Confidences Téléphoniques

BÊTA PUBLIQUE

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« Contrairement à toi, bébé, Serge peut durer longtemps en moi ! Non, ne te vexe pas, je te taquine, chéri ! Mais c'est tellement bon, quand il me martèle avec sa grosse queue, mon chéri ! Je réalise à peine la chance que j'ai d'avoir rencontré ce monsieur, et de tous les plaisirs qu'il me fait découvrir ! J'ai joui peu de temps après qu'il ait commencé à me baiser sur la table basse, mais il ne s'est pas arrêté ! Il a continué, insensible à mes prières, il m'a rendue folle, j'ai cru mourir de plaisir ! Après qu'il ait éjaculé, nous nous sommes allongés sur le tapis, et nous nous sommes câlinés. Il est doué pour ça aussi ! »

« Nous étions étendus, essoufflés et en sueur, alors j'ai suggéré que nous prenions un bain. Serge a aimé cette idée ! Pendant que nous nous lavions mutuellement, il m'a posé beaucoup de questions sur toi. Je pense qu'il est vraiment étonné par le fait que tu aimes me savoir dans les bras d'un autre homme. Je lui ai dit plusieurs fois de ne pas s'en inquiéter, que tu es heureux comme ça, et rien ne pourrais te rendre plus heureux que d'assister à nos ébats. Il était abasourdi et ne parvenait pas à me croire, mais il était vraiment soulagé ! Il est d'accord pour faire le sexe devant toi, sans aucune condition. »

« Après le bain, nous sommes allés dans la chambre, dans notre lit conjugal, et nous avons refait l'amour ! Plus calmement, plus tendrement, plus passionnément. Il s'est allongé sur le dos, sur notre lit, et j'ai rampé entre ses jambes pour lui lécher la bite et lui sucer les couilles. Ouais, je sais, j'ai toujours refusé de te le faire en prétendant que je n'aimais pas ça, hé ben j'avais tort ! Mais je n'ai pas eu besoin de beaucoup d'efforts pour le faire bander ! Il m'a demandé si tu avais un préservatif qu'il pourrait t'emprunter, je lui en ai donné un, ça ne te dérange pas? Ce n'est pas comme si tu voulais l'utiliser ! Tu veux le récupérer maintenant qu'il a fini avec ça? Je parie que tu es assez radin pour le faire ! »

« Je suis crevée, bébé, j'ai passé ma nuit et ma journée à baiser, je suis morte ! Je vais sauter les derniers détails, sache seulement qu'il est parti juste avant que les enfants ne rentrent de l'école, et que nous avons passé notre journée à faire des galipettes. Tu avais raison de dire qu'avec quelqu'un d'autre, tout serait différent. C'est tellement de nouvelles sensations ! Je l'aime! Peut-être qu'on te laissera nous regarder de temps en temps! Serge ne sera pas en ville ce week-end. Il doit revenir mercredi prochain. C'est dommage, tu ne seras pas là. »

Le week-end s'est passé sans incident notable. Je n'ai pas pu avoir ma femme au téléphone le mardi soir. Elle m'a appelé très tôt le mercredi matin.

« Je n'ai pas beaucoup de temps pour te raconter, Serge vient de partir, et les enfants vont se lever pour aller à l'école dans quelques minutes. Serge est rentré en avance ! Il a écourté son voyage d'affaires, et m'a dit que je lui manquais, n'est-il pas adorable, chéri? Il m'a fait livrer des fleurs ! J'ai dit aux enfants que c'était mon amant qui me les offrait, ce qui est vrai ! Donc, s'ils sont te demandent, fais comme si ça venait de toi, d'accord? Quoi qu'il en soit, hier soir, vers 23h30, mon téléphone sonne. C'était Serge, dans sa voiture garée sur la placette au bout de la rue. Il me voulait. Comme les enfants dormaient déjà, j'ai dit d'accord, mais sois discret. J'ai rapidement ôté mon pyjama si douillet en pilou, et j'ai revêtu un déshabillé vaporeux du bel effet. »

« Je me suis précipitée à la porte d'entrée pour la garder entrebâillée. Tu ne vas pas me croire mais, en l'attendant, je mouillais déjà ! Il s'est jeté sur moi pour me dévorer la bouche, je l'ai entraîné dans notre chambre, et j'ai verrouillé la porte au cas où. Tu te rappelles la fois où notre fille avait surgi à l'improviste?

