Bondage Asylum- Chapitre 03

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Une femme fait fortune avec un asile d'esclaves...
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/23/2016
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La nuit suivante fut terrible. Nu et attaché, Nick était enfermé dans cette nouvelle cage, sous le lit de Sara. Debbie, elle, était placée, au sol, sur un paillasson, son cou reliée à un pied du lit par une chaîne. Comme Nick, elle était en chasteté, sa ceinture cadenassée et bien verrouillée. Nick, commençait à être sérieusement en manque, il n'en pouvait plus d'avoir son sexe en cage, et il se disait que c'était probablement la même chose pour Debbie. Pauvre Debbie... Il se sentait coupable de la voir dans cette situation... C'était lui qui lui avait demandé de venir enquêter ici...

- Je suis désolé, Debbie... chuchota-t'il.

- Pourquoi t'es tu jeté toi aussi à leurs pieds? répondit-elle tristement. On est fichus maintenant, aux mains de ton ex.

Au réveil, Sara prit la parole :

- Aujourd'hui est une grande journée pour vous deux, nous allons officialiser votre soumission dans une grande cérémonie, alors nous allons nous préparer!

Ils se dirigèrent vers la salle de bains à proximité, et Esther et Alana installèrent le couple sur deux chaises qui se faisaient face. Sara s'occupa de les attacher. Quand elle se pencha sur Nick pour faire passer les liens autour de lui, elle l'effleura. Ce léger contact avec son ex-femme fit raidir son sexe en un instant. Etait ce du désir, à nouveau pour son ex femme, ou simplement qu'il manquait de sexe depuis bien trop longtemps? En tout cas, Sara le remarqua.

- Je te fais de l'effet, mon chéri? rigola t-elle.

Debbie, immobilisée sur sa chaise, regarda alors Sara d'un oeil noir.

- Tu peux te mettre en colère, ma petite Debbie. Rien n'y changera. Nick reviendra à mes pieds et me suppliera de le reprendre, que tu le veuilles ou non. C'est parti, Esther.

Les deux lieutenantes de Sara, entreprirent, sous les supplications de Nick et Debbie de raser chaque partie de leurs corps, jusqu'au moindre poil. Puis elles maquillèrent le couple outrageusement, leurs mis des perruques extravagantes, placèrent une fausse poitrine à Nick. Ce dernier leva la tête et regarda dans le miroir à côté d'eux. Ils ressemblaient désormais à deux poupées gonflables, comme on en vend dans les sex-shops sordides.

Esther et Alana leur passèrent ensuite diverses tenues et accessoires. Debbie fut affublée d'un collier sur lequel était inscrit « salope », et d'un simple harnais qui la laissait quasiment nue. Des bas et porte jarretelles venaient compléter la tenue, ainsi qu'une paire d'escarpins maintenue aux chevilles par un cadenas. Nick fut frappé d'horreur quand il comprit que sa tenue allait être strictement identique. Alana prit une photo du couple déchu, pendant que Sara, radieuse dans une belle robe noire fendue, au dos nu, un collier de perles luxueux au cou, s'installa sur un trône. Cette dernière claqua des doigts :

- A mes pieds, les deux putes. Vous allez porter mon trône jusqu'au grand salon.

Le couple s'exécuta. L'image était terrible, et cette lente procession à travers le château représentait totalement la déchéance de Debbie et Nick. Ils avaient les larmes aux yeux, impuissants, portant leur ennemie qui avait eu raison d'eux. Sara était radieuse, magnifique comme jamais.

Ils pénétrèrent enfin dans le salon, à bout de forces et déposèrent le trône au fond de la salle. Aussitôt, Esther et Alana tirèrent sur leurs laisses pour les installer, à genoux, au centre de la pièce.

Nick et Debbie, apeurés, observèrent alors plus attentivement les lieux. Quelques soumises étaient alignées, à genoux, le long des murs. Une cheminée réchauffait la pièce. Quelques instruments de torture étaient présents, dont un pilori et une croix de Saint André. Nick se demandait intérieurement ce qui allait leur arriver.

