Alice in Wonderlands? Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Les quatre femmes entourent le banc et je ne sais pas trop où donner de la tête. Je les regarde toutes à tour de rôle pour tenter, avec pourtant un regard de coker de compétition, de les amadouer pour qu'elles me libèrent. Tentative désespérée qui les fait sourire à chacune de mes supplications.

- Mesdames, en tant que propriétaire des lieux je m'en octroie la primeur annonce Laurane lorsqu'elle enjambe le banc et vient se placer au-dessus de ma tête pour me faire profiter du discret petit tatouage qu'elle a au-dessus de sa toison.

- Alice ma chérie, montre-moi les nouveaux talents que t'a si joliment attribués Aurélie tout à l'heure, me dit-elle en se baissant pour approcher sa chatte de ma bouche.

- Jamais, je ne suis pas gouine crié-je comme pour attirer du monde à venir jeter un œil dans le vestiaire pour me délivrer de leurs griffes.

- Ne t'époumone pas me conseille t-elle, il n'y a plus personne dans l'établissement et plus rien d'ouvert dans cette zone d'activité !

- Tu me semblais bien plus motivée tout à l'heure. C'est Aurélie qui t'a tapé dans l'œil et qui te faisait de l'effet?

- Non, du tout, je ne sais pas ce qui m'a pris ... tenté-je d'argumenter pour justifier ce comportement incompréhensible sous la douche.

J'ai beau leur expliquer en long, en large et en travers, dans diverses langues, en employant de nombreux synonymes pour bien faire passer mes idées, même à des esprits les plus simples, que je n'étais pas attirée par les femmes. Elles font la sourde oreille et s'impatientent. Lassée par mon argumentaire intarissable, Laurane se baisse et vient frotter les lèvres de son sexe avec les miennes. Je détourne la tête.

- Eh bien mesdames je crois qu'il va falloir aider un peu Alice à découvrir sa véritable passion, non? commente-t-elle en voyant mon refus d'obtempérer, qu'en dites-vous?

Sans répondre, les trois ogresses s'emparent de mon corps. Mes tétons sont pris d'assaut par des mains agressives qui les étirent et les pinces sans vergogne, mon clito subit un traitement similaire et chaque pincement me fait me soulever le bassin. Deux autres paluches vicieuses s'amusent à tirer les lèvres de mon sexe dans tous les sens. Cette petite torture permanente devient vite insupportable et me fait craquer ! Soumise, je sors sans motivation ma langue pour leur montrer mon changement d'avis. Laurane vient y offrir son antre à plaisir. Je commence à m'en occuper sans plus attendre à petit coup discret.

Le comportement de mes tortionnaires change alors complètement, les mains se font caresses, la douceur retrouve ses droits, mes tétons sont délicatement massés, mon clito branlé d'une main experte, quelques doigts s'égarent régulièrement au fond de mon vagin pour aller lui compter fleurette, des langues diverses reviennent à la charge régulièrement pour déguster mes lèvres. Aucun endroit de mon corps n'est laissé en paix, même Aurélie, qui jusque-là se tenait à l'écart du groupe, vient de joindre à la curée !

Autant mon état surexcité de tout à l'heure m'a permis de passer outre mon dégoût, autant la vue de la chatte glabre de Laurane m'écœure et je dois vraiment me forcer pour m'activer sur son abîme des voluptés. Elle doit s'en rendre compte, car elle m'encourage régulièrement et donne de temps en temps des petits coups de bassin pour frotter son sexe le long de ma figure me faisant pleinement profiter de sa mouille. Virginie la remplace, la cuisse plus dodue et la toison en broussaille, elle m'offre un sexe fournit qui n'a pas vu le moindre rasoir depuis la fin de l'âge de pierre. Je tente une première percée au fin fond de cette Amazonie pour découvrir que le fleuve qui la traverse émet quelques effluves aux odeurs repoussantes.

Les deux imposantes cuisses qui m'encadrent ne me permettent pas d'échapper à ces relents qui me donnent ma nausée et sans se soucier de mes envies elle s'assied sur ma bouche impatiente de sentir ma langue venir fouiller sa grotte. L'épreuve est difficile, je n'arrive pas à me soustraire de cette odeur qui m'envahit aussi le palais. Heureusement Émilie la remplace assez rapidement et je retrouve à travers ses lèvres fines et son ticket de métro un sexe plus accueillant me motivant presque dans ma tâche !

