Château Ragia Chapitre 09

BÊTA PUBLIQUE

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-Oui maîtresse.

Dis-la jeune fille. Elle aurait voulu avoir de la compassion pour la femme qu'elle voyait difficilement marché vers elle. Elle avait l'air pitoyable, elle sentait comme une pute de bas étage et son corps était marqué de la très longue après-midi qu'elle venait de passer entre les mains de Maria.

Mais elle ne put que se dire que c'était bien fait pour elle.

Même rhabillée avec sa tenue qui devait à elle seule valoir plus que l'intégralité des propriétés de la jeune fille quand elle était libre, elle avait toujours l'air d'un animal en fuite.

Chaque touché la faisait frissonner, elle tournait constamment la tête pour conserver Maria dans son champ visuel. Comme si elle avait peur de se faire subitement attaquer.

-Ne t'inquiète pas ça lui passera.

Dis la femme en riant.

-Mathilde je pense que si tu veux lui faire une offre c'est maintenant. Rose monte te laver, passe à la cuisine, j'ai déjà mangé.

Annie sursauta quand elle entendit ces mots et hocha la tête au prix que venait de lui proposer Mathilde. Celle-ci paru surprise qu'une telle offre soit acceptée, mais profita de la faiblesse de la rouquine pour lui faire signer un contrat et lui tendit un chèque.

Rose n'en revenait pas, en à peine quelques minutes elles s'éteint échangée une vie humaine.

La cuisine lui offrit une collation correcte et elle se précipita dans sa chambre. Une fois la porte fermée elle s'effondra de fatigue. La journée avait été particulièrement éprouvante! Madame Brooks le matin, le concours, la punition par Mathilde, les deux étalons... Rose était vidée de son énergie. Elle voulait se réveiller de ce cauchemar, y mettre fin! Mais elle devait bien se rendre compte qu'elle était piégée ici.

Alors elle s'enfuirait. Elle se faisait cette promesse tous les jours. Un jour elle partirait d'ici et elle les ferait payer.

Mathilde voulait courir? On verrait si la Chasseuse est suffisamment rapide pour attraper cette esclave.

Et si elle se faisait attraper, eh bien elle s'entraînerait plus dur! Plus fort!

Cette idée était bien la seule chose qui parvenait à faire apparaître un sourire sur son visage. C'est ainsi qu'elle se releva pour prendre une douche bien méritée. Elle remarqua un petit paquet posé sur son lit. C'était une petite boîte en bois enveloppée dans un papier rose. Une petite étiquette indiquait.

"De Tata pour Rose"

La soubrette hoqueta de dégoût. C'était le fameux cadeau que cette folle d'Aurore lui avait laisser! Du bout des doigts elle ouvrit le paquet. Elle était sûre que c'était encore un piège. Mais finalement la boîte ne révéla qu'une grosse quantité de dragée. Des petites billes de sucres multicolores. Rose connaissait cette friandise! À vrais dire c'était sa préférée! Comment Madame Brooks pouvait-elle connaître cela?

Certainement que Maria lui aura partagé des dossiers la concernant? Rose balaya ses questions. De toute façon elle était trop fatiguée pour s'inquiéter de ce détail. Elle posa la boîte sur la table de chevet laqué et se dirigea vers sa luxueuse douche en faisant tomber son uniforme et en retirant enfin ces horribles couettes.

Comme d'habitude les écrans affichaient des photo et vidéo de la soubrette. Parfois dans des poses vulgaires, parfois en pleine punition parfois en train de donner du plaisir à ses maîtresses.

L'eau était vraiment son élément. Elle sentait la moindre goutte glisser sur son corps lisse, chaque éclat de chaleur et chaque bouffée de vapeur. Là dans cet horrible château elle se sentait enfin bien. Elle pensa à la piscine.

Au moins elle pourrait faire de la natation pour se maintenir en forme et pour se calmer quand tout sera trop dur.

Elle allait s'en sortir! se répéta-t-elle encore une fois pour se donner du courage.

Encore une fois ...

Elle était sous le jet brûlant depuis une bonne heure quand l'écran de cabine de douche affichât une étrange notification par-dessus l'image de la soubrette qui pressait ses seins l'un contre l'autre avec un regard soumis.

Un... message?