Sara, elle, regarda avec délectation ses trophées. Elle attendait ce moment depuis tellement longtemps. Elle en avait rêvé. Elle s'éclaircit la voix :

- Mes chères soumises, vous avez devant vous deux individus de la pire espèce. Debbie tout d'abord, qui a cru pouvoir me surpasser en me volant mon copain. Et enfin, Nick qui a décidé de quitter votre magnifique Maitresse en pensant trouver mieux ailleurs. Oui, vous êtes choquées mes chères soumises, je comprends. Ils paieront, et comprendront leur erreur, je vous le promets. Justice sera faite. Soyons clairs, vous êtes mes soumises, mais vous serez toujours supérieures à ces deux salopes, en toute circonstance. Aujourd'hui, nous allons officialiser leur soumission, leur total dévotion à ma personne. Car vous ne m'appartenez pas totalement encore, mes deux tourtereaux. Certes, vous êtes coincés ici, j'ai des vidéos compromettantes de vous, vous avez quitté vos boulots... Il reste à prévenir votre entourage que vous quittez la ville et partez vivre en Europe... C'est en cours, soyez sans inquiétude... Il ne manque plus qu'une chose : transférer tous vos comptes bancaires sur le mien. J'ai des soumises avocates ici présentes qui ont préparé les papiers, vous n'avez plus qu'à les signer.

Nick réagit violemment :

- C'est une blague? Tu nous demandes vraiment ça? Tu penses vraiment qu'on va s'exécuter tranquillement?

- Alana, fouette le jusqu'au sang.

- Non! Non! Pitié, Maitresse Alana, noooooon!!!

Alana le fouetta une dizaine de fois, avec une violence inouïe, jusqu'à ce qu'il s'effondre sur le sol. Devant la violence de l'acte, Debbie était au bord de l'évanouissement.

- Ne t'avise pas de me tutoyer et de désobéir à nouveau à ta Maitresse, dit Sara. Esther, attrape le fer rouge.

- Non s'il vous plait Maitresse Sara... sanglota Debbie.

- S'il vous plait, je vous en supplie... trembla Nick.

-Alors, signez les papiers, dit-elle en tendant les papiers.

Nick lut d'un peu plus près les papiers. Ceux ci prévoyaient de transférer l'intégralité des comptes de Debbie et de Nick, y compris leur épargne, ainsi que tout leurs biens, dont leur magnifique loft.

Aucune des deux ne bougea, ils étaient tétanisés. Esther, dirigeait dangereusement le fer rouge vers eux.

- Debbie... Nous n'avons pas le choix...

- Nick! Nous nous sommes battus pour constituer ce patrimoine!On ne vas pas se le faire voler en seulement quelques minutes!

- Je sais Debbie... Mais je ne veux pas que l'on soit marqué à vie... Nous devons signer.

Debbie releva la tête, regarda Sara, puis Esther et le fer rouge...

- Bien Maitresse, nous allons signer.

Debbie prit les papiers, et signa. Puis elle tendit le stylo à Nick, qui en fit de même.

Tout alla alors très vite. Alana et Esther entreprirent de bâillonner le couple, avant de placer Debbie au pilori, et Nick sur la croix de Saint André, face au mur.

- Bien. Esther, Alana. Marquez leurs culs.

- Mmmmmmpppphhh!!!

Ce fut rapide. Ils étaient attachés et ne pouvaient rien faire. Deux initiales « MS » étaient désormais visibles sur leurs culs, pour « Maitresse Sara ».

- Vous êtes si pathétiques. Vous pensiez vraiment éviter le fer rouge? demanda Sara en un sourire. Bien, désormais, vous êtes entièrement à moi. Bienvenue au Bondage Asylum. Esther, Alana, allons fêter ça au bord de la piscine. Mes chers soumises, vous méritez aussi de fêter ça. Vous pouvez fouetter le cul de ces deux salopes.

