Aventures Intergalactiques – Ch. 05

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Abby et Sariah livrent un terrible combat
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Partie 5 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/14/2023
Créé 01/27/2023
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L'attaque du Terriible Yaulta

Le Protée se posa à environ quinze kilomètres de l'endroit ou stationnait, l'astronef endommagé.

Sariah consulta les données extérieures. Le temps était au beau fixe, la température de presque trente degrés, l'humidité de l'air assez conséquente.

Elle décida de ne revêtir qu'une courte tunique à même la peau, elle était blanche, échancrée sur le devant jusqu'à son mont de venus, une mince bande de tissu cachait sa chatte nue et parfaitement épilée. Les aréoles et les mamelons de ses deux superbes seins étaient parfaitement dessinés sous le mince voile transparent tendu par sa généreuse poitrine. Elle enfila des bottes noires à hauts talons, faites d'une matière ultralégère, qui montaient plus haut que ses genoux.

Puisqu'elle avait les coordonnées exactes, elle téléporta des médicaments d'urgence, des habits de rechange pour ses camarades et plusieurs autres objets de première nécessité dans l'épave de l'astronef.

Elle décida de faire le chemin à pied, pour voir si éventuellement elle ne trouverait pas trace du passage de Abby ou de Jayline.

D'un pas décidé, elle se mit en route. Sans le vouloir, elle suivit le même chemin que Jayline.

Le claquement de ses talons hauts résonna sur le sol dur comme de la pierre, puis il fit place à une substance épaisse et assez molle. Sariah s'agenouilla pour l'inspecter, elle sentit comme si une vie grouillait sous la surface.

— Si Abby pouvait voir cela, ça l'intéresserait sûrement.

Elle continua à avancer prudemment. Elle déboucha dans la clairière. Un « Bipp » sur son transpondeur, lui signala la présence de Jayline, elle eut beau regarder de tous côtés, elle ne vit rien. Arrivée au pied du rocher couvert de lichen roussâtre, son transpondeur émettait un bip continu. Elle en trouva la cause, le corsage et le mini string de sa coéquipière gisaient dans l'herbe, couchée par endroit. Son estomac se tordit, Jayline avait-elle succombé à quelques féroces prédateurs? Si elle était encore en vie ou était-elle?

Sans prévenir son envie de sexe la reprit, un étrange parfum de musc et de senteurs exotiques portés par une légère brise envahit la clairière.

Sortant de l'enchevêtrement des plantes luxuriantes une silhouette approcha de l'autre bout de la trouée. Sa démarche, son léger sautillement et ses proportions bizarres faisaient deviner clairement qu'il n'était pas humain.

Il approcha rapidement, elle reconnut rapidement qu'il appartenait à l'espèce de reptoïde avec qui elles avaient baisé dans le Protée. C'était donc lui qui dégageait les effluves de phéromones qui excitaient tant la jeune fille. La tension de Sariah tomba d'un seul coup. Son regard se porta sur le

as-ventre de l'Alien, une bite plus que conséquente prenait de la vigueur. Cela l'excita un peu plus.

— Bonjour, dit-il, en agitant ses quatre bras. Je m'appelle Thiligan et toi?

— Moi, c'est Sariah.

Elle en lorgna sans vergogne sur les attributs que le mâle exhibait fièrement.

Il vint tout près d'elle. Le vent joua avec le bas de la tunique de Sariah, découvrant parfois sa chatte, les yeux de l'humanoïde saurien ne perdirent rien du spectacle. Sa bite bandait de plus en plus. La jeune fille regarda le sexe grossir, ses tétons s'érigèrent, sa chatte s'humidifia.

— J'ai envie de...comment dit-on dans votre langue? Ah oui de te féconder...!

— Non, répondit, la jeune fille, de me baiser...

—Si tu veux, je ne maîtrise pas bien vos expressions!! Pourtant, ce n'est pas pareil, je vais éjaculer dans ta chatte.

Disant cela, deux de ses bras couchèrent Sariah sur la mousse du rocher. Les deux autres mains quittèrent la tunique de la jeune Terrienne et son corps magnifique s'offrit aux regards lubriques du reptoïde.

