Ashram Shambala

Informations sur Récit
Initiation dans une secte sulfureuse.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/19/2014
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J'avais alors 25 ans. J'étais un jeune homme sans histoire, chômeur sans qualification et je me désespérais. Ce que je vivais le plus mal, c'était mes rapports avec les filles, toutes celles que je trouvais étaient fades, ennuyeuses.

Ce qu'elles m'offraient était indigne, je n'avais jamais pu pratiquer la sodomie, je n'avais jamais éjaculé à la figure d'aucune (ce qui me semblait quand même le besoin rudimentaire de tout mâle)... Mais même celles qui acceptaient de me sucer le faisaient du bout des lèvres en n'introduisant que le gland et se détournaient dès que ma jouissance s'annonçait, m'abandonnant tristement au seuil du bonheur sans même me finir à la main. La misère! Surtout pour moi qui ai depuis toujours des fantasmes de domination.

Il devrait y avoir une loi contre ces filles, elles disent qu'elles sont amoureuses et font un air dégoûté quand on leur parle d'avaler en jurant qu'elles ne le feront jamais. Drôle de conception de l'amour! Surtout qu'elles traitent notre semence comme si c'était dégueu, alors qu'elles sont si contentes d'en trouver pour avoir des marmots... Toutes ces femmes qui ne sont pas de vraies femelles qui devraient être dévouées à leurs mâles et tout accueillantes... C'est sans doute parce qu'on n'est pas assez virils pour qu'elles se sentent naturellement femelles, on n'ose pas sauter le pas, on a stupidement peur de perdre quelque chose alors qu'on a rien à perdre puisque ce que l'on a ne nous satisfait pas.

J'aurais dû leur imposer la faciale par exemple, j'avais pas assez de couilles, j'étais trop gentil garçon et les femmes n'aiment pas les gentils garçons, ne les respectent pas. Une fois l'acte sexuel à deux consommé, j'étais obligé de m'isoler aux toilettes avec mon ordinateur pour m'y branler devant des vidéos d'éjacs faciales pour calmer ma rage et ma frustration. Je me maudissais de me laisser imposer de tels affronts, surtout venant de filles sans saveur et sans sensualité qui ne faisaient même pas l'effort de se faire belle et qui devraient être bien contentes que l'on daigne s'intéresser à elles.

Je ruminais mon spleen quand je fus attiré par une affichette postée sur la vitrine du magasin bio en bas de chez moi. C'était la pub pour une conférence sur le chamanisme Sibérien. Ce qui m'avait phénoménalement attiré, c'était la photographie de la conférencière, elle s'appelait Ramona. J'étais intrigué de cette latina qui prétendait présenter une discipline slave. Je suis resté un moment béat devant cette quintessence de la féminité. Elle était tout ce qui manquait dans ma vie, tout en elle était féminité, elle irradiait la sensualité délicieuse qui avait toujours été étrangère à mon existence. C'était une femme semblant à la fois jeune et mûre, elle était très maquillée mais, contrairement à la majorité des femmes, serait bandante même sans ça.

Une fois mon trouble passé, je remonte en quatrième vitesse dans mon appartement allumer l'ordinateur pour faire une recherche sur celle qui vient de totalement s'approprier toutes mes pensées. Les résultats de mes recherches sont dantesques. A la recherche « Ramona chamanisme sibérien », je trouve une multitude de liens plus prometteurs les uns que les autres. Je suis fasciné, on dit sur internet que la belle couche avec des ours et d'autres animaux sauvages, qu'elle participe à des orgies obscènes. J'apprends qu'elle a une vingtaine d'années de plus que moi. Il ya des photos d'elle dans des poses et des tenues affriolantes (affriolantes mais décentes bien sûr), je découvre qu'elle est en fait représentante d'un mouvement prônant chamanisme, yoga, etc... mais qui est en fait surtout une « école de la féminité » (« école de geishas » de son nom original) accusée d'être une secte et un vaste réseau international de prostitution. Leur chef, présenté comme un surhomme d'origine extraterrestre a des problèmes avec la justice russe. Je me branle allégrement sur les images de cette fille et me jure de la ramoner la Ramona, de lui faire bouffer ma jute, je suis déterminé.

Le lendemain, j'attends impatiemment toute la journée cette conférence qui aura lieu le soir dans un bâtiment municipal. Il fait un temps caniculaire. La transe me gagne, mon érection est quasi-constante et je me vidange à plusieurs reprises en jouissant comme jamais à l'idée de ce paradis m'étant promis.

