Au service de ma grande Sœur

BÊTA PUBLIQUE

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slavio63
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Quelle récompense! Quelle beauté! Quelle attirance! Quel appel charnel! Mais aussi quelle atroce douleur dans ma cage! Puis Clémentine lève un pied et pose une semelle sur mes lèvres, mais sans chercher à me faire mal. Je la lèche sans répugnance. Ma Sœur me dit : « C'est bien! Tu es le plus charmant des garçons... N'oublie pas que tu as du travail à faire pour moi », puis elle enlève son pied de ma bouche. « Je crois bien que tu es mon esclave, dit-elle en riant, et si tu savais comme je peux aimer ça! »

Puis elle sort, elle est partie, je reste seul.

***

Eh bien, je vais vous dire : je ne dormirai que d'un œil jusqu'à ce que Clémentine rentre au petit matin (si elle rentre!), et alors je me précipiterai au-devant d'Elle, je La débarrasserai de sa pochette, de son ciré, puis je La suivrai dans sa chambre, je m'agenouillerai devant Elle qui Se sera laissée tomber sur le canapé ou sur son lit pour que je La déchausse après avoir pris soin de baiser ses bottines puis ses bas si Elle les porte encore, et quand ses Pieds seront nus, je baiserai de même leur Peau tendre et transparente, toute moite, tout odorante, sous laquelle se dessine le fin réseau des veines...

Et puis, je vais vous dire encore : je serai heureux si Elle semble contente de moi quand je L'aiderai à Se dévêtir et Se glisser dans les draps.

Et je vais vous dire enfin : mon espoir sera de L'entendre me dire, comme souvent : « Oh, mon frérot, J'ai trop fait la fête, J'ai trop baisé, J'ai eu trop de plaisir. Je suis vannée, Je suis un peu grise et J'ai la flemme de me laver le Cul. (Elle parle ainsi quand Elle a un peu trop bu.) Tu veux bien me faire une petite toilette? »

Alors, je ne dirai rien, je me pencherai sur Clémentine et, le pénis douloureux à force d'avoir été mordu par les picots quand je respirais à travers sa petite culotte, je Lui rendrai avec ma bouche le service qu'Elle exige.

Je recueillerai sur son Fruit d'amour et au-dedans les traces de ses Jouissances et, pour peu que je sois habile ou chanceux, je Lui en donnerai une de plus avant qu'Elle ne s'endorme...

slavio 63, novembre 2013

(*) La partie inférieure d'une robe constitue la jupe. Le vêtement féminin couramment appelé jupe, qui part de la taille, est en quelque sorte... une robe privée de sa partie haute.

slavio63
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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
quelle chance

quelle chance vous avez d'avoir une reine comme votre grande sœur a vous occupé,ce n'est helas pas permis a tout le monde

jada7777jada7777il y a plus de 9 ans
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Bandant et bien écrit

AnonymousAnonymeil y a plus de 10 ans
Un peu long et rasoir et peu d'érotisme

Répétitif et long. Peu érotique

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