Ashram Shambala

BÊTA PUBLIQUE

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Nous sortions du bureau où le bourreau poursuivait son office tandis que sa victime semblait de plus en plus faible, dans la dernière image que j'ai eu d'elle avant que mon maître ne ferme la porte, il me semblait voir ses yeux tout blancs sans pupille, je pensais qu'elle était peut-être tombée dans les pommes. Mon mentor, impassible, m'invita à le suivre jusqu'à l'Ashram en lui-même où nous allons festoyer ce soir. Festoyer, festoyer... me dis-je, j'espère qu'il n'est pas seulement question de bouffe... parce qu'avec toutes ces émotions, c'était vraiment un supplice de ne pas pouvoir se vider les couilles.

A 100 mètres sur la droite se tenait la fameuse bâtisse dont on trouvait les images sur le net. Ce dont on ne se rendait pas compte sur les photos, c'était qu'il y avait devant celle-ci un immense parking. Un parking d'une centaine de places peuplé par quelques autocars, des rutilantes Benz, des voitures de course, des 4*4 Range Rover et d'autres limousines extra-longues. Tous ces véhicules étaient très bien cachés, aucun angle ne donnait sur eux de la vue, et une toiture les recouvrait, une toiture semblant recouverte de terre se fondant sûrement dans le paysage vu d'en haut.

Nous entrâmes, je retrouvais une jeune ukrainienne blonde à l'entrée, je la trouvais toujours aussi vulgaire malgré sa meilleure volonté à se montrer gentille et élégante. Nous étions dans un long corridor sombre empli d'odeurs d'encens. Nous laissions nos chaussures là au milieu de centaines d'autres (minimum, on ne pouvait pas tout dénombrer dans la pénombre). Il y avait aussi différents types de godes alignés sur les bords de la pièce. Nous ôtames nos vêtements pour enfiler des robes de chambre blanches floquées au « S» doré de Sotchidanandana.

Nous allions passer la porte de la pièce d'où nous entendions les clameurs et la musique et d'où nous voyions la lumière. A ce moment-là, mon mentor crut bon de me prévenir que j'allais là reconnaître des gens, qu'il fallait bien entendu que je ne manifeste aucun signe particulier envers eux et que je n'évente jamais leur présence ici. Il me prévint aussi que nous pouvions être filmés à tout instant, qu'il y avait en permanence des vidéos tournées de nos fêtes. Des vidéos qu'ils revendaient ensuite sous le manteau dans le monde entier. Il me confirma que c'était bien là une des sources premières de la colossale fortune de l'organisation.

A l'entrée dans la pièce, c'est une explosion de délices visuels qui s'offrent, le tableau est merveilleux, c'est une vision céleste. Au fond à droite, des créatures de rêve exécutent en sous-vêtements des danses du ventre, recouvertes de paillettes et de bijoux (cascades de bracelets de poignets, de chevilles, de tailles qui retentissent tel des sons ensorcelants et désaltérants), d'autres sucent avidement toutes sortes de mecs, d'autres encore se gouinent ou se font gang-banguer en poussant d'intenses râles d'extase... Toutes sont hyper-surmaquillées et portant de lourds bijoux comme il sied au goût du Maître Altay-Chi, avec des particularités égyptiennes issues de la tradition de Cléopâtre.

Le seul bémol, c'est que toutes les odeurs d'encens ne parviennent pas à gommer les forts relents de foutre qui imprègnent la pièce. Du foutre qu'avalent copieusement deux jeunes sœurs jumelles coincées contre le mur sur la gauche tandis que défilent les shooters. En guise de victuailles sont disposés de ci-de là des verres de tisane et autres thés, des fruits secs et des potions épicées, tout ceci est toujours signalé comme défendu aux femmes qui doivent selon la formule se contenter du « suprême nectar Divin inégalé » (le sperme, bien sûr). Il y a effectivement différentes personnes filmant les différentes scènes qui s'offrent en kaléidoscope et que mon cerveau ne peut pas appréhender toutes en même temps. Parmi les hommes présents, je reconnais certains hommes politiques et autres stars du sport ou du showbiz' ainsi que de célèbres hommes d'affaires.

