Château Ragia Chapitre 09

Informations sur Récit
Rose fini sa première semaine au château.
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Partie 9 de la série de 34 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 09/03/2020
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Chapitre 9

Salut à vous lecteurs. Avec ce chapitre se termine le premier "Arc" de l'histoire Rassurez-vous c'est très loin d'être fini et bien des choses vont arriver à Rose. J'espère que cette aventure vous plait et j'apprécie beaucoup vos retours.

Pour marquer cette fin de cycle (ou plutôt de trééééés longue introduction) Je vous invite à me poser toute les question que vous souhaitez, retour et critique , ce que vous voudriez voir plus tard ect ect.

En espérant vous voir nombreux dans les commentaires.

Anecdote : L'inspiration visuelle de Rose provient des Art de IAFHY représentant Korra en Maid que vous pourrez facilement trouver sur e-hentai.

Je vais essayer de faire des chapitres plus réguliers.

En attendant profitez bien de ce chapitre plus long que la normale.

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L'après-midi touchait à sa fin dans le vaste domaine Ragia. Les grands jardins parfaitement entretenus accueillaient les rayons de plus en plus zénithaux du soleil en bruissant sous le doux vent d'été. Tout était parfaitement à sa place dans un ensemble trop parfait pour être naturel.

Le visiteur qui se serait retrouvé au sein de ce qu'il convient d'appeler un chef d'œuvre de jardinerie à la française se serait sans doute perdu dans la douce paix du lieu, à profiter du silence et la paix d'une nature contrôlée dans ses moindres détails.

Mais ce jour-là s'il avait poursuivi son chemin vers la section anglaise des jardins et la grande forêt qui encadrait cette partie du domaine il aurait entendu une musique bien moins naturelle.

« Clac! »Le claquement résonna dans toute la clairière.

-Ah! vingt-deux! Merci madame!

Depuis que Mathilde avait surpris les envies de fuites de Rose, elle avait dévoué tout son être à punir la soubrette.

La chasseuse en chemisier blanc dominait de toute sa taille la jeune fille à la peau mate. Dans sa main un grand paddle de bois fendait l'air en direction du derrière tendu de sa victime.

« Clac! »

Rose grimaça, sous la douleur de la fessée elle ne put s'empêcher de lâcher un nouveau cri de surprise mêlée de douleur

-Ah!

Elle ne sentait presque plus son cul depuis que Mathilde avait demandé de compter

-V-vingt-trois!

-Plus haut! Présente-moi ce cul de vilaine soubrette. À moins que tu ne veuilles reprendre à zéro!

Derrière elle la voix de Mathilde était autoritaire et implacable. Rose se mordit la langue et reprit encore une fois la position que cette folle lui avait demandée.

De nouveau elle se pencha en avant tout en saisissant les bords de son uniforme, comme si elle faisait une révérence extrêmement profonde.

-Bombe plus tes fesses! Et écarte-moi ces jambes, je veut voir ta petite chatte quand je te punis.

-O-oui madame.

Rose tenta tant bien que mal de satisfaire les demandes de Mathilde et bomba ses fesses au maximum tout en écartant un peu plus les jambes. Dans cette position elle sentirait chacune des sensations de la longue planche de bois.

-très bien. Oh!

Rose sentit un doigt se balader sur son entrejambe, un ongle se frayait entre ses lèvres, grattant sa vulve rendue sensible par les coups.

-Tu es luisante.

Rose tressauta quand l'ongle gratta son clitoris

-Mhhh!

Gémit-elle en serrant les dents.

-Tu t'excites quand on te donne la fessée? Ou c'est moi qui te fais couler comme une perverse?

Rose baissa les yeux vers l'herbe, elle aurait voulu s'enfoncer dans le sol pour s'enfuir. Elle savait ce qu'elle avait à dire. Et si elle n'obéissait pas, sa punition serait pire encore.

Elle remonta encore plus ses fesses en les agitant doucement devant le sourire pervers de Mathilde.

-Je mouille par ce que je suis une vilaine soubrette qui aime se faire punir madame.

Elle sentit la main se poser sur son fessier et caresser la chair dodue.

-Et moi?

Deux doigts écartèrent ses lèvres alors qu'elle tendait son corps pour maintenir sa position. Elle sentit les deux doigts gratter et chatouiller son intimité sans qu'elle ne puisse rien faire.