Deux de ses mains saisirent les seins durcis et se mirent à les malaxer et à les caresser. Les deux autres écartèrent les cuisses de la jeune fille, puis avec un doigt griffu de sa main gauche, il se mit à titiller le clitoris. Deux longs doigts de sa main droite s'insinuèrent dans la chatte humide et poisseuse. Il ressortit les doigts, les porta à sa bouche et les suça.

—Ton liquide est merveilleusement délicieux...

Il lui mit sa tête reptilienne au museau pointu entre les jambes, sa langue fourchue et râpeuse caressa la fente humide sur toute sa longueur, il répéta plusieurs fois cette opération en aspirant chaque fois le petit bouton rose de Sariah. Puis il l'insinua dans le conduit vaginal de la jeune fille, l'enfilant le plus profondément possible. La Terrienne ne put retenir des gémissements de plaisir sous cette douce pénétration baveuse.

Ses deux autres mains tirèrent sur les mamelons de la jeune blonde, les pinçant, griffant les aréoles. Les tétons de Sariah étaient chez elle, une zone particulièrement érotique, sous la caresse combinée des quatre mains et de la bouche, des râles de plaisir sortirent en continu du gosier de la jeune fille.

La bite de la créature remonta, le long de la fente du sexe de Sariah, le gland décalotté vint se frotter sur le clitoris exposé de la jeune fille.

— Oui, Oui...Oh ouiiiiiii....criait-elle.

Sous la caresse, elle sentit son sang bouillir en elle, l'Alien frottait toujours sa gigantesque bite le long de sa chatte, sans la pénétrer. Son énorme gland entrait parfois un tout petit peu dans le trou palpitant, Sariah essaya alors d'avancer son bassin pour que la bite entre en elle. Mais on aurait dit que le reptoïde voulait se faire encore plus désirer. Elle était maintenant hors d'elle, elle le houspilla fortement pour qu'il la prenne.

La créature céda à son désir, une de ses mains prit la jambe droite de Sariah et la leva, dégageant et ouvrant la cavité vaginale. L'énorme gland entrant doucement dans le conduit lubrifié, puis la monstrueuse queue lisse glissa à son tour, lorsque la moitié eut pénétré, l'Alien poussa le reste d'un grand coup de rein. Sariah cria de bonheur sous cette brutale pénétration.

Thiligan ne perdit pas de temps, avec deux mains, il saisit fermement la jolie blonde aux hanches, et son bassin commença une reptation infernale. Les deux autre mains s'occupèrent activement des attributs mammaires qui rebondissaient sous les assauts.

Elle cria lorsque les couilles du reptoïde, vinrent frapper ses fesses, la totalité de la bite colossale était en elle. Il augmenta sa cadence. Chaque nouvelle pénétration la rapprochait de l'orgasme, elle

voulait retarder ce moment pour profiter de chaque centimètre de la queue enfoncée en elle.

L'Alien reptilien s'appuya sur sa queue caudale posée sur le sol, ce nouvel appui lui donna encore plus de force pour assener ses coups de boutoir. La jouissance de Sariah éclata au moment ou Thiligan la saisit de ses quatre bras et la tira vers lui, pour s'enfoncer encore plus loin dans sa chatte. Il émit un sifflement strident, lorsque les contractions de la chatte de Sariah compressèrent sa bite. Elle haleta et hoqueta en sentant le premier jet de sperme tiède et visqueux, bientôt suivi d'un volume plus conséquent couler dans son vagin. Avec une sorte de glapissement, il termina de se vider de sa semence, et se retira la bite flasque et poisseuse de foutre et de sperme.

La jeune fille navigua dans l'euphorie la plus complète, les jambes écartées, la chatte béante d'où s'écoulait le liquide séminal du reptoïde gris.

C'est alors qu'elle remarqua qu'une araignée crabe blanc, sûrement attirée par les odeurs mélangées du sperme, du foutre et de la sueur dégagée par les deux protagonistes, était montée sur le rocher et buvait la flaque de liquide qui s'était formée sous sa chatte. Deux mandibules écartèrent ses lèvres, une petite trompe semi-rigide entra dans sa chatte et commença à aspirer le mélange de sperme et de foutre qui la remplissait. Cela fit une drôle de sensation à la jeune Terrienne, mais c'était loin d'être désagréable... La trompe frôlait et s'enroulait parfois autour de son clitoris, mais plus, elle lui asséchait le vagin, plus le mouvement faisait mouiller Sariah, l'araignée avait l'air de vraiment se délecter du foutre de la jeune fille.