Nous sommes au moins 300 dans cette pièce. Ce qui m'attire le plus l'attention, ce sont peut-être les filles qui sont à deux sur une queue, se roulant des pelles leurs langues entremêlées autour de celle-ci ou alternant les caresses entre dard et testicules. Des filles contorsionnistes expertes en yoga font des figures improbables de leur corps tout en offrant leurs orifices à des pénétrations sauvages, beaucoup de celles-ci ont dans ces acrobaties la tête en bas tandis qu'on leur défonce la bouche et je me demande bien comment peuvent-elles tenir ainsi... Il y a des filles nues dont le corps semble avoir été conçu industriellement, elles sont aussi phénoménalement larges de tour de poitrine qu'elles sont fines de tour de taille, qui dansent autour de barres tout en prenant soin de temps à autre de téter les glands enfiévrés se tendant vers elles. Toutes les femmes sont appelées « déesses » dans l'organisation mais pour le coup c'est ô combien justifié.

Les cameramen sont les seuls hommes avec nous deux à ne pas avoir laissé tomber à terre les robes de chambre. Je distingue mieux tous les recoins, nous devons être encore plus nombreux que je ne le pensais, il y a des femmes suspendues dans un coin. Certaines sont suspendues par les mains, les bras en croix, d'autres sont la tête en bas, suspendues par les pieds, d'autres encore moins chanceuses d'avoir une opulente poitrine sont accrochées au plafond par celle-ci. Elles se font fouetter sauvagement sans aucune retenue, le sang gicle. Cette fois-ci, je n'attendrais même pas la permission de mon maître, je m'empressais de défaire la ceinture de la robe de chambre. Mon mentor émit un léger bruit désapprobateur, je me retournais vers lui en m'inquiétant « je suis censé regarder seulement? ». « - Non, bien sûr, tu vas pouvoir en croquer. Mais pas comme ça, n'importe comment... Qu'allais-tu faire là présentement? ». C'est vrai que je n'avais pas réfléchi à la question, une fois ma bite sortie, je me serais laissé guider par elle. Un peu hagard, je lui demandai « Que dois-je faire? ».

Il me dit de me calmer, ce qui m'énerva. Puis il me dit que je devais être baptisé, reçu cérémonialement par la « communauté du bonheur ». Il fit alors un signe au groupe de filles en proie aux activités saphiques. Deux d'entre elles accoururent vers nous. La blonde des deux était vraiment très souriante et d'aspect très candide, mon mentor lui parla en Russe et elle se retourna vers moi, admirative : « Tu es Français? Ca manque par ici... J'adore la France! » . Je lui souris bêtement, je pensais : « J'espère surtout que t'aimes la saucisse française... » (d'autant qu'elle est si petite que mon sexe bandé n'est pas loin de lui toucher le menton). Mon mentor me fait un signe d'assentiment, je me défais du peignoir et pointe ma queue qui n'en peut plus de toute cette excitation.

Cette pétasse me sourit béatement et se penche pour commencer à lécher mon chibre. Je dois me contenir sacrément pour ne pas me laisser aller à lui mettre tout de suite au fond et éjaculer en vitesse.

Cette blonde que je trouvais assez peu appétissante (le genre que l'on voudrait surtout punir) se révèle être une excellente suceuse, elle n'oublie pas de me stimuler le moindre recoin de peau de mes chairs intimes, elle est vive tout en étant délicate. Elle semble synchroniser ses mouvements avec celle de l'érotique musique lounge oriental. Sa pipe devint même hautement prodigieuse lorsqu'elle commença à me prendre en bouche jusqu'aux couilles qu'elle léchait avec malice. Je croyais qu'elle atteignait le must, mais la petite poupée Barbie n'avait pas encore sorti son arme fatale... Ce fut bientôt du travail à la Annette Schwarz qu'elle exécuta, elle me prit l'ensemble bite-couilles dans la bouche et me suça le tout en va-et-vient réguliers. C'était vraiment divin, je me sentais enfin comblé, honoré à ma vraie valeur. Cela me faisait pourtant un peu mal, mes couilles étaient tirées au maximum par sa bouche-vantouse assoiffée et cela était d'autant plus douloureux que mes joyeuses n'étaient pas habituées à telle noce. Je me mordais bienôt les lèvres pour ne pas lâcher un râle de douleur au milieu de mes grognements de plaisir. Je me dois de minimiser le talent de ma fellatrice de poche en signalant que l'entreprise n'est pas si exceptionnelle que dans le cas d'Annette et consors pour la raison que je suis à peine doté des réglementaires quinze centimètres.

