Changements de vie pour Jessica 09

BÊTA PUBLIQUE

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En marchant dans le couloir, je suis plus que consciente de ma « mini-jupe de bimbo » couvrant à peine le haut de mes bas. Immédiatement je me sens comme une vraie cochonne. A la seconde où je suis dans le couloir, le jeune latino se met en mouvement. Il descend les escaliers.

Je le regarde avec étonnement. Que fait-il? Pourquoi est-il passé devant les toilettes? Je reste debout en haut des escaliers, comme enracinée dans le sol. Quand Daniel remarque que je ne le suis plus, il s'arrête et me regarde.

- Hé Miss pute de Bureau, tu viens ou quoi? Appelle-t-il.

Je sursaute quand il crie « Miss Pute de Bureau » dans l'escalier. Et Je prie fortement pour que personne ne l'ait entendu.

- Mais... et les toilettes? Murmuré-je en n'osant pas parler plus fort.

Daniel éclate de rire.

- Ahaha salope! Tu ne croyais pas vraiment que nous parlions des toilettes de ton étage.

Il se moque en ajoutant :

- Où serait le plaisir sinon? Il n'y a personne ici pour te voir. Nous allons aux toilettes des hommes en bas. C'est là que se passera la gâterie.

Sans rien dire de plus, il se retourne et s'éloigne. Il me laisse debout en haut des escaliers, ma jupe caramel remontée et mon chemisier déboutonné dévoilant un décolleté à décorner les bœufs. J'ai l'impression que mes pieds sont collés sur le sol. Je ne peux pas descendre dans cette tenue! Je ne peux pas être vue par les employés dans cette tenue lubrique. Je ne peux pas non plus aller dans des toilettes pour homme. Avec tous les hommes de l'entreprise, ces toilettes sont beaucoup utilisées. Quelqu'un va nous voir!

A ce moment, le latino a atteint l'étage inférieur et a disparu de mon champ de vision. Je ne peux pas le laisser attendre, il va se fâcher. Et je ne peux pas risquer qu'il m'appelle encore avec mon surnom dégradant dans les escaliers.

Finalement je bouge et je descends lentement les escaliers. Quand j'atteins l'étage inférieur, ma peau est couverte de sueur. Je regarde soigneusement par-dessus mon épaule. Je ne sais pas trop que faire. Mais si je marche lentement, il y a plus de chance que quelqu'un m'aperçoive dans cette tenue de salope.

Finalement, je prends mon courage à deux mains et je me dirige directement vers les toilettes. Il faut que je traverse tout le couloir pour y arriver. Après quelques pas, je suis sur le point de me mettre à courir. Mais je dois me retenir. Mes escarpins avec mes talons aiguilles claqueront encore plus fort et attireront l'attention.

Heureusement, la plupart des portes des bureaux sont fermées. La fin de la journée approche et mes collègues sont occupés à terminer le travail en cours. Les bureaux aux portes ouvertes sont inoccupés. Toutefois je dois passer devant l'espace réservé aux stagiaires. Approchant lentement, je vois Justin, Taylor et Matt en train de ranger leurs affaires. Je m'arrête à quelques pas de leur bureau. J'entends mon cœur battre dans ma poitrine et je tremble sous la tension du moment. Lorsque les stagiaires commencent à se dire au revoir, je cours en avant et je rejoins Daniel devant les toilettes homme le plus rapidement possible.

- Tu as aimé la promenade Miss Pute de Bureau? Me nargue Daniel.

Ma balade dans le couloir l'a visiblement amusé. Une fois de plus il vient de crier mon surnom dégradant sans se soucier que quelqu'un l'entende. Je regarde dans le couloir. Personne ne sort de son bureau. Et les stagiaires doivent encore ramasser leurs affaires. J'ai de la chance pour une fois.

Après m'avoir nargué, Daniel disparaît dans les toilettes. Je ne peux que le suivre et en finir. Un fois encore, je regarde dans le couloir pour m'assurer que personne ne me voit. Ensuite je me précipite derrière le jeune latino.

A l'intérieur des toilettes pour homme, je pousse un soupir de soulagement. Je vois Daniel adossé à un lavabo. A-t-il déjà perdu cette allure prétentieuse? Alors que je le regarde il pointe le sol du doigt.

- N'oublie pas salope, les bimbos de bureau travaillent à quatre pattes. Explique-t-il avec un sourire sournois.

