Chère Marquise Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Sophie éprouva la souplesse de la cravache, cinglant l'air de petits coups vifs, puis, avec un plaisir sadique, parcourut la chair tendre du serviteur du bout de son instrument, s'attardant entre ses fesses, sur l'intérieur de ses cuisses, titillant au passage son sac, sa tige. Hugo s'était installé à côté du garçon, et aux mouvements de son bras, chacun pouvait deviner qu'il s'employait activement à détourner son attention par des caresses précises et délicates. Soudain, le bras de Sophie s'éleva et la cravache cingla sur les fesses offertes. Une marque rouge apparut aussitôt, bientôt suivie d'une autre, puis encore une autre. Le puni avait la queue d'Hugo dans sa bouche, étouffant ses cris. Penché vers lui, il se laissait sucer tout en murmurant des paroles douces à l'oreille du pauvre garçon qui, les fesses serrées, subissait sa punition. Sophie, les joues rouges et le souffle court, s'employait à bien marquer son cul ferme, zébrant de stries entrecroisées sa chair offerte. Arrivée à 9 coups, elle s'arrêta, admirant son œuvre. Le garçon gémissait doucement, et personne ne pouvait dire, tant il bandait dur, si c'était de plaisir ou de douleur.

Un sourire flottait sur les lèvres de Sophie alors qu'elle attendait de lâcher son dernier coup. La main d'Hugo s'activait sur le sexe du serviteur, tandis que celui-ci le pompait sans discontinuer. Elle guettait les moindres crispations de son visage, cherchant visiblement à faire coïncider la fin de la punition avec leur délivrance. Ouvrant les yeux, Hugo compris où elle voulait en venir et s'activa de plus belle, tout en forçant le garçon à l'enfourner encore d'avantage. Lorsqu'il le sentit à deux doigts de tout lâcher, lorsqu'il sentit sa queue se durcir entre les lèvres de son admirateur, il cria; "Vas-y" à Sophie. Celle-ci frappa les fesses de puni d'un coup de cravache magistral. Ce fut comme si elle avait pressé la détente d'un fusil chargé jusqu'à la gueule. A peine la lanière de cuir frappa-t-elle ses fesses rebondies qu'il déchargea, inondant la main d'Hugo d'un flot de liqueur brûlante. Enflammé par cette brûlure délicieuse, il poussa la tête du garçon sur sa tige, et dans un cri rauque, jouit dans sa bouche, libérant les bondes de son plaisir qui envahit la gorge de son suceur, débordant sur son visage, son torse, en longues traînées blanches qui répondaient aux traînées rouges de ses fesses.

Laissant les deux garçons reprendre leurs esprits, tandis que Hugo embrassait passionnement le visage du serviteur couvert de sa jouissance, Sophie fit face aux autres convives. D'une voix mal assurée par l'intesité de ce qu'elle venait de vivre, elle s'adressa à la Marquise:

- "Chère Marquise, douce amie, le Chevalier m'a invitée ce soir, outre l'amitié qui nous unit lui et moi, pour que je sois votre surprise. Avec sa permission, et après ce spectacle qui je l'espère vous plût, je veux vous en offrir un autre qui sera, car tel est notre souhait, de votre goût...."

Le Chevalier à ces mots regarda la Marquise avec intensité, quêtant son approbation. Celle-ci, badine, posa sa main délicate sur la queue dure du Chevalier et l'encouragea:

- "Cher Chevalier, je te connais trop bien pour préjuger de tes surprises, qui ne sauraient me décevoir. Allez, Sophie, montrez-moi tout!!"

Encouragée par la Marquise et le Chevalier, Sophie glissa ses doigts dans l'élastique de sa culotte, et, face à son public, fit lentement glisser l'etoffe sur son ventre. A mi-hauteur, un obsatcle innatendu ralentit la course du tissu. Le ragard fiché dans celui de la Marquise, elle tira d'un coup sec sur l'etoffe, libérant... un sexe viril, magnifiquement dressé dans toute sa splendeur, une queue d'homme sur un corps de femme. Sophie était un transsexuel, une créature mi-male mi-femelle. A cette vue, chacun poussa un soupir de stupéfaction, ou de désir. La Marquise, stupéfaite, fit un geste pour l'inviter à se rapprocher d'elle. D'un geste tendre des doigts et des lèvres, elle cajola ce sexe dur, le palpant, le goûtant, elle appréciait le contraste abrupt entre cette virilité fière et ce corps de femme. Tous les participants au souper s'étaient approchés d'elle, chacun à son tour cajolait, suçait, palpait cette chair brûlante, mi-homme, mi-femme.... Sophie se livrait aux caresses qui l'enflammaient, ses tétons, son sexe, ses fesses, sa bouche devenaient des abîmes de volupté qui l'entraînaient à chaque instant au-delà des limites... Elle devenait un seul et même sexe, un océan de jouissance... Après plusieurs minutes de ce maelström, la Marquise d'un geste éloigna les autres admirateurs ce de corps irréel. Elle organisa le plaisir de la créature venue du ciel: Véronique et Pierre s'activaient sur sa poitrine opulente, Hugo, d'une langue habile, se délectait de son anneau serré. D'une main, elle empoigna la queue de Sophie, de l'autre, elle força le Chevalier à approcher ses lèvres. La délivrance fut rapide, et Sophie, en un ultime mouvement de reins, se libéra sur le visage offert du Chevalier. De longues traînées blanches zébrèrent son visage extatique, les lèvres grandes ouvertes il accueillait sa jouissance qui coulait le long de son visage. La Marquise, tout en continuant à branler Sophie, penchait son visage de Madone vers celui du Chevalier et goûtait avec lui la semence de la créature, parcourant de ses lèvres son visage, allant de la pointe de la langue du bout de la tige ruisselante de liqueur aux lèvres gonflées de plaisir du Chevalier.

Après ce sommet de plaisir, les participants du souper surent que l'instant était venu de se retirer. Un à un, ils vinrent baiser la bouche enspermée de la Marquise, y déposant un baiser plein de tendresse.

La Marquise et le Chevalier se retrouvèrent seuls, dans le grand château. Il prit sa main, et la guida vers l'escalier d'honneur, plein de prévenance, il prit sa traîne afin qu'elle montât l'escalier sans dommages. Arrivés devant la porte de la chambre bleue, le Chevalier la fit passer devant lui, humant au passage son odeur capiteuse. La Marquise s'assit sur un fauteuil de cuir fauve, laissant au Chevalier le soin d'allumer les candélabres placés sur la cheminée, auprès du lit et sur la table basse où brillaient les objets qui allaient ensoleiller leur soirée à venir. Lentement, sans la quitter des yeux, il vint se placer aux pieds de sa déesse.

Mais ce qu'ils firent plus tard n'est pas encore écrit, et leur appartient...

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
SamBotteSamBotteil y a environ 14 ans
Serviteur Monsieur !

Je viens (enfin) de prendre le temps de me délecter de votre prose.

Je n'en retire qu'un regret, mais de taille, celui de ne pas l'avoir fait plus tôt !

Sans aucune flatterie à votre endroit, je considère votre ouvrage comme un modèle de littérature érotique, très bien écrit et attestant d'une maîtrise assez rare de la (belle) langue qui est la nôtre !

Serviteur, Monsieur...

Sam

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Chère Marquise Ch. 01 Partie Précédente