La brune plus grande qui était venue avec elle ne participe pas à l'ébat mais s'est mise aussi à genoux devant moi et me regarde comme si j'étais la huitième merveille du monde et admire mon membre viril comme si elle me trouvait bien monté (moi qui ne soutiens pas la comparaison avec beaucoup d'hommes ici). Je sens que je ne pourrais plus me contenir et attrape ma travailleuse par les cheveux bien près du crâne et lui tire sèchement la tête en arrière. Celle-ci commence à émettre un râle de stupeur et de douleur mais s'arrête pour articuler un roucoulement crétin qui m'excite au plus haut point. Je prends ma pine dans ma main et me branle vigoureusement en visant en plein dans sa gueule (dans les yeux, c'est ça le top). Pour la première fois, je vais pouvoir me laisser aller à ça, elle n'oppose aucune résistance, tend même son visage en offrande. Mes jets ne me déçoivent pas, ils sont massifs et repeignent littéralement la gueule de mon ingénue. Elle avait maintenu la bouche grand ouvert en cherchant à en récupérer au maximum, elle a de quoi manger mais en a autant dans les cheveux, sur le nez, le front, les joues et les paupières (une fois la jouissance retombée, je me dis même que j'aurais pu mieux faire, j'aurais pu lui maintenir les yeux ouverts sous la douche, là elle avait instinctivement fermé les yeux... bah, pour une première fois on ne peut pas tout avoir et qu' elle ait maintenant les yeux fermés collés par ma glu n'était pas mal non plus). J'observais le jus de mes couilles couler sur le long du visage de ma cible avec la satisfaction d'un peintre venant de réaliser un chef-d'œuvre, rien n'était épargné. Sa copine brune aux seins plus développés sauta alors sur ma queue pour la nettoyer en bonne et due forme (quel régal d'être enfin avalé par deux femelles! ).

Puis, elle me demanda qu'est-ce que je voulais faire maintenant, je répondis que je voulais le cul de celle que je venais d'arroser mais avec elle pour me sucer les couilles en même temps. J'espérais ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, pour une première expérience anale, c'était peut-être un peu beaucoup, j'allais sûrement éjaculer presque immédiatement. La brune m'ouvrit le fessier de sa copine qui n'avait pas pu s'essuyer la gueule, elle téta l'œillet sombre et je m'introduis sans difficulté dans l'intimité rectale de la jeune cruche blondasse. Celle-ci poussait de petits cris stridents ridicules tandis que son amie parcourait toutes mes bourses d'une langue agile experte. L'enculée gisait au sol le cul en l'air et je m'avachissais lourdement sur elle à chaque coup de rein, c'est comme ça que je concevais la sodomie dont j'avais tant rêvé, c'était la position idéale. Quelle joie physique et mentale d'être enfin enculeur! Ce conduit resserré était encore plus jouissif que je ne le pensais et cette impression de creuser un tunnel avec sa bite, quel bonheur! Me disant que personne ne comprenait le français, je me lâchais à proférer à mes deux partenaires toutes sortes d'insultes que l'on n'oserait jamais formuler à quiconque comprendrait, des plus crades aux plus ridicules en passant par les plus improbables, je ne cessais de dire aussi « vous aimez ça, la saucisse française, hein? ». La brune comprenait sans doute à mon ton qu'il y avait une question et me répondait par des espèces de glapissements d'approbation. Je m'arrêtais net lorsque je vis la porte s'ouvrir et Ramona entrer.

Je restais figé, la queue ayant même subitement ramollie (ce qui la fit sortir du trou de balle de la blondinette). Non seulement, elle parlait français et il me fallait donc reprendre mes esprits mais surtout je me demandais brusquement qu'est-ce que j'étais en train de faire... Car, après tout, je n'avais que faire de ces deux greluches et de leurs culs et bouches, c'était elle Ramona, que je désirais, seule elle m'importait vraiment, je voulais qu'elle soit à moi mais aussi être à elle. La confusion me gagna, j'aurais voulu rentrer sous terre. Ramona garda son peignoir, elle était venue accompagnée de deux jeunes filles qu'elle tenait en laisse et qui étaient entrées nues à quatre pattes. Elle les montra à mon mentor et s'éclipsa sans m'accorder un regard. Les deux arrivantes au cou entravé étaient magnifiques mais n'étaient pas dans l'ambiance euphorique, des hommes leur sautèrent dessus de part en part et elles semblaient passer un mauvais quart d'heure.

