Ange & Nat 29

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Le dressage d'Angelina se poursuit.
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Partie 30 de la série de 60 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/05/2022
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ENDURCISSEMENT 3

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Angelina qui trouve le temps très long n'est pas rassurée d'être seule à l'extérieur de l'habitation dans une position de prisonnière, enfin elle entend un bruit de voiture qui se rapproche.

Soulagée elle voit l'auto de son amant pénétrer dans la cour de la fermette.

Il la libère de l'anneau scellé dans le muret du puits mais laisse ses poignets et ses chevilles entravés ne lui laissant qu'un minimum de liberté de mouvements.

- allez on rentre à l'intérieur -

Grégory fait chauffer des plats préparés qu'il a achetés en route pendant qu'Angelina attend attablée assise les chevilles menottées aux pieds de la chaise.

Il la libère du bâillon afin qu'elle puisse s'alimenter.

- je vais être gentil avec toi à charge de revanche, cette nuit sera plaisante pour toi -

- merci mon chéri, de quoi s'agit il -

- tu verras bien, mange et prends des forces -

Elle engloutit son repas et attend que son homme ait fini le sien.

Il détache les menottes fixées à la chaise et entrave uniquement ses chevilles ne lui autorisant que de petits pas.

- fais la vaisselle puis tu iras te coucher -

La fille obéit sans répondre.

Sa corvée terminée elle marche comme elle peut jusque dans sa chambre après que Grégory ait remis la boule/bâillon après qu'elle ait d'elle même ouvert la bouche. Elle s'assoit sur le sommier métallique et attend qu'il la rejoigne.

Là ça se complique pour elle, l'homme n'a pas remis le matelas sur le sommier métallique, elle va devoir dormir sur celui-ci.

Comme intentionnellement il l'a bâillonnée avant de venir dans la chambre elle ne peut pas se plaindre.

- allonge toi, je vais retirer les menottes puis écarte les jambes et les bras -

Elle reste debout près du lit et secoue la tête pour lui faire comprendre qu'elle n'a pas envie de souffrir en passant la nuit couchée sur le sommier métallique.

- tu n'as pas le choix, c'est ça ou tu passe la nuit dehors pendue à un arbre -

Elle comprend vite qu'elle ne peut qu'obéir et résignée à souffrir elle s'allonge choisissant ce qui lui sera plus facile à supporter.

Ses poignets sont entravés par les bracelets solidaires de sangles en cuir attachées de chaque côté de la tête de lit.

Son bourreau quitte la pièce puis revient portant un boîtier d'où pendent des fils électriques et un carton.

Du carton il sort une culotte en néoprène dans laquelle sont fixés deux godemichets de tailles différentes qu'il enduit d'un produit.

Il enfile la culotte sur les jambes de sa victime, il la fait glisser et remonter vers les fesses puis arrive le moment où il doit jongler, petit à petit il enfonce les godes dans la chatte et l'anus tout en continuant à remonter la culotte sur le corps de la fille.

- tu n'es pas très coopérative, tu pourrais m'aider en soulevant tes fesses, peut être que tu préfère que j'emploie la force -

N'ayant pas envie de le contrarier elle soulève ses fesses. Enfin les godes sont bien enfoncés, ils ne peuvent plus sortir car la culotte en néoprène très (trop) juste comprime le ventre et les fesses d'Angélina.

Des fils électriques sont branchés sur le boîtier et l'homme les connectent aux godemichets ainsi que dans une prise située dans le bas du mur le plus près.

Grégory manipule les interrupteurs et molettes du boîtier.

Les godes se mettent à vibrer et aussi aller et venir dans la chatte et le cul de la fille de plus en plus vite et de plus en plus fort.

- j'ai mis une horloge et programmé des temps de pause, l'arrêt est prévu demain matin, à toi tout le plaisir -

Le bourreau sort de sa poche deux pinces à linge en bois, triture les tétons pour qu'ils s'érigent avant d'y accrocher les pinces, là c'est intenable et la douleur irradie le corps de la fille qui tressaute et décolle du sommier.

