Aventures Intergalactiques – Ch. 04

Le Xénomorphe avide

Jayline se retrouva téléportée à environ dix kilomètres de l'endroit programmé, elle aurait normalement du se retrouver en compagnie de ses coéquipières. Elle scruta la nature autour d'elle, rien qu' une végétation luxuriante. Il faisait chaud, les rayons du soleil se reflétaient sur un escarpement rocheux assez brillant. Heureusement elle ne portait qu'un léger bustier blanc qui contenait à peine sa lourde et ferme poitrine et qui laissait découvert le haut de ses aréoles, un minuscule cache sexe et des chaussures à talon assez haut, lacées autour de ses chevilles.

Elle avait heureusement son transpondeur hautement sophistiqué et miniaturisé qui lui permettait de déterminer sa position. Il donnait aussi des informations sur les autres appareils en connexion avec lui et il était possible de communiquer verbalement. Elle l'alluma, malheureusement ce ne fut qu'une donnée fugace qui apparu, la position d'Abby.

Cela fut suivit un crachotement ininterrompu, entrecoupé de bribes de syllabes de la voix d'Abby. Elle cria pour se faire entendre, espérant que la jeune biologiste recevrait ce signal et saurait ainsi qu'elle était en vie.

A part son transpondeur, le reste de son matériel n'avait apparemment pas effectué la téléportation. Elle ronchonna, puis décidant de faire contre mauvaise fortune bon cœur, elle se dit que la première chose à faire était d'essayer de retrouver sa compagne et elle partit en direction du bref signal entraperçu.

Elle marcha sous la chaleur, moite de la forêt pendant ce qui lui sembla une éternité, la nuit tombait lorsqu'elle déboucha dans une clairière. Elle devait être près de l'équateur car, l'obscurité tomba rapidement. Stoppant son avance, elle laissa ses yeux s'habituer à l'obscurité, quand une lueur diffuse se mit à briller dans la clairière. En y regardant de plus près elle vit que c'était des champignons qui dispensaient cette clarté. Sûrement des Mycebna lucentipes géants, aux pieds blancs fluorescents et aux chapeaux translucides vert pâle. Elle n'était pas au bout de ses surprises. Au centre de l'éclaircie un rocher recouvert d'une épaisse couche de lichen jaune orangé, qui lui faisait un matelas, semblait posé là surgit de nulle part.

Elle entra assez prudemment dans le cercle de lumière, il lui avait semblé apercevoir une ombre furtive à l'orée de la trouée. Les sens aux aguets, elle scruta les ténèbres, rien.

Le sifflement d'une respiration se fit entendre, son sang se figea, ami ou ennemi? Elle recula lentement pour se mettre à couvert sous l'obscurité des arbres. Il y eu un craquement de brindilles derrière elle. La jeune fille fit un demi-tour rapide, une forme humanoïde avançait dans l'ombre en se dandinant légèrement.

— Capitaine, est-ce vous? Abby c'est toi?

Il n'y eut aucune réponse. Jayline recula cette fois vers la lumière, la forme la suivit. Bien qu'elle ait été formée à ces confrontations, une appréhension lui noua quelque peu le ventre. Elle atteignit le centre de la clairière et buta sur le rocher, prête à se défendre mains nues.

La créature émergea de l'ombre. C'était un énorme Xénomorphe! L'Alien mesurait entre 2 m et 2,50 m de hauteur. La tête de l'Alien était sa particularité la plus frappante et la partie de son anatomie qui le singularisait le plus.

Son crâne était démesurément allongé. Elle avait lu que les hypothèses quant à ce crâne démesuré qui mettaient en avant un développement accru du cerveau. Mais que l'intelligence dont font preuve les Xénomorphes ne paraissait pas proportionnelle à cette taille, le cerveau servait donc plus probablement pour une bonne part à loger des aires spécialisées dans la reconnaissance de l'environnement, autrement dit, le cerveau de l'Alien était responsable de l'excellente sensibilité des sens du Xénomorphe. Il avait aussi été démontré que les capacités sensorielles de l'Alien étaient extrêmement aiguës et qu'il pouvait détecter d'infimes changements de températures, d'odeurs, ainsi que des vibrations et des bruits. De plus, la précision redoutable avec laquelle le Xénomorphe localisait une proie et l'attaquait, laissait à penser que l'image mentale que se fait l'Alien de son environnement et donc de ses proies était forcément en 3 dimensions.

Il semblait moulé dans une carapace de formée couches de chitine et de protéines, disposées selon une structure lamellaire comme un bois de couleur brunâtre. Il possédait deux bras terminés par une main de trois doigts, une queue assez longue et cinq longs appendices dorsaux. Le Xénomorphe disposait également de 2 organes sensoriels servant à sentir les phéromones qu'émettaient leur entourage et à disperser les leurs au cours des séances nuptiales.

