Confinement Bis Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Hortense hausse les épaules puis se met à rire en lui répondant : « Tu as raison Gamin, mais toi n'oublie pas ton maillot de bain et surtout tes bouées... Dans mon souvenir j'étais là pour que tu ne prennes pas la tasse. »

Hortense n'envisage pas de se baigner mais connaissant son frère avec son esprit taquin, il suffit qu'elle n'emporte pas son maillot pour qu'elle se retrouve à l'eau toute habillée. Elle ne veut pas lui donner ce plaisir et ne projette pas non plus de prendre un bain toute nue.

Pendant 1 heure ils traversent le bois. Le trajet passe vite car olivier ne tient pas en place, il ne peut s'empêcher de chahuter sa sœur, tantôt il lui court après avec une badine lui promettant quelques coups sur les fesses, tantôt il la bombarde de champignons ramassé au gré du parcourt, tantôt il prend de l'avance sur le chemin et se cache pour lui faire peur dès qu'elle passe devant lui. D'ailleurs il réussit son coup, surprise elle se prend le pied dans une racine et elle s'étale de tout son long dans un massif de fougères. Elle fait mine d'être en colère mais cela ne prend pas car Olivier se moque d'elle et rit à gorge déployée. Elle éclate alors de rire et lui promet en ne pouvant retenir son sérieux, de lui faire payer.

Arrivé à la rivière ils s'installent sur les berges. Essoufflés tous les deux, ils s'assoient, se désaltère en regardant le panorama idyllique puis après un petit quart d'heure Hortense déplie une petite nappe et installe le piquenique. Le repas rapidement avalé Olivier s'étend à l'ombre, il se voit bien faire une sieste. Pendant ce temps Hortense s'éclipse pour se changer. Elle voudrait profiter du soleil. Elle enlève sa robe et enfile le bikini, le seul qu'elle a trouvé dans son armoire de jeune fille, un ensemble qu'elle n'a pas essayé dans la précipitation des préparatifs. En le mettant cependant elle se rappelle maintenant combien ce coordonné est sexy, terriblement sexy!!! le string ultra mini ne lui cache que la fente, "ouf j'ai fait mon maillot pense t'elle soudain rassurée", quant au bandeau qui doit tenir sa poitrine, il est au moins deux tailles en dessous de ceux qu'elle a acheté récemment, sa poitrine est dangereusement comprimée.

Un instant elle envisage de renoncer à bronzer et puis elle décide de le garder, il n'y aura personne pour la voir, la juger. Il y a dix ans elle aimait tellement l'avoir sur son corps, aujourd'hui elle veut retrouver cette sensation grisante. Elle a l'impression d'être nue, libre, elle flotte sur un nuage. Le plaisir se lit sur son visage. Ceci dit, son corps secrète une telle abondance d'endorphine qu'un œil extérieur se demanderait si la dame n'a pas fumé un "pétard".

C'est donc le corps léger qu'elle revient au bord de l'eau.

Elle s'assoit avec volupté sur sa serviette puis entreprend de se protéger la peau. Le torse et le visage enduit de crème elle appelle ensuite son frère pour lui tartiner le dos.

« Ohhhhhhhhhhh » s'exclame Olivier en se rapprochant de sa sœur.

« Tu n'as jamais vu de femmes en maillot de bain!!! »

« Oh siii .... Mais toi... Si tu ne fais pas attention tes lolos vont sortir tout seul de leur cage. »

« Laisse ma poitrine tranquille .... Je n'ai que celui-là, c'est le seul que j'ai retrouvé dans mon armoire... Pourquoi je te dis ça d'ailleurs... Depuis quand tu regardes mes seins espèce de salopiaud!!! »

« A qui la faute! Si tu n'avais pas mis ce minuscule maillot qui ne te rends pas service, Il a même l'air de te serrer fortement. Moi ce que j'en dis.... Tu serais beaucoup plus à l'aise la poitrine à l'air!!! Et certainement plus belle qu'avec ce vieux truc. »

« Je te vois venir avec tes gros sabots "petit branleur", tu ne crois pas que je vais mettre mes seins à l'air rien que pour tes yeux!!! »

« De toute façon je vais devoir te le dégrafer pour ne pas le salir. »

« Là tu marques un point répond-elle en se mettant sur le ventre. »

« Elle dégrafe alors son bandeau, le tire pour le mettre devant elle, pose sa tête sur ses bras et continue à chahuter son frère. »

« T'es vraiment un mec toi... Une poitrine en vue et tu ressembles au loup de tex Avery!!!.... Allez maintenant que le champ est libre étale cette crème! Je ne veux pas bruler.... «

« Tu crois que tu y arriveras!!! » Renchérit-elle en riant. « Et tant que tu y es, fais-moi un massage. »

« Tu exagère là! » lui répond olivier.