Elle appuya sur l'icône alors qu'elle rinçait ses cheveux lisses.

Une nouvelle notification l'informait qu'elle avait une nouvelle amie.

Une amie?! Qu'est-ce que c'était que ce truc? Encore une nouvelle perversion?! Encore un piège?!

La page qui s'ouvrit ressemblait à une copie de réseau social. À vrais dire le programme était extrêmement complet avec toutes les fonctionnalités attendues.

Est-ce qu'elle avait accès à internet?! Elle coupa la douche et se précipita dans la chambre, attrapa la tablette qui prenait la poussière sur un des meubles et activa l'objet qui l'envoya sur la même session que tout les écrans de la chambre.

Non évidemment ... c'était un intranet.

Et vu les moyens de ces femmes ainsi que ses compétences nulles en informatique, elle n'avait aucune chance de craquer quoi que ce soit. D'autan qu'elle n'était même pas sûr que cela soit faisable.

L'application se nommait Slavebook. Et étrangement elle avait déjà un compte. Avec horreur elle vus que sa photo de profil était la première photo que Maria avait prise le jour de sa capture. La soubrette avait les yeux pleins de défis. Cette image la renvoya à sa situation.

Cela faisait moins d'une semaine qu'elle était là et cette image lui semblait déjà appartenir à un lointain passé.

Son profil indiquait son nom ainsi que sa propriétaire. Maria avait déjà posté plusieurs vidéos de ses punitions et la majorité des clichés humiliants qu'elle faisait de la jeune fille.

La plupart avaient plusieurs dizaines de mentions « j'aime » où son équivalant sur ce réseau malsain. Combien de personnes étaient sur ce truc?! C'était complètement fou! Comment autant de salauds esclavagistes pouvaient exister sur une si petite zone. Est-ce que le réseau était mondial? Le sang de Rose se glaça quand elle vit des commentaire dans des langues qu'elle ne comprenait pas.

Maria, Mathilde, Aurore ... ce n'était pas juste des bourgeoises devenues folles. Elles faisaient partie d'un véritable monde. Une organisation gigantesque!

La jeune fille sentit le monde lui tomber sur les épaules. Mais malgré l'ampleur de la tâche elle était toujours aussi déterminée.

Ils sont dans le monde entier? Eh bien soit! Elle leur survivrait quand même!

Elle appuya sur la notification de demande d'amie. C'était Sofia. Il semblerait qu'elle soit partie du château avec Mathilde. Elle lui envoyait des remerciements pour lui avoir permis de trouver sa maîtresse.

Visiblement pour elle aussi c'était l'heure de se reposer. Un dernier message apparut avant que le profil indique la déconnexion de l'utilisateur.

« Ce soir je sais quoi je vais penser x) »

Avec le lien d'une vidéo. Rose cliquât et vit avec horreur le profil de madame Brooks. La vidéo de sa punition puis de sa tétée était incroyablement populaire.

Rose s'en doutait, mais le voir en vrai lui faisait encore plus mal. Elle ferma l'onglet avant de se jeter nue sur son grand lit aux draps si doux.

Elle jeta un œil à la boîte de bonbon. Elle avait bien besoin d'une petite dose de remontant.

Le goût de la dragée était succulent. Parfaitement assaisonné et sucré. Meilleur que dans n'importe lequel de ses souvenirs.

Lentement elle se glissa sous ses draps et ferma les yeux.

-Rose.

Elle rouvrit les yeux en sursautant! Qui avait parlé!

-Rose!

La voix provenait du grand écran. C'était celle de Maria.

-O-Oui maîtresse?

Dis-la jeune fille encore sous le coup de la surprise.

-Dans ma chambre tout de suite!

-J-Je j'arrive!

Jamais elle n'avait entendu Maria parler aussi sèchement. Elle était terrifiée! Qu'est-ce qui allait lui arriver?! Mathilde lui avait elle tout dit?!

-Plus vite! Esclave!

-Je m'habille!

La voix était pleine de colère alors que Rose se précipitait vers le placard.

-Est-ce que je t'ai demandé de t'habiller?! Descends tout de suite!

La jeune fille était terrifiée. Elle se précipita hors de la chambre et courut à toute jambe complètement nue dans les couloirs du château.