Avant d'abandonner à son sort sa victime qui ferme les yeux et serre les dents pour tenter de supporter la forte douleur qui partant des tétons descend jusque dans son ventre, il entrave également ses chevilles aux pieds de lit.

Pendant toute la nuit Angelina subit, elle est un peu soulagée pendant les périodes où le supplice s'arrête même si elle a du plaisir et que de la mouillure coule entre ses fesses.

Mais quand elle y parvient elle ne peut pas dormir longtemps car elle est réveillée à chaque fois par les godes qui se remettent à vibrer et aller et venir en elle.

A force de se faire défoncer les jouissances surviennent ce qui ajoute à sa fatigue.

Déboussolée et en manque de sommeil elle ne sait pas quelle heure il est quand Grégory vient la libérer, il débranche les fils électriques mais elle doit elle même retirer la culotte en néoprène et la nettoyer sans oublier les godes poisseux de mouillure et de cyprine.

Les chevilles entravées elle gagne la salle, déjeune puis va prendre une douche et se pomponne un peu.

- maintenant place au sport, il ne faut pas que tu fasse du lard et fasse fuir tes futurs clients -

- si tu me fais souffrir en permanence à la première occasion je vais m'enfuir -

- d'accord, puisque tu le prends ainsi pour débuter la journée je vais commencer par t'assouplir un peu -

Angelina comprends qu'elle a parlé et s'est rebellée trop vite. L'homme va dans sa chambre et en revient avec un gros collier en cuir muni d'une laisse large faite de la même matière.

- tu ne vas pas me mettre ça, je ne suis pas une chienne -

- si! pour que tu comprenne que tu m'appartiens et que tu dois m'obéir comme le ferait une chienne -

La fille baisse la tête humiliée et honteuse une fois qu'il a mis le collier autour de son cou.

Il la réduit au silence en la bâillonnant.

- je ne veux pas être gêné par tes cris pendant que je vais te punir et te faire souffrir -

Tirant sur la laisse il l'oblige à le suivre à l'extérieur de l'habitation. Pour commencer ils vont dans le bâtiment attenant à la maison, Grégory y prend des cordages et des lanières en cuir avant d'en sortir.

Il s'arrête sous un gros chêne situé près de la clôture à l'arrière de la propriété.

- allonge toi sur le sol -

Comme elle ne va pas assez vite une paire de claques sur les fesses la décide à obéir rapidement.

Ses poignets et ses chevilles sont attachés ensemble avec une corde que l'homme passe au dessus d'une branche.

Il tire sur la corde et fait décoller la fille du sol.

Ca tire sur ses bras et ses articulations pendant qu'elle continue à monter et quand son bourreau juge qu'elle est assez haute il attache la corde autour du tronc d'un autre arbre.

Suspendue Angelina comprend qu'elle va rester un bon moment dans cette position et elle ne se trompe pas.

- tu vas rester pendue ainsi jusqu'à midi et pas de repas -

Il s'en va la laissant avec ses souffrances, elle entend la voiture de Grégory qui démarre puis sort de la propriété.

Avec la souffrance difficilement supportable c'est surtout l'attente seule dans les lieux qui lui paraît extrêmement longue. Enfin elle entend la voiture revenir et une portière claquer.

Grégory vient tout de suite la retrouver et après l'avoir dépendue il la libère des cordages.

- tu sais ce qu'est le parcours du combattant -

En secouant la tête la fille dit non.

- tu vas comprendre, pour commencer tu vas ramper dans l'herbe en faisant le tour de la maison plusieurs fois -

Une fois qu'elle s'est mise sur le ventre il la tient en laisse et tire dessus pour qu'elle avance en rampant. Ce n'est pas facile pour elle, il pose un pied sur son dos quand elle lève les fesses un peu trop haut ou tire sur la laisse quand elle ralentit l'allure ou s'arrête.

Il fait durer le calvaire de la fille et se fiche éperdument qu'étant nue ses genoux, ses coudes et ses seins qui frottent sur le sol soient griffés. Quand l'exercice s'arrête elle est en sueur et exténuée, il ne la laisse pas se reposer bien longtemps.

- allez, suis moi, on va passer à la suite -

Tirant sur la laisse il l'entraîne vers la bâtiment.

