Chantier Part 02

BÊTA PUBLIQUE

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Elle sent peu après les mains calleuses de l'ouvrier sur ses fesses. L'arabe la mate comme un fou, le petit trou qui se plisse. Claudia sursaute et gémit, lorsqu'elle sent le gland poisseux contre son œillet.

- Pousse! Pousse, comme si tu chiais!

Claudia hoquète, elle a envie de pleurer de honte. La jeune femme baisse la tête et fait ce qu'il lui demande. Mourad n'a plus aucun mal à glisser le gland lubrifié dans l'étroite ouverture. Il respire et attend que la bague du rectum s'assouplisse autour de sa queue. La jeune brune, halète, elle sent son anus la brûler mais reste dans la même position un peu étonnée de la douleur limitée.

- Vous... l'avez toute rentrée?

- Non connasse, mais maintenant serre les dents que je te la rentre bien dans le cul...

Claudia pousse un violent cri de surprise et de douleur lorsqu'il commence à s'enfoncer plus profond.

- Non! Non! Arrêtez! Ahhh!...Arrêtez! J'ai...j'ai mal! - le supplie t elle entre deux sanglots.

- Ferme la! Et pousse, que je te casse le cul, salope!

Mourad, les mains crochées dans les hanches élastiques de la jeune brune vient de mettre un dernier coup de reins. Les poils de son pubis viennent toucher les fesses distendues de la jeune femme. Cette dernière râle, hurle de douleur.

Il reste là une bonne minute, attendant que la jeune femme se calme. Puis il commence à la limer lentement. Claudia, après la douleur fulgurante, sent un plaisir la gagner et se mélanger à la douleur. Elle mord l'oreiller, les mains crispées sur les draps.

Mourad, déchaîné, la fait se cambrer plus, et arc-bouté au dessus de ses fesses, la défonce sans vergogne.

- Oui! Salope! Tu la sens!..... Que penserait le gentil mari, s'il savait que....ahh.!.que sa bourgeoise de femme se fait défoncer... Ahh... défoncer la rondelle par un rebeu?!...Ooooh!

Claudia ne pleure plus, incapable de réfléchir, les insultes semblent lui procurer un surplus de plaisir. Et lorsqu'elle entend Mourad dire.

- Sale pute! Je jouis......!.... je t'inonde le cul! ouuui!

Un tremblement, un spasme la surprend, et elle sent un orgasme d'une violence extrême la faire chavirer dans le plaisir pendant que l'arabe se vide à grands jets dans ses reins. Elle le sent à peine ressortir d'elle, puis lentement se retourne, grimaçant en sentant son anus douloureux.

Mourad la fixe, le sexe mou, qui dépasse de son bleu de travail.

- Jamais vu une salope comme toi! Arriver à jouir en se faisant péter la rondelle la première fois!

Claudia se retourne et enfouit son visage dans les draps pour pleurer. L'ouvrier se réajuste, puis au moment de partir il la regarde et dit d'un air ironique.

- T'as vraiment le cul moelleux et serré, un régal! Tu vas voir on va devenir inséparable, ma queue et ton trou! Ah..Ah!

Claudia ne l'entend pas vraiment, et c'est lorsqu'elle sort de sa torpeur qu'elle se rappelle ce qu'il avait dit et en devint rouge de honte. Son anus rougit, encore entrouvert lui faisait mal. Comment avait-elle pu jouir comme ça?

La honte, mêlée d'une excitation malsaine a eu raison d'elle. Elle se relève péniblement et marche jusqu'à la salle de bain. Elle ferme la porte, restée ouverte au passage.

Sous la douche, elle fut presque reconnaissante à Mourad de disposer d'un relativement petit sexe, il n'imaginait pas ce qu'elle aurait ressenti si cela avait été son mari, ou Ahmed et encore pire Djemal.

En pensant au sexe du jeune arabe, Claudia eu un long frisson, et elle s'attarde longuement, la main entre ses cuisses, le jet d'eau frappant dru sa vulve. En sortant de la douche, elle s'examine devant la glace. Elle se voit autrement, maintenant. Elle est souillée à jamais. Fini la prude et innocente Claudia Bonnelli.

Elle pense avec un remord, à son mari qui travaille là. Quelques secondes seulement, et chassant cette pensée de son esprit, elle se penche et examine l'entrée de ses reins dans la glace. Les rebords sont rougis et encore un peu douloureux, mais l'étoile semblait intacte, comme encore vierge. Comme la douleur s'estompe, Claudia reprit le sourire et partit se changer. Après tout, elle pourrait oublier.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
Merci pour votre originalité

Juste un merci pour vos histoires qui nous changent des traductions parfois lourdes et repétitives.

Gardez le cap, et vivement une suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 16 ans
a propos de "chantier"

felicitations a l'auteur , il est toujours très bon avec ses histoires très chaudes, ce qui n'est pas le cas de l'autre auteur de l'histoire d'avant .

a quand , les ouvriers emmennent ils l'heroine dans une autre cabane de chantier pour la faire baiser a la chaine ?

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