Qu'est ce qu'elle allait bien pouvoir dire? Qu'est-ce qu'elle allait lui faire!

La porte était fermée. C'est avec une boule au ventre qui lui déchirait les tripes qu'elle poussa doucement le bâtant de bois décoré d'or.

-M-Maitresse?

Dit elle d'une petite voix.

-Ah, te voilà enfin.

Maria surgit de derrière un des paravents qui décoraient le lieu. L'endroit avait été nettoyé par ces petits drones de ménage que Rose avait vus dans tout le château. La pièce sentait bon et frais. Mais ce qui étonna le plus Rose c'était le ton de Maria.

Plus rien à voir avec la voix terrifiante qui l'avait tiré du lit. Elle était douce et suave, rassurante même.

Il faisait pénombre et seules de faibles lumières jaunes éclairaient la pièce, comme des veilleuses, mais un peu plus puissante.

-M-Madame!

Rose n'en croyait pas ses yeux. Maria, sa maîtresse, sa tortionnaire, celle qui avait détruit sa vie, se tenait devant elle habillée... en soubrette!

L'ensemble tenait plus de la nuisette, mais cela n'en restait pas moins un uniforme.

Le bustier enserrait ses seins comme un soutien-gorge, mais s'allongeait entre les deux mamelons pour glisser jusqu'as l'entrejambe uniquement caché par cette fine bande de tissus.

Un fin lien de tissu blanc orné de froufrou faisait le tour de sa taille parfaite et ses deux jambes étaient glissées dans des élégants bas résille noirs en soie. Ses poignets portaient de petits bracelets de tissus blanc crème et sa chevelure noire, tellement plus longue que celle de Rose et qui aux yeux de celle-ci semblait tellement plus soyeuse était ornée d'une coiffe de soubrette.

À l'inverse de celles que Rose avait portées jusqu'à présent elle n'était pas toute blanche et tendue vers le haut, mais plate. Un fin lacet de tissus noir encadré par des frous-frous blanc décorait la chevelure noire. Rose la trouvait magnifique, mais ne comprenait. Elle ne pouvait plus bouger, comme si les yeux de sa maîtresse la clouaient sur place.

-V-vous m'avez fait demander Maîtresse? Si, si c'est au sujet de Madame Mathilde je peux tout expliquer je mpfhhhh!

Sans un mot Maria avait coupé sa servante en l'embrassant. Rose sentait le parfum délicat de la femme lui envahir les narines, même la langue de cette femme avait un goût incomparable. Elle l'embrassa passionnément pendant une longue minute sans que Rose ne puisse bouger le moindre membre. Finalement l'étreinte ce brisât, et Rose tenta de parler de nouveau.

-Chut.

Maria posa un doigt sur les lèvres de la jeune fille qui se tut immédiatement.

-Je t'avais dit que je te récompenserais non?

Rose hocha la tête en comprenant qu'elle n'allait peut-être pas se faire punir pour une fois.

-Assis.

D'un petit coup, elle fit tomber la jeune fille sur le grand lit. Rose ne savait pas quoi faire. C'était la première fois que Maria se comportait ainsi! Par réflexe elle écarta les bras pour prendre les piluliers dans ses mains. Peut-être que si elle se montrait obéissante la punition serait courte.

Maria pouffa en s'approchant d'elle dans son uniforme. Rose ferma les yeux dans l'attente de chatouille, mais ce fut une sensation humide et chaude qu'elle ressentit à la place. Elle ouvrit les yeux et vit que Maria était en train de lui mordiller le sein.

-M-Maitresse mhhhh ...

Un gémissement traversa ses lèvres quand Maria lui prit le deuxième téton.

-Qu'est ce que vous faites? Mhhhh!

Les coups de langue experts la rendaient folle. C'était comme si elle s'apprêtait a jouir des seins. Sans même qu'elle s'en rende compte elle mouillait déjà comme une folle.

« pop!»

Un petit claquement de peau se fit entendre quand Maria relâchât le sein. Tirant un râle a la la jeune fille et un petit rire a la Maîtresse habillée en soubrette.

-Tu t'es très bien comporté. Je suis très fière de toi ma petite soubrette. Si tu avais perdu, Annie aurait sans doute profité pour me torturer pendant toute l'après-midi.

