Bonnie Se Fait Partouser Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Dès la découverte du grave problème de santé de monsieur Bently, Bonnie avait tout de suite téléphoné à la réception pour leur demander d'appeler une ambulance les avisant que son patron avait une crise cardiaque.

Une fois cela fait Bonnie avait réalisé qu'il ne serait sûrement pas bon pour elle que l'on apprenne que la crise cardiaque de monsieur Bently avait eu lieu lors d'une relation sexuelle avec une femme, qu'il était en train de baiser avec elle à cet instant fatidique.

Elle alla chercher un gant de toilette humide dans la sale de bain de la chambre pour laver le sexe de son patron, nettoyant les restes de semence et de cyprine qui le couvrait, puis elle lui avait remis son caleçon et le pyjama qu'il portait un peu plus tôt.

Avant de prendre un taxi pour suivre l'ambulance, elle s'était rendue à la réception pour obtenir une chambre séparée pour elle-même, histoire de sauver les apparences.

Elle s'empressa de transférer ses affaires dans sa chambre puis elle se rendit à l'hôpital pour donner les coups de fil nécessaire pour informer le cabinet de l'attaque cardiaque de monsieur Bently.

La mise en scène était suffisante pour qu'ils croient tous qu'il avait eu une crise cardiaque alors qu'il se trouvait seul dans sa chambre.

Lorsque son fils et un de ses partenaires vinrent emballer les affaires de monsieur Bently qui se trouvaient dans sa chambre, pas un ne se douta de ce qui s'était vraiment passé.

Les funérailles terminées, Bonnie se trouvait profondément plongée dans ses pensées en se remémorant l'excitation de son patron lorsqu'ils étaient arrivés dans cet hôtel et que Bonnie avait demandé les clefs de la suite réservée à monsieur Bently.

Le vieux bonhomme l'avait fixé surpris en entendant cela et elle l'avait senti trembler d'excitation lorsqu'elle lui avait pris la main alors qu'ils prenaient l'ascenseur.

Une bouteille du vin préféré de monsieur Bently avait été mise dans le seau à glace avant leur arrivée, le vieux gaillard avait ouvert la bouteille et servit leurs deux verres en un rien de temps.

Le vieux schnock n'entendait pas perdre de temps, et sa main s'égarait déjà sur ses longues jambes gainées de nylon, les caressant de la cheville à l'entrejambe d'un lent mouvement lascif.

Très rapidement ses mains qui étaient montées sous sa jupe entreprirent de rouler ses collants bleus marines sur ses cuisses.

Alors qu'il continuait à la caresser lascivement Bonnie réalisa qu'il était fétichiste des longues jambes sexy en sentant monsieur Bently s'emparer de son gros orteil qu'il se mit à sucer voluptueusement avant de lécher l'espace entre ses orteils puis de prendre l'orteil suivant en bouche.

Il les mignota un orteil après l'autre, avant d'engouffrer les cinq doigts de pied réunis dans sa bouche puis de s'occuper de l'autre pied et de lécher ses soyeuses plantes de pied.

Puis centimètre après centimètre il traça son chemin partant des chevilles, pour remonter sur ses mollets, ses cuisses avant d'atteindre le petit trésor doré situé entre ses cuisses.

Comme le vieux schnock frottait son visage ridé contre dans sa toison parfumée Bonnie verrouillait ses pieds couverts de salive dans son dos histoire de l'encourager alors qu'elle pesait de la main sur sa nuque.

Dans leur cabinet elle avait entendu dire que monsieur Bently employait une langue experte devant les tribunaux, mais elle réalisait maintenant que cette sentence pouvait aussi s'appliquer à son art du cunnilingus.

- Oh monsieur Bently... Oh oui...Ouiiiiiiiiiii... Oh bouffez-moi la chatte! Bouffez-moi le gazon! Ahhhhhhhhhh..... Pantelait-elle s'arquant pour mieux se livrer à ses caresses.

Et lorsque le vieillard si talentueux s'empara de son clito sensibilisé il propulsa Bonnie dans l'espace alors qu'elle hurlait :

- Je... Je jouis... Je jouissssssssssssssss... Oh oui... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii...