Non, non, non! Pas encore! Il va beaucoup trop loin. Je suis presque prête à répliquer mais son regard m'arrête immédiatement. Il n'autorisera aucune discussion. C'est lui qui décide.

Je regarde le carrelage et je déglutis difficilement. Le sol est vraiment crasseux. Beaucoup d'hommes sont venus ici avec leurs chaussures sales. C'est si dégoûtant que je frissonne. Chaque fibre de mon corps refuse que je m'agenouille.

Pourtant, je me laisse lentement tomber à genoux. Je sens les carreaux froids à travers le tissu fragile de mes bas noirs. Je me penche en avant et je place mes mains nues sur le carrelage encrassé. Je frissonne de dégoût.

C'est horrible!

Je peux sentir la saleté sur mes mains. Je voudrais désespérément me débarrasser de cette souillure. Mais je rassemble toute ma volonté et je reste en position.

Le pire c'est que je sens ma jupe raccourcie remonter sur mon cul, exposant ainsi mes fesses. Sachant ce qu'attend Daniel de moi, je ne veux pas qu'il ait des idées plus humiliantes. Résignée à mon sort, je sors mes seins de mon chemisier noir et je les laisse tomber sous moi.

- Tu te mets dans l'ambiance n'est-ce pas petit animal de bureau?

Il me sourit moqueusement avant de partir plus loin dans les toilettes. Il y a quatre cabines de chaque côté et les urinoirs sont placés tout au fond. Mon Dieu, pas les urinoirs s'il vous plaît! J'ai été un bon petit animal de compagnie non?

Je transpire abondamment à cette perspective dégradante. Ramper dans les toilettes des hommes au travail est déjà assez humiliant. Mais avant que Daniel n'atteigne les urinoirs, il tourne et disparaît dans la dernière cabine sur la droite.

Ouf, elle peut être fermée.

A la hâte, je rampe derrière lui et je le rejoins dans la cabine. Le latino est déjà assis sur le couvercle du siège des toilettes et il m'attend. Au moment où je suis à l'intérieur, il ferme la porte derrière moi. Une main sur mon épaule il me fait signe de rester à genoux.

- Nous voulons que tes jambes soient visibles n'est-ce pas? Me dit le jeune voyou.

En jetant un coup d'œil au-dessus de mon épaule, je comprends ce qu'il veut dire. La cabine est si petite que mes jambes sont coincées sous la porte. Elles sont bien visibles où que l'on soit dans les toilettes. Et les bas et les talons indiquent clairement qu'il s'agit de jambes de femmes. Et il est plus qu'évident de deviner ce que cela implique : Une salope en train de sucer un homme. Et les seules femmes de l'entreprise sont les secrétaires et moi.

Une sueur froide s'étend dans mon dos. Il n'y a aucun moyen de s'échapper de l'enfer. Mon travail est foutu. Je peux voir tout mon avenir prometteur s'éloigner à grands pas.

Mais Daniel ne me laisse pas beaucoup de temps pour m'apitoyer sur mon sort. Il sort sa queue de son pantalon et m'ordonne :

- Maintenant, montre-moi ce que tu sais faire Miss Pute de Bureau. Et n'utilise pas tes mains! Travaille comme une vraie salope!

Depuis ma position agenouillée, je lève mes yeux vers le jeune latino. C'est si vicieux, si obscène. Je suis là, dirigeante d'entreprise mature, agenouillée devant une cuvette de WC dans des toilettes pour hommes, m'apprêtant à sucer un stagiaire. Mais je dois faire preuve de l'enthousiasme nécessaire pour réussir ce défi.

Mon Dieu, je me sens plus dévergondée que jamais, plus salope que jamais. Mon cœur bat la chamade quand je me mets au travail pour faire plaisir à ce bâtard. C'est vraiment contradictoire. J'essaie au maximum de garder ma force de volonté intacte. Pourtant je suis bien décidée à lui faire plaisir au maximum.

Je place ma tête sur sa bite bien raide et j'ouvre les lèvres. En récupérant de la salive, je pousse ma langue. Je laisse ma bave tomber sur sa bite jusqu'à ce que ma langue soit connectée avec son gland par des filaments de salive. C'est vraiment une image obscène.