Rose aurait aimé voir ça! Mais actuellement elle était trop hypnotisée par la voix, la tenue et le comportement de Maria.

-Elle aurait fait beaucoup de mal à ta maîtresse, mais tu as tout fait pour la protéger. C'est la moindre des choses que je te rende la pareille cette nuit non?

Elle attrapa les deux tétons et commença à les masser doucement. Tout en frottant son bustier contre les seins de Rose.

-Tu veux que cette soubrette te fasse du bien? Tu veux qu'elle te fasse jouir?

-gnhhhhhh! J-Je je ...

-Cette soubrette est prête à te donner beaucoup de plaisir, tu n'as pas envie qu'elle te lèche? Qu'elle te masse? Qu'elle te mordille?

Elle avait dit cela en l'embrassant tendrement dans le cou, la mordillant un peu. Alors que Rose tremblait sous le massage impitoyable qu'elle subissait, elle sentit une main se retirer pour se diriger vers son entrejambe, les longs doigts se glissant entre ses cuisses fermement pressées l'une contre l'autre.

Maria lui chuchota à l'oreille.

-Avoir ta propre servante personnelle pour cette nuit. Maîtresse?

Le corps de la jeune esclave était en feu. Peut-être que le bonbon qu'elle avait mangé avant de s'endormir était vraiment drogué? Ou que la situation était tellement irréelle qu'elle croyais à un rêve.

lentement ses jambes s'écartèrent et les doigts de Maria commencèrent leur travail en lui tirant de longs gémissements de plaisir.

-mhhhhhhhhh, ouhouhouuu ah!

Un doigt était rentré tout doucement alors que le visage de Maria se dirigeait lentement vers son entrejambe. Le temps qu'elle repasse sur ses seins et les mordille de nouveau un deuxième l'avait rejoint. Les deux faisant un lent mouvement de piston chacun leur tour, tirant à chaque passage un râle tremblant de plaisir à Rose.

-Ghahahhhaaaaa!

Elle se cabra quand le premier orgasme la traversa, mais les doigts continuèrent leur travail, ne se retirant que quand la bouche de Maria se referma sur son entrejambe.

-Ah! n-non , j-je vaiiiiiiis encore j-jouir!

Maria avait enroulé ses bras autour des jambes de Rose et la maintint fermement en place en ne la quittant pas des yeux. Rose jouit en se perdant dans le vert intense du regard de Maria. Même avec son uniforme et son serre-tête de soubrette, la bouche enfoncée dans son entrejambe Maria avait toujours ce regard d'impératrice.

-Ah! ah! ah!

Rose sentait le moindre coup de langue, le moindre mordillement de la femme habillé en soubrette. Elle hoquetait de plaisir, incapable de bouger les jambes , piégées dans une position assise qui faisait encore plus ressortir son entrejambe.

Sous le coup de sa respiration haletante, ses seins rebondissaient comme deux ballons bien fermes.

Ses téton luisait de la salive de Maria alors que le corps de Rose se couvrait d'une fine couche de sueur, lentement sans même qu'elle s'en rende compte ses mains se rapprochèrent de ses mamelons. Elle ne pouvait décrocher son regard des yeux de sa maîtresse.

Pourquoi ne le pouvait-elle pas! Comment ce rebeller si elle était hypnotisée ainsi à chaque fois que Maria la regardait!

-Ah! aaaah! mhhhh!

Ses mains se refermèrent sur ses seins qu'elle commença à compresser alors que la langue s'enfonçait en elle. Elle avait l'impression de se faire injecter directement du plaisir par l'organe! Avec force elle continua de presser ses seins, attrapant ses tétons durs comme l'acier pour les tordre dans tous les sens. Sa poitrine n'était pas assez grosse pour qu'elle puisse mordiller ses propres tétons, mais elle tenta quand même. Enfonçant la tête entre les deux mamelons.

-Ah! E-Encore! S-s'-s'il vous plaiiiit! Faite moi jouir encore!!

Elle enchaîna deux puissants orgasmes presque en même temps alors que la langue de Maria faisait son ultime attaque.

-Ah ah aha ah ah aaaaaaaaah! mhhhhhh! ahhhh!

Rose s'effondra sur le lit, elle avait l'entrejambe si humide qu'elle crut un instant s'être urinée dessus de nouveau.