Nick et Debbie s'étaient fait piéger dans les grandes largeurs. La vidéo compromettante du premier soir avait lancé l'engrenage, engendrant des conséquences désastreuses au couple. Nick n'en revenait pas. Il était venu pour enquêter et faire fermer cet endroit, et il était désormais un esclave de son ex, maquillé et habillé comme une pute. Il avait honte quand il se regardait dans le miroir, et qu'il voyait son apparence et la marque au fer rouge sur son cul.

Mais ce qui le tourmentait davantage, c'était l'apparente facilité avec laquelle sa femme Debbie avait succombé à Sara. Alors que lui avait été drogué pour répondre au charme d'Esther et Alana, Debbie semblait s'être jetée sans difficulté aux pieds de Sara.

Nick était abasourdi, et totalement perdu dans ses pensées. Il voulait sortir de cet enfer, mais savait pertinemment qu'aucun avenir ne l'attendait dehors. Esther et Alana avaient un dossier énorme d'humiliations, qu'elles s'empresseraient de diffuser au monde à la moindre tentative de fuite. Il était coincé.

Et il ne savait pas si c'était l'effet de drogues contenues dans la nourriture ou si c'était son manque cruel de sexe de ces dernières semaines, mais, s'il avait envie de quitter cette vie nouvelle d'esclave, il n'avait aucune envie de quitter Sara, Esther et Alana. Il les désirait, toutes les trois.

Comme, convenu, depuis la cérémonie, Nick et Debbie faisaient le tapin, tous les soirs, entre 21h et minuit, pour gagner 100$ par jour et "remercier" Maitresse Sara de sa générosité envers eux. C'était donc dans la dépendance du manoir, et les centaines de femmes prisonnières étaient présentes toutes cagoulées avec juste une ouverture au niveau de la bouche pour satisfaire les besoins d'inconnus. C'est là que Nick se sentait le plus soumis, le plus humilié. Toujours féminisé, il suçait près de 30 queues par soir, et en prenait autant dans le cul. Le tout était filmé, en très gros plan, par Alana et Esther, sans qu'il ne puisse rien faire. Alors qu'il y a quelques jours, il était un des hommes les plus respectés de L.A., il était à présent rien de moins qu'une pute. Quant à Debbie, Sara prenait un malin plaisir de l'habiller dans des tenues toujours plus provocantes, et c'était donc elle qui était la plus productive, les mecs payaient encore plus cher pour pouvoir la sauter. Elle ramenait parfois dix fois plus que les autres.

Après avoir fait le tapin pendant de longues heures, toutes les prisonnières, épuisées, devaient déposer au pied du trône de Sara l'offrande journalière. Celles qui ne ramenaient pas assez selon Sara étaient fouettées sur le champ. Le montant total ramené à ses pieds représentait environ 10 000$ par jour. Parfois, elle brûlait les billets devant les esclaves pour les humilier davantage. Celle qui rapportait le plus avait le droit de dormir dans le lit de Sara, ce qui constituait un soulagement et un véritable cadeau pour celle-ci, par rapport aux conditions difficiles qu'offraient les cages, dans la cave du manoir.

Un jour où Debbie ne ramena pas assez d'argent au goût de Sara, elle décida de lui tatouer un message dégradant sur le corps, pour qu'elle apprenne la leçon. Pendant la séance de tatouage, Debbie hurlait :

- Pitié, je vous en supplie, Maitresse Sara, pitié! Je ferai tout ce que vous voulez!

- Tu fais déjà tout ce que je veux.

- S'il vous plait! Niiiick! Sors nous de là, Nick!

- C'est vrai, Nick, fais quelque chose, sauve ta copine! répondit Sara en se tournant vers Nick.

Le pauvre Nick avait été transformé en fauteuil vivant, et Alana était assise dessus. Il lui était incapable de bouger, et regardait la scène, impuissant.

- Il n'a pas l'air d'avoir envie de t'aider visiblement.

Debbie, en pleurs, ne put rien faire face à Sara et "Vide couilles de luxe" était désormais tatoué sur sa poitrine.

- A chaque fois que tu ne me ramèneras pas assez de billets, un autre tatouage viendra orner ton corps, c'est compris?