Défaillante, extasiée, Bonnie, allongée sur le sofa sentit le vieil homme se débrouiller pour la transporter sur le grand lit.

Une fois qu'il l'eut dépouillé de sa robe et de son soutien-gorge, elle gisait sur le lit dans sa glorieuse beauté alors que son talentueux fellateur se déshabillait prestement.

Bras grands ouverts, Bonnie l'accueillit chaleureusement lorsqu'il s'allongea sur le lit la caressant tendrement.

Si elle exceptait les troubles dus à l'âge de monsieur Bently bien qu'ill. veuille se repaître activement de ses charmes, Bonnie se trouva fort surprise de le voir si vaillant, se comportant en jeune homme impatient.

Il la martela pendant quinze bonnes minutes lui procurant le meilleur de sa vie, une chevauchée dont elle se rappellerait longtemps encore.

Pistonné au point de succomber à un intense orgasme, Bonnie boucla son bras dans son dos et serra ses cuisses sur son buste alors qu'il éjaculait profondément dans son intimité avant de s'écrouler épuisé sur elle.

Crispant ses muscles vaginaux sur sa bite elle le traya véritablement extirpant jusqu'aux dernières gouttes son fluide génital.

Somnolant légèrement alors qu'elle digérait ce violent orgasme qui venait de la terrasser, elle cligna des yeux alors que la bite de monsieur Bently glissait mollement hors de sa caverne brûlante.

C'est alors qu'elle prit conscience du problème en sentant le vieux schnock gésir sans réaction entre ses cuisses charnues, elle comprit alors qu'il avait succombé à une crise cardiaque en l'honorant de ses faveurs.

Deux semaines plus tard, alors qu'elle se reprochait encore le décès de monsieur Bently, Bonnie se sentait si coupable en regardant son beau-père se demandant si lui aussi rêver de coucher avec elle.

Lors de la visite habituelle que leur faisait son beau-père une fois par an pour passer une semaine en leur compagnie, il en profitait pour se livrer à quelques travaux de bricolage autour de la maison.

Le détaillant alors qu'il était assis dans le salon sirotant une boisson fraîche qu'elle venait de lui tendre, Bonnie se gourmandait d'avoir de telles pensées, se disant en son fort intérieur :

- Comment puis-je penser à de telles choses? Il a 66 ans! Quand je repense à ce qui s'est passé avec monsieur Bently... Je me sens responsable de sa mort!

Le lendemain matin, alors que Jack était parti faire une partie de golf avec ses copains, Bonnie enlevait sa chemise de nuit pour enfiler une petite robe d'été bleue.

Se mordant les lèvres, elle se livra alors à un acte assez pervers.

Le café passait tandis qu'elle faisait de la pâte à crêpe, beau-papa entra alors dans la cuisine et elle le salua aimablement :

- Bonjour Papy, voulez-vous bien vous servir vous-même votre tasse de café, il est prêt dans la cafetière, j'ai les mains couvertes de pâte à crêpe.

Une fois q'il se fut servi son café, comme il s'asseyait, elle lui demanda :

- Oh, Papy avant de vous asseoir, pourriez-vous aller me chercher mon chandail... Il fait un peu frais ce matin...

Il se trouve sur le fauteuil dans ma chambre...

Le cœur battant la chamade, aussi excitée que honteuse du piège qu'elle avait mis en place, elle attendait les mains toujours plongées dans la pâte à crêpe.

Dès son entrée dans la chambre le regard de beau-papa se porta sur une petite culotte négligemment jetée en travers du lit, il s'aperçut tout de suite que le fond de cette petite culotte semblait décoloré, empesé.

Il s'en saisit pour en inspecter le fond et découvrit qu'il était trempé du jus intime de sa salope de belle-fille qui devait s'être branlée juste avant de descendre dans la cuisine.

En fait, il s'agissait d'une mise en scène habilement composée par sa belle-fille qui était désireuse de savoir si beau-papa la désirait autant que les autres hommes.

La petite culotte de Bonnie avait été disposée soigneusement en travers du lit, à moitié retournée, froissée comme si elle venait de s'en débarrasser, pour attirer l'attention de Papy, il ne pouvait que tomber dans le piège ainsi tendu.

Il tendit la main et en huma les flagrances intimes de chatte en chaleur qui émanaient de la partie poisseuse de jus de chatte.