« C'est pour te faire pardonner de tout ce que tu m'as fait subir dans le bois. »

Olivier ne se le fait pas dire deux fois, depuis trois jours il n'arrête pas de fantasmer sur sa sœur, ses seins, son cul, sa chate...

« Laisse mes sein espèce de pervers, je ne suis pas charlotte!!! »

« Tu as des nœuds sur les côtés! »

« Oui c'est ça, prend moi pour une cruche! »

Hortense se réveille soudain.

Elle ne sait pas combien de temps elle s'est assoupie pendant le massage de son frère... Était-ce bien un massage d'ailleurs!!!

Au début oui, elle avait senti ses trapèzes et ses muscles dorsaux rouler sous les doigts fermes de son frère, elle avait failli gémir lorsqu'il s'est penché longuement sur ses lombaires en descendant sur le sacrum, cela lui envoyait de l'électricité sur toute la colonne vertébrale, enfin elle se rappelait aussi qu'il avait trituré avec sadisme ses adducteurs en l'obligeant insidieusement à écarter les cuisses. Elle se refusait toutefois à donner de l'importance à toutes les agaceries d'Oliv, elle ne voyait là qu'un petit frère taquin.

Par contre tout devenait flou par la suite. Son dernier souvenir avant de sombrer fut un relâchement complet de son corps, un engourdissement général, un bien être total, il lui semblait que les mains d'Olivier devenaient caressantes après l'avoir longuement trituré. Elle luttait contre la lourdeur de ses paupières mais la danse des doigts sur sa peau avait eu raison d'elle, les bras de Morphée l'appelaient... plus de son, plus d'images!

Hortense émerge en se demandant où elle est. Elle vient de rêver et les bribes qui lui reviennent sont flou. C'était à la fois jouissif et horrible.

Elle prenait énormément de plaisir à s'exhiber, elle se démenait comme une folle pour exciter des personnes autour d'elle, puis au bord de l'extase avec cette multitude de mains qui la palpaient, elle prit en bouche le vit devant elle et en levant la tête le visage d'oliv apparu.

Perturbée, elle émerge doucement et voit son frère allongé un peu plus loin sous les arbres. Troublée plus qu'elle ne le voudrait, elle balaye ce rêve, elle a mal vu le visage, aussi elle décide de ne rien montrer et appelle olivier. Elle voudrait se retourner mais il n'est plus question de remettre son bandeau, il la serre beaucoup trop.

« Donne-moi ton tee-shirt. »

« Comment!!! » lui répond Olivier.

« Tu as raison, mon bandeau est vraiment trop petit et il me fait mal. »

« Ah tu vois .... Mais pourquoi veux-tu mon maillot? » insiste t'il.

« Eh bien parce que tu es galant... tu as raison sur un point, mon bandeau est trop serré mais je ne vais pas me mettre sein nu devant toi espèce de pervers, non mais!!! » continue t'elle contente de sa remarque.

Hortense est encore profondément excitée aussi inconsciemment elle marivaude avec son frère, elle le taquine, le provoque.

« Allez retournes toi sale voyeur » lui lance t'elle joueuse.

« Ok ok, » s'incline Olivier avec un large sourire

Elle enfile alors le tee-shirt, le raccourcit pour laisser son ventre nu, l'étire et fait un nœud autour de ses cotes. Elle a maintenant sur elle une brassière qui lui cache sa poitrine. Elle se trouve belle. « C'est bon tu peux te retourner. »

« Mais qu'est-ce que tu fais avec mon maillot? .... Il ne va plus avoir de forme quand je voudrais le remettre! »

« Taratata... Tu avais raison, je suis bien maintenant » lui répond-elle avec un sourire de madone. « Je vais pouvoir bronzer sereinement. Ton tee-shirt me va à ravir, n'est-ce pas?! » Renchérit-elle en se levant pour le narguer. « En plus il est très agréable à porter » insiste t'elle en bombant le torse. « Tu ne trouves pas qu'il me va mieux qu'à toi! »

« Ah bon tu veux la jouer comme ça riposte t'il en s'approchant dangereusement d'Hortense. »

Avec rapidité Olivier lui attrape la main et fermement l'entraine avec lui vers la rivière. Hortense essaye bien de résister mais c'est peine perdue. Elle se retrouve en deux temps trois mouvements immergée jusqu'à la taille et ne peut réprimer un cri.