Puis, apparemment rassasiée, la créature rampa sur sa région pelvienne, s'accrocha à ses hanches et à ses cuisses avec ses six pattes. Sariah sut ce qui allait se passer à nouveau. Son taux d'endorphine suite à son orgasme était encore élevé, elle ne protesta pas. Pour sa taille, sa bite rose était assez volumineuse, elle glissa le long de sa fente et se dirigea vers son anus, Sariah leva les jambes pour faciliter l'insertion. Le mandrin glissa avec un peu de difficulté dans l'orifice anal qui était mal lubrifié. Mais l'Alien prit son temps et entra petit à petit son phallus raide. Il sembla à la jeune femme que cette sodomie dura plus d'un quart d'heure. La bite semblait vibrer dans son anus, ses entrailles furent parcourues de délicieux frissons, elle gémit de plaisir, se tordant en tous sens. Son corps se tendit soudain comme un arc, ses muscles tétanisés par la jouissance ne répondirent plus, un long cri sortit de sa gorge. Il lui sembla que ses instincts retournaient aux premiers âges de l'humanité, lorsque le dépôt gélatineux se déversa dans son conduit anal, ses sphincters enserrèrent avec force la bite qui se vidait.

Puis d'un seul coup, il se figea, le reptoïde qui les regardait eut l'air lui aussi inquiet, comme s'ils avaient entendu des ultrasons les prévenant d'un danger imminent. Ils déguerpirent rapidement en se fondirent dans la frondaison. Sariah, pas très rassurée par leur comportement, ramassa sa tunique, les habits de Jayline et s'accroupit derrière le rocher. Jetant un coup d'œil de temps en temps. Elle aperçut à l'orée de la clairière trois silhouettes humanoïdes, qui avaient l'air armées et assez inquiétantes. Elles ne firent que passer. Elle attendit un très long moment tapie à l'abri du gros caillou, puis comme rien ne bougeait, elle ramassa ses affaires enfila sa tunique et se mit en route vers le navire naufragé.

Elle arriva sans encombre ni mauvaises surprises à l'abord de l'astronef. La large passerelle tombait du ventre sur le sol. Elle s'y engagea prudemment et déboucha dans le sas menant au reste du navire.

C'était un cargo, à peu près de la même conception que le Protée, son nom s'étalait sur le fuselage apparemment intact : « Ocerikor ». La conception de l'astronef cela la soulagea un peu, elle était en terrain connu. Sur l'écran de son transpondeur défilèrent les informations relatives à ce navire. Il transportait des matières rares et très chères, il avait été pris d'assaut par une bande de pirates et avait disparu avec son équipage. Elle attendit, c'était désert, elle s'enhardit grimpa la passerelle et entra. Il faisait sombre, juste quelques lampes de secours çà et là, maintenaient une clarté glauque, elle appuya sur un commutateur, rien ne se produisit. Elle prit son transpondeur et lança, sur une fréquence de secours, un message vers les occupants du vaisseau, s'ils étaient là encore vie. Elle n'obtint aucune réponse. Elle se dirigea vers la salle de pilotage, lorsqu'une petite voix juvénile sortit de l'ombre.

— Capitaine, est-ce vous?

— Abby, c'est toi!! Tu es vivante! Quel bonheur... Est-ce que Jayline est avec toi?

— Hélas non, répondit la jeune biologiste »

Les deux camarades tombèrent dans les bras l'une de l'autre. Abby raconta en gros son voyage à Sariah, ses ennuis avec son transpondeur. Elle passa rapidement sur ses expériences sexuelles. Le capitaine narra lui aussi son épopée, restant elle aussi vague sur les moments extatiques qu'elle avait connus.

Le capitaine entraîna sa camarade vers le cockpit de téléportation, ou devaient être les affaires provenant du Protée. Abby récupéra un minuscule string blanc, cachant juste la fente de sa chatte, fit passer derrière son cou une bande de tissu rouge qu'elle positionna pour couvrir ses aréoles et ses tétons et la noua dans son dos. Elle avait toujours ses hautes bottes noires.

Les deux jeunes filles sous la lumière tamisée des lampes de secours partirent à l'exploration du cargo.

