Confession

Je ne peux plus sucer les bites de TJ et Gary. Je m'accroche à leurs bites comme à des poignées de secours lorsque mon orgasme en construction allume un incendie en moi. Tout ce que je suis, ma personnalité, ma vaillance, ma vertu, tout cela s'est évaporé. Je ne suis plus qu'un ventre, une femelle en chaleur baisée par une bite gigantesque. J'accepte ma soumission, clouée sur le lit de cette chambre d'hôtel. Je me fais baiser par un jeune noir équipé d'un sexe surdimensionné, et je m'abandonne à sa puissante virilité. Mon rythme cardiaque augmente, ma respiration pantèle, et je me mords les lèvres. Je serre les bites des mecs comme si je voulais les arracher.

Mon corps commence à trembler, mes orteils se recourbent, mes jambes s'agitent, je perds progressivement tout contrôle en m'approchant du bord de la falaise. Et puis je jouis! Comme jamais auparavant, l'orgasme déchire mon corps, chaque muscle est indépendant, se tendant et se relâchant, mon cri rauque éclate. Ma chatte se contracte, essaye de saisir la bite de Djibril, de la retenir, l'inondant de mon jus, refusant que cesse ce tourbillon de sensations. Finalement, je me calme, les yeux fermés. Mon souffle s'apaise, malgré la rémanence qui picote ma chatte. J'ouvre les yeux, je regarde Djibril, penché sur moi, souriant.

« Tu vois, c'est ça un véritable orgasme ! »

Il s'éloigne, sa queue couverte de mon jus, pleine de mousse blanchâtre. J'ignorais que je pouvais produire une telle quantité de mouille. Il s'éloigne, et il me manque déjà. Je ressens un grand vide en moi. Il s'assoit à la tête du lit, et je rampe jusqu'à lui. A quatre pattes entre ses jambes, je le suce pour le nettoyer de mes jus. Gary vient s'agenouiller derrière moi. Il pose une main sur mes reins tandis qu'il guide sa grosse bite en moi. Il plonge son mandrin en moi durement, me saisit par les hanches, et me baise résolument. Mes gros seins dansent à chaque poussée, et la bite de Djibril force loin dans ma gorge.

J'utilisé ma main libre pour manipuler la bite de TJ, tandis que je suce la bite de Djibril, et que Gary me baise. TJ est le seul maintenant à me filmer avec son téléphone. Je me sens si bien, si vivante, avoir pour moi seule ces trois étalons, et pouvoir profiter d'être bien baisée. Gary accélère, il me baise durement, heurtant de plus en plus fort le fond de ma matrice. Ses mouvements deviennent de plus en plus saccadés, et je comprends qu'il va jouir. Soudain, son sperme jaillit en jets abondants dans mon vagin qui est déjà plein du sperme de Djibril. Je déborde, et il inonde mes fesses.

Il se retire, gifle sa bite contre mes fesses, secouant les dernières gouttes de sperme, et frotte son foutre dans la raie de mes fesses. TJ descend du lit, m'attrape et me retourne sur le dos, face à lui. Il écarte mes jambes et guide sa queue dans ma chatte. Il se glisse facilement dans ma chatte accueillante. C'est sa troisième bite ce soir, ma chatte s'est adaptée. Il joue avec mes seins pendant qu'il me baise. TJ à la passion des seins. Djibril rampe sur le lit pour s'installer juste à côté de moi, et il caresse ma joue avec sa queue. J'ai tourné la tête pour le prendre en bouche, et je le suce fort pendant que TJ me baise, sa grosse bite noire glisse sans effort dans ma chatte humide, en frottant contre mes parois sensibles. Ses mains pelotent mes seins comme de la pâte à modeler.

