Confinement Bis Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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« Dépêche-toi, le film va commencer dans quinze minutes et j'aimerai bien le voir. »

« Oui d'accord. Tu veux que je me mette là » lui demande t'elle, certaine qu'il la fera installer sur le lit.

« Viens avec moi. Dans ta chambre il n'y a pas assez de lumière! »

« Tu m'emmènes où? » l'interroge-t-elle un peu surprise.

« Suis-moi on va en bas. »

« Pourquoi dans le salon? » insiste t'elle en nouant sommairement son kimono alors qu'elle le suit dans les escaliers.

« Ce sera plus pratique » lui répondit-il d'une voix détachée.

De prime abord elle se dirige vers les canapés du salon cependant Olivier l'arrête sur son parcours pour lui indiquer qu'il y verra beaucoup mieux sur la grande table. Surprise elle ne dit rien et puis elle se rassure, son calvaire durera moins longtemps. Elle s'assoit sur la grande table en chênes." heureusement qu'il y a un épais bull-gomme se dit-elle, je n'aurais pas mal aux fesses" Elle s'allonge alors, profite de l'absence de son frangin pour retirer son shorty et tout en posant ses pieds sur la table elle se voile le sexe avec une main, l'autre sur ses yeux pour ne pas voir. Elle essaye de se détendre, "ce n'est pas pire que chez le médecin, en plus Olivier est actuellement un carabin". C'est une réflexion puérile mais elle a besoin de se raccrocher à des détails, cela l'empêche de spéculer sur l'attitude de son frère face à son fondement. Elle évite de songer à la suite, elle veut à tout prix éviter que son corps la trahisse.

Pendant ce temps Olivier est revenu avec un spot allogène qu'il allume tout en posant sur la table une trousse de pharmacie. Hortense est pour l'instant calme.

« Non pas comme cela Hortense, il faut que je sois à hauteur lui dit son frangin. Retourne-toi et met toi sur la table lui précise-t-il tout en réglant la lumière. »

Hortense est stupéfaite, elle reste interdite sous l'annonce, totalement hébétée.

Olivier a conscience de perturber fortement sa sœur avec cette demande, elle pourrait refuser. Comme sa frangine ne doit penser qu'a l'aspect pratique de la position, il l'abreuve de paroles rassurantes afin de détourner son attention. " Dès qu'elle se sera à quatre pate elle aura franchi le point de non-retour, elle fera ce que je lui demanderai et même si elle a honte elle ne pourra plus faire machine arrière."

Pour ce faire Olivier sait qu'il doit être diplomate et aussi faire ressortir l'aspect professionnel de sa demande, ce moment doit être habilement accompagné pour que sa sœur ne se braque pas.

« C'est l'affaire de 2 minutes. Je repère l'intrus et je te l'enlève. Le temps de te retourner et j'aurai fini. »

Hortense toute contrite accepte les arguments comme une évidence, elle ne dit rien, vaincue elle se retourne pour se mettre à quatre pattes sur la table.... Et là, c'est la cata, sa libido se met en marche. Une chaleur insidieuse s'installe entre ses cuisses. Elle n'arrive plus à penser sereinement, normalement .... La raison lui dicte de descendre de cette maudite table, cependant ses membres sont aimantés à celle-ci. Tout est confus dans sa tête. Elle est mortifiée à l'idée que son frère se rende compte de son excitation mais parallèlement sa psyché, confrontée à la pose totalement indécente, s'enflamme sans qu'elle ne puisse la contrôler. Et puis, comble d'érotisme, elle se rend compte trop tard qu'en ayant les deux mains posées à plat sur la table elle ne peut cacher sa fente ni renouer le cordon du kimono qui s'est détaché. Ses seins sont libres maintenant de toute entrave, ils pendent magnifiquement comme deux mamelles gorgées de lait, ils ondulent au rythme de sa respiration et pire encore, ils décident de bander leurs tétons. Une image s'imprime alors devant ses yeux... La louve de Rémus et Romulus.

Cependant cette photo est vite remplacée par une autre hautement plus érotique, une posture de soumission qui l'embrase, une position qu'elle adore quand elle se fait prendre... la levrette. Cette image la liquéfie. L'excitation est d'autant plus grande qu'elle est exposée à quatre-vingt centimètres du sol, elle est présentée sur cette table comme un fruit mur à déguster, un objet de décoration magnifiant la pièce, une femelle qui affiche ses atours, une salope qui transpire la luxure.