Le visage de Maria apparut devant ses yeux alors qu'elle fixait le plafond. De nouveau elle l'embrassa avant qu'elle ait pu dire quoi que ce soit. L'esclave haletait encore quand le baiser ce rompis.

-Mathilde a été méchante avec toi. Laisse cette soubrette te faire du bien.

Rose sentit son corps se retourner et bientôt elle fut allongée sur le ventre. En face d'elle le miroir c'était activé elle put voir sa maîtresse dans son uniforme de soubrette lui grimper sur le dos. La sensation chaude et humide de la chatte de Maria sur son bassin était étrange. Puis elle la sentit bouger alors que la femme qui l'avait enlevé se frottait sur elle.

-Mhhhhh, ta peau est douce, si mhhhhh douce.

Une bouteille en verre apparut dans la main de Maria. Le liquide huileux qu'elle contenait se répandit sur le corps de Rose. L'odeur était douce, elle sentait les mains de Maria se déplacer lentement sur son dos, sur son cul, sur ses jambes. L'huile fit disparaître la douleur de ses fesses, comme si son expérience avec Mathilde n'avait jamais eu lieu.

L'huile détendait ses muscles et embaumais son corps dans une senteur inimitable. Elle sentit les doigts huilés se diriger vers son entrejambe pour la recouvrir délicatement, de l'intérieur à l'extérieur. Dans le miroir elle vit Maria faire tomber son bustier pour dévoiler sa peau de pêche, ses seins parfaitement formés et sa taille qui semblait si douce. Le regard de Rose croisa le sien et cette fois elle détourna les yeux le plus vite possible. Provoquant un rire de la part de Maria qui versait sur son corps le reste de la bouteille avant de lentement en recouvrir son corps.

-Tu es toute gênée qu'une soubrette s'occupe de toi?

Dit-elle en appuyant son corps huilé contre le sien, faisant glisser ses seins contre le dos de l'esclave. Rose sentait les deux tétons de la femme tracer des lignes sur son dos. Son visage tourna au rouge pivoine quand Maria lui susurra à l'oreille.

-Tu me trouves belle en soubrette?

Rose s'enfonça sa tête sou les draps trop honteuse pour dire qu'elle n'avait jamais été aussi excitée de sa vie!

Maria rit de plus belle et retourna délicatement le corps de la jeune fille pour commencer a huiler et masser ses seins et le reste de son corps.

En la chevauchant elle fit une petite moue mignonne en pressant ses seins les un contre les autres. Ils étaient brillants d'huiles et luisaient sous la lumière douce de la chambre.

-Vous n'aimez pas cette soubrette?

Dit-elle d'un ton faussement déçu en agitant les seins.

-Vous ne la trouvez pas mignonne et excitante?

Rose tentait de ne pas répondre, mais plus l'huile pénétrait son corps, moins son esprit était disposé à résister. Finalement elle finit par craquer quand Maria commença à écarter sa chatte pour masser la jeune fille avec ses propres jus.

-Vous aimez la chatte de votre soubrette? Oh vous êtes tellement douce mhhhh! je vous excite habillé ainsi?

La voix de Rose fut comme un murmure.

-O-oui, j-je vous trouve excitante m-Maitresse.

Elle fit de nouveau la moue. Alors qu'elle glissait sa jambe sous le corps de Rose pour la prendre en ciseau. Leur peau était tellement huilée et glissante que les deux vulves s'écrasèrent rapidement l'une contre l'autre.

-Quoi? Je vous ai mal entendus? Vous aimez les soubrettes? Vraiment?

Les mouvements de bassin expert de Maria lui offraient des sensations nouvelles, elle sentit son clitoris s'écraser sous la pression.

-Gha! Aaaaaah! O-oui! Je j-j'aime les soubrettes! Vous m'exciter m-maitresse! Ah! Encore!

Maria sourit de toutes ses dents en écrasant encore plus fort sa chatte contre la sienne.

-Je j-je jouis! je jouis je jouis!!!!!

-Mhhhhhh!

Maria jouit en même temps qu'elle et encore une fois Rose s'effondra tremblante sur le lit.

-Moi aussi je suis excitée par les soubrettes.

Dis Maria qui semblait encore en pleine forme

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