Il la porta à ses narines s'imprégnant allégrement de ses parfums intimes avant de la reposer sur le lit.

Entendant les pas pressés de beau-papa qui revenait dans la cuisine, Bonnie s'assura que ses mains étaient toujours couvertes de pâte à crêpe, puis elle lui demanda de draper son chandail sur ses épaules.

Comme il s'exécutait Bonnie constatait son essoufflement causé par l'excitation d'avoir manipulé sa petite culotte avant de se hâter de revenir dans la cuisine avant qu'elle se demande ce qu'il pouvait bien le retarder dans sa chambre.

Une fois le petit-déjeuner consommé, Bonnie demanda à beau-papa :

- Pendant que vous tracerez les plans pour l'armoire à chaussures que vous vouliez installer dans les toilettes aujourd'hui, je vais me rendre rapidement au marché pour racheter du café et un plat froid pour le repas de ce midi.

Son jus intime coulait entre ses cuisses qu'elle serrait l'une contre l'autre de façon à ne pas tacher le derrière de sa robe bleue du fait qu'elle ne portait pas de petite culotte.

De retour dans sa chambre elle jeta un oeil sur le lit et sourit en voyant que la petite culotte ne se trouvait plus à la place où elle l'avait soigneusement posée.

Une fois ses cheveux brossés elle se saisit de son sac à main abandonnant sa petite culotte sur le lit, elle se mit en chemin pour se rendre au marché.

Après avoir laissé à son beau-père nécessaire pour qu'il agisse, en revenant du garage vers la cuisine :

- Hey Papy, je suis rentrée!

Il lui répondit toujours assis au même endroit où il traçait des plans sur la feuille de papier sur laquelle il travaillait plus tôt déjà lors de son départ pour le marché, elle remarqua alors qu'il se mettait brusquement à transpirer.

Dans la chambre conjugale Bonnie sourit en notant que la petite culotte se trouvait presque à la même place que lors de son départ, il l'avait vraiment manipulée soigneusement.

Se rendant dans la salle de bain adjacente, Bonnie releva la lunette et sourit malicieusement en se rendant compte qu'elles avaient servi il y a peu de temps, elle le savait car le brin de laine témoin qu'elle y avait déposé avait disparu.

Sa petite culotte à la main elle redescendit à pieds nus le vestibule pour gagner l'endroit où se tenait son beau-père.

Elle savait que l'annonce de la découverte de ses agissements allait l'effaroucher, mais depuis qu'elle avait assisté la crise cardiaque fatale de son patron, Bonnie ne voulait surtout pas le stresser outre-mesure.

Aussi au lieu de respecter son plan initial qui risquait bien trop de l'affoler, Bonnie concocta un plan B tout en s'approchant de son beau-papa.

Elle tendit la main et la posa sur son épaule elle le sentit se raidir et son souffle s'accélérer brutalement alors qu'elle lui disait tout doucement :

- Papy, puis-je vous parler de quelque chose de très personnel?

En l'entendant s'approcher, il s'était figé les yeux rivés sur son plan, espérant que ses agissements pervers n'avaient pas été découverts.

Le cœur battant la chamade, il chercha à se remémorer s'il avait bien pris la précaution de remettre fidèlement la petite culotte à sa place, il était sur de ne pas l'avoir souillée de son sperme lorsqu'il s'était branlé dans l'affriolant sous-vêtement, il avait soigneusement nettoyé les gerbes de foutre qui avaient jaillies sur la lunette, et il avait méticuleusement inspecté le sol pour être sur de ne pas avoir laissé de tracés d'éjaculation.

Alors qu'elle lui caressait gentiment l'épaule et le cou elle lui susurra à l'oreille :

- Papy, vous êtes conduit comme un vicieux petit garçon alors que je faisais les courses, n'est ce pas vrai?

Comme son beau-père tremblait de tout son corps, elle lui fourra sa froufroutante petite culotte sous les yeux en commentant :

- Vous vous êtes servi de ma petite culotte pour vous branler n'est ce pas Papy?

Devant son silence significatif, elle insista :

- Répondez-moi donc!

Elle sentait son corps trembler comme une feuille, alors qu'il hochait la tête admettant qu'effectivement il s'était masturbé dans son sous-vêtement.