-Est-ce que je t'excite?

Dit-elle en pinçant son clitoris.

-Gnhhhhh!

Rose serrait les dents à s'en faire exploser l'émail alors que Mathilde pinçait de plus en plus fort.

-Gnhhhhhhh! Oui! Vous m'excitez! Vous m'excitez madame! Ghaaaaaa!

Elle jouit dans cette position et sentit ses fluides s'écouler doucement dans un long filet vers le sol. Elle sentait la moindre goutte s'échapper de ses lèvres comme si elles étaient directement relié à son clitoris.

Mathilde gloussa et d'un coup de langue lécha l'entrejambe exposé, tirant à Rose un gémissement de surprise.

-Ah!

-Tu as très bon goût dis donc. Mais après tout c'est normal que tu sois excitée et toute humide. Tu veux savoir pourquoi?

Rose n'eut pas le temps de répondre. Mathilde vint se placer devant son visage et lui chuchota la réponse en lui attrapant un téton au travers de son bustier rose.

-Parce que tu es une soubrette, une esclave soumise et perverse. Et les soubrettes sont excitées par leurs maîtresses. C'est ainsi que vas le monde. C'est pourquoi tu es une soubrette et pourquoi je suis une maîtresse.

Elle attrapa le deuxième téton en savourant le regard gêné et terrorisé de Rose .

-Et il n'y a rien que tu puisses y faire. Mignonne. Petite .Soubrette.

Les mots s'enfoncèrent comme des clous chauffés à blanc dans le crâne de Rose alors que Mathilde reprenait sa position. Heureusement que le corps de Rose était musclé sinon elle aurait craqué depuis longtemps.

-Demande ta punition comme une bonne soubrette. Et peut-être que je serais plus gentille avec toi.

Rose reprit sa place et de nouveau présenta son cul à la femme. Elle aurait voulu fondre en larme, hurler que tout ceci n'était qu'un cauchemar, appeler a l'aide!

Mais elle savait que si elle parvenait un jour à quitter cet endroit ce serait par ses propres moyens.

Elle devait subir. Quoiqu'il en coûte.

Dans sa position de révérence elle bomba les fesses et dit d'une voix qu'elle imaginait forte et claire, mais qui en réalité était tremblante.

-S'il vous plaît madame. Donnez-moi la fessée. Pu-punissez moi, j'ai été une vilaine soubrette et je dois être punie!

Soudain Rose se souvint de la nuit précédente, quand l'aphrodisiaque l'avait rendue folle. Cette fois aussi elle avait demandé à ce qu'ont la punisse. Son corps était en train de réagir à ce qu'elle disait! Elle mouillait encore plus!

Non! pourquoi son corps faisait ça?! Elle n'avait jamais eu ce genre de fantasme! Et elle ne l'avait toujours pas!

Alors pourquoi mouillait-elle autant en demandant à ce qu'une inconnue la punisse!

-Tu es désolée d'avoir dit de vilaine chose sur ta maîtresse?

Demanda Mathilde.

-O-oui! Une soubrette ne doit pas dire de mauvaise chose de sa maîtresse. Je-Je suis désolée, punissez-moi madame.

Elle agitait son cul en parlant. Elle voulait que tout ça se termine!

-Une soubrette n'existe que pour satisfaire ses supérieurs. Compris Vilaine fille?

-Je-je n'existe que pour satisfaire mes supérieurs madame.

« Clac! »

-Ah! vingt-quatre! Merci de me punir madame!

Cette fois elle n'avait pas frappé avec le paddle mais avec la main. La douleur était moindre, mais l'humiliation en devenait encore plus grande.

« Clac! »

La nouvelle fessée interrompit ses pensées et elle reprit son décompte. En remerciant sa tortionnaire à chaque fois.

Sofia. Elle. Vivait une journée bien plus agréable que la sienne. Après que Mathilde lui ait promis de l'acheter, c'était comme si le plaisir qu'elle recevait était multiplié par dix. La soubrette qui se faisait fesser avait les yeux rivés sur le spectacle de la femme aux oreilles de chat en train de chevaucher un des étalons silencieux de Mathilde.

Le membre dressé agissait comme une barre s'empalant en elle. Chaque mouvement de la femme lui tirait des gémissements et râles de plaisir plus fort que les précédents.