Elles n'arrivèrent pas au bout du couloir qu'un léger bourdonnement retendit des entrailles du navire. Quelqu'un venait de remettre en route les moteurs. Les lampes principales fonctionnèrent à nouveau. C'était sûrement les pirates, Sariah les avait entrevus dans la clairière. Elle entraîna Abby vers un coffre qu'elle avait téléporté, pour prendre des armes, mais tout ce qu'il y avait, c'était des sortes de fusils à étourdir et de petits pistolets paralysant, pas d'arme létale.

Doucement, les fusils à la main, elles approchèrent de la porte de communication, derrière laquelle elles entendirent des pas. Leur meilleure chance était de prendre les intrus par surprise les assommer d'une décharge de fusil, et ainsi de les neutraliser. La porte s'ouvrit.

Une vive lumière rouge illumina le couloir, au centre duquel marchait une créature bipède. Les jeune femmes collées chacune contre la paroi de chaque côté de la porte se regardèrent avec effroi.

Un Yautja!

Son armement guerrier dépassait l'entendement. Cette créature humanoïde bipède mesurait environ 2,20 m avec un poids moyen, pour les mâles, de 160 kg. Son poids était composé en grande partie de masse musculaire et de très peu de graisse. La couleur de sa peau était jaune, chinée avec des taches noires. La couleur des yeux était verte. Sur sa tête, on pouvait remarquer la présence de ce qu'il semblait être l'équivalent de cheveux terrien, ressemblant à des dreadlocks noires.

Le Yautja possédait quatre mandibules proéminentes dont le centre était caractérisé par une bouche garnie de petites dents. Ses mandibules étaient utilisées afin de communiquer et de renseigner sur son humeur. Il possédait aussi un langage verbal. Il utilisait aussi un générateur de son embarqué pour reproduire des enregistrements ou des morceaux de paroles. Un était également un peu télépathe. Ses jambes musclées étaient terminées par des pieds munis des griffes imposantes. Un imposant organe sexuel d'au moins trente centimètres de long et d'un diamètre de six centimètres se balançait entre ses cuisses. Le gland se dessinait sous le fin prépuce. C'était un grand prédateur sexuel et il se battait avec ses congénères afin d'obtenir le droit de procréer. Beaucoup de mâles n'obtenaient pas ce droit. Ces mâles frustrés se reportaient souvent sur les femelles des autres ethnies.

La classe « Bad Bloods » constituait le bas de l'échelle, c'étaient les Yautja ayant commis des crimes, tels des meurtres, des pillages, des vols de trophées... Il devait en faire partie!

Sariah le mit en joue, prête a tirer, elle entendit Abby crier :

— Capitaine attention...

Elle vit Abby viser ce qui était derrière elle, mais ne se retourna pas, pour ne pas perdre des yeux le monstrueux Yautja. L'Alien qu'avait ajusté Abby était aussi un mâle, sa virilité pendait sans vergogne, grande et découverte, aussi longue, mais moins grosse que de celle du Yautja, deux bourses conséquentes oscillaient doucement.

Sa peau était de couleur gris verdâtre, plutôt claire, elle présentait une texture rugueuse, plus ou moins ridée. Son corps était frêle, ses membres longs et minces, les mains qui ne comportaient que

quatre doigts crochus reliés par une fine membrane arrivaient à hauteur des genoux. Il avait une grosse tête, un visage assez triangulaire. Sa bouche était très fine, à peine esquissée sans aucune dent. Son nez était remplacé par deux petites protubérances à peine visibles qui faisaient office de narines. Deux petits trous de chaque côté du crâne en guise d'oreilles, deux énormes yeux noirs en amande fixaient la jeune biologiste. Abby reconnue l'espèce de l'Alien, c'était un Grand Gris. Les moins connus car les moins fréquemment rencontrés. Ils sont très grands environ 2 m et extrêmement intelligents. Ils représentent la race supérieure et originelle des Gris. Il tenait menaçant un énorme pistolet laser, le tir de cet engin faisait d'énormes dégâts.

Abby leva son arme prête à faire feu, il eut un ricanement amusé, Abby tira rien ne se passa... Sariah de son côté fit feu elle aussi, le résultat fut identique... Les jeunes filles s'aperçurent alors que les charges de leurs armes avaient été neutralisées. Les Aliens avaient dû les trouver et les trafiquer.