Elle pense toucher le fond.

C'est sans compter sur la perversité de son frère.

Avec l'halogène il a bien remarqué la percée du berlingot, la jolie fraise commence à pointer son nez. Tout fonctionne à merveille pour l'instant. Il poursuit donc son plan. D'une voix douce et apaisante il lui sollicite alors son aide en lui assurant qu'il sera rapide et efficace pour enlever la tête de l'animal :

« Tiens tes fesses écartées cela m'aidera. »

« Mais je... »

« Eh bien pose ta tête sur la table » lui répond sèchement Olivier.

Sa sœur est interloquée par le ton de son frère, il s'en rend compte. Il est lui-même surpris par ses paroles, il n'a jamais été aussi directif encore moins avec sa sœur. Malgré cela, Hortense obtempère. Il décide alors de compenser ses paroles par une attention plus douce « Attends-je te mets un coussin », puis la rassure, « Oui c'est beaucoup mieux »

Olivier observe quelques instants la posture, sourit, et décide d'accentuer la position pour rendre la situation encore plus perverse. Avec ces deux mains il repositionne celles de sa sœur afin que le bout des doigts soient au bord de la fissure de ses globes, appui dessus pour écarter franchement la fente. « tiens bien tes fesses écartées, oui super!! » ajoute Olivier. « Cambre-toi plus aussi » insiste t'il froidement « Super... écarte encore tes genoux.... Oui voilà, garde cette position, je vois beaucoup mieux.»

Hortense s'exécute comme un automate, sa raison l'a définitivement quittée.

Prosternée, les reins creusés, le cul en l'air, les cuisses écartées outrageusement offrant une vue détaillée, elle ne s'est jamais trouvée aussi nue. Ouverte, il est difficile de faire plus obscène, cependant honteuse, elle découvre avec horreur une excitation hors du commun.

Pour la première fois de sa vie elle Obéit sans réfléchir. Elle est orientée, canalisée et même matée dans sa rébellion, elle réalise que son frère la dresse sans qu'elle ne veuille l'arrêter, il révèle la salope qu'elle est et elle aime ça. Pour elle qui a toujours fait ce qu'elle voulait, elle accepte cette domination imposée sans se rebeller, domptée malgré elle. Avec douceur certes, mais avec persévérance et fermeté Oliv la dirige là où il veut qu'elle aille et elle se soumet. Être obligé d'obéir à son frangin, un jeunot de dix-neuf ans qui plus est, lui fait bizarre, mais elle est obligée de reconnaitre qu'elle est toute retournée, le plaisir pervers qui l'envahit elle le recherchait certainement depuis longtemps sans en être consciente.

Hortense est en feu. Pour l'instant son obsession est de respirer calmement pour brider les spasmes qui montent de son bas ventre. Elle espère endiguer les fluides en contractant aussi ses muscles vaginaux, or il est déjà trop tard, elle ne contrôle plus rien.

Elle oscille d'avant en arrière, frotte ses tétines turgescentes et simultanément ses mains deviennent autonomes, elles écartent ses fesses puis les relâchent doucement. Au départ les mouvements sont presque invisibles pour in fine devenir ample, le frotti-frotta de ses petites lèvres devient insoutenable, tout son corps s'embrase.

A partir de ce moment-là, Hortense ne peux et ne veux éviter l'inéluctable. Elle se sent si faible, si coupable, si honteuse et malgré tout, elle espère qu'Oliv la prenne sans son autorisation, qu'il la force car bien sûr, elle résistera. maintenant qu'elle a mis un nom sur sa libido, le fantasme tenace est plus obsédant que jamais.... Ce désir la torture. Elle est heureuse que son frère prenne la responsabilité de ce qui va suivre, elle pourra toujours par la suite fuir ses responsabilités, se dédouaner et lui dire qu'il l'a forcée.

« Ouille!!! » crie-t-elle.