« Ooooooooooooh ... Elle est gelée!!! Tu vas me faire mourir salop ... je vais me venger crois moi. »

Dans sa bouche les mots grossiers qu'elle distille ne sont pas des insultes, bien au contraire. Même transie de froid elle arrive encore à titiller, défier son frangin. C'est plus fort qu'elle. Un œil extérieur dirait que depuis qu'elle a revêtue sa tenue de plage la femme de trente-deux ans posée et responsable se comporte comme une ado, une jeune fille dominée par ses hormones, une femme dont la libido lui tenaille le ventre, une femelle en manque.

Olivier n'est lui pas en mesure d'analyser objectivement ses signes car il s'agit de sa sœur, par contre il sent bien que leur complicité s'est accrut. Il continue donc à chahuter sa sœur, il l'éclabousse, s'agrippe à ses épaules pour la renverser, plonge pour lui attraper les jambes et lui faire perdre l'équilibre, il ne lui laisse aucun répit.

Hortense de son côté tente par tous les moyens de repousser ses attaques, elle essaye de le maintenir à distance tout en le sollicitant, le provoquant, elle ne ressent plus la fraicheur de l'eau et a abandonné l'idée de sortir de la riviére, la joie inonde son visage, elle est heureuse de batifoler avec son frère.

Au bout d'une demie heure, fatigués tous les deux, ils remontent enfin sur la berge. Olivier arrive en premier, il s'assoit sur la serviette de sa frangine et s'exclame en la regardant sortir :

« Mon maillot est totalement foutu! tu as vu il est avachi! » dit-il en savourant le spectacle d'une nymphe sortant de l'eau,

Le tee-shirt est devenu transparent, collé à la poitrine orgueilleuse il révèle les sublimes seins de sa sœur, les larges auréoles brunes et les tétons saillants voulant transpercer le lycra. Olivier n'en croit pas ses yeux d'autant plus qu'en sortant de l'eau il voit bien la vulve charnue mise en relief par le string trempé. Dans l'eau froide de la rivière l'animal dans son boxer était complétement anesthésié, or maintenant sur la berge, il se réveille dangereusement. La vision qui sort de l'eau n'est pas sa frangine, la femme qui se dirige vers lui c'est Aphrodite, la nymphe qui est devant Olivier est luxure personnifiée, il la désir, il la veut, il n'aura de repos que lorsqu'il la fera crier sous son joug.

« Tu as fini de me regarder comme si j'étais un ovni » lui lance Hortense arrivée devant lui. « Et va t'assoir sur ta serviette que je puisse me sécher » continue t'elle faussement en colère.

« Je me bouge répond alors Olivier encore groggy. »

Hortense se saisit de sa serviette pour s'essuyer. Elle constate alors seulement en rougissant que ses tétons sont durs comme du bois, ils lui font mal. Elle s'aperçoit aussi en regardant sa poitrine que le tee-shirt mouillé l'épouse parfaitement, " oh merde pense t'elle, heureusement qu'il n'y a personne, je n'ai plus l'âge de faire la bimbo." Elle se trouve tout de même excitante, elle ne s'était jamais vue comme cela mais c'est vrai qu'elle parait encore plus nue, ses seins sont magnifiquement dessinés, admirablement exposés, elle est même flattée de voir le regard concupiscent de son frangin ; elle peut encore plaire.

Et puis soudain une bouffée de chaleur l'envahit.... Des fourmillements apparaissent dans son bas-ventre, "mon dieu je coule"!