- tu vois la barre métallique fixée à un poutre, je vais te montrer et ensuite ce sera à toi de faire des tractions en utilisant la force de tes bras.

Pendant qu'il fait une démonstration montrant qu'il a l'habitude de ce genre de sport qu'il pratique régulièrement pour s'entretenir elle se dit qu'elle ne va pas y arriver.

- à toi -

Elle doit déjà sauter pour que ses mains s'accrochent à la barre. Puis ses muscles qui ne sont pas habitués à ce genre d'effort n'arrivent pas à faire monter son corps assez haut.

La menace de sévices plus difficilement supportables l'incite à persévérer dans l'effort et elle essaie pendant un moment de se hisser par la force des bras sans que ce soit vraiment concluant.

- maintenant on va passer aux pompes -

elle arrive à en faire quelques unes avant de se laisser tomber sur le sol.

Les phrases que prononce Grégory qui en la rabaissant fait appel à son orgueil la rappellent à l'ordre et elle continue à faire ce que son bourreau veut tout en s'arrêtant plusieurs fois.

- ça va tu es nulle. Allonge toi sur le dos, mets tes mains derrière ta tête puis soulève tes jambes -

Angélina s'exécute.

- un peu plus haut les jambes -

Rapidement, n'ayant pas les abdominaux préparés à ça, elle laisse ses jambes retomber sur le sol.

L'homme va arracher des orties qui poussent le long d'un mur et quand la fille a levé les jambes ils les dispose dessous sur le sol.

Elle reste les jambes levées essayant de tenir le plus longtemps possible dans la position demandée avant d'abdiquer. Piquée par les orties plusieurs fois elle reprend la position exigée par l'homme.

- ça suffit pour aujourd'hui, il va y avoir beaucoup de travail pour te mettre en forme olympique-

Il ramasse une latte en bois pas bien large et peu épaisse puis tirant sur la laisse il force la fille à se lever et à le suivre. Ils arrivent devant le seuil de la maison, Grégory pose la latte sur le sol.

- mets toi à genoux -

La fille obéit.

- non! les genoux sur le morceau de bois, tu ne comprends rien la pute -

A contre-cœur elle fait ce qu'il demande.

Il lui attache les mains dans le dos.

- tu ne bouge pas même si c'est douloureux, tu m'as bien compris -

Angélina serre les dents mordant dans la boule/bâillon et grimace car rapidement la douleur s'amplifie et les arêtes de la latte s'enfoncent dans les chairs de ses genoux. Les larmes coulent de ses yeux, ses cris et plaintes sont étouffés par le bâillon et elle bave beaucoup. Elle baisse la tête se sentant perdue et essayant de penser à autre chose.

Elle se maudit en se disant qu'elle n'aurait pas du provoquer son bourreau en lui disant qu'elle ne se soumettra jamais et qu'elle s'enfuira quand l'occasion se présentera.

Quand son tortionnaire l'autorise à se relever elle a du mal à rester debout.

La tenant en laisse il rentre dans l'habitation et lui fait préparer le repas.

Le soir à genoux bâillonnée et les mains liées dans le dos à côté de la table elle doit regarder son bourreau manger. La faim la tenaille mais elle sait qu'elle se passera de repas.

La tenant en laisse Grégory l'amène dans la bâtiment attenant à l'habitation.

- ces souffrances sont nécessaires tu le comprendras plus tard -

Bâillonnée elle ne peut pas répondre.

- vu ce qui va se passer et comme j'ai besoin de dormir tu vas passer la nuit ici -

Il déplie une bâche sur le sol dans la grange.

- allonge toi, écarte bien tes bras et tes jambes -

Il place une planche munie de crochets et de sangles entre ses jambes et y emprisonne ses chevilles. Il répète l'opération avec une autre planche pour ses poignets.

- je ne sais pas si tu vas beaucoup dormir mais ce que tu va subir est efficace pour ton endurcissement -

Avant de sortir il manipule des interrupteurs et aussitôt la fille est éblouie par un éclairage violent pendant un bon moment. Quand la lumière s'éteint elle laisse place à de la musique forte et criarde qui énerve la fille.