L'entendant haleter péniblement, elle laissa sa main descendre dans son dos le massant de ses doigts agiles tout en poursuivant :

- La, la, la Papy... C'est bon... Je comprends... C'est très dur d'être veuf!

Bonnie constata le soulagement de son beau-père, elle sut alors qu'elle pouvait continuer de développer son, plan et lui dit :

- Vous avez vraiment agi comme un vicieux petit garçon lorsque je suis partie! Et les petits garçons doivent être punis lorsqu'ils sont méchants! N'est ce pas vrai papy?

- N'est ce pas Papy? Répondez-moi ou je devrai révéler à Jack vos agissements!

Lui confia Bonnie, un long silence s'ensuivit.

Elle lui fit un signe de tête apaisant en constatant que la menace de révéler à son fils qu'il se masturbait dans ses sous-vêtements le tracassait sérieusement.

- A moins que vous répondiez à chaque question désormais, et que vous me répondiez sincèrement,, j'en aviserai votre fils dès son retour ce soir! Le menaça-t-elle sévèrement.

- Avez vous porté ma petite culotte à votre visage pour en respirer les flagrances?

Le vieil homme répondit affirmativement d'un signe de tête.

- Vous êtes-vous frotté le visage dans ma petite culotte?

Questionna-t-elle ensuite.

Il hocha à nouveau la tête.

- Avez-vous léché vicieusement l'entrejambes?

Nouvel hochement de tête.

- Vous êtes vous servi de la petite culotte de votre belle-fille chérie en l'entortillant autour de votre bite dedans pour vous branler à votre aise?

Il hocha encore la tête.

- Et maintenant vilain petit garçon préférez-vous que je vous punisse moi-même ou que j'en informe Jack? Comprenez vous- ce que je vous dis? Ajouta-t-elle, il fit signe qu'il avait compris murmurant un oui misérable.

- Je pense qu'il faut que je trouve un moyen de vous dissuader de sentir et lécher le fond des petites culottes de votre belle-fille! Annonça Bonnie avant de fourrer l'entrejambes de sa petite culotte sous le nez de son beau-père.

- C'est bien ça que vous vouliez humer? Le fond de la petite culotte que votre bru portait la nuit précédente? Respirez profondément, captez toutes les flagrances de ma petite culotte sale vilain petit garçon! Le gourmanda-t-elle en posant son autre main sur sa nuque pour l'empêcher de reculer la tête.

Puis elle recula la petite culotte de quelques centimètres tout en la gardant sous son nez, elle lui ordonna :

- Et maintenant léchez là!

Une fois le fond de la culotte trempée de salive Bonnie lui enjoignit de la tenir grande ouverte face à son visage.

- Tenez la comme ça! Bien face à vous.

Puis elle fit le tour de la chaise pour se poster face à lui.

Alors qu'il la regardait tout en tenant la petite culotte ouverte, Bonnie leva sa jambe droite, offrant à son beau-père haletant la vue de ses orteils manucurés alors qu'elle l'enfilait dans sa petite culotte.

Puis posant sa main sur son épaule pour ne pas risquer de tomber, Bonnie leva alors sa jambe gauche pour la glisser à son tour dans la petite culotte.

L'affriolant sous-vêtement remonté aux genoux elle lui ordonna :

- Et maintenant remontez la à la bonne place Papy!

Bonnie gagna ensuite l'évier de la cuisine pour y laver la vaisselle du petit déjeuner, jetant un oeil sut sur beau-père elle le prévint :

- Votre punition n'est pas terminée papy! Venez vous asseoir au sol à coté de moi pendant que je lave la vaisselle...

Il obéit timidement, il s'assit à sa droite, Bonnie continuait à laver les bols et les assiettes du coté gauche de l'évier les posant ensuite à sa droite pour les rincer.

Tout en lavant les plats elle commenta :

- Je suppose que je vais devoir garder un oeil sur vous tout le temps désormais... Que feriez-vous si je ne vous faisais pas asseoir à mon coté tandis que je lave la vaisselle... Vous iriez fouiller le panier à linge à salle pour y dégotter une autre de mes petites culottes?