- Oui, Maitresse.

Au fur et à mesure des humiliations et autres dégradations, Debbie commençait à rentrer dans le rang. Un autre "salope" fut tatouée sur sa nuque, mais ce fut bien tout. Aussi, Nick était surpris par le dévouement des autres soumises à obéir aux moindres ordres de leurs tortionnaires. Après les avoir patiemment observées, Nick nota qu'elles ne semblaient pas heureuses de leurs situations, mais qu'elles s'habituaient à cette vie néanmoins.

Une d'entre elles, une grande brune aux yeux marrons, était radicalement différente. De la haine transparaissait à chaque seconde sur son visage. Nick s'en approcha une fois pour discuter avec elle, mais elle se déroba, refusant visiblement le dialogue. Un peu plus tard, il apprit qu'elle s'appelait Jane, et qu'elle avait tenté de s'échapper à de multiples reprises du Bondage Asylum. C'était la soumise la plus rebelle et elle avait reçu une quantité de punitions assez conséquente.

Son cas intéressait Nick, mais depuis ce jour, il ne la vit plus sur le domaine. Certes, le manoir et le parc était grand, mais il avait un mauvais pressentiment.

Au delà de faire le tapin, qui constituait leur activité principale, Nick et Debbie servaient aussi de meubles humains. Très souvent, Nick se retrouvait avec une plaque en verre sur le dos, et les invités de Sara posaient leurs verres de bourbon dessus comme s'il n'existait pas. Cela pouvait durer deux heures et la position devenait insoutenable : il s'écroulait alors lamentablement et subissait en conséquence une longue séance de coups de fouets dans le parc, pendu à un arbre, la tête en bas, pour montrer l'exemple. Debbie se retrouvait elle souvent avec un abat jour sur la tête et servait de lampe dans la bibliothèque. Sara aimait ça, car ça l'empêchait de voir sa sale tête à longueur de journée.

Ils s'occupaient également d'entretenir le domaine : ménage, jardinage, service... Sara, cruelle comme jamais, et connaissant les goûts de Debbie pour les chaussures et la passion de Nick pour les voitures, leur ordonnait souvent de s'occuper de nettoyer ses escarpins et sa vingtaine de berlines. Cela provoquait un certain désarroi, surtout chez Debbie :

- Nick, ça fait tellement longtemps que je n'ai pas porté une paire de talons comme celle ci, dit-elle tristement en nettoyant une paire d'escarpins avec la langue, ses mains étant menottées dans le dos. Et regarde celles-ci, tu me les avais offertes pour notre première Saint Valentin!

Elle s'effondra véritablement en larmes.

- Nick! Qu'est ce que j'ai fait... Je veux partir, quitter cet endroit et refaire ma vie!

Nick la prit par l'épaule et tenta de la consoler comme il pouvait, à genoux tout deux devant l'immense vitrine qui contenait les centaines de paires de chaussures.

- Tu sais que nous ne pouvons pas, Debbie... C'est trop tard. Nous n'avons plus rien, ni boulot, ni argent... Plus rien. Tout lui appartient désormais.

Nick se demandait qu'elle était le montant de la fortune de Sara. Si elle avait vidé les comptes de toutes ses soumises et que le tapin ramenait quelques milliers de dollars par jour... Sa fortune devait maintenant être immense. Un jour, il lui demanda.

- Nick, tu ne pourrais même pas imaginer. Mais je peux essayer de te donner une idée. Depuis le début de cette entreprise florissante qu'est le Bondage Asylum, j'ai acheté plusieurs maisons et appartements à travers le monde. Comme tu le sais, puisque tu les laves de temps en temps, je possède une vingtaine de voitures de prestige et quelques milliers de paires de chaussures, que ta femme est en train de nettoyer avec sa langue à l'heure qu'il est. En d'autres termes, Nick, je suis milliardaire.

Nick était bouche bée.