Un orgasme se prépare de nouveau en moi, de petites vocalises féminines s'échappent de mes lèvres. Les yeux fermés, proche de l'extase, avec ma bouche et ma chatte pleines de bites sombres, mes mamelons pincés et tordus par TJ qui accélère le rythme. Rapidement j'exulte, mon orgasme se propage en moi comme une traînée de poudre, et je convulse de bonheur. Mes cris de plaisir sont étouffés par la bite de Djibril dans ma bouche, et j'enroule mes jambes autour de TJ, pour tenter de calmer ce taureau fougueux. Il se retire, un flot de sperme s'écoule de ma chatte écartelée, j'en mets partout, impossible d'endiguer le flux avec ma main, j'abandonne les garçons et je cours aux toilettes. TJ m'a suivie, il s'approche de moi, je prends sa bite en bouche, et je le suce pour goûter nos jus mélangés.

« Putain Tamara, tu es tellement fabuleuse. A première vue, on pense avoir affaire à une petite femme pudique, mais quand on gratte le vernis, on découvre une femelle lubrique qui baise mieux qu'une vedette du porno ! »

Djibril m'accueille par ces mots flatteurs lorsque je viens le rejoindre sur le lit. Je m'allonge près de lui et il me remet sa bite en bouche. Je suce et je branle son sceptre glorieux, et il me prévient qu'il veut éjaculer dans ma bouche. Je grogne mon consentement, et je suce avec encore plus d'avidité sa lourde bite qui étire mes lèvres. Ma salive ruisselle sur sa bite glissante, ma main palpe ses couilles glabres, pendant que TJ, revenu près de moi, malaxe avidement mes seins siliconés. Gary, quand à lui, a glissé sa main entre mes cuisses, et me doigte la chatte. Djibril respire fort, il laisse échapper quelques grognements d'encouragement, puis il saisit ma tignasse pour me maintenir en place pendant qu'il baise ma bouche.

Je sens ses couilles se crisper légèrement, un gémissement guttural s'échappe de sa gorge, un premier jet âcre et crémeux inonde ma gorge, je me dépêche de déglutir car bientôt c'est une cascade de sperme qui coule dans ma bouche. Djibril me maintient fermement, sa bite poussée dans ma bouche, et j'avale tout ce que peux, mais je suis loin de pouvoir tout prendre. Il se retire et me badigeonne le visage de sperme en riant. Il va s'asseoir à la tête du lit, respirant lourdement, et je me libère des deux autres, en m'excusant :

« Waouh, les gars, vous êtes incroyables. Jamais je n'aurais pu imaginer vivre un pareil bonheur. Autant de plaisirs, autant d'orgasmes, et de véritables orgasmes, c'est fabuleux. Je vous remercie tous d'avoir été aussi gentils avec moi, et j'espère que vous resterez discrets avec vos vidéos et vos photos. Je suis une femme mariée, et je ne peux pas me permettre un scandale. Bien entendu, je resterai votre complice et vous aurez un libre accès à mon corps aussi souvent que je le pourrai. Maintenant, je dois prendre une douche, parce que je suis un désordre collant »

Je me suis dirigée vers la salle de bains, remuant mes fesses de manière ludique, pour leur laisser le regret de mon absence. Douchée et séchée, je suis ressortie de la salle de bains, et j'ai eu la surprise de trouver Djibril allongé sur le lit, les mains derrière la tête. Il m'a simplement expliqué qu'il ne pouvait pas se résoudre à m'abandonner parce que je suis trop "bonne". Je suis montée à quatre pattes sur le lit et je me suis allongée près de lui.

« Je suis tellement fatiguée. Ça te dérange si nous faisons seulement un petit câlin? » J'ai demandé.

« Ça ira, pour l'instant ! » Il m'a fait un clin d'œil.

Je me suis blottie contre lui, dans sa chaleur, et je me suis vite endormie, crevée et comblée. C'est le soleil qui m'a réveillée. Il est déjà haut dans le ciel. J'ai mis un moment à réaliser les évènements de la nuit. J'aurais pu croire que c'était un rêve, si je n'avais pas Djibril allongé à côté de moi. Je le regarde dormir. Il est beau et j'en suis amoureuse. Son sceptre glorieux est étendu paresseusement sur sa cuisse, machine de guerre au repos. Je souris lorsqu'une pensée salace traverse mon esprit. Je me penche et je caresse doucement sa queue, juste du bout des ongles. Elle répond immédiatement, frémissante et spontanée. Lentement mais sûrement, elle grossit et s'érige, splendeur de la nature.