Les sexes se succèdent, fins, épais, glabres, touffus, au clito parfois très présent.Ils sont humides de plaisir sous mes sollicitations, trempés jusqu'à plus soif pour d'autres, me faisant partager l'expression de leurs plaisirs en frottant généreusement toutes les parties de mon visage. Parfois en couple lorsque deux d'entre elles s'embrassent généreusement au-dessus de ma tête et m'offrent leur chatte en alternance. J'ai la bouche remplie de leur jouissance, la tête trempée par un masque de cyprine abondant dégoulinant dans mes cheveux et mon cou, les yeux presque collés, la langue fatiguée à force de léchage sans répit.

À force de passage sous ma langue les odeurs de leurs foufounes se mélangent pour ne plus en former qu'une seule, celle du sexe, de cette histoire de cul entre lesbiennes, de mes futurs souvenirs et de mes doutes lorsque sous leurs stimulations permanentes les bouffés de chaleur me reprennent ! Ce n'est pas possible, je ne peux pas prendre mon pied comme ça, je ne peux pas, je ne veux pas (!), y trouver le moindre plaisir. Pourtant une fois de plus mon corps est en train de prendre le pouvoir et d'envoyer tout le reste balader.

Mon sexe est de nouveau inondé à souhait et mon clito fait le beau au moindre doigt venant lui compter fleurette. Lorsque j'explose d'un premier orgasme sous leurs mains perverses elles s'arrêtent toute de concert quelques secondes, fières, j'imagine, de leur résultat, pour me laisser profiter pleinement de cette envolée, salopeeeeeeeeeeeeeeees.

Une fois retombée, elles reprennent leur ballet et m'offrent à nouveau leurs grottes humides à ma langue. Je vais subir une seconde secousse sous leurs caresses incessantes avant qu'enfin, elles aussi pleinement rassasiées, le sexe en pâmoison me libèrent de mes liens. Je reste sans bouger pendant quelques minutes, sans voie, tentant de récupérer de la folie de ces dernières heures.

C'est dans ces quelques instants surréalistes qui suivent la bataille, dans ces moments de grâce où seuls un calme et un silence pesant entourent les combattants en présence que seul le battement des ailes de Raymond, la mouche à merde du vestiaire, qui excitée comme un pou par le spectacle offert course sans répit sa moitié Simone pour lui présenter sans plus attendre ses honneurs, se fait entendre !

C'est Aurélie qui met un terme à cette courte tranquillité et vient m'aider à me relever. J'essaye d'ouvrir les yeux collés en partie par cette abondance de mouille. Les quatre autres sont assises sur les bancs du vestiaire, toujours nues, attendant je ne sais quelle autre péripétie. Une nouvelle salve d'applaudissements résonne dans le vestiaire.

- Hi pipipe hourra clame-t-elle plusieurs fois toutes en cœur !

Je ne partage pas leurs expressions de joie malgré les jouissances partagées en leur compagnie. Je ne pas nier par contre leur état d'esprit enjoué qui fait la fête à une soi-disant consœur.

- Avant de te libérer Alice, on apprécierait un petit bisou de remerciement, on t'a quand même fait jouir deux fois, m'interpelle Laurane.

Les remercier, le terme me parait déplacé et très inapproprié, mais épuisée je n'ai qu'une envie ... rentrer chez moi !

- À quatre pattes, complète-t-elle lorsque je m'apprête à venir les rejoindre.

J'obtempère et lorsque j'arrive à ses pieds, je comprends quand elle ouvre largement ses jambes où se situe le bisou escompté !

- Comment ça, c'est tout? râle-t-elle après l'embrassade de son sexe. Tu n'es pas très reconnaissante je trouve, j'espérai un peu plus d'attention de ta part.

Je retourne mettre le nez dans sa chatte et recommence une série de léchage appliquée pour me débarrasser rapidement de cette, espérée, dernière épreuve. Après deux ou trois minutes minutes d'expression de ma langue, j'ai le droit d'aller remercier sa voisine de la même manière. Les cinq gouines satisfaites par mes "au revoir" j'enfile sans attendre mes affaires et me propulse vers la sortie sans avoir eu le droit de me débarbouiller un minimum la figure.

Il est minuit passé et je ne risque pas de rencontrer trop de monde. Je m'attache cependant à prendre les petites rues, à éviter les lampadaires et à croiser la tête lors des quelques personnes croisées.

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Cela faisait plusieurs semaines qu'Aurélie lorgnait avec convoitise sur le petit cul d'Alice en se disant qu'elle ne devait pas laisser passer l'occasion de goûter à ses charmes. Elle avait rapidement fait copine / copine avec elle pendant les séances de fitness allant jusqu'à partager également le moment de la douche. Elle avait tenté une ou deux allusions discrètes, mais avait vite remarqué son désintérêt pour la gent féminine. Elle avait très récemment découvert ce nouvel aphrodisiaque qu'un site web spécialisé dans ce domaine annonçait d'une rare puissance, prêt à lever tous les tabous de leurs utilisateurs.