Le visage dépourvu d'yeux fixa Jayline qui se tenait immobile, elle était consciente que cette créature pouvait la tuer facilement lors d'une confrontation physique. Elle réfléchissit aux moyens de s'enfuir ou de l'amadouer, lorsqu'elle le vit...

Le sexe du monstrueux Alien était très, très long et très, très gros. Il se balançait entre les cuisses musclées, il semblait s'agrandir de seconde en seconde, son scrotum était lourd du poids de son contenu. La bite continua à enfler tandis qu'il s'approchait d'elle. Elle put sentir le musc de l'étranger, un parfum de phéromones puissantes, que la légère brise transportait. Il était seulement à quelques mètres maintenant, sa forme imposante s'arrêta à quelques centimètres de Jayline.

Le langage corporel du Xénomorphe était clair, il voulait baiser la femelle étrangère qui se trouvait sur son territoire.

Les phéromones produisirent leurs effets, l'organe voméronasal, de la jeune fille, transmit le message au cerveau de Jayline. C'était en train de modifier de manière subtile son comportement social et sexuel et de moduler ses émotions et ses pulsions les plus primitives.

Jayline avait quelques relations inter ethnique pas très convaincantes. Mais là, les phéromones de type A stimulèrent son comportement. Elle fur irrémédiablement attirée vers la créature. Elle se sentit complètement excitée à l'idée de copuler avec cet Alien. Il lui fallait cet énorme sexe.

Le Xénomorphe se déplaça avec prudence, il la renifla, s'imprégna de son parfum, un doigt griffu s'insinua dans le haut de son corsage, avec un léger craquement il tomba au sol. Il l'attrapa soudain par l'épaule la fit tournoyer, elle se retrouva de dos, l'immense phallus frottant ses fesses.

Une main griffue poussa sa tête vers le rocher, la pliant fermement en deux. Un doigt tira sur la fine lanière de son minuscule cache sexe et l'arracha. Elle écarta les jambes pour donner l'accès de sa chatte qui coulait de foutre par anticipation.

La gland de l'Alien était vraiment démesuré, mais elle n'eut pas le temps de réfléchir, elle poussa un gémissement aigu, lorsque suivit le reste du gros mandrin dur comme du fer qui entra en elle. L'Alien une fois sa bite enfilée ne bougea plus, ses mains griffues partirent à l'exploration du corps de la jeune femme. Il eut l'air intrigué par les mamelons qu'il tira assez fortement, ce qui fit à nouveau gémir, mais de plaisir cette fois, Jayline.

Puis il la saisit par une hanche et une épaule et commença d'incessantes pénétrations, il allait de plus en plus vite, de plus en plus loin... La chitine de son bassin entra bientôt en contact avec les fesses de la jeune technicienne. Les gémissements d'extase de Jayline parvinrent tout juste à couvrir les « flops, flops, flops » de de sa chatte trempée.

Elle se cramponna au rocher, ses seins rebondirent dans une cavalcade folle. Du liquide pré-éjaculatoire mélangé à son foutre commença à couler le long de ses cuisses. Elle haleta, les tractions et pénétrations devinrent de plus en plus fortes et rapides, elle hurla d'extase maintenant.

Le Xénomorphe siffla, grogna, de la bave coula sur le dos de Jayline.

Sans avertissement la jouissance déferla en elle. Son corps se tendit, se relevant légèrement mais l'Alien la maintenait fermement, ne voulant pas que sa bite sorte du nid chaud et humide.

Des frissons innombrables parcoururent la jeune femme, sa chatte trembla enserrant l'énorme bite qu'elle recouvrit d'une couche poisseuse de ses fluides corporels.

L'Alien étonné par la réaction de la terrienne ralentit la cadence, puis voyant que tout avait l'air normal, il reprit ses va -et-vient puissants. Jayline flottait toujours dans les limbes de son orgasme quand il poussa un rugissement impressionnant, le flux de sa semence se déversa dans la chatte de Jayline élargi par cette bite monstrueuse. Le sperme qui coulait dans ses entrailles était presque chaud, elle en sentit la viscosité lorsque le trop plein coula sur ses cuisses.

Épuisée, elle s'affala sur le rocher, la respiration haletante, le corps couvert de sueur. L'Alien géant était toujours en elle, des spasmes de jouissance continuaient à faire tressauter sa bite. Il se retira, avec un « Flop » de ventouse mouillée. Elle resta à plat ventre sur le caillou tiède, essayant de récupérer au mieux de son énorme jouissance.