« Ça y est je l'ai eu, ... encore deux trois minutes, je désinfecte. »

Olivier prend l'onguent qu'il a préparé et avec son pouce il l'applique sur la minuscule plaie en élargissant sur toute la zone. Sa sœur se contracte inévitablement en serrant les dents pour ne pas émettre d'onomatopées révélatrices, par contre sa chatte déjà toute gonflée de désir laisse s'écouler un filet de mouille. Son frère ne peut que le remarquer, il est aux ange... il se lâche!

« Oh mais qu'est-ce que je vois, tu mouilles comme une cochonne » enfonçant sans préambule deux doigts profondément dans la vulve de sa frangine tandis qu'il ensere sa cuisse avec son bras gauche pour qu'elle ne tente pas de fuir.

« Aaaaaaaaaa, Qu'est-ce que tu fais Olivier!!! »

« Dis-moi que tu n'es pas excitée lui répondit-il alors en resserrant son bras devant sa cuisse pour la ceinturer et caresser en même temps son clito.

« Tu ne peux pas faire ça lui dit elle entre deux spasme... Aaaaaaaaaaah je suis ta sœur! »

« Répond à ma question » insiste Olivier d'une voix douce en accentuant son pistonnage. »

« Aaaaaaaaaaaaaa... Ouiiiiiiiiiii » crie t'elle parcourue de spasme...

« Jure-moi que tu n'aimes pas insiste-t-il, les doigts incurvé vers le bas à la recherche de son point "G" »

Tout à son plaisir Hortense ne peut répondre à son frère, elle devient folle. Elle geint, crie, elle sent d'ailleurs que sa jouissance monte de plus en plus et pour l'accentuer elle descend légèrement ses mains pour étirer plus encore ses fesses. Elle s'ouvre vulgairement abjurant toute morale, elle n'est plus qu'un orifice qu'il faut combler.

Olivier est subjuguée par ce geste obscène, il reste interdit face à cette vulve gorgée de sang, cette fente largement ouverte, ces grandes lèvres qui tressautent à chaque mouvement, ces babines écarlates luisantes de mouille. Hortense le rend dingue.

Confrontée à une telle lubricité, un spectacle si cru, il décide de donner à sa dépravée de frangine ce qu'elle attend, ce qu'elle quémande. Il insère donc sans répit son auriculaire en plus dans l'antre trempée, les deux doigts coulissent sans peine dans le tunnel onctueux, il remue vigoureusement sa main. sa sœur vagit à chaque aller-retour alors qu'olivier s'enflamme en pistonnant crescendo le vagin dilaté et lorsque les cris deviennent ininterrompus, l'orgasme imminent, il se déchaine faisant ressortir toujours plus de mouille. Lorsqu'enfin sa sœur hurle en remuant comme une furie puis se fige sur l'orgasme libérateur, il pince vicieusement son clitoris. La réaction est fulgurante. Hortense se cabre en giclant une quantité phénoménale de liquide, elle jouit une deuxième fois puis encore lorsque olivier relâche la framboise tuméfiée pour enfin s'étaler de tout son long sur la table... Anéantie.

Olivier est ébahi par le tempérament de sa sœur. Il se doutait qu'elle devait être une sacrée coquine mais aujourd'hui il vient de réveiller un volcan, un mont hautement éruptif, il découvre pour la première fois avec éblouissement une femme fontaine.

Fasciné, il la regarde allongée, reprenant difficilement sa respiration. Sa bite est plus dure que jamais, son désir reste intact. Il a une envie irrépressible de toucher sa peau, l'embrasser et bien sûr se fondre en elle.

Il se déshabille rapidement puis monte précautionneusement sur la table.

Tout doucement il profite que sa sœur soit encore dans les vapes pour la retourner. Elle maugrée mais encore à cuver ses orgasmes elle se laisse faire. Allongé sur son coté Olivier détail le corps somptueux de sa sœur. Ses yeux n'arrivent pas à se repaitre du corps alangui, par contre sans qu'il puisse les retenir ses mains caressent les joyaux fait pour nourrir une ribambelle de bébés affamés, des seins consistants et moelleux qu'il malaxe doucement, des aréoles larges qu'il parcourt d'un doigt appréciant le grumelé de la peau, des tétines, oui de formidables protubérances encore gorgées de désir qu'il presse légèrement pour apprécier leur sensibilité. « mmmmmm » souffle sa sœur.