Puis en baissant la tête, je commence doucement à lécher la hampe de Daniel. Je glisse ma langue tout le long de son membre et je la tourne autour de son gland. Je ne m'arrête pas avant que chaque centimètre de sa peau ne soit mouillé et luisant. Puis je baisse encore plus ma tête et je m'intéresse à ses couilles. J'aspire celle de droite dans ma bouche et je laisse ma langue travailler dessus. Puis je la laisse sortir de ma bouche pour m'occuper de celle de gauche de la même façon. Quand j'ai fini avec ses couilles, elles sont brillantes et bien polies.

Ensuite je remonte ma tête en faisant glisser ma langue tout le long de sa hampe. Puis je place mes mains sur chacune de ses cuisses et je prends une profonde respiration. La seconde suivante, je baisse la tête et j'empale mon visage sur sa queue. Je la laisse glisser en profondeur jusqu'à ce qu'elle frappe l'entrée de ma gorge. Je ne m'arrête que lorsque je ressens un réflexe nauséeux.

Néanmoins, j'ai les deux tiers du sexe de mon stagiaire dans la bouche. Je serre mes lèvres douces et veloutées autour de sa tige et je fais tournoyer ma langue autour de son gland. J'entends Daniel gémir doucement en réponse. Bien, je suis sur la bonne voie. Si je continue comme ça, il ne va pas tenir longtemps et j'en aurais fini pour la journée.

Mais l'environnement autour de moi commence à m'atteindre. Inconsciemment, j'enlève mes mains des cuisses du jeune latino. Ma main droite tombe sur mon entrejambe tandis que ma main gauche se pose sur mes seins. Je halète sur la bite du latino quand j'enfonce un doigt dans ma chatte.

Bon sang, je suis encore humide. Mon doigt glisse plus profondément. Je me maudis une fois de plus pour m'être trahi pour la deuxième fois dans la journée. Mais je ne retire pas mes mains de ma chatte ou de mon sexe.

Lorsque j'avais posé mes mains sur les cuisses de Daniel, je lui avais carrément laissé le champ libre et il en avait fait bon usage en saisissant mes cheveux châtains et en les utilisant comme une poignée. Ce voyou commence à pousser ma tête de haut en bas, faisant glisser ma bouche le long de son membre raide. Il augmente le rythme jusqu'à me baiser le visage avec sa bite. Des gargouillis sortent de mes lèvres lorsque je commence à étouffer sous l'effet de la baise violente.

Une bave blanche avec des petites bulles commence à couler de mes lèvres le long de sa queue et tombe sur ses couilles. Pour éviter la bave je serre mes lèvres autour de sa bite, donnant encore plus de plaisir à Daniel. Quand finalement je réussis à endiguer la salive qui coule de ma bouche, le latino tire sur mes cheveux et libère sa bite de ma bouche.

Il ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle et ramène rapidement ma bouche sur son sexe. Cette fois cependant, il poignarde son outil dur contre ma joue droite, la faisant gonfler. Ça doit être si ridicule et obscène que le gonflement de ma joue fait hurler de rire Daniel.

Gauche droite, gauche droite, gauche droite.

Le gland de sa grosse bite s'enfonce dans mes joues, ce qui les fait gonfler de façon obscène. Et il ne peut s'empêcher de rire à ce spectacle comique. Finalement, il étire ma joue droite jusqu'à ce que sa queue glisse de ma bouche avec un son incongru qui le fait encore plus hurler de joie.

PLOP PLOP PLOP

Il recrée le son en étirant mes joues jusqu'à ce que je commence à pleurnicher. C'est incroyablement humiliant. Ça ne peut pas lui donner beaucoup de plaisir mais c'est fait pour me dégrader. Il ne sait vraiment plus comment me montrer que je ne suis qu'un jouet pour lui. Pire encore, je ne suis qu'un objet de bureau, lui laissant libre mes trous pour son divertissement sans poser de questions sur l'heure et le lieu.

Pourtant je ne suis pas un jouet. Je suis une cadre d'entreprise. Je dirige un département avec un certain nombre d'employés. Quelle contradiction!

Mais cette contradiction me fait plonger mes doigts dans ma chatte bien humide et me fait tirer brutalement sur mes tétons bien durs. Je sens l'excitation monter. Je m'approche du point de rupture. Encore un peu et la vague d'un orgasme va me submerger.

Finalement, Daniel repousse sa queue de ma bouche et commence à pousser ma tête de bas en haut. Il utilise ma tête comme un trou de baise, comme s'il baisait une poupée gonflable. Ce sale bâtard aime bien être rude et violent.

