Carnaval Ch. 02

Informations sur Récit
Une nuit torride avec un couple inconnu
3k mots
4.7
3.4k
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/13/2023
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Jamais je ne me suis senti désiré, cela me trouble tellement, je me sens palpiter. Une fois la porte fermée, Françoise me saisit par les cheveux et m'embrasse d'un baiser torride. Je plane complètement. Je sens Marc se coller contre moi, sa queue déjà dure entre mes fesses, cela me trouble terriblement. Je n'ai jamais même touché une queue, et celle-ci, ce soir me fait envie! Il sort mes seins du corset, les pétrit, pince les tétons, je gémis tellement c'est bon. Madame presse ses mains sur ma taille, descend sur mes fesses, remonte doucement ma jupe en cuir pour les dénuder. Elle plante ses ongles dans ma chair, me faisant frissonner de plaisir. Elle rit de voir mon sexe, si petit, ne pas réagir. Et pourtant je suis rempli de désir et d'envie, mais il est vrai que ce désir n'est pas descendu jusqu'à lui.

Ma jupe est otée, comme mon chemisier, ils me font tourner, me pencher, je les entends parler de moi, cela m'excite cette passivité, d'être l'objet de leur désir. Ils évaluent ma poitrine à un petit C, étonné que le traitement n'ait commencé qu'il y a trois mois, Monsieur pense que je devrais obtenir une belle poitrine D, même si pour l'instant sa forme ne me plaît pas beaucoup. Mon string suit le même chemin, Marc regarde ma cage et décide que le cadenas n'est pas très sérieux. J'en suis d'accord. Avec un simple tirebouchon il le fait sauter il demande à sa femme de prendre le cadenas de sa valise, un Louis Vuitton, qui résistera autrement mieux. Mais dont je ne possède pas la clé. Il l'enfile et le met en place sans le fermer, m'indique qu'ils souhaitent le sceller, qu'ainsi je serais à eux, mais que c'est à moi de le fermer. Je suis chaviré et sans hésiter, ni réfléchir je le ferme, scellant mon sort. Ils s'embrassent passionnément avant de m'allonger sur le lit juste vêtu de mes bas et mon corset, et ma cage donc bien fermée.

Madame est en guêpière et bas blancs. Je suis fasciné par son corps, dense, musclé, puissant. Mais surtout par les anneaux qu'elle porte aux tétons ou aux sexes, dorés, lourds, épais. Sur le pubis, un serpent qui se mange la queue et dans le dos un dragon dessiné en mille couleurs. Elle est intimidante. Monsieur se met nu, il est svelte avec un léger duvet de poils noirs d'un très bel effet, musclé, entretenu. Son sexe est plus gros que le mien, pas l'actuel, mais le normal, et me semble très beau. Le prépuce est découvert, il est dur, horizontal.

- Tu n'es pas vraiment un homme, tu es d'accord, tu semble toute douce, féminine, sensible

- Non Monsieur, c'est vrai

- Mais tu n'es pas une femme bien entendu

- C'est vrai, Madame, même si je fais tout pour, je ne serais jamais une femme

- Et qu'est-ce-qui te manquerait?

- Oh la beauté des femmes, mais surtout leur façon d'être des reines, ayant le pouvoir de procréer, je crois que cela fait la femme

- Intéressant, mais alors ni homme ni femme?

- Je suis ce que vous voudrez

- Je pense Françoise que c'est une chienne, tu ne crois pas?

- Oui absolument, une femelle, une chienne, c'est exactement cela. Tu veux être notre chienne?

- Oui Madame (Je n'ai même pas pris conscience que je les appelais Monsieur et Madame, ils m'impressionnent bien plus ici qu'au bar)

- Il faudrait lui donner un nom!

- Natacha?

- Non cela fait hôtesses de l'air je trouve

- Nala?

- Ah oui, très bien Nala. Maintenant tu es Nala, tu veux bien?

- Oui Madame, tout ce que vous voudrez

- Tout ce que je voudrais? Malheureux, tu n'as pas idée de ce que je peux vouloir.

- Vous me comblez tellement, vous ne pouvez pas savoir

- A découvrir que tu es une petite chienne et non un mâle comme tu le prétends.

- Oui (je murmure)

- Alors qu'attends tu? Pour t'occuper de Monsieur?