On s'est câlinés en se déshabillant mutuellement, pour moi c'était vite fait, et j'ai sucé un peu sa bite pendant qu'il finissait de se dénuder. Comme d'habitude, Serge est venu travailler avec sa bouche sur ma chatte. Il est si bon dans ce domaine. J'ai installé l'un des oreillers sous mes reins, j'ai posé mes jambes sur ses épaules, j'ai fermé les yeux et j'ai apprécié d'être dorlotée. »

« Serge était vraiment déchaîné et performant. Je me préparais à crier mon orgasme, mais je me suis souvenue que les enfants dormaient à la maison. J'ai placé l'oreiller supplémentaire sur mon visage pour étouffer mes cris et mes gémissements. Il m'a fait venir avec sa bouche et avec ses doigts, bébé, et ça m'a fait vraiment du bien. Il est vraiment doué pour ça. Après, nous avons défait le lit, et nous nous sommes couchés sous les couvertures. Serge m'a câlinée, embrassée, pelotée. Il sait être patient, lui ! Et pendant tout ce temps, il n'arrêtait pas de répéter combien j'étais jolie et désirable. Quel bonheur ! »

« Serge a fouillé dans la table de chevet pour trouver un préservatif. Je l'ai enfilé sur sa bite avec ma bouche. J'adore faire ça pour lui. Puis je l'ai enfourché. Couché sur lui, sous les couvertures, avec sa bite en moi, je bougeais à peine les hanches. C'était doux et agréable, juste comme je l'aime. Nous sommes restés longtemps comme ça, en bougeant à peine, et en nous embrassant langoureusement. Maintenant, je sais que je suis éprise de lui. Nous nous sommes endormis dans cette position, moi sur sa poitrine, et sa bite dans ma chatte. Il n'a même pas débandé ! »

« Vers 2h30 du matin, Serge est allé dans la salle de bain pour enlever le préservatif. J'en ai profité pour régler l'alarme à 5 h du matin, ça aurait eut l'air bizarre de voir Serge sortir de la chambre avec les enfants réveillés ! Serge est revenu dans le lit, et il a recommencé à me baiser. Vraiment, cet arrangement me comble, et je suis la plus heureuse des femmes. J'ai un mari qui m'aime, et un amant qui me contente sexuellement! Qu'est-ce qu'une femme pourrait désirer de plus? J'aurais dû t'écouter plus tôt, quand je pense à toutes ces années perdues ! »

Le vendredi matin, je suis rentré tôt de ma tournée hebdomadaire. Je sais que ma femme n'a pas revu Serge depuis la nuit de mardi à mercredi. Apparemment, son amant n'est pas aussi disponible qu'elle le souhaite. Mais je dois me dépêcher, car ils ont prévu de déjeuner au restaurant ce midi, et j'aimerais profiter un peu de ma charmante épouse. En fait, je suis arrivé au mauvais moment. Le frigo est vide, et elle m'a donné une liste de courses à faire ce matin, car cet après-midi je dois m'occuper des enfants. Tout ce que j'ai pu voir de ma femme, c'est la robe pied-de-poule qu'elle s'est offerte pour sortir avec son amant. Une robe trop courte en bas et trop décolletée en haut. Je n'ai eu le compte-rendu de sa journée que tard dans la nuit, parce qu'elle n'est pas rentrée à la maison ce soir-là.

« Salut bébé! Je suis tellement contente que tu sois à la maison ! Je préfère te téléphoner pour te raconter mes aventures. C'est tellement difficile de parler de tout ça devant les enfants à la maison. Tu as été si gentil aujourd'hui, et si prévenant, avec tout ce que tu as fait pour moi. Je suis surprise de ton évolution. Avant, tu étais si négligent, si sûr de toi. J'étais ta bonniche. Mais depuis que j'ai pris un amant, tu es devenu si charmant ! Tu as vu la magnifique robe pied-de-poule que je portais pour aller déjeuner avec Serge. Ce que tu n'as pas vu, c'est ce que je portais en dessous ! »

« En fait, je devrais dire ce que je ne portais pas en dessous, parce que je ne portais rien d'autre qu'une chaînette dorée à la taille ! Tu m'embêtes toujours en me disant que je suis trop guindée, pas assez coquine. Je voulais être une douceur offerte au dessert de mon amant. Quand je suis arrivée au restaurant, Serge m'attendait. Il m'avait commandé un cocktail, tu vois comme il est adorable avec moi, chéri? Mais il est tout aussi dévoué pour m'ouvrir les portes et me laisser entrer la première, se relever de sa chaise quand je reviens à table, m'aider à enfiler mon manteau, etc... Il est chevaleresque, romantique, aristocrate et merveilleux ! Toutes ces choses que j'aurais aimé que tu fasses pour moi, et auxquelles j'ai renoncé. »