Sariah jura et jeta son arme devenue inutile, elles étaient à la merci complète de ces pirates. Abby baissa son fusil elle aussi penaude. Le capitaine du Protée étudia le Yautja qui venait vers elle. Il était en érection... Il avait dû être excité par la vision de la chatte de Sariah, découverte lorsque la courte tunique était remontée lors de sa mise en joue. Il n'avait pas dû connaître de femelle depuis pas mal de temps.

— C'est la planète des mâles en rut...! Pensa-t-elle.

Puis prise d'une inspiration soudaine elle cria à Abby.

— Il te suffit de suivre mon exemple... Si tu veux rester en vie...

S'adossant à la paroi, elle commença à se dévêtir pour essayer de séduire l'imposant Yautja.

Elle offrit d'abord son sexe épilé aux regards de l'Alien en soulevant lentement le bas de sa tunique, puis elle en écarta les pans les faisant tomber sur ses bras pour libérer ses seins, le prédateur put voir les mamelons bruns s'étirer, et elle laissa tomber la tunique sur le sol.

Abby, elle, réfléchit, elle n'avait pas toutes les réponses qui étaient ces Aliens, comment avaient-ils désamorcé leurs armes, que leur voulaient-ils? Elle écarquilla les yeux devant la tentative de séduction de son supérieur sur le monstre lubrique. Oui, ce devait être le meilleur plan, leur seule chance de salut.

Abby cessa de supputer, le grand gris approchait. Elle le regarda dans les yeux, releva lentement la bande de tissu rouge au-dessus de ses seins, le frottement du tissu sur ses mamelons les firent pointer, ses mains passèrent dans son dos, et dénouèrent l'écharpe, elle n'avait plus que ses bottes et son minuscule string blanc, offrant sa nudité aux regards lubriques de l'Alien. A la façon dont il la regarda, elle se dit qu'il ne serait pas difficile à séduire.

Il était maintenant tout près, il posa son arme sur le sol. Sa queue se tendit monstrueuse, frôlant le ventre de Abby. Avec deux doigts, il attrapa la mince lanière du string et l'arracha d'un geste sec.

Elle prit la bite tendue doucement dans ses mains, la massant lentement. La décalottant plusieurs fois. Elle durcit et grossit encore presque instantanément, Abby s'avança lentement vers lui, complètement nue, provocante, elle frôla son corps avec la pointe tendue de ses seins. Doucement, elle amena le gland de la bite sur son clitoris. Elle le frotta contre son petit bouton dans un mouvement circulaire, elle laissa échapper un petit gémissement, alors que sa chatte, réagissant aux caresses, commença à mouiller. Le grand gris curieux, pencha la tête pour voir ce que faisait la jolie Terrienne, dont la respiration s'accélérait.

Puis Abby commença à frotter l'énorme bite le long de la fente de sa chatte, elle fit pénétrer le gland légèrement dans sa vulve, et se caressa le faisant glisser entre ses lèvres. Son foutre lubrifia la douce caresse, ils purent en apprécier tous les deux les effets.

Sariah, était nue, debout devant la créature extraterrestre ébahie. Une fois encore, elle se soumettait de par sa propre volonté à pratiquer des actes sexuels avec un Alien, même si cela la contrariait un peu, mais la seule pensée de se faire baiser par ce monstre, la rendit folle de désir et inonda sa

chatte.

Lentement, elle leva les bras au-dessus de sa tête pour bien faire pointer ses seins vers l'avant. Elle écarta ses jambes passant son doigt sur son sexe ruisselant, écarta ses lèvres pour en dégager.

l'orifice, ses hanches se balancèrent lentement d'avant en arrière. C'était tout l'encouragement dont eut besoin le Yautja, il fit un pas en avant et souleva Sariah du sol sans effort d'une seule main.

Ses yeux scrutèrent les siens, elle sentit sa respiration ... non pas son souffle, mais le rythme de sa poitrine monter et descendre. Elle sentit sur sa peau courir les mains parcheminées. Elle ne comprit pas ce qui lui arrivait. Elle fut envahie par la luxure, la convoitise charnelle, cet état provenait sans aucun doute de ce mâle extraterrestre, le sentiment était écrasant. Elle avait déjà ressenti cela lors de ses précédentes expériences.

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