- Oui, vois tu, j'ai plutôt bien géré mon affaire. Et ce n'est pas terminé. Pour tout te dire, je compte un peu ralentir l'activité de « tapin » que vous remplissez pourtant à la perfection. Je tiens à une certaine discrétion du domaine, et j'avoue que cette activité est un peu voyante. Je vais me diversifier.

- Qu'allez vous faire? demanda Nick.

- Je vais lancer une entreprise de cages de chasteté contrôlables à distance, via bluetooth.

- Je ne comprends pas...

- Je vais lancer une gamme de cages pour hommes soumis, qui pourra être verrouillée à distance par leur partenaire, ou n'importe quelle personne de leur choix, simplement grâce à une application.

- Et ça va vous rapporter de l'argent, ça?

- Beaucoup. Une fois que les cages se seront bien vendues, je les piraterai toutes à distance et je rançonnerai mes propres clients. Elles seront définitivement verrouillées, et je ne les rouvrirai qu'en échange de 5000 $. Je les tiendrai par les couilles, si je puis dire. S'ils veulent à nouveau utiliser leur petit oiseau, il faudra payer.

- Vous êtes démoniaque.

- Merci. Mais les hommes sont tellement bêtes et faibles... Ce n'est pas vraiment difficile de les extorquer. Et ce n'est pas tout. J'ai encore un grand projet... Car il n'y a pas que l'argent, il y a aussi le pouvoir à gagner. Mais je t'en parlerai plus tard.

- Et qu'allez vous faire de nous...? Des soumises que vous avez? Si vous ne leur faites plus faire le tapin?

- Oh... Ne t'inquiète pas, on te trouvera toujours une utilité, répondit-elle en souriant. Certaines d'entre vous serviront pour le fonctionnement du domaine... D'autres seront vendues... On verra en temps voulu dans quelle catégorie vous serez envoyés, Debbie et toi...

- Ne nous vendez pas s'il vous plait, Maitresse Sara...

- On verra si tu le mérites, Nick.

Étrangement, Nick était admiratif de la réussite de Sara. Après des semaines de servitude et de lavage de cerveau, Nick commença inconsciemment à trouver cet état de soumission naturel, et à même parfois éprouver du plaisir à être le larbin de son ex-femme. Il lui semblait qu'il en était de même avec les autres esclaves. C'était l'effet ultime de cette odieuse machination : les séquestrées devenaient peu à peu esclaves consentants. Elles n'avaient pas forcément le choix non plus, et Sara s'occupait de leur rappeler régulièrement. Un soir, elle convoqua tous ses esclaves dans le grand salon du manoir :

- Ce soir, Mesdemoiselles, je vous offre une projection privée, une petite séance de cinéma à la maison!

Les soumises, qui n'avaient pas tellement le droit à des activités de loisirs, étaient ravies. Nick et Debbie étaient eux aussi contents : cela changeait de leur activité principale qui était de tailler des pipes et se prendre des bites dans le cul à longueur de journée. Leur enthousiasme fut néanmoins de courte durée quand ils découvrirent la nature du film proposé.

En effet, Sara, grâce à des caméras placées un peu partout dans la demeure, filmait toutes les scènes d'humiliation, et disposait d'une banque incroyable d'images sur ses disques durs des actes compromettants de sa centaine d'esclaves.

Debbie et Nick purent donc admirer les actes dégradants de leurs collègues soumises, sur grand écran. Puis arriva leur tour. Sur l'écran de cinéma, on voyait désormais Nick manger les excréments d'Alana en très gros plan et déclarer face caméra qu'il aimait ça. On y vit également Debbie se faire tatouer « vide-couilles de luxe » sur sa poitrine. Sara dégustait du pop-corn au milieu de sa centaine de soumises et irradiait de bonheur face à ces terribles images. Tous les esclaves présents dans la pièce savaient au fond d'eux qu'ils étaient piégés et que ces films empêchaient toute nouvelle vie en dehors du Bondage Asylum. C'était la piqûre de rappel que leur inculquait Sara, pour éviter le cas de Cameron, la seule qui avait réussi à s'échapper de cet enfer.

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