Je les regarde tour à tour, je ne fais pas semblant de ne pas comprendre, je sais exactement ce qui est attendu de moi. Et dont j'ai envie à cet instant. Mais je suis intimidé. Je viens à 4 pattes au bord du lit, je descends et me mets à genoux aux pieds de Monsieur qui me domine de toute sa stature. Je prends son sexe en main, une sensation étrange, différente de mon propre sexe que je n'ai pas tenu si dur depuis longtemps. Je sors la langue, je lèche son prépuce, pas trop longtemps, j'engouffre son membre dans ma bouche, surpris d'avaler si peu de sa longueur. Ma langue lèche son frein (j'adore cela) et j'aspire pour lui donner plus de sensation. Mes mains ne sont pas inactives, l'une masse sa tige, l'autre ses couilles, très doucement. Il saisit ma tête, pour me faire aller et venir, je perds le contrôle. Il s'enfonce plus loin, je manque perdre le souffle, je fais tout pour ne pas réagir. Il accélère le rythme, m'utilise, me saisit par les oreilles, je suis concentré à ne pas perdre l'équilibre, l'exercice est pénible, humiliant. Pourtant je sens des picotements d'excitation dans mon ventre, il m'utilise et j'aime cela. Il se retire avant d'avoir éjaculé et explique à Françoise que j'ai besoin d'être formée. Je pleure de l'avoir déçu, je n'arrive pas à retenir mes larmes, mais ils ne viennent pas me consoler. Françoise me demande de venir m'occuper d'elle, voir si je suis moins mauvais.

Je sèche mes larmes, et je rampe sur le lit vers ses jambes écartées, montrant un sexe volumineux, couvert d'anneaux. Le clitoris n'est pas en reste, au moins je ne risque pas de le rater. Je lèche doucement au-dessus, autour, tandis que mes mains caressent ses cuisses, ses fesses. Elle ondule très vite, presse mes lèvres contre elle. Je descends ma langue pour laper son jus, que j'adore trop, j'aurais envie de la boire sans fin. Mon nez caresse son clitoris, cette fois c'est elle qui m'utilise. J'essaie de glisser un doigt entre ses lèvres, il pénètre son sexe dégoulinant, je l'entends approuver, alors je continue, tandis qu'elle jouit bruyamment. Je suis épuisé.

C'est alors que je sens deux mains sur mes fesses. J'ai toujours le visage entre les cuisses de Françoise, qui les a refermées, comme pour me bloquer. Mais je ne fais rien pour fuir. Je sens une légère pression sur mon sphincter, je suis entre l'excitation et la panique. Je ne suis pas venu avec un couple sans savoir que cela arriverait. Madame me demande si j'en ai envie, je hoche la tête. Mais elle veut m'entendre le dire, elle veut que je supplie Marc de m'enculer. Je lui obéis, je m'excite à m'entendre, je m'excite des photos qu'ils prennent et de la vision que je dois offrir. Je leur dis quand même que je suis totalement vierge.

Madame se lève alors, me laissant seul allongé sur le lit. Je la vois revenir portant une culotte en satin avec un mince sexe en silicone, noir, pénis factice. Comme je suis vierge, elle va me prendre avant Monsieur, chacun aura ainsi sa défloration, elle avec un olisbo, lui avec un sexe d'homme. Je leur suis tellement reconnaissant de toutes leurs attentions. Cela les fait rire.

Elle se positionne à genoux derrière moi, un doigt enduit de crème, elle fait le tour de mon anus, pèse doucement dessus, sans l'enfoncer. Je le sens qui se détend, sans effort qui s'ouvre, elle continue les mouvements circulaires, j'espère à cet instant être propre. Bientôt je n'y penserai plus. Le premier doigt est à peine enfoncé, un second le rejoint. La première sensation désagréable est remplacée par une émotion très forte, j'ai envie de pleurer, je pleure d'ailleurs de plaisir, je les remercie, mon plaisir est divin. Les deux doigts massent mon anus de façon plus profonde et large, je le sens souple et offert. Quand ils se retirent, c'est un manque, vite comblé, Madame appuie le bout de son petit gode sur l'anus déjà ouvert. Le début rentre presque sans que je ne sente rien. Elle appuie, je le sens coulisser, en va et vient lent, il s'enfonce de plus en plus, j'ai le souffle coupé. Je ne ressens aucune douleur, juste cette plénitude de la sentir me remplir. Sans sortir de moi, elle me fait mettre à 4 pattes, pour me prendre plus profondément. Monsieur se met en face de ma bouche pour que je le suce en même temps.

Les mouvements de Françoises s'accélèrent, je gémis sans faire attention, tout en léchant Marc, maladroitement, mais cela semble lui plaire. Aussi la vision de sa femme dont les lourds seins ballotent de plus en plus alors que son rythme devient endiablé. Je la sens qui devient complètement extatique, qui m'insulte en tant que chienne à bite, qu'elle va me dresser, faire de moi une pute à chantier, qu'elle va ouvrir mon cul pour que je sois pris par un cheval. J'adore tout ce qui vient d'elle, je suis, à cet instant, complètement à eux et ne rêve que de pouvoir réaliser leurs fantasmes.