Je sentis brusquement comme un serpent se tortiller sur ma couille droite et pris peur. Je me dégageais soudainement, mes deux partenaires me regardaient interdites. C'était tout simplement la langue de la brune que j'avais sentie mais je m'étais tellement coupé de la situation que j'avais totalement oublié celle-ci et la réalité du moment m'était revenue de manière incompréhensible. Pour ne pas perdre la face, je me mis à me branler pour me faire redurcir. Je fis alors signe à la brunette de s'approcher, j'allais juter pour en finir au plus vite de cette situation qui ne me plaisait plus du tout, d'autant que je n'avais qu'une idée en tête : où était Ramona, que faisait-elle?

A ce moment-là, un beuglement improbable résonna, un beuglement incroyablement fort puisqu'il avait réussi à couvrir le tumulte général, c'était une jeune blonde à qui on venait d'introduire une bouteille de vodka dans l'anus. La bouteille était introduite jusqu'au bouchon et le jeune homme qui la tenait ne se contenta pas de l'insertion mais pilonna comme un malade le trou du cul cramoisi. Les cris de celle qui était par le verre enculée continuaient de fendre l'atmosphère au-delà des limites pensables couvrant les fouacs obscènes du cadavre de vodka dans son fondement. Lorsque le jeune tortionnaire retira enfin la bouteille un moment, le popotin dangereusement dilaté émit un prout sonore qui fit rire toute l'assistance. Chacun avait un peu délaissé ses propres occupations pour suivre avec émotion le spectacle de la bouteille qui avait tant captivé l'attention par son intensité sonore.

Quand tout reprit son cours, je me finis face au ravissant visage de ma brune, je n'étais même pas à ce que je faisais, mon filet de sperme fut très peu fourni et tomba mollement dans le cou de ma partenaire qui en parut désolée comme si elle avait commis une impardonnable faute. Je la réconfortai par une caresse dans les cheveux comme on le ferait à un bon toutou et je ramassais ma robe de chambre pour m'en vêtir. Ma brune me courut après à genoux pour me nettoyer la teub, c'est vrai que c'était mieux ainsi, au moins ça ne collerait pas et de tout çà il n'y aurait plus sur moi la moindre trace. Mais je n'éprouvais même pas de plaisir à ce qu'elle pourlèche ainsi la queue sortant du trou du cul de sa copine, une cavité qui ne semblait pourtant pas impeccablement propre.

Je ne comprenais plus la scène, toutes ces extases qui s'entrechoquaient les unes les autres dans tous les coins ne me procuraient plus l'euphorie de tout à l'heure. Je voyais maintenant dans tout cela quelque chose de sinistre et tous ces hommes qui éructaient et exultaient me semblaient vulgaires, dégueulasses, immondes. Ça ne sentait pas que le foutre, ça sentait la sueur, la mauvaise haleine. Je voulais fuir. Quand il me vit habillé de nouveau, mon mentor se dirigea vers la porte d'entrée et m'y attendit. Nous sommes sortis de l'orgie, les deux qui avaient le goût de ma semence sur leurs papilles me regardaient ennuyées, elles se demandaient sans doute si elles avaient fait quelque chose de mal. Elles ne seraient peut-être plus si enthousiastes à l'avenir à la vue d'un français.

Nous fûmes dehors dans la nuit froide, l'air pur et pinçant me fit un bien fou. Je retrouvai mes esprits. Des cris de rapaces nocturnes résonnaient. La présence des grands arbres majestueux me remplit le cœur, le vent dans leurs branches était une vie puissante qui m'inspirait plus de respect que celle animant les biroutes.

Mon mentor semblait circonspect, il essayait de deviner mes pensées mais échouait visiblement. Il s'enhardit à me dire que ce n'était pas si mal pour un début, qu'il fallait y aller progressivement. Je lui demandai : « Tout ce sexe... sans aucune protection! Vous n'attrapez pas tous le SIDA ou autres?