Découverte

De retour à la maison vers 18heure, Olivier profite que sa sœur prépare le repas du soir pour prendre une douche. Hortense lui a annoncé sur le retour que la sortie lui avait creusé l'estomac et donc elle voulait qu'ils mangent tôt, elle se laverait ensuite. Cela l'arrange car il préfère prendre la douche avant sa frangine car il ne sait jamais combien de temps elle va occuper la salle de bain, de plus il doit absolument se soulager pour faire tomber la pression.

Le diner pris, Olivier paresse dans le salon, vautré sur le fauteuil il s'adonne à son sport favori ; Combattre des aliens à la seule force de ses pouces. Le monde autour de lui peut s'écrouler, malheureusement un cri perçant le fait sursauter

« Olivier » crie Hortense en panique.

« Oui » répondit-il par reflexe.

« Viens vite j'ai besoin de toi! »

Alerté par le caractère urgent de l'appel Olivier se décide enfin à lâcher ses manettes et montre quatre à quatre les marches de l'escalier. Hortense l'attend en peignoir assise sur le rebord de la baignoire.

« Qu'y a-t-il » lui demande son frère en la voyant blanche comme un linge.

« Je crois que j'ai attrapé des tiques en forêt. »

« Eh bien enlèves les, tu n'as pas besoin de moi! »

« Justement... »

« Quoi justement » répond-il.

« J'en ai sur les fesses. »

Et là Olivier ne peut s'empêcher d'éclater de rire ce qui énerve encore plus sa sœur.

« Ce n'est pas marrant » éclate alors Hortense, « je voudrais bien t'y voir avec ses sales bestioles à ton cul! »

« Tu veux dire... » se reprend Olivier devant la mine dépitée de sa sœur. « Qu'elles sont dans tes fesses? »

« Moque-toi! »

« Tu les as comptés » reprend-il s'étouffant presque de sa connerie.

« Arrête Olivier, c'est assez gênant comme ça... tu peux m'aider à les enlever s'il te plait » lui demande-t-elle avec un effort sur elle-même.

« Ok, ok, je vais t'aider, ne râle pas... mais je fais comment? »

« Tiens prends cette pince à épiler, surtout il faut absolument que tu retires la tête de ces bestioles! »

Hortense se décale alors sur la bordure pour mettre en avant ses fesses. Elle est dans une position très instable. Assise sur son coccyx, penchée en arrière avec sa main en appui sur l'autre bord de la baignoire afin de basculer son bassin, elle repose son pied droit sur la chaise et l'autre sur l'épaule de son frère lequel s'est assis entre ses cuisses. Elle est affreusement gênée de se dévoiler dans cette position et ce n'est pas sa main en conque protégeant puérilement sa vulve qui diminue sa honte. Elle essaye de se calmer en contrôlant sa respiration, cependant elle est tout de même surprise lorsque Olivier pose une paluche pour écarter ses fesses. Elle pousse une exclamation. « Eh!!! »

« Il faut bien que je voie clair » lui dit Olivier en appuyant pour décoller les deux globes. « Il y a un gros point noir près de ton petit trou, si tu bouges tout le temps je n'arriverai pas à l'enlever continue t'il. »

« Oui d'accord » lui répond-elle, ... « Mais dépêche-toi!!! »

Olivier essaye alors d'être plus doux en écartant les deux hémisphères cependant au moment précis où l'entrée du puit se dévoile il commence à avoir une érection dantesque. Ses yeux sont aimantés par cet anneau plissé qui bouge au rythme de la respiration de sa propriétaire, il n'arrive plus à se concentrer sur la tâche, il oublie complètement ce pourquoi il est là, seul compte dès à présent l'irrépressible envie de toucher cette rondelle brune.

Et c'est ce qu'il fait.

Doucement, lentement, Olivier dirige son index vers l'œil qui palpite pour délicatement se poser sur lui et le caresser.

Le réveil est difficile. Sa tête vient de cogner le meuble derrière lui.

Obnubilée par le contrôle de ses sens, Hortense ressent subrepticement une décharge électrique, une onde de plaisir la foudroie mais elle ne peut s'empêcher de sursauter au contact de ce doigt fureteur, elle se contracte et par protection son pied se détend avec pour effet de repousser son frère violemment.

Olivier n'est pas préparé à cette réaction, déséquilibré il chute lourdement en arrière.