Epuisée elle s'écroule sur moi, je sens sa sueur, les anneaux de ces tétons. Elle est restée profondément fichée en moi, mais je ne la sens presque pas. Elle griffe doucement mes flancs, m'envoyant des décharges électriques, tandis que je reste appliqué à lécher Monsieur qui n'a toujours pas joui. Quand enfin elle se retire, ils changent de place avec Monsieur, et je me retrouve avec sa chatte couverte de sueur dans la bouche. J'ai hâte maintenant d'être vraiment défloré, de devenir une réelle femelle. Je n'en ai aucune honte, au contraire, je pense tellement que c'est ma place. Le poids sur le lit est plus important, les mains plus fermes sur mes hanches écrasées par le corset. Je sens son sexe appuyer, ouvrir, déflorer mon cul, sans répit, il s'enfonce peu à peu, j'ai à nouveau le souffle coupé. C'est long, c'est gros, c'est chaud, c'est si dur, c'est si agréable. Je le sens tout au fond de mon ventre, tandis qu'il se met à me limer longuement régulièrement, de toute la longueur de son sexe. Cela provoque des fourmillements insupportables sur mon propre pénis, j'ai l'impression que je vais uriner, ou bien jouir, mais rien ne se passe. Cela dure si longtemps, je lèche Françoise de façon totalement désordonnée, je ne suis qu'un énorme gémissement. Je sens mon sexe couler, je suis honteux, mais je ne peux rien y faire.

Et puis Monsieur se retire presque totalement, il joue juste avec mon anus, l'ouvrant et le fermant à grande vitesse. La sensation est terrible, terrifiante, il me faut toute ma concentration pour ne pas m'écrouler ou chercher à m'enfuir. Il n'arrête pas, veut casser mon cul, je veux bien le croire. Quand enfin il plonge profondément en moi c'est un soulagement. J'ai mal partout, tout mon corps est crispé, Madame choisit ce moment pour jouir de ma déconvenue, Monsieur se lâche enfin. Je regrette de ne rien sentir de ses jets de sperme, mais ses spasmes ne me trompent pas. Je m'écroule complètement cassé.

Après un temps Monsieur et Madame se servent une coupe de champagne, je n'y ai pas droit, je m'en moque, je veux juste dormir, je n'en peux plus. Avec un grand sourire Madame m'explique qu'une chienne comme moi ne dort pas dans un lit mais par terre aux pieds de ses Maîtres. J'en suis bien d'accord, je suis leur chienne, j'en suis terriblement fier. Fière me dit-elle, je ne dois plus penser qu'au féminin. Le room service apporte une seconde couette, je m'allonge aux pieds du lit, du côté de Madame, sur l'épaisse moquette. Je suis épuisé mais je n'arrive pas à dormir. Epuisée plutôt. Je flotte, je plane, je suis terriblement bien. Quelle nuit! Monsieur et Madame parlent de moi, je n'entends pas vraiment, je suis juste sidérée qu'ils s'intéressent à moi.

Je réalise que je suis toujours en corset aussi serré, je prends la liberté de me desserrer discrètement, cela fait un bien fou. Je caresse mes couilles et mon sexe ainsi enfermé, terriblement excité de ne pas posséder la clé. Plein de pensées paniquantes viennent à moi, comme comment je vais me libérer, ce que je vais dire aux filles, comment je vais faire lundi au boulot, mais elles sont aussitôt repoussées par un vent de bonheur que je n'ai jamais connu. Quelles que soient les conséquences, je devais vivre cela, je suis à ma place. Je pense à ma dermato, que va-t-elle penser de cela? J'ai une grande gratitude vis-à-vis d'elle. Je me souviens qu'elle voulait m'épiler le crâne également. Je ne me souviens plus pourquoi j'avais refusé, c'est une telle évidence.

Je suis réveillé par un grand soleil dans la pièce, Monsieur m'ordonne de monter sur le lit. Son érection du matin est impressionnante et sans qu'il soit besoin de me dire, je commence à le lécher doucement, et sur une pression de sa part, je me retourne et lui offre mes fesses. J'espère qu'il ne va pas réaliser que j'ai desserrer le corset. Il lubrifie mon cul, et me pénètre d'un coup comme hier. Mais ce n'est pas du tout la même histoire, la douleur me déchire et m'arrache un cri de surprise, mon anus est terriblement douloureux du traitement de la veille, et je sens de petites plaies qui piquent. Il n'en a cure, et il faut quelques minutes que ces douleurs s'évacuent et que je retrouve le plaisir et les sensations de la veille. Je n'ai pas le temps d'en profiter, il jouit très vite et me repousse sans un mot. Je me retourne pour lui lécher le sexe, comme un signe d'absolu soumission ce qui semble lui plaire.