Hortense, les paupières closes pour éviter de rencontrer le regard de son frangin, réalise seulement qu'elle vient d'éjaculer, elle se sent vidée, elle voudrait cuver tranquillement ce formidable orgasme seulement son frangin ne lui laisse aucun répit.

Oliv poursuit la reconnaissance du corps tant désiré, et puis le bâton qui pulse le long de la cuisse de sa sœur se rappelle à lui, il ne peut plus attendre, il doit la baiser.

Il tente d'embrasser sa frangine. Elle se défile en mettant sa tête de côté aussi il s'allonge de tout son long sur elle en appuyant les genoux au creux de ses cuisses, Hortense résiste.

Quand elle réalise qu'il la couvre, mollement elle lui dit qu'il ne faut pas, elle s'est laisser aller mais maintenant ils doivent arrêter, c'est de l'inceste ; ils sont frère et sœur! " Pourquoi avait-elle cédé à son frère? c'était plus fort qu'elle, elle en avait eu très envie. Mais enfin, elle n'était pas une bête. Elle pouvait se retenir. Elle n'était pas une chienne en chaleur tout de même!!!"

Olivier n'entend pas les paroles de sa frangine, sur le corps trempé de sueur il frissonne de bonheur, elle va être à lui, cette déesse sera son amante.

En réponse aux remarques d'Hortense qu'il ignore totalement il se presse encore plus sur elle, ondule, frotte son gland sur l'abricot brulant tout en lui déplaçant sa longue natte sur le côté et dépose une nuée de bisou sur le cou. "elle ne veut pas m'embrasser! ce n'est pas grave, je la ferai fléchir, et plus tard elle aura sa fessée pour ne pas céder de suite et aussi pour m'aguicher éhontément toute cette journée. Oh oui ma belle je vais me régaler à rougir tes fesses et toi je suis sûr que si tu négocieras au départ pour faire bonne mesure, tu seras certainement un peu honteuse de te faire punir par celui que tu appel le gamin, par contre tu vas jouir comme une damnée crois moi. Mais une chose à la fois!"

Pour l'instant il concentre son attention sur l'oreille, il câline le tour par de savants baisers puis suçote le globe avec frénésie. La voyant se contorsionner sous l'attaque vicieuse, cette partie de l'anatomie de sa frangine lui apparait très sensible, il s'en souviendra, elle n'arrive pas à se contrôler, elle devient folle et ses cuisses s'ouvrent comme par magie.

Hortense avait apprécié qu'il lui dise qu'elle était belle, qu'il la regarde comme un homme sait le faire, ça flattait son ego, c'est sûr! Après la trahison de son mec elle avait besoin d'être rassurée, se prouver qu'elle pouvait plaire à nouveau et elle s'était jetée à corps perdu dans ce jeu de séduction qui par ailleurs, pensait-elle, n'était qu'un jeu innocent entre un frère et une sœur qui ont l'habitude de se taquiner. Mais voilà le manque, le désir, l'excitation, son gout pour la provocation, sa facilité à braver les interdits avaient eues raison des préceptes judéo-chrétiens. Elle n'avait pu stopper l'engrenage aussi elle se trouvait piégée à ses propres pulsions, elle avait laissé faire son frère et maintenant il la rendait dingue. Aucun homme ne l'avait fait jouir comme aujourd'hui, il l'avait fait juter à se vider, son corps avait rendu les armes et ce n'est pas la bite brulante sur son ventre qui allait calmer son envie. Elle n'en pouvait plus de se contenir.

Son frangin est le diable personnifié, il en a même les attributs se fait elle la réflexion lorsqu'il bouge son énorme bâton pour venir frotter son gland sur son berlingot en effervescence.

Hortense devient folle. Le baton qui coulisse entre ses lèvres trempées, l'énorme tête spongieuse qui frappe son berlingot turgesent à chaque aller retour, la rendent dingue. C'est plus fort qu'elle, Hortense ne peut se soustraire à ce désir irrepressible de se voir remplir, il n'y a plus que cela qui compte. Elle faufile sa main entre leurs deux corps puis s'approche de la hampe pour se l'accaparer mais à l'instant où ses doigts veulent le saisir elle est prise d'un vertige sous la violence de la réalité ; son frère est monté comme un âne. Elle n'arrive pas à faire le tour pour enserrer le monstrueux vit. En une fraction de seconde elle se voit empalée sur ce gourdin, son vagin se tord de désir et elle sent un flot de mouille ruisseler entre ses fesses. Hortense abandonne alors toute retenue, il n'y a plus que la partie animale de son comportement qui fonctionne, un besoin primaire de se faire monter, une envie irrépressible d'avoir son vagin comblé, il faut qu'elle soit pénétrée par ce monstre, elle a besoin de cette queue.