« Qu'est-ce que tu fais...? Je rêve où tu me caresse le trou du cul Oliver?! »

« Euh... ce n'est ce que tu crois » ment il effrontément, « je touchais pour voir comment procéder avec la bestiole.... Mais qu'est ce qui t'a pris, je vais avoir une grosse bosse » lui dit-il en contre-attaquant.

« Tu te fou de moi j'espère!!! »

« Ecoute » réponds alors Oliver en totale mauvaise foi, « puisque tu le prends comme ça, débrouille toi toute seule, je retourne dans le salon. »

Et sur ces paroles il se relève et sort de la salle de bain en claquant la porte.

« Reviens Olivier.... Ne me laisse pas comme cela!! »

Sur le palier il est content de lui. Il n'arrive pas vraiment à comprendre pourquoi il agit de la sorte mais il ne peut s'empêcher de penser aux formes de sa sœur, ses gros seins ce matin, ses fesses maintenant et ce petit œillet. Il bande comme un âne.

Il sourit car sa sœur devra le supplier de revenir. Cette interruption n'est pas pour lui déplaire, elle tombe à pic car cela lui donne le temps de réfléchir à la suite.

Depuis qu'ils sont ensemble vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il découvre une autre Hortense. Jusqu'à présent il ne connaissait qu'une jeune femme protectrice, une sœur responsable toujours présente pour lui, à l'écoute de ses soucis, attentive à sa personne. Aujourd'hui il entrevoit une femme dans toute sa féminité, une femme avec sa libido ses fantasmes, une femme libérée, une frangine qui n'est pas asexuée.

Voir sa sœur en photo montrant les différentes facettes de sa personnalité, que ce soit son côté exhibitionniste, ses attitudes provocantes, ses yeux qui transpire le vice, est un choc pour Olivier. Pour lui Hortense est sa sœur un point c'est tout. Qu'elle ait une vie sexuelle ne l'a jamais effleuré alors quand il découvre la face obscure de sa frangine il tombe des nues. Fasciné au début il devient curieux et intéressé, tous ces repères sont chamboulés, cette femme le trouble et l'électrise, il n'est plus lui-même, elle a réveillé l'animal qui sommeillait, sa frangine fait naitre en lui la convoitise.

Evidemment le point d'orgue est le massage avec la baignade ou il s'est vraiment rendu compte combien sa sœur pouvait être d'une impudeur totale, une adorable salope avec une plastique à damner un saint... Et Olivier n'en est pas un.

Hortense aime le sexe tout simplement pense t'il.

Le plus dur reste à venir. Olivier à conscience de marcher sur des braises. S'il a déjà franchi mentalement la barrière de l'inceste il n'en est pas de même pour sa sœur. Il est pratiquement sûr qu'elle y pense, sans se l'avouer ce tabou doit l'exciter, mais de là à franchir le cap il y a un fossé. Il doit le combler. Il la désire tellement qu'il est inconcevable d'échouer.

Il s'est passé une demie heure depuis la réaction incontrôlée d'Hortense. Elle est dans sa chambre à cogiter, assise sur son lit elle est partagée entre la rage de savoir cette bestiole encore dans ses fesses et le trouble qui grandit depuis une semaine.

Avec Oliv elle se sent en sécurité, elle a l'impression de revivre. Elle retrouve le rire, la joie des plaisirs simples, l'incomparable bien être de le savoir présent à ses coté. Prévenant, rassurant il est aussi un complice de tous les moments, joueur, canaille il n'a pas son pareil pour la rendre folle, il prend tellement de place que le soir, seule dans sa chambre elle a du mal à s'endormir, elle s'ennuie, elle pense déjà au lendemain, tous les deux assis dans la cuisine prenant le petit déjeuner, lui avec sa figure d'ange réfléchissant à ce qu'il pourrait faire pour la rendre chèvre, elle en attente de sa dernière trouvaille.

Ses sens sont en révolution, elle ne sait pas comment gérer cette nouvelle situation.

Il est 21heure quand Olivier frappe à la porte de sa sœur.

« Ok Hortense, je vais regarder pour te l'enlever. »

« Oh merci olivier, rentre. »

Son frère ouvre alors la porte et voit sa sœur au bord du lit en train d'ajuster son kimono. Avec le shorty qu'il aperçoit quand elle se lève il la trouve ravissante, cependant Olivier se défend de le lui dire, il marque son indifférence et la presse.