Ma main libre glissée entre mes jambes, mes doigts trouvent ma chatte et mon clitoris pour jouer avec, mon humidité commence à sourdre. Djibril dort encore, je m'agenouille à côté de lui. J'ai pris sa queue dans ma main et je me penche pour le sucer un peu. Juste pour le faire durcir un peu plus et l'humidifier. Puis je l'enjambe et je le guide en moi, sa queue bien au chaud dans ma chatte insatiable. Lentement, centimètre par centimètre sa queue me pénètre, et il s'éveille en se frottant les yeux.

J'ai noué rapidement mes longs cheveux blonds pour qu'ils ne tombent pas en cascade sur mon amant. Sa grosse bite noire emplit déjà ma chatte, et il n'est pas encore complètement bandé. C'est une sensation vraiment incroyable lorsque je m'assois dessus. Je peux sentir ma chatte frémir de plaisir lorsqu'il grandit et grossit en moi. Je me mords la lèvre lorsque sa queue touche les endroits sensibles de mon vagin. Je lutte pour résister à l'orgasme qui grandit en moi, jusqu'à ce que je ne puisse plus me retenir. Je jouis fort sur sa queue, frottant mon pubis contre le sien, ma chatte serrant son monstre palpitant. Finalement, je m'allonge sur Djibril, et je lui tends mes lèvres.

Ses mains sont partout sur moi, de mes hanches jusqu'à mes cuisses en passant par mes fesses, puis remontent jusqu'à mes seins, serrant mes chairs délicates comme s'il voulait en faire l'inventaire. Je continue de le monter, et mes hanches oscillent paresseusement sur sa queue dressée. Je tiens sa tête à deux mains et ma bouche dévore la sienne. Il se laisse faire, seules ses mains s'agitent, l'une me tripote le sein, l'autre cherche le chemin entre mes fesses. Sa grosse bite noire continue de s'ériger en moi, son souffle s'accélère, je sais qu'il va bientôt jouir, alors j'accélère la houle de mes hanches. Petits gémissements de plaisir, l'attente qu'il éjacule en moi devient presque insupportable.

Je chuchote à son oreille des mots d'amour, il agrippe mes hanches, et soulève ses fesses pour me baiser plus durement. Je suis sa femme, je lui appartiens, et il peut faire tout ce qu'il veut de moi. Il prend un rythme infernal, nos chairs claquent, ma chatte serre sa bite, il me rend folle et soudain, il se libère en moi. Son orgasme déclenche le mien, et nous exultons ensemble, réunis dans la même extase. Effondrée sur lui, je reste là en reprenant mon souffle, le corps rougit et le cœur tapant. Sa queue est toujours en moi, mais elle commence à se rétracter, alors je bascule sur le côté, et un flot de sperme s'échappe de ma chatte infidèle. Mais la réalité nous a rattrapés.

« Je suppose que je ferais mieux de m'habiller et de rentrer chez mon mari »

Nous avons pris notre douche ensemble, en nous frictionnant mutuellement, et en riant beaucoup. Puis nous nous sommes préparés, et nous avons échangés nos numéros en nous promettant que ce n'est pas fini, parce que ça vient juste de commencer.

Le trajet en voiture m'a permis de me ressaisir. La voiture de mon mari est dans l'allée. J'ai pris une profonde inspiration, j'ai ouvert la porte d'entrée, et je suis entrée.

Il est assis à la table de la salle à manger, son café à la main, et un air maussade sur le visage.

Il m'a regardée, je l'ai regardé, et il a baissé les yeux sur son café, l'air penaud.

Parfois, ce ne sont pas les gens qui changent, mais juste les masques qui tombent.