-Mhhhhhh! Ah ouiiiiii.

Gémit-elle en s'empalant lentement sur le membre. Ses vas et viens étaient doux et délicats, l'expression sur son visage ressemblait a un celui d'un gourmet savourant un plat particulièrement réussi.

Son corps se cabra dans un orgasme délicieux alors qu'elle se laissait tomber profondément sur le membre.

-ghaaaaaaa!

Rose entendu le petit rire de Mathilde derrière elle.

-Tu t'amuses bien chaton?

Sofia écrasait sa chatte contre la peau de l'étalon qui restait toujours silencieux.

-Mhhhhhhh, oui maîtresse, c'est très bon.

-Continue, j'aime bien te voir jouir comme ça.

-Mhhhh, merciii maîtresse.

-Regarde Rose.

« Clac! »

-Ah! Vingt-cinq! Merci de me punir madame!

-Elle n'a pas l'air heureuse? Regarde-la.

Rose ne pouvait décrocher son regard de la femme aux oreilles de chat. Elle offrait un spectacle qu'elle aurait cru réservé au fantasme des films pornos. Son visage était couvert de sueur et fendu d'un immense sourire alors qu'elle continuait à savourer ce que Rose aurait considéré comme une terrible humiliation.

-Un jour tu seras comme elle. Peut-être dans un an. Peut-être dans dix, mais un jours toi aussi tu prendras plaisir à servir tes maîtresses.

« Clac! »

-Ah! Vingt-six! Merci de me punir Madame!

-Mais entre-temps j'espère que tu résisteras.

« Clac! »

-Ah! Vingt-sept! Merci de me punir Madame!

Rose tentait de faire abstraction des mots vils de Mathilde. Ses yeux ne pouvaient se détacher de Sofia et de ses mouvements qui faisaient balancer ses seins blanc et rond. Elle jouissait en boucle, comme si elle dansait pour divertir sa maîtresse. Ses gémissements formaient une véritable mélodie alors que ses mains palpaient, pressaient, titillaient le moindre recoin de son corps dans une dance lascive.

Jamais! Jamais elle ne deviendrait comme elle!

-Que tu tenteras de t'enfuir, de rester digne , de toujours avoir cette étincelle de défis dans les yeux .

« Clac! »

-Ah! Vingt-huit! Merci de me punir madame!

Elle les tuerait! elle les tuerait toutes!

-Ma petite rebelle.

« Clac! »

-Ghna! V-vingt-neuf! Merci de me punir madame!

Rose avait l'impression qu'elle allait s'évanouir tant le gainage lui semblait insupportable. Sans parler de la douleur violente de son postérieur!

-Mhhhh! oh! oooh! J-Je croit qu'il va jouir! M-maitresse!

Sous le corps luisant de Sofia, le pénis de l'homme commençait à pulser alors que sa respiration devenait plus courte. Il était clairement sur le point de jouir.

-Parfait. Debout!

Sofia s'extirpa avec une moue réprobatrice du membre alors que l'homme se remettait debout.

Avant que Rose ait pus comprendre ce qu'il se passait, l'homme et Sofia étaient à son niveau. On lui saisit la bouche et avant qu'elle ait pus protester le membre s'enfonça profondément.

« CLAC! »

Le bruit retentit dans toute la clairière! Mathilde avait frappé de toute ses forces.

-Mhhhffffhhhhh!!!!

Hurla Rose bâillonnée par le membre.

-Trempht!!!!! Merchi ge me pugir magaaaaaarghllll.

Elle sentit le membre se contracter dans sa bouche et un flot bien trop important de sperme pour être naturel se rependait dans sa bouche et sa gorge. Transformant la fin de sa phrase en gargouillis informe.

Elle tomba à genoux, manquant de suffoquer alors que l'étalon lui donnait de petits coups de pénis sous le coup de l'orgasme. Le liquide chaud coulât vers son ventre sans même qu'elle puisse penser à déglutir. Il se retira aussi vite qu'il était venu quand elle eut fini d'avaler. La laissant s'effondrer sur le sol aux portes de l'inconscience.

-Elle est belle quand même.

-Oui mon chaton. Totalement le genre de Maria.

-Vous avez vu ses muscles? Les positions qu'elle pourrait tenir!