« Nous avons très bien déjeuné. L'ambiance était détendue. Serge avait pris son après-midi, alors nous avions tout notre temps. Nous avons discuté de beaucoup de choses. Il m'a demandé comment tu gères cet arrangement. Je lui ai dit que tu adores l'idée d'être marié à une séductrice ! J'ai évoqué le fait que tu souhaites assister à nos ébats, même si tu as bien fait de ne pas insister à ce sujet. Il a dit d'accord, mais pas de façon régulière, comme une récompense à une bonne action de ta part. Est-ce que ça te va, chéri? »

« Après le déjeuner, nous sommes allés chez Serge. Nous sommes allés tout droit dans la chambre, et nous sommes passés directement à la partie plaisir de la chair de notre rendez-vous ! Cette fois, Serge voulait me prendre en levrette, et tu sais comme j'adore cette position. Il va si profond en moi, c'est magique !

Avant de commencer à baiser, j'ai enfilé un préservatif sur sa bite, avec ma bouche. C'est devenu comme un petit rituel entre nous. Je déroule le caoutchouc avec mes lèvres, ensuite je dépose un petit baiser au bout de sa queue ! Au fait, nous n'avons plus de préservatifs. Quand tu iras en courses, prends-en quelques boîtes, Serge en consomme beaucoup. »

« Serge aimerait que tu varies un peu les couleurs et les textures, c'est important pour le fun. Tu y penses, bébé? Donc, on était agenouillés sur le lit, lui derrière moi bien sûr, et il entrait et sortait de moi comme lui seul sait le faire. J'ai commencé à gémir et à supplier. Je sais que les pétasses font ça pour exciter le mâle qui les baise, mais moi j'ai tant de plaisir que je ne peux pas rester discrète. Maintenant, quand je jouis, je hurle à tue-tête, et je plonge mon visage dans un oreiller que je mords. As-tu une idée du temps que cela dure? Serge, c'est un véritable étalon. Une bête de sexe. Non seulement il a un gros sexe, mais il s'en sert merveilleusement bien, et pendant très longtemps. Vraiment, c'est un bonheur ! »

Le dimanche, nous avons dit à mes parents que nous allions à une fête et nous leur avons laissé les enfants. En réalité, nous sommes allés déjeuner avec Serge, dans un bon restaurant. Nous nous sommes assis face-à-face, ma femme et moi, et lorsque Serge est arrivé, il s'est penché sur ma femme pour l'embrasser à pleine bouche, avant de me saluer poliment. C'est la première fois que je rencontre ce type, et il a tenu à marquer son territoire, à affirmer son titre de propriété. Ma femme s'amusait beaucoup de la situation surtout que, à peine assis, la main de Serge a disparut entre les cuisses de ma femme.

Le dîner s'est plutôt bien passé, ma femme et Serge m'ont ignoré, discutant entre eux, mais cela ne me dérange pas. Ce qui m'ennuyait un peu, c'est qu'ils avaient chacun une main entre les cuisses de l'autre, et qu'ils se palpaient sans vergogne. On ne se comporte pas comme des animaux dans un lieu public. Après, nous sommes allés chez Serge. Je les ai suivis avec ma voiture. Ils sont arrivés avant moi parce que j'ai dû chercher une place de parking. J'ai dû sonner pour que Serge vienne m'ouvrir, et il m'a fait poireauter un moment. Ma femme m'a fait asseoir sur une chaise, dans un coin de la chambre, avec l'ordre de ne pas bouger, pas un mot, tel une statue. Les volets fermés, il y a juste une veilleuse de chaque côté du lit, mes yeux ont mis un moment avant de s'habituer à la pénombre.

Ma femme a disparu dans la salle de bain pendant que Serge vaquait à ses occupations. Ma femme est réapparue, vêtue seulement d'un déshabillé vaporeux et d'un porte-jarretelles pour tenir ses bas. Serge est entré en portant les deux cocktails qu'il venait de préparer. J'ai dû faire une drôle de tête en voyant qu'il n'y avait rien pour moi, parce que cela a fait sourire ma femme. Après avoir goûté une gorgée du breuvage, ils ont posé leurs verres sur la table de chevet pour s'embrasser et se caresser. Je pouvais prédire que le spectacle allait être bon, car Serge progressait très lentement. Ma femme a dégrafé son pantalon pour sortir sa bite. Serge s'est allongé sur le lit, sur le dos, et ma femme s'est penchée sur lui pour lui sucer la bite. Moi, j'étais déjà bien dur.