Je suis sur les lieux avec une heure d'avance, manque de pot la Mexicaine a quant à elle un quart d'heure de retard. La voir en chair et en os n'est pas une déception, bien au contraire, tout en elle est lascivité et douceur exquise. Je n'avais jamais vu un truc pareil en vrai, pas même dans un film. Sa tenue noire est très moulante et assez transparente, j'ai donc tout le loisir d'étudier en détail toutes ses courbes durant la conf' (son corps ne semble être fait que de courbes, tout dans son anatomie est rond, relâché, offert). Sa voix est également des plus capiteuses, surtout dans ce français aux forts accents latins, elle parle de niaiseries new-age mais on croirait qu'elle murmure des cascades de mots doux. Mon sexe inlassablement dur ne cesse de s'agiter dans la jambe de mon bermuda. Je bande tellement que ça me fait mal.

Quand la séance se termine, chacun se dirige vers la sortie et je me retrouve con l'espace d'un instant. Voilà, j'aurais bien fantasmé mais je vais rentrer seul chez moi et je ne reverrai peut-être jamais la milf-bomba latina. Celle-ci, grande voyageuse, va repartir faire son perpétuel tour du monde et ne me restera d'elle que quelques clichés sur le web. Bien sûr, j'avais laissé mon e-mail comme tout le monde au début sur un papier, mais cela ne m'amènerait probablement rien de plus que de la publicité pour des stages à la con et hors de prix. Se produisit alors le miracle que je ne rêvais même pas, j'entends derrière moi sa suave voix articuler « Monsieur! Monsieur! »... J'étais le seul homme venu seul (les autres étaient en couple) et je me retournai, elle me fit un grand sourire toutes-dents-dehors assorti d'un regard complice. C'était bien moi qu'elle avait appelé. Tout mon corps chantait d'extase et ressentait un goût de triomphe. Je m'approchai d'elle et elle me demanda de rester après que tout le monde fut parti, qu'elle avait quelque chose à me dire. J'attendais donc, ce fut long, un trio de bonne-femmes squattait ma belle, posant des tas de questions, semblant ne jamais vouloir se résoudre à s'en aller. Ramona était extrêmement patiente avec elles et leur vantait avec insistance la Sibérie et les miracles qui s'y passait. Quand je fus enfin seul avec l'objet de mon désir, je me sentis un peu gauche, j'étais trop émotionné, je ne savais même plus si j'avais de la voix pour parler normalement. Heureusement, elle ne semblait bizarrement pas trop à l'aise elle non plus, son regard était fuyant. Elle me posa des questions futiles puis planta ses yeux dans les miens (Ramona est une toute petite femme et je suis plutôt grand, je pourrais manger sur sa tête) et avec intensité me demanda « Est-ce que tu voudrais travailler pour moi? ». Il est évident que je veux répondre oui sur-le-champ mais je suis un peu abasourdi et ne répond pas tout de suite. Elle continue sur le même ton : « Tu es à l'étroit ici. Je peux te changer ta vie, te faire devenir l'homme que tu aspires à être, te faire trouver ta puissance, exaucer tes rêves les plus intimes, les plus fous... ». Mon cœur, ma queue et ma tête réagissent comme s'ils avaient alignés les trois 7. Avec fougue, je lui assure qu'elle peut compter sur moi 24/24. Elle me sourit avec satisfaction.

Je suis dès lors en contact quasi-constant avec elle par internet. Les mois passent, j'organise ses venues en France et celles de ses amis, je lui trouve du monde, des réseaux... Je ne trouve jamais l'occasion de me rapprocher physiquement d'elle, lorsqu'elle remarque mes tentatives, elle me dit avec bienveillance qu'il faut que je sois patient et que je comprenne bien la vie qui est la sienne et son sacerdoce avant de pouvoir espérer être plus proche et qu'elle ne serait jamais à moi véritablement puisqu'elle appartient au Maître (je me jure de la faire mentir).

Un jour, elle me contacte (il était quatre heures du matin chez moi, elle était en Thaïlande où il était déjà neuf heures, je devais ainsi toujours m'accommoder aux horaires de l'endroit toujours différent où elle se trouvait) et me dit que si je suis près à lui payer 10.000 euros, elle m'invite dans le Q.G. de l'organisation pour une semaine afin d'y vivre une expérience très spéciale que je ne regretterais pas et ainsi être officiellement des leurs. Je vide mon livret et mon compte, arrivant tout juste à rassembler la somme (à laquelle il me faut ajouter le prix des billets d'avion) grâce à un héritage récent. Je ne sais pas vraiment ce qui m'attend, mais je compte bien lui faire m'en donner pour mon argent.