Enfin c'est le calme et elle essaie de dormir mais cela ne dure pas longtemps.

Toute la nuit c'est en alternance lumière crue et éblouissante, musique trop forte et moments brefs de calme. Elle est soulagée et étourdie quand le lendemain matin il vient la libérer, il la soutient pendant qu'ils gagnent l'habitation.

Après avoir déjeuné et vu sa fatigue elle fait difficilement et mal les exercices qu'il lui impose.

Quand il est là Grégory, car parfois il retourne voir Natacha et faire l'amour avec elle, et qu'elle obéit sans rechigner il la nourrit à peu près bien, lui fait faire de l'exercice mais surtout il continue à la maltraiter et la faire souffrir pour l'endurcir.

Pour la nuit il l'attache sur le lit métallique de manière qu'elle ait mal dés qu'elle s'assoupit et le pire ce sont les heures dans l'après-midi qu'elle passe à souffrir pendue dans différents positions à la branche du chêne le poids de son corps tirant sur ses bras et ses jambes.

Souvent il s'en va et parfois reste absent pendant plusieurs jours.

A chaque fois elle se retrouve enfermée sans nourriture dans la bâtiment attenant à l'habitation.

La fille passe des jours et des nuits dans le noir ou pour changer avec en permanence la lumière crue et très forte diffusée par des spots

En plus il y a cette musique criarde et trop forte qui revient à intervalles réguliers.

La seule chose de bien qu'il a fait c'est cette corde attachée et tendue entre deux murs qui se font face.

Cela sert à la fille de repère pour se diriger dans le noir jusqu'au coin toilettes et aussi à un robinet car si elle n'a pas à manger elle peut boire.

Elle a les poignets et les chevilles menottés mais avec un peu de liberté de mouvement.

Elle garde le collier pour chien autour de son cou, une laisse y est accrochée, l'autre extrémité de la laisse est passée dans la corde, ainsi elle n'égare pas dans le bâtiment minimisant le risque de blessure.

Plus les jours passent plus la fille est complètement déboussolée, elle ne sait plus si c'est le jour ou la nuit.

Elle n'a plus la notion de l'heure ni de quel jour de la semaine on est.

Elle craque et elle sait maintenant acceptera tout ce qu'il voudra faire d'elle quelque soient les situations qui se présenteront à elle.

Plusieurs fois il l'emmène nue dans un bois et la laisse là attachée à un tronc d'arbre, elle est effrayée surtout la nuit avec les bruits étranges et inquiétants.

Elle n'a plus envie de lutter et de plus en plus souvent elle souhaite qu'il la mette vite sur le trottoir et abrège ses souffrances.

Mais son bourreau est décidé à faire encore durer le conditionnement de la fille pour être sur qu'elle soit suffisamment endurcie.

Déjà libérée de ses entraves à chaque fois qu'elle fait éjaculer l'homme en lui faisant une fellation puis positionnée au dessus de lui en le faisant jouir dans son vagin ou dans son cul elle ne cherche plus à se rebeller ou s'échapper.

Il lui parle beaucoup et longtemps en caressant son corps et en l'embrassant.

Il la baratine lui parlant de son avenir de prostituée, de Natacha sa sœur qui est heureuse de tapiner, qui l'attend et veut partager son homme avec elle.

Les jours passant ce qu'il lui dit fait son chemin dans le cerveau de la fille.

Cela fait maintenant plus d'un mois qu'Angelina est captive et elle a une triste mine et a bien maigri. Il commence à l'alimenter plus régulièrement l'obligeant à avaler de portions plus que suffisantes.

Tout en continuant à la faire souffrir Grégory commence à la laisser un peu plus souvent libre de ses mouvements.

Il la fait venir dans son lit et lui fait l'amour, bien que se sentant très fatiguée elle participe sans retenue pendant les rapports sexuels.

Les os de la filles sont bien visibles à travers la peau cela est du au fait qu'elle est sous alimentée.

Pour commencer elle l'embrasse de plus en plus fougueusement et passionnément au fil des jours.

Prenant l'initiative elle retire les vêtements de son amant en embrassant et léchant partout les parties de son corps qu'elle met à nu.

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