Ensuite, c'est ma femme qui s'est allongée sur le dos, et Serge qui s'est penché sur elle. Serge l'embrassait dans le cou, sous les oreilles. Sa bouche est descendue très lentement pour sucer, mordiller et lécher ses mamelons. Ma femme ronronnait et gémissait doucement, Serge m'a paru doué pour ça. Il lui a enlevé son déshabillé, lui laissant ses chaussures, ses bas et son porte-jarretelles. Puis il lui relevé les jambes et a plongé son visage entre ses cuisses ouvertes. J'ai pu suivre sur le visage de ma femme la montée du plaisir, jusqu'à l'extase finale. Elle semblait tellement heureuse. Même si elle était un peu trop démonstrative à mon goût.

Serge s'est finalement allongé sur elle, entre ses jambes relevées très haut. Alors qu'il la pénétrait, il a levé les yeux vers moi, pour me dire : « Vieux, j'adore baiser ta femme ! Elle est si enthousiaste ! » Et puis il l'a baisée durement, profondément, pendant très longtemps. J'ai cru que ma femme allait défaillir, tellement elle gueulait. Je ne l'avais jamais entendue crier, elle si discrète d'habitude. Le spectacle était beaucoup plus excitant que tous les pornos que j'ai pu voir jusqu'à présent. Quand il a terminé, il s'est retiré, et c'est à ce moment-là que j'ai réalisé qu'il n'avait pas utilisé de préservatif. Il s'est allongé sur le dos, à côté de ma femme, essoufflé et en sueur.

Ma femme est restée les pattes en l'air, largement écartées, et je pouvais voir le sperme s'écouler hors de sa chatte saccagée. Souriante, elle m'a regardé et m'a dit : « Chéri, sois gentil, tu veux bien me nettoyer? »

J'ai bondi pour venir la lécher. Ma femme a noué ses jambes derrière ma tête pour presser fort mon visage contre sa chatte suintante. Je l'ai léchée longtemps, profondément, ne laissant aucune trace visible du passage de son amant. Quand j'ai fini, elle m'a repoussé avec son pied, j'avais du sperme tout autour de la bouche. J'ai regardé Serge, mais en voyant sa grimace de dégoût, je n'ai pas osé lui sucer la queue. Serge a repris sa place entre les jambes de ma femme, et elle m'a chassé, me demandant de m'occuper des enfants en leur expliquant qu'elle rentrera plus tard.

Ensuite, rien de notable jusqu'au mercredi soir. Ma femme m'a téléphoné en soirée pour me dire qu'elle avait rencontré le patron de Serge au restaurant, ce midi. Serge l'a emmenée déjeuner dans un restaurant tout proche de son bureau, dans l'espoir que ma femme rencontre son patron. Serge l'avait prévenue, son patron est un chaud lapin, et c'est important pour Serge que ma femme fasse bonne figure, même si son patron est parfois un peu lourd. Le patron les a rejoints au moment du café pour discuter en prenant un digestif. Ma femme raconte :

« Son patron est bel homme, il me rappelle un peu ton oncle, la soixantaine grisonnante. Un vieux beau. Il a dit que j'étais adorable, une véritable séductrice, et qu'il aimerait faire des galipettes avec moi ! N'est-ce pas flatteur? Serge m'a regardé, je lui ai fait un clin d'œil pour lui montrer que j'étais d'accord, et il a dit à son patron : « Pourquoi pas? » Serge m'a dit que cela pourrait l'aider à obtenir une promotion. Son patron s'appelle Jeffrey, et il est marié. Mais moi aussi ! Peut-être que Serge et moi seront invités par Jeff et sa femme. Serge a dit qu'ils avaient un bateau, et qu'ils emmenaient parfois d'autres couples. Ce serait amusant ! Je n'ai jamais fait de galipettes sur un bateau ! »

Samedi matin, Serge est venu tôt chercher ma femme. Ils sont invités à faire une sortie en bateau avec le patron de Serge. Il y a le patron (Jeff), sa femme Elisabeth (Lisa), Serge et ma femme. Je dormais encore quand Serge est arrivé, alors je suis descendu faire le café quand j'ai entendu sa voix. Dans la cuisine, j'ai trouvé ma femme à califourchon sur les genoux de Serge. Elle avait mis la cafetière en marche, et elle embrassait son amant à pleine bouche en se frottant contre lui. Rapidement, je me suis aperçu qu'elle avait tiré sa culotte de bikini sur le côté, et qu'elle chevauchait sa bite ! J'ai eu beaucoup de difficultés à rester impassible, mais ma bite s'est dressée dans mon pyjama. Serge l'a vu et ça l'a fait rire. Ma femme a commenté :