Hortense capitule, toute honte bue elle harangue son frangin « Tu as gagné Salop, mets-moi ta grosse queue, je n'en peux plus... »

Olivier positionne alors son gland au bord de l'entrée avec l'aide de sa frangine puis pousse doucement.

Le nœud est à peine entré qu'Hortense crie de surprise.

« Aaaaaaaaah .... Tu es énorme! Tu vas me déchirer ... s'il te plait va doucement »

« Ne dis pas de bêtises répond alors Olivier, il est juste fait pour toi! »

Et le vit monstrueux continue sa lente ascension, ce pieu commence à glisser dans les profondeurs de la chatte trempée. Hortense souffle à chaque arrêt puis retient sa respiration lorsqu'Olivier se retire d'un centimètre et souffle à nouveau lorsque son frangin se réinsère pour gagner du terrain et puis, apres plusieurs aller et retours, les chaires s'adaptant au monstre qui la dilate, dans un profond rauque Hortense l'avale en entier. Cette invasion lui fait perdre pied. Elle se laisse aller en arrière, s'allonge, se crispe, les mains agrippées à la table, elle suffoque, râle.

Hortense ne résiste plus, elle a même posé ses mains sur les cheveux de son frère, comme pour lui demander de rester. Elle oublie tout. Dans un état proche de l'hystérie où toute lucidité est brisée en mille morceaux, elle ne vit que pour ce forage qui distant toutes les chaires sur son passage, un envahissement total qu'elle n'a jamais connu. Ce priape a atteint son but, il est rentré totalement laissant juste les testicules collés à ses fesses

Olivier l'observe reprendre son souffle et tout doucement il retire le mandrin en lui imprimant une légère rotation avant de le replonger presque avec brusquerie au plus profond de son vagin. Hortense se cabre, hurle mais ne se soustrait pas. Alors son frangin se retire sur toute la longueur et entame un va-et-vient rythmé. On le voit attentif au plaisir de sa sœur, et visiblement celui-ci l'envahit. Sa respiration s'accélère, elle gémi, crie, râle, son bassin se soulève et Olivier, très appliquée, sent qu'il faut brusquer les choses. Il aimerait être tendre, mais cette fois ce n'est plus possible. Il s'enfonce d'un trait dans la chatte juteuse, le conduit l'a adopté.

Ooooooooooooooh mon dieu » hurle Hortense.

Il poursuit par de longs et profonds allers et retours qui se transforment très vite en un implacable pilonnage. Et là, quasiment malgré lui, il la baise comme un forcené, il se déchaîne.

« Aaaaaaaaaaaaah... tu vas me faire mourir!!! » ne cesse-t-elle de répéter.

Hortense encaisse ces coups de reins dignes d'un marteau-pilon, Olivier n'est plus vraiment maître de lui-même... Ce corps, ces hanches, ses seins qui tressautent au rythme de ses aller-retours, les tétines gorgées de sang qui le narguent et surtout cette chatte qu'Hortense serre autour de sa queue ont raison de lui. Il s'enfonce encore plus profond et elle gémit au rythme effréné de ses assauts. Hortense est d'ailleurs dans un autre monde, tout en lui réclamant maintenant toujours plus.

« Oh oui, olivier! Baise-moi fort! oh non, oh oui, Ne t'arrête surtout pas! » lui dit-elle en relevant ses jambes pour croiser ses pieds dans le dos de son frangin. Ses bras entourent le torse de son frère et tel des crochets ses doigts se fixent dans son dos, le serrant contre elle ou le griffant. Une panthère. «aaaaaaaaaaaah, tu n'es qu'un salop à vouloir baiser ta sœur, oooooooooooooh pervers, ne t'avise pas de sortir, oooooooooooooh »