- Non, bien sûr que non! Le haut niveau énergétique que nous maintenons par nos pratiques énergétiques nous immunisent, nous les hommes et les mentors femmes.

- J'ai lu quelque part que Biven Mamonta était séropositif.

Mon mentor rigole avant de me répondre :

- Oui, c'est peut-être vrai, il est peut-être séropositif, et dans ce cas sans doute que nous aussi... Mais nous ne développerons jamais cette maladie en nous. Après, que les adeptes attrapent des maladies, ce n'est pas notre problème, aucune n'est irremplaçable et courir ce genre de risques fait partie de leur initiation. C'est un bon test, une sélection naturelle. Elles n'ont aucun problème avec ça, elles doivent tout abandonner à leur maître, elles lui ont confié tous leurs biens, leur corps et leur âme.

Ma nausée revient quelque peu à ces paroles mais je me suis à nouveau carapacé. Je demande à mon mentor la suite du programme en état (je n'ose pas formuler de question au sujet de Ramona).

« Il te reste les bâtiments annexes à l'Ashram à visiter. Ce que tu as vu n'est pas tout, ça c'est la partie qu'on exhibe : celle où s'ébattent dans l'allégresse les plus belles, les mieux dans leur peau, mais tout n'est pas si rose. Tu te demandes probablement où est Ramona en ce moment, elle est en salle de réception de la marchandise. Tu veux venir voir? »

J'ai un peu peur de ce que je vais découvrir mais voir Ramona est résolument ce que je veux. Mon mentor me fait approcher d'une cabane glauque d'où sortent d'horribles répétitifs cris inhumains entrecoupés de gros sanglots, on dirait qu'on approche une salle de torture ou qu'une créature de l'enfer est en train de violer brutalement une vierge.

Mon maître m'invite à regarder à travers une petite fenêtre sur le côté. Le spectacle que je vois me glace. Une jeune fille paraissant toute fragile et frêle se fait méchamment enculer jusqu'à la garde par... Ramona, munie d'un gode-ceinture d'une taille monstrueuse (l'engin bleu marine semble encore plus gros que le braquemart de Biven, la seule consolation pour la pauvre fille est que les coups de hanche de Ramona sur ses fesses sont bien plus lights que ceux qu'elle prendrait avec le quintal chamane). Je claque un peu des dents devant une telle violence, mon esprit nage en confusion : comment une créature si féminine peut-elle se livrer à une telle pratique? comment puis-je toujours vouloir d'elle-même en assistant à telle spectacle? Ma belle se montre d'une violence inouïe, une lueur sadique impressionnante éclair ses si beaux yeux. Je demande des explications sur ce qui se passe à mon mentor, il me répond que c'est une vierge que l'on vient de recevoir comme esclave, elle vient tout juste d'avoir l'âge adulte et ses parents ne voulaient plus l'entretenir, ils l'ont vendue à l'organisation. Je demande pourquoi est-ce que c'est Ramona qui se charge de son bizutage et pas un homme et aussi pourquoi s'en prend elle à son fion et non à sa chatte. Mon mentor affiche un air amusé : « C'est une vierge, m'explique-t-il, seul le maître a le droit de la dépuceler et il n'est pas là en ce moment, elle ne peut donc être prise que par l'entrée de derrière. Et c'est Ramona qui s'en charge parce qu'elle aime bien et que c'est plus édifiant pour une jeune fille de subir cela de la part d'une femme, cela ne la pousse ainsi pas à se rebeller contre les hommes en s'inventant une guerre des sexes. Des fois, nous faisons aussi faire cela par un animal, c'est alors Ramona qui guide la verge bestiale dans le rectum de la recrue». La seule question qu'il me reste est « Pourquoi si gros? ». La réponse se fait un peu attendre « Ramona n'aime pas faire les choses à moitié et elle aime exercer sa puissance, elle aime faire souffrir les autres femmes... comme beaucoup de femmes, ce qui restera toujours un mystère pour nous. Elle est aussi surtout très cruelle avec les femmes plus jeunes car le maître la délaisse depuis bientôt dix ans pour ne se consacrer qu'à des jeunesses, elle le vit très mal et aime se venger de cette mise en quarantaine. Viens, je vais continuer ta visite».