J'arrive au petit matin dans l'aéroport Tolmachevo de Novosibirsk. M'accueille le jeune ami de Ramona (environ cinq ans de plus que moi), le soi-disant « chamane » dont je la soupçonne d'être amoureuse. Comme à l'habitude, il ne se montre pas chaleureux à mon égard. Heureusement, je ne l'apprécie pas et suis jaloux, j'aimerais le provoquer en duel, montrer à Ramona combien je suis supérieur à cet avorton prétentieux. Il me fait monter dans une limousine avec chauffeur (chauffeur caché de l'extérieur par les vitres teintées et de l'intérieur par un épais rideau noir). Dehors, il fait nuit, il neige et gèle, dans la voiture c'est une fournaise, on se croirait dans un sauna. Mon jeune chamane m'annonce alors d'une voix lacunaire que je fais désormais partie des leurs et que commence officiellement ma formation. Il m'annonce que c'est lui qui va se charger de celle-ci... je suis déçu, je pensais que Ramona s'en occuperait personnellement mais c'est vrai que la logique veut que ce soit un homme pour un homme. Elle, coache les jeunes filles.

Après vingt minutes de route de nuit, mon compagnon claque des doigts ostensiblement et sort de sous la banquette arrière une jeune fille blonde à la poitrine généreuse. Elle nous servit du chocolat chaud avec déférence. Mon nouveau maître me demande si je la trouve à mon goût. Difficile de dire le contraire, la créature a des courbes parfaites, de longues jambes et est en sous-vêtements de dentelle noire, je suis déjà en érection. Tout dans le corps de cette créature frêle et pâlichonne renifle la soumission. Ses grands yeux très clairs semblent humidifiés de larmes. Mon nouveau maître met jouer de la musique. Un lourd beat sensuel de R'n'B se met à résonner à fond la caisse et la meuf enlève son soutien-gorge et se met à danser lascivement, la croupe tendue vers nous. La limousine a beau être très spacieuse, notre danseuse n'arrive pas à se tenir debout dans celle-ci, elle est donc toujours penchée en avant, ce qui fait ressortir sa lourde poitrine et son admirable fessier. Un fessier qu'elle agite avec brio sous notre nez, à portée de nos mains. Je n'ose pas la toucher, il m'est pourtant de plus en plus difficile de retenir ma volonté de la fesser. Je n'en fais rien car j'attends les consignes, je me dis qu'il se peut que l'on cherche à éprouver ma résistance. La jument slave tortille son cul de plus en plus près de moi, jusqu'à presque fourrer mon nez dans sa raie où la ficelle du string est tellement enfoncée qu'on ne la voie plus. La seule réaction que je m'autorise est celle d'humer à pleins nasaux ce qui se présente en essayant d'en imprégner tout mon corps en manque. Notre showgirl se retourne alors et vient cette fois-ci agiter à notre figure ses deux magnifiques mamelons aux tétons généreux entourés d'une auréole toute lisse et rose tendre. Je croyais préférer les peaux bronzées mais je me damnerais là pour cette peau blanche immaculée semblant territoire inviolé. Un autre titre se met à jouer, beaucoup plus rapide, les mouvements de notre danseuse privée se font différents, beaucoup moins langoureux. Ses seins s'agitent à toute vitesse comme si elle baisait frénétiquement. Elle me lance un regard incendiaire et colle ses deux globes mammaires de chaque côté de mon visage. Je suis étouffé au milieu des seins avec lequel elle me gifle. Le moelleux ferme de ces nibards comble mon cœur d'enfant. Je ne suis pas friand de cette expérience inédite, certes le contact de ces seins sur mon visage est un pur ravissement mais elle me serre trop et la sensation d'étouffement gâche le plaisir, je fais de mon mieux pour ne pas montrer que je suis au bord de la panique. Fort heureusement, elle met fin à son manège avant que cela ne devienne pour moi définitivement insupportable. Elle se retourne alors et fait bouger ses fesses de manière spasmodique et effrénée à la manière des bitches de Snoop Dogg et Dr D.R.E. (une spécialité plutôt afro qui est là pourtant bien réalisée par cette garce de coton-tige). Le spectacle devient encore plus chaud lorsqu'elle retire la ficelle de sa raie culière, nous offrant tout le spectacle de son intimité. La ficelle sur le côté, nous pouvons admirer en gros plan son sexe et son tout petit trou semblant presque hermétiquement fermé. Sa fente est sèche, ce qui est un peu décevant et étonnant (il fait une telle chaleur dans cette voiture, je dégouline de partout et il me semble que ce serait le cas même sans le spectacle érotique), ses lèvres sont tendres et fines, d'un rose de nouveau-né aussi tendre que ses tétons. Elle est intégralement épilée (ce que j'apprécie, quoique j'aurais aimé voir pour la première fois en vrai des poils pubiens féminins blonds, j'ai l'impression que mon aversion pour la pilosité dans l'anatomie féminine serait moins forte en blond), son clito est minuscule, il faut pencher la tête d'une certaine façon pour le voir. Alors que je me disais qu'il était cette fois-ci établi qu'il ne s'agissait pas de teasing mais qu'il y aurait bien de l'action dans cette voiture, nous ralentîmes et, immédiatement, notre stripteaseuse remit en place son string.