« Serge a tiré l'entrejambe de mon maillot de bain sur le côté et je suis assise sur sa grosse bite ! Il est bien au chaud dans ma chatte, chérie, quelle belle façon de commencer la journée ! »

Quand ils sont arrivés au bateau, Jeff et Lisa les attendaient assis sur le pont. Même si Jeff est beaucoup plus âgé que Lisa, ils forment un très beau couple. Lisa est de la même génération que ma femme, et elle est très mignonne. Et, ce qui ne gâte rien, leur yacht est magnifique ! La suite, c'est ma femme qui raconte :

« Jeff m'a défiée sans attendre : "Alors, Vanessa, Serge m'a dit que tu étais prête à te sacrifier pour l'aider à obtenir sa promotion." J'ai jeté un coup d'œil à Serge, puis à Lisa, en me demandant comment ils avaient discuté de cela tous les trois. Serge aurait pu me prévenir. Je lui en voulais un peu. Lisa avait un sourire narquois, et un regard de défi sur son visage. J'ai simplement hoché la tête pour signifier mon accord à Jeff. Sans plus de cérémonie, il m'a entraînée dans sa cabine. Jeff est très dominateur en privé, il donne ses ordres, et il faut que sa partenaire s'exécute. J'ai découvert que j'aime ça, bébé. Vraiment, je préfère que l'homme se comporte en mâle dominant. Il agit comme un macho en me demandant de lui sucer la bite. Il s'assoit dans son fauteuil en ôtant son slip de bain, et me montre sa bite. J'obtempère en m'agenouillant entre ses jambes écartées. »

« Il n'a aucune marque de bronzage et sa bite est très belle. Difficile de dire si elle est plus grosse que celle de Serge, peut-être un peu plus épaisse, mais pas plus longue. Je le suce en m'appliquant, je le lèche tout le long de son manche, je gobe ses bourses épilées, je lèche son scrotum, et je remonte tout le long de sa tige pour gober son gland. Les yeux fermés, il gémit doucement. Je m'améliore et je deviens bonne à ce petit jeu. Dommage que tu n'en profites pas ! Je le suce jusqu'à ce qu'il me demande d'arrêter. Il me demande d'ôter mon bikini et de me tourner, à quatre pattes sur le sol. Je peux entendre Lisa et Serge sur le pont, donc je sais qu'ils peuvent m'entendre aussi, et j'ai peur de devenir bruyante s'il me prend en levrette. »

« Agenouillée à quatre pattes sur le sol, je fais face à l'écoutille qui mène au pont principal. Jeff se tient à côté de moi, et badigeonne sa bite avec de la lotion. Je deviens torride, bébé, et j'ai hâte qu'il me pénètre ! Il s'est positionné derrière moi et il m'a prise sans ménagement. Je m'en fiche, j'en ai tellement envie ! Je suis comme une salope en chaleur, prête à être saillie par un étalon puissant. Il me martèle avec une telle violence que mes seins se balancent et dansent une gigue effrénée. Ma respiration se creuse et s'accélère. A ce moment-là, je deviens très bruyante. Mes cris alertent Serge et Lisa, et je vois leurs visages se profiler dans l'écoutille. Jeff interpelle Serge en lui disant que je suis prête à tout pour obtenir sa promotion. »

« Serge et Lisa descendent nous rejoindre, et s'installent sur le canapé pour profiter du spectacle. Je me suis sentie un peu troublée, tu sais, chéri. C'est un moment tellement personnel quand un inconnu te fais grimper au ciel. J'ai croisé le regard de Serge et de Lisa. Jeff s'acharne, de plus en plus violent. Je suis de plus en plus bruyante. Je crie, je supplie, et je gémis. Je me fiche qu'on me juge. Putain, que c'est bon d'être baisée comme une salope ! Je baisse la tête pour que mon amant ne voie pas mon masque de plaisir. Mais Jeff attrape mes cheveux et me force à lever la tête. « Regarde ton mec, salope, il veut voir ta gueule quand tu jouis. » Et il n'arrête pas de me baiser de plus en plus fort. J'ai jouis, bébé ! Tellement fort ! Je n'ai pas pu garder les yeux ouverts, mais quand je les ai rouverts, j'ai vu Lisa branler Serge. »