Il me demande alors de me mettre à 4 pattes devant lui, d'ouvrir la bouche. Avec effroi je comprends ce qu'il veut faire, mais je n'ai aucune capacité de réaction. Je me concentre, me déconnecte, déjà le jet arrive. Je déglutis aussi vite que possible, je le sens qui régule son débit. Le goût est acre, et une décharge électrique me traverse. Tous mes muscles se tendent, je sens comme une jouissance de mon corps dans l'avilissement qui m'est proposé. J'ai la tête qui tourne de me découvrir traité de façon aussi humiliante et sans égard. Je suis heureux, j'ai tout bu et fait aucune tache, il me traite de bonne chienne, que comme je suis une chienne je ne dois pas parler, juste faire des signes de la tête, que de toute façon je n'ai rien d'intéressant à dire, ils ont pu le constater. Mon Dieu, pourquoi je tolère cela, pourquoi je sens une telle excitation dans mon ventre. Je pense à cet instant à mon traitement que je dois prendre. N'avais-je pas prévu de l'arrêter? En même temps j'avais acheté des stocks vraiment importants. Je suis perdu, complètement perdu. Et pourtant à ma place, je le sens.

Madame sort de la salle de bain, nue, magnifique, Monsieur lui annonce que je suis une bonne buveuse de pisse, à ma grande honte. Je ne dis rien, il n'y a rien à dire et surtout je ne dois pas parler. Madame vient vers moi, présente ses fesses, les écartent et m'ordonne de lui lécher le cul. Elle veut savoir si je suis une bonne lécheuse de cul et si je ferai un bon papier toilette! Mais non, je suis une chienne. Qui obéit pourtant, et avance sa langue vers ce cul, tout propre il est vrai. La sensation sur la langue est étrange, franchement agréable. Je la pointe, pour pénétrer un peu le cul de Madame, qui soupire d'aise. Me retournant, elle constate que le corset n'est plus aussi serré. Je sens de la colère dans sa voix et son regard. Une vraie colère, elle ne joue pas. Je ne dis rien, je baise ses pieds pour implorer son pardon. En vain.

Elle me serre elle-même, bien plus fort que je ne l'ai jamais fait. A quatre pattes sur le lit, elle va chercher la ceinture de Monsieur qui prend sa douche, et, de rage, me cingle les fesses. Je crie et m'allonge sous le premier coup, ne faisant qu'aggraver son courroux. Je me concentre, je m'offre, les coups sont puissants, la brûlure passe vite, les fesses chauffent, les coups pleuvent, je pleure toutes les larmes de mon corps. Quand Monsieur sort, il me retrouve les fesses et les cuisses zébrées de marques noires et violettes, et approuve la correction infligée par sa femme. Il est ravi de voir comme mon anus est ravagé. Je pleure de honte et d'épuisement, je voudrais les remercier de tout ce qu'ils font pour moi. Madame vérifie comme la cage est bien fermée et solide, et ils repartent de l'hôtel me laissant là, effondré et tellement rempli.

Je manque de recul pour analyser tout ce qui s'est passé, je sais juste que j'ai passé un cap, que j'ai touché plein de choses sensibles chez moi. Je récupère mon portable, les filles m'ont envoyé plein de messages, apparemment elles ont été très sages. Je décide de leur dire l'essentiel, comme si j'avais besoin de m'assurer que c'était bien vrai, et ne pas perdre mon souvenir. Elles sont sidérées, voudraient des photos, mais je n'en ai pas. C'est à cet instant que j'ai réalisé que je n'avais aucune coordonnée du couple, et réciproquement. Je ne sais même pas dans quelle ville ils habitent, ni même si c'est leur vrai prénom. Je pleure de me sentir abandonnée, ils m'ont tellement donné, mais tellement. Ils ont ouvert tant de portes en moi!

J'enlève le corset et mes bas pour me doucher, mes fesses sont salement marquées, j'aime cela, j'aime tout en fait. Je réalise que j'ai une cage avec un cadenas et sans aucun contrôle sur la clé! C'est le cadet de mes soucis. Je me douche longuement, je me refais une beauté, je dois rentrer en femme avec mon joli imperméable rose. J'adore son odeur, j'adore mon petit sac, j'adore être appelée Nala.

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2 Commentaires
Vanessatv30Vanessatv30il y a 8 mois

Dommage que ça s arréte "en queue de poisson " ,si je puis dire ... Espérons une véritable suite rapidement ...V

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Super suite, j'attends le reste de l aventure avec impatience et espère qu elles seront nombreuses.....

Merci

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