Mathilde ria

-Ne dit as trop ça, je pourrais avoir envie de te muscler un peu toi aussi.

-Et puis elle est tellement sensible. C'est trop adorable! j'ai envie de la chatouiller de partout!

-Tu voudrais devenir comme elle?

Sofia réfléchit un court instant.

-Non. Sauf si maîtresse le veut bien entendu. Mais j'aurais peur de jouir trop vite. Et je dois donner le plus de plaisir possible à ma maîtresse.

Mathilde reposa le verre de vin sur la petite table.

-Je sens que je vais beaucoup aimer t'avoir à mon service.

-Merci maîtresse! je ferais de mon mieux.

Sofia avait la voix enjouée d'une jeune fille à qui son premier crush venait de se confesser.

-Réveille là. Il va être temps de rentrer.

La chatte s'approcha de la soubrette maintenue debout par un ingénieux système de corde. Elle avait les deux bras tendus vers les airs et les pieds qui touchaient à peine le sol

-Debout , debout.

Dit-elle en caressant les aisselles de Rose.

-Allez, Guili, guili, guili.

Le corps de Rose tressauta tout d'abord. Puis un léger gloussement s'échappa des lèvres de la soubrette encore endormie. De petites grimaces de gènes apparurent alors que Sofia baladait ses doigts de plus belle, grattant délicatement la peau tannée de la soubrette.

Finalement Rose ouvrit les yeux.

-Mhhhh qu? ghihihihihihihihi! Nohohohon! hihihiihihihi! stohohohop!

-Je crois qu'elle est réveillée maîtresse.

Dis Sofia en continuant son œuvre. Alors que Rose gloussait de manière incontrôlable.

-Ghihhihihihih! nnnhihihihihihiihi! ah-ahahahaharrête sofhihihiihiiaaaa!

-Arrête donc d'embêter cette pauvre fille chaton.

-Mais c'est amusant maîtresse.

Dit elle en grattant une dernière fois les aisselles de la jeune fille.

-Je sais, je sais.

Rose reprit son souffle et commença à identifier son environnement.

Elle était de retour dans le jardin français, plus précisément sous l'un des nombreux kiosques circulaires qui parsemaient les chemins. Les cordes qu'il l'attachait était directement relié au toit métallique du kiosque et semblait intégré directement à celui-ci. Le soleil était presque couché et l'horizon était rouge feu alors qu'un doux vent caressait sa peau. Le décor était féérique ce dit elle.

Avant d'être ramené à la réalité par sa position.

Elle portait encore son uniforme, mais ses seins étaient désormais complètement exposés et son corset pendait devant elle.

Visiblement elle avait été déshabillée pour le plaisir visuel de Mathilde.

La femme dégustait quand à elle un verre de vin sur une des petites tables prévues à cet effet.

-Détache-la.

-Tout de suite maîtresse.

Rose sentit les cordes se relâcher et elle put enfin baisser les bras et se mouvoir librement.

-Tu t'étais évanouie ma petite. Mais rien de grave, tu as dormis une petite heure.

Rose sentait le goût du sperme sur ses lèvres, et ses fesses étaient en feu! Elle était loin d'aller bien.

-Merci madame.

Dit-elle en remettant son corset rose bonbon. Elle se trouvait encore plus humiliée dedans que totalement nue. Avec ses tétons apparents et ses couettes ....

-Sofia m'a dit que tu devais rentrer à vingt et une heures trente?

Rose hocha la tête en regardant autour d'elle. La soubrette aperçut la silhouette de l'aile principale du château.

-Rentrons avant que ta maîtresse s'inquiète.

Le petit groupe grimpa dans la calèche de la chasseuse qui sous l'impulsion des deux hommes encagoulés se dirigea rapidement au travers des jardins.

Rose tentait d'effacer les souvenirs du liquide coulant dans sa gorge quand elle sentit une sensation sur son téton.

-Hé! Arrête.

Dit-elle en sursautant alors que Sofia tapotait le sein.

La chatte lui offrit un petit rire en se blottissant contre elle.

-Je suis tellement contente! On va pouvoir se voir souvent! Tu viendras me rendre visite hein? Hein?

Rose avait l'impression de parler à une enfant alors que la femme avait facilement dix ans de plus qu'elle!

-Mais oui elle te rendra visite. Arrête de l'embêter.

Dis Mathilde en riant.