- Il est temps de partir!

J'entends soudainement une voix familière crier. Ces mots sont accompagnés du son de la porte des toilettes qui s'ouvre. Mes yeux s'écarquillent et je manque de mordre la bite de Daniel.

- Oui c'est l'heure! Répond une autre voix.

Deux hommes entrent dans les toilettes. Je reconnais leur voix. Ils sont tous les deux membres de mon département. Le premier est Damon, le subalterne qui a bien vu ma poitrine aujourd'hui. L'autre est un employé relativement nouveau qui s'appelle Eric.

A tout moment ils peuvent aller plus loin dans la rangée des cabines. Ils sont sur le point de voir mes jambes. Hystériquement, je commence à me débattre pour essayer de tirer mes jambes dans la cabine. Mais l'espace étroit me laisse peu de place.

- Tu ne vas pas croire ce qui m'est arrivé aujourd'hui! Dit Damon à son collègue.

Ils se rapprochent. Ça ne va prendre que quelques secondes avant que je perde tout. Dans la panique je ferme les yeux.

Puis je sens une traction s'exercer sur mes épaules. Daniel me tire du sol et m'assoit sur ses genoux. Instantanément je jette mes bras autour de son cou et je m'accroche fermement. Je tremble de partout.

- J'ai vu les seins de la patronne aujourd'hui! S'exclame Damon dans l'intervalle.

Ses mots font que je tends l'oreille de curiosité. Il ne peut que parler de moi. Après tout je suis la directrice de son département. Bon sang , quel stupide bavard!

- Non je te crois pas. Répond Eric avec incrédulité.

Et il ajoute :

- Nous parlons de la même chienne dans la société n'est-ce pas? La salope qui a un bâton dans le cul et qui s'habille toujours de la manière la plus sévère possible. c'est ça?

« Chienne? Salope? Un bâton dans le cul? Quel connard! Attendez de voir quelles tâches amusantes je vais vous attribuer à tous les deux. » Pensé-je tout en me blottissant sur les genoux de Daniel. c'est un peu incongru de penser à punir mes employés alors que je suis assise sur les genoux d'un stagiaire comme une petite écolière, n'est-ce pas? Mais je suis toujours la patronne ici.

- Exactement! Cette garce complètement coincée! Je te promets!

Ensuite Damon raconte son histoire alors qu'ils passent tous les deux devant notre cabine et s'arrêtent aux urinoirs.

- Je ne sais pas ce qu'il se passe avec elle. Mais aujourd'hui elle ne portait pas sa tenue habituelle de fille coincée qui ne pense jamais au sexe. Elle ne portait pas de soutien-gorge mec! J'ai eu une vue complète sur sa poitrine.

- C'est pas vrai! Dit Eric qui ne semble toujours pas convaincu.

- Je te le dis, notre patronne a des nichons d'enfer.

Les deux éclatent de rire. Tout en continuant à pisser ils échangent des descriptions colorées de mes seins. Leurs rires salaces remplissent les toilettes.

- De gros melons bien murs, ahaha!

- Un pare-choc de compétition! Ahaha!

- Des mamelles de grosse vache! Ahahaha!

- De vrais obus à ne pas se prendre dans la gueule! Ahahaha!

Je dois retenir mon souffle pour ne pas grimacer à chaque terme vulgaire. Je suppose que je ne pourrais jamais plus les regarder dans les yeux sans rougir profondément.

Finalement ils partent, nous laissant à nouveau seuls, Daniel et moi. Mais pour combien de temps? Au moment d'arrêter le travail, les toilettes sont généralement surchargées, car tout le monde veut se soulager avant de rentrer à la maison.

Je dois faire jouir Daniel rapidement! Je descends très vite de ses genoux et me replace sur le carrelage froid. Je ne pense même plus à l'état de propreté des toilettes homme. De toute façon, la situation dans laquelle je suis est beaucoup plus sale. Cependant quand je veux attrapé sa queue, Daniel m'arrête subitement et s'exclame!

- Allez Miss Pute de Bureau, après cette discussion exhibe les!

Zut, ce putain de bâtard n'a pas oublié la conversation de mes deux employés. Mais je ne dis rien. Je me redresse et je mets mes seins en coupe avec mes mains pour son plus grand plaisir. Je les soulève et je les fais rebondir. Ensuite je saisis mes gros nichons sur le côté et je les presse ensemble. Me penchant en avant, je frotte doucement mes tétons bien durs sur sa queue dressée.