On aurait dit un petit garçon apeuré, Bonnie recula un peu le toisant du regard et l'enfourcha.

Elle releva le devant de sa légère robe bleue et la laissa retomber sur la tête de son beau-père, elle l'entendit haleter brutalement, elle savait que cela l'étourdissait tout autant que cela lui plaisait.

- Et maintenant il va falloir apprendre à cesser de manipuler mes petites culottes et de vous frotter le visage dedans... Sinon, vous aurez affaire à moi!

Elle l'entendait respirer difficilement alors que sa chaude haleine lui caressait la face interne des cuisses elle lui demanda :

- Qu'y a-t-il Papy? Vous n'aimez pas mes petites culottes lorsque je les porte? Léchez-la! Léchez la alors que je l'ai sur le cul, vilain garçon!

Papy pensait qu'il venait tout juste de mourir et se trouvait au paradis, il ne pouvait pas y avoir d'aussi délicieuse place sur terre.

Il réalisait maintenant que Bonnie devait avoir mis en scène tout ceci, qu'elle avait délibérément abandonné sa petite culotte sur son lit pour le piéger, allant jusqu'à se rendre au marché sachant très bien qu'il ne saurait pas résister à l'envie de retourner se branler dans son affriolant petit cache-sexe.

Il tendit nerveusement la main et palpa la chair tendre de ses cuisses, puis il se pencha fourrant son nez dans son entrecuisse tout contre le fond de sa petite culotte, il savourait le fait qu'elle ne lui opposa aucune objection.

Puis il se mit à lécher le fond de sa petite culotte repoussant de coté le fond de son slip pour glisser la pointe de sa langue dans sa balafre génitale.

- Oh Papy, ohhhhh..., Oh Papyyyyy... Ooooooooooohhhhhhhhhhh! Grommelait sa bru alors qu'il parcourait d'une langue agile sa fentine enfiévrée.

Alors qu'elle chancelait sur ses jambes, il la repoussa contre l'évier tout en continuant à déguster sa féminité.

- Ahhhhhh... Ahhhhhhh... Ahhhhh... Ohhhhhhh... Papyyyyyyyyy... Pantelait -elle maintenant.

Il trouva alors son clito sensibilisé et le mignota lascivement.

- Oh, mon Dieuuuuuuu... Ahhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... Gémissait-elle alors qu'elle orgasmait sous ses caresse linguales.

La tête ressortie de la robe de sa belle-fille, Beau-papa la retroussa sur sa taille, et la guida jusqu'à sa chambre conjugale.

Il aida la jeune femme chancelant sur ses jambes à monter les escaliers puis il la tourna vers lui et lui roula une pelle enfiévrée.

Il baissa prestement la fermeture éclair dorsale de sa robe, dégrafa son soutien-gorge et entreprit de sucer avidement ses tétons roses écarlates.

Il la débarrassera rapidement de son affriolante petite culotte.

Elle l'aida de ses petites mains manucurées à rouler sa culotte sur ses cuisses puis déboucla fiévreusement sa ceinture.

Bonnie se mit à trembler de tout son corps alors que son beau-père relativement âgé grimpait sur le lit et l'enfourchait, elle s'excusa :

- Je suis désolée de vous avoir fait cela! De vous avoir piégé en "oubliant" ma petite culotte chargée de mes effluves sur le lit.. De vous avoir tenté de façon si perverse! C'est juste que... Nous avons découvert que le sperme de jack est peu actif... Peut-être bien qu'il ne sera pas capable de m'engrosser!

- C'est pourquoi j'ai fait tout cela! Comme je pense que je ne pourrai pas avoir de bébé de Jack, j'en veux un de vous!

La deuxième partie de son discours était totalement fausse, Jack n'avait jamais fait de test de fertilité, mais quel homme ne serait pas flatté d'être sélectionné pour engrosser sa jeune et ravissante bru.

Papy Speers était vraisemblablement aussi enchanté qu'excité de remplacer son fils en cette occasion, spécialement étant donné la façon dont elle s'y était prise pour se faire désirer.

- Oh Papy... Oh oui... Baisez-moi papy... baisez-moi! Mettez-moi tout, encore... Plus profond... Giclez dans mon ventre! Engrossez-moi!

- Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Pantelait-elle folle d'excitation.

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