-Maintenant n'oublie pas chaton si Maria ou Annie te demande.

-Rose et moi on a fait l'amour dans la forêt et elle m'a beaucoup fait jouir. Vous nous avez entendus et êtes venue nous rejoindre.

-Et comment c'est comportée notre petite servante?

-Très bien, une vraie soubrette soumise à sa maîtresse.

Rose ne pouvait que garder le silence alors que les deux femmes pouffaient en se moquant d'elle.

Heureusement le voyage fut rapide et elles rentrèrent dans le château alors que le soleil se couchait.

Rose les mena vers la grande chambre de Maria.

Une odeur âcre lui sauta aux narines quand elle passât la porte. Un mélange de sueur, de reste de son urine et de cyprine.

-Rose? Déjà de retour.

Maria tourna la tête vers elle. Elle arborait un grand sourire dans son bustier noir. Tout le reste de ses vêtements avaient disparu, Rose pus voir à l'aspect humide de son entrejambe qu'elle avait beaucoup été léchée.

-Vous m'aviez demandé de rentrer à vingt et une heures trente, madame.

-Ah oui c'est vrai! Avec tout ça j'en avais presque perdu la notion du temps.

-Mhhhhhhhh!!!!

Rose aperçus Annie. La rouquine était allongée sur le lit devant sa maîtresse. Dans la position qu'elle avait elle présentait son cul à sa maîtresse alors qu'un bâillon la faisait abondamment baver sur les draps. De sa chatte dégoulinante émergeait un gode profondément enfoncé dans son entrejambe, l'objet tournait sur lui-même dans un petit bruit mécanique.

Elle était couverte de sueur et tremblait sous les assauts de l'objet. Visiblement elle était dans cette position depuis un moment.

Un petit filet de liquide glissa jusqu'à la base de l'objet pour venir s'écraser sur le sol.

Annie se pissait dessus sans même s'en rendre compte.

-Vous vous êtes bien amusée?

Demanda Maria et savourant le soubresaut de jouissance de sa proie.

-Ça, tu peux me croire!

-Mathilde?!

La chasseresse apparut derrière la soubrette avec un grand sourire.

-Je les ai croisés dans la clairière anglaise. Et crois-moi elles s'en donnaient à cœur joie. J'en ai profité pour m'amuser un peu avec elles.

Maria sourit et la prit dans ses bras.

-J'espère que tu n'as pas été trop méchante avec elles.

-Mais non. Ce sont de bonnes filles. Surtout celle-là.

Dit-elle en claquant les fesses de Rose qui manqua d'hurler de douleur tant le souvenir des fessés était récent.

-Je sais.

S'exclama Maria en regardant Rose.

-D'ailleurs je voudrais voir si Annie ne voudrait pas me vendre celle-là.

Dit-elle en désignant Sofia. La femme se trémoussait comme si on venait de la demander en mariage.

-Oh! Mon impitoyable garde-chasse aurait elle de la place de son cœur finalement?

Mathilde rit franchement à la boutade.

-Peut être un jour qui sait? Mais je l'aime bien, elle est très douée avec ses doigts. Et puis ce chaton à besoin d'affection.

Derrière elles Annie était toujours dans un état proche du demi-coma, le gode lui arrachait de petits gémissements qui s'éteignaient dans des borgonyme inaudibles alors que les secousses provoquées par ses orgasmes successifs lui agitaient les membres.

-Annie, tu as entendu? Annie? Oh! phhhhhh, désolé.

Elle s'approcha de sa victime et lentement lui retira le gode de l'entrejambe. Rose put alors voir que le l'objet en question était couvert de petit poil en plastique mou, l'objet ressemblait à une créature des abysses en forme de pénis.

La sortie de l'objet procura un nouveau gros orgasme à la femme qui semblât la réveiller un peu.

-C'est fini ma chérie.

Maria lui retira le bâillon et le plug finissant en queue de chien toujours enfoncé dans son anus.

-Ghaaaha!

Gémit-elle en sentant son cul se dilater puis se refermer.

-J'espère que tu as compris qu'il ne faut pas tenter ce genre de paris avec moi Annie.

La rousse avait perdu toute trace de son air de dédains supérieur. Elle hocha frénétiquement la tête à l'énoncé de Maria comme une bête apeurée.

-Rhabille là Rose.

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