Une fois la voiture stoppée, je pris une grande respiration en essayant de retrouver mes esprits. La tentatrice repartit se terrer dans la trappe sous la banquette arrière où elle s'installa en position fœtale. Mon compagnon sortit une gag-ball de sa poche et la lui fixa solidement dans la bouche, puis il referma la banquette en ricanant. Il m'annonça que nous étions arrivés à ma résidence Russe et que je devais prendre mes affaires. Quand j'estimais mes sens à peu près apaisés, je me jetais hors de la luxueuse voiture.

Je vais dans l'imposant coffre retrouver mon modeste bagage qui a dû être bien balloté durant le trajet.

Je suis accueilli à l'hôtel où je vais passer la nuit par Ramona. Elle est toute heureuse de me voir et je dirais même un peu excitée. Cette nouveauté dans son comportement m'enchante même si je me fais un devoir de lui faire la gueule, je n'ai pas avalé qu'elle ne soit pas venue me chercher à l'aéroport et je compte bien pour la peine lui faire avaler autre chose. Elle me dit de la rejoindre en bas dès que je me serais installé. Je me dépêche de mettre mes affaires dans ma chambre pour redescendre en courant la retrouver. Je suis déçu au passage que le lit qui me soit attribué soit un lit une-place dans une chambre simple. Dans l'euphorie, je me dis qu'après tout, nous y serons plus serrés l'un sur l'autre.

Elle me reçoit dans un petit cabinet à l'entrée du bâtiment, je me prends à rêver mais la chute est brutale, c'est pour l'argent. Elle demande à ce que je la paye tout de suite, elle n'est pas très à l'aise de me demander ça. Je sors ma grosse liasse de biftons, même en billets de 500 euros, cela représente un certain volume de papier. Elle ne me fait pas l'affront de recompter, dit qu'elle connait ma loyauté. Elle voit ma vexation, elle me fait un clin d'œil mi-gêné, mi-complice, mi-coquin. « Ne t'inquiète pas, tu seras pas déçu, tu vas vivre beaucoup de choses que tu ne croyais possible que dans tes rêves, tu vas découvrir beaucoup de nouvelles choses, tu ne seras plus jamais le même ». Sur ces mots, elle prend congé de moi et monte à l'étage tout en haut où je suppose qu'elle a ses quartiers.

Mon mentor m'attend dehors, je le retrouve et il m'annonce que nous devons maintenant nous rendre chez Biven Mamonta, le responsable international de la diffusion et du recrutement. Celui-ci va m'expliquer ce que j'ai à savoir. Je n'ai jamais vu cet homme qu'en photo mais on m'en a fait des récits redoutables, c'est un homme assez âgé, chauve, libidineux, doté d'un regard perçant et intimidant. Je connais son goût pour la chair bien fraîche.

Nous prenons la route et cheminons sur un peu plus d'un kilomètre jusqu'à arriver à une masure lugubre. Nous entrons sans frapper dans cette habitation, cela sent l'encens et des herbes fortes qui me tournent un peu la tête. Nous allons au fond de la pièce principale et mon maître frappe à la porte. Une voix grave rugit un mot bref probablement en Russe.