- Ouais, très bien petite Pute de Bureau. Mais tes seins ont besoin d'un nom. Lequel choisis-tu? gros melons bien mûrs, pare-choc de compétition, mamelles de grosse vache ou vrais obus à ne pas se prendre dans la gueule?

Oh mon Dieu, qu'est-ce qu'il me demande maintenant? Toutes ces dénominations sont plus humiliantes l'une que l'autre. Chacune est vulgaire et chacune me fait grimacer. Je réfléchis sur ces expressions. Mais aucune ne me plaît. Je ne peux pas laisser Daniel en choisir un. J'ai déjà assez de mal à ce qu'il m'appelle Miss Pute de Bureau tout le temps.

- Gros melons bien mûrs Monsieur Daniel. Dis-je enfin, ayant fait mon choix.

- Bien! C'est comme ça que tu appelleras tes seins dorénavant Miss Pute de Bureau. Tout autre terme est banni. Tu comprends petite salope?

- Oui Monsieur Daniel! J'espère que vous aimez les gros melons bien mûrs de votre Pute de Bureau. Répondis-je gentiment.

Waouhhh, je sens que ma volonté m'échappe face à cette dégradation. Pourtant ça augmente l'excitation de ma chatte déjà dégoulinante. Toutefois ce n'est pas une excuse. Je dois m'empêcher de sombrer plus profondément dans ce rôle de soumise.

Daniel est visiblement satisfait du comportement de son animal de compagnie. Du moins c'est ce que je déduis de son sourire. De toute évidence, l'interruption de mes employés lui avait envoyé une décharge d'adrénaline. Et ça l'a amené près de la jouissance. Il peut à peine se retenir plus longtemps.

Il se lève de la cuvette des WC et se place devant moi. S'élevant au-dessus de ma petite silhouette agenouillée, il attrape mes cheveux châtains et me plaque contre la porte de la cabine. Je ne peux pas m'échapper. Daniel pousse sa queue dure en avant et l'enfonce profondément dans ma bouche. Il se fout pas mal que je vomisse. Il pousse sa bite aussi profondément que possible dans ma gorge. Quand le manche long et épais de son sexe entre dans ma gorge, je bafouille et j'étouffe pitoyablement.

Le latino me baise la bouche comme s'il s'agit d'une vraie chatte, mais il ne dure pas longtemps. Il entre encore quatre fois dans ma gorge avant que sa bite explose. Giclée après giclée, il inonde ma gorge et ma bouche de son sperme chaud et crémeux. Une partie de son foutre descend directement dans mon ventre.

Après quelques jets de semence, Daniel retire sa queue de mes lèvres pour asperger mon visage. Je crie de surprise lorsque le premier tas de sperme touche ma joue gauche. Il me semble qu'il ne va pas s'arrêter de jouir. C'est une énorme éjaculation. Il m'enduit les deux joues et l'arête du nez de sperme épais et visqueux avant que ses couilles soient vides.

Mon visage est couvert de sperme. Il est trempé. Quelle puissance a ce jeune latino!

- Le défi de la journée est rempli. Il est temps de rentrer à la maison mon petit animal de compagnie.

Il ouvre la porte de la cabine sans attendre ma réaction. Je dois ramper vers les lavabos à quatre pattes alors que je sens son regard sur mon cul nu. Toutefois je veux laver mon visage. Mais quand je me redresse et que j'ouvre le robinet d'un lavabo, Daniel m'arrête.

- Ma semence reste sur ton visage Miss Pute de bureau. C'est mon cadeau. Porte-le fièrement ma petite salope. Déclare-t-il d'une manière arrogante et désinvolte.

Je le regarde, incrédule. Après tout ce qu'il m'a fait, c'est la pire chose. Comment suis-je censé retourner à mon bureau? Je ne peux pas rester dans les toilettes pour homme éternellement.

Mais mon stagiaire ne se soucie pas de ces détails mineurs. Il se borne à sortir des toilettes, les mains dans les poches. Je m'attends presque à ce qu'il commence à siffler en s'éloignant. Il agit comme si rien n'était arrivé. Cette saloperie de bâtard a définitivement trouvé le moyen de m'énerver. Mais je n'ai aucun mayen de contourner le problème. Je dois sortir des toilettes avant que quelqu'un n'y entre.