Mais le Xénomorphe avide de sexe, n'en avait pas terminé avec elle. Comme une plume, il la retourna sur le dos, lui écarta les jambes, la pointe du sexe sépara à nouveau ses lèvres, un instant plus tard, glissa dans sa chatte béante. Jayline expira lentement, les senteurs des phéromones de la créature avaient saturé ses glandes endoctrines, elles avaient déversé dans son sang des quantités importantes d'ocytocine, plus connue sous la dénomination d'hormone de l'amour. Sous ce nouvel assaut, le plaisir de la jeune fille renaissait rapidement.

L'Alien la besognt à grands coups profonds de son immense sexe. Elle sentit à,nouveau monter un nouvel orgasme, une forme de débauche presque animale prit le dessus sur sa sexualité de terrienne. Le Xénomorphe continua son assaut sauvage emmenant rapidement Jayline à son troisième orgasme. Elle jouit pendant ce qui lui sembla une éternité, sa chatte se contracta en spasmes rapides sur l'énorme pieu qui n'arrêtait pas ses profondes pénétrations, elle gémit doucement.

Elle sentit la bite se raidir encore plus en elle, l'extra-terrestre d'un coup de rein puissant, déversa son sperme aussi profondément que possible. Elle sentit les jets chauds couler dans ses entrailles. Ce fut une sensation délicieuse. Avec ce moment de partage sexuel intense, son cerveau produisit d'énormes quantités d'endorphines, ces hormones naturelles que le cerveau engendre quand il ressent le bonheur. Ces endorphines lui donnèrent un sentiment d'extase, de satisfaction et de bien-être total.

Après presque trois minutes l'Alien s'arrêta enfin d'éjaculer. Il se retira d'elle, sa queue flasque pendant entre ses jambes. Il s'éloigna un peu et s'assit à la limite de l'ombre et de la lumière, on aurait dit qu'il étudiait la jeune fille. Celle-ci toujours couchée sur le dos ne pouvait voir son bestial amant, mais entendait le sifflement de sa respiration. Du sperme coula de sa chatte, pendant un très long moment elle récupéra des forces, puis sa condition physique et sa jeunesse aidant, elle se mit debout revigorée et détendue.

Soudain le Xénomorphe fut à nouveau derrière elle. Lui attrapant les bras, il la fit, sans violence, mettre à genoux dans l'herbe. Passant derrière elle, ses mains saisirent ses fesses fermes et les écarta, révélant son cul vierge. Le gland vint buter contre son trou intime. Elle ne protesta pas bien que ce fut la première fois qu'elle se fasse sodomiser. Elle se détendit se concentrant sur sa respiration, mais vu la circonférence de la bite qui allait la pénétrer, elle eut une grosse appréhension. Elle ramassa du sperme et du foutre sur ses cuisses, cracha dans sa main et en badigeonna l'énorme mandrin raide. Il avait du prendre conscience de la différence de taille entre le trou qu'il comptait investir et celle de l'outil qu'il employait. Il commença doucement entrant centimètre par centimètre. Elle écarta le plus possibles les jambes, elle laissa échapper un gémissement passionné quand la moitié de l'effrayant phallus fut entré. Puis à la surprise de Jayline le reste suivit sans trop de mal, son conduit anal resta quand même serré. Elle sentit toutes les bosses de la bite. Le monstre la saisit fermement aux hanches et commença avec son bassin un mouvement de pompage lent mais régulier, sortant presque entièrement sa queue pour mieux l'enfiler à nouveau. Ses mains griffues saisirent les deux magnifiques seins de la jeune fille et il se mit à les malaxer. Jayline fit tourner son bassin, ce mouvement fit grogner de plaisir l'Alien.

Il n'était plus pressé ayant éjaculé deux fois, il la besogna presque avec amour pendant longtemps.

La jeune femme au fond de son esprit aima être dominée par ce mâle primitif.

Un nouvel orgasme arrivait, elle en sentit les prémices. Elle sourit en sentant les contractions de la bite inhumaine. L'étroitesse de son conduit anal vierge venait d'avoir raison de la libido de l'Alien.

De nouveau du sperme chaud et visqueux se déversa dans son anus, cette première éjaculation dans son anus, inviolé jusqu'à aujourd'hui lui donna des sensations enivrantes.

Elle perdit à nouveau le sens de la réalité flottant dans un espace rempli d'une clarté éblouissante.

L'Alien ne bougea plus, quelques instants sa queue bien enfoncée dans le rectum distendu, un dernier jet de sperme accompagné d'un rugissement de triomphe, gicla à nouveau.

Puis, sans tourner la tête vers Jayline, il se dirigea vers l'orée du bois et disparu dans la pénombre.

Elle resta seule, au centre de la clairière, jouant avec le sperme épais qui coulait entre ses doigts, elle les suça...trouva le goût un peu acidulé, mais pas désagréable du tout.

Rassasiée de sexe, percluse de courbatures, mais étonnamment sereine et eureuse, elle s'étendit sur l'herbe épaisse ferma les yeux et s'endormit paisiblement.