa chate. « mmmm, qu'est-ce que tu me réserves mon chéri » dit-elle en se dégageant du baiser dévorant.

« Ne soit pas impatiente ma sœur adorée » lui répond Olivier en s'écartant légèrement d'elle. « Tu es magnifique et habillée comme ce soir j'ai envie de te dévorer. » tout en parlant il passe derrière elle. Hortense se frotte alors vicieusement, elle ondule son cul à la recherche de sa bite. « C'est vrai tu l'aimes mon short »

« Oh oui, ça te fait un cul merveilleux.... Un petit cul de coquine... même un peu salope!!! »

« Ooooh »

« Ne fait pas l'innocente... j'avais envie de te baiser toute la soirée... mais la nuit est à nous ma belle »

Olivier facilite le contact, Il positionne son bâton au milieu des joues, se serre contre elle et l'entourant il effleure ses seins, les cajoles tout en déboutonnant malicieusement son corsage. Il pose alors ses mains sur sa poitrine mise à nue et pince légèrement les petites tétines «oh, mmmm » réagit elle. Elle se rend compte trop tard qu'il a écarté les pans de son chemisier et qu'avec un mouvement fluide il lui fait glisser de ses épaules. Elle tente de le retenir avec ses bras cependant il l'embrasse dans le cou, déplaçant son attention et permettant au chemisier de descendre, d'atterrir aux pieds d'Hortense. « Pas ici » râle-t-elle sans conviction.

« Tu m'as excité... tu ne penses pas que tu vas t'en tirer comme cela!!! »

«aaaaaaah, mmmmmm , alors mon chéri c'est quoi ta surprise» dit-elle en tortillant ses fesses contre la dureté.

« Bientôt... ça arrive. » dit-il en tirant ses bras dans son dos. « tu vas adorer » continue t'il en liant ensemble les poignets avec une ceinture en soie. Il la pousse alors doucement vers le fauteuil et l'incline sur le dossier. « Tu te rappelles d'Anne-ka.... Tu etais trempée ce soir là ... Tu es à sa place maintenant »