Nous entrons dans la petite pièce et la scène s'offrant à ma vue me laisse la mâchoire par terre. Biven Mamonta me regarde fixement et fièrement, il est nu, se tient debout, bedaine tombante sur le menton d'une jeune disciple Mexicaine de Ramona que je reconnais malgré sa position. Celle-ci est nue elle aussi, elle est étendue sur une table la tête en bas dans le vide et totalement soumise à Biven qui lui baise la gorge tout en lui serrant le kiki de l'étau de sa grosse et forte paluche. Le pénis fort large du Russe est totalement disparu dans la bouche asservie. Bouche surréalistement déformée tandis que le nez de la malheureuse est complètement aplati dans les grosses couilles et l'épaisse couenne pendante en bourrelets. Ses yeux semblent appeler au-secours mais elle est tout bonnement incapable de produire un son. J'étais très satisfait de voir cette fille ainsi, lorsqu'elle était venue en France assister Ramona pour un séminaire j'avais beaucoup rêvé d'elle et Ramona se livrant à un duo sur ma bite.

Elle n'était pas trop à mon goût (trop jeune, trop plate, trop fade, trop pâle) mais ce qui m'excitait au plus haut point était la façon dont la traitait Ramona, elle la traitait sans aucune considération, comme une véritable esclave. Cela me faisait d'ailleurs fantasmer à ce que ma belle puisse forcer cette jeune sotte (je ne savais pas quel âge elle avait mais semblait vraiment très jeune, à peine 20 ans) à la gorge profonde sur mon sceptre. Un fantasme qui tombait là à l'eau... Visiblement, elle n'avait pas besoin du moindre cours en la matière et il n'y avait plus rien à forcer pour un mec comme moi. Biven ne détachait pas son emprise, bien au contraire la resserrait encore, il me lâcha du regard pour toiser la proie qui était entre ses griffes. J'eus un violent et merveilleux frisson dans tout le corps : mélange de plaisir, de satisfaction sadique et de terreur. La teen latina n'en pouvait vraiment plus, elle devint de plus en plus cramoisie, puis carrément violette. Ses veines ressortaient sur la peau de ses joues en arborescence, elle était monstrueuse. Comme tout mâle qui se respecte, je n'avais aucune envie de la secourir, j'aurais même eu la sotte pulsion d'aider à lui tenir fermement la tête pour ne pas qu'elle puisse se dégager et repousser au plus extrême la limite.

Dans un dernier sursaut de survie, ma jeune amie réussit à faire vaciller quelque peu l'emprise du « grand chamane » qui consentit à la laisser se dégager. Dès qu'elle fut libre du gourdin l'étouffant, la pauvre jeune latina se retourna le plus vite qu'elle put pour dégueuler sur le sol. Un haut-le-cœur plus violent que les précédents la fit tomber au sol où elle se reçut piteusement dans son vomi. Elle dégueula encore et encore, c'était surtout de la bile mais on pouvait aussi y voir des morceaux de courgettes et parfois quelques grumeaux plus sombres. Ses yeux étaient explosés, elle tremblait, pleurait. Une fois qu'elle eut fini de régurgiter, elle haleta encore un long moment comme une agonisante. Les trois salauds que nous étions rigolions grassement avec vifs satisfaction et ravissement de la voir ainsi. Petit à petit, la petite disciple reprit sa respiration et ses couleurs normales. La bite du sieur Mamonta est vraiment énorme, encore bien plus qu'il ne m'avait semblé au début. Lorsqu'elle fut recrachée, cela paraissait incroyable qu'elle ait pu disparaitre. Ce bâton de chair luisant de bave et de sucs gastriques était vraiment monstrueusement impressionnant, de quoi donner des complexes. Je n'avais jamais rien vu de tel en vrai, la p'tite puta devait l'avoir jusqu'à l'estomac, vu sa morphologie miniature. Mon coach personnel souleva ma jeune amie avec une facilité déconcertante et la reposa sur la table en prenant soin de ne pas marcher dans le dégueulis ni se salir. Il la plaça le cul en l'air et Biven pressa immédiatement son énorme gland sur l'anus de la pupille de Ramona. Il la pénétra à sec, ce qui ne se fit pas d'un coup, il a fallu rudement forcer. L'enculée avait un air terrorisé et poussait des plaintes déchirantes avec le peu d'énergie qui lui restait. Tandis qu'il la pilonnait tranquillement jusqu'aux couilles, notre boss s'était retourné vers moi et le plus naturellement du monde m'exposait ce que j'avais à faire. Il insistait sur le maintien de la condition physique que j'allais travailler avec mon coach personnel. . Il m'expliqua le recrutement, me dit que j'avais jusque là fait preuve de remarquables aptitudes en la matière, que l'on allait me parfaire pour le rôle, que je serai officiellement recruteur et instructeur de portée nationale pour la partie centre de la France. Puis, il cessa de s'exprimer dans son anglais de cuisine et dit quelque chose en Russe qui vraisemblablement nous invitait à quitter les lieux.