Comme toute publicité le propos était sûrement quelque peu marseillais, mais elle l'acheta. Lors de son essayage, elle respecta le dosage prescrit. Son effet inhibiteur restait encore à confirmer, mais côté libido aucun doute là-dessus, elle n'avait jamais ressenti de tels effets. De mémoire de gode on n'avait jamais assisté à une fête solitaire aussi endiablée ! Son efficacité avait en plus une durée assez longue qui l'avait emportée une bonne partie de la nuit.

Lorsqu'elle avait évoqué son plan à Laurane, celle-ci n'avait pas hésité une seule seconde, toujours prête, elle aussi, à découvrir de nouveaux terrains de jeu. Elle avait annulé l'autre cours de la soirée prétextant un souci de santé de l'intervenant. Elle appréciait la liberté sexuelle de Laurane et s'y retrouvait. Elles avaient souvent l'habitude de s'échanger leur plan, voire de les partager ensemble à certaines occasions. Recruter quelques participantes pour cette petite sauterie ne leur poserait pas de problème.

Dérober discrètement la bouteille d'eau d'Alice fut un jeu d'enfant. Elle prit la précaution d'ajouter un peu de citron dans la gourde pour cacher un éventuel goût de l'aphro, même si elle n'en avait pas ressenti lors de son essai. Il faut dire que malgré la puissance entrevue, elle n'avait pas pu s'empêcher de doser un peu généreusement celui-ci ! Cette séance de fitness restera mémorable !

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- Bonjour Vincent, tu souhaites me voir?

- Oui rentre Alice, on avait parlé de faire le point sur ton stage en fin d'année, me rappelle le directeur de Ste Thérèse de la Luciole.

- En effet dis-je en m'asseyant devant son bureau.

- Alors qu'elles sont tes impressions sur ton troisième trimestre? Ton sentiment de maîtrise de ta classe de grande section se confirme?

- ...

Nous échangeons une bonne demi-heure sur ce dernier trimestre et mon année de stage en général. C'est la 3eme fois que nous faisons le point ensemble et à chaque fois il est très pertinent dans ses remarques et le côté froid un peu distant qui m'avait mis mal à l'aise au début a vite laissé place à une relation professionnelle agréable et efficace.

- Comme tu peux le constater, je suis satisfait ton année avec nous. J'ai reçu en plus des commentaires favorables de tes collègues et des retours très positifs de quelques parents continu-il.

Je ne le coupe pas, car même si je ne suis pas à leur recherche, il est toujours agréable d'entendre quelques louanges !

- Il y a par contre un petit hic, un petit grain de sable dans tout ça.

- À à bon, quoi donc? dis-je surprise après tant d'engouement pour mon année.

- C'est l'inspecteur qui est venu t'examiner deux fois pendant ta classe, mr Durieux, il n'est pas convaincu que tu sois prête et préconise de refaire une année de stage supplémentaire.

- Comment ça? Ce n'est pas possible, il avait l'air satisfait lors de nos échanges à fin de chacune de ses visites, m'exclame je.

- Tu sais pour le fréquenter depuis plusieurs années, je peux te dire qu'il est assez particulier et qu'il n'est surtout pas très franc du collier en face de toi. Son sourire est souvent diplomate.

- Ce n'est pas juste, j'ai bossé comme une folle cette année. Qu'est ce qu'il me reproche précisément? Tu l'as eu au téléphone?

- Oui il m'a appelé avant hier pour faire le point avant de rédiger son rapport comme lors de chaque visite de stage. Il a trouvé que tu ne maîtrisais pas certains domaines, mais rassures toi je lui ai demandé d'attendre en lui expliquant notre entretien d'aujourd'hui. Je lui ferai un retour positif. En général il suit mes avis. Je crois même qu'il les a toujours respectés depuis que je suis en poste.

- Tu me rassures, ça ne me gênerait pas de refaire un stage ici, j'ai passé une super année, mais je trouverais ça beaucoup trop injuste et pas trop justifié.

- Par contre, en échange, et sans vouloir te mettre la pression, j'apprécierais que tes vœux d'établissement se limitent au nôtre. J'aimerais te garder une année supplémentaire dans nos effectifs, qu'en dis-tu?

- Ben, euh, bafouillé-je sans trop savoir comment lui que st Thérèse de la Luciole était bien loin de mes rêves les plus sobres.

J'espérai m'appuyer sur les vœux pour aller dans le sud, un établissement en bord de mer m'a tapé dans l'œil. Leur projet pédagogique est très excitant et correspondrait bien à mes envies.

- Tu avais d'autres choses en vu peut être?

- Oui j'avais déjà repéré quelques établissements, mais ça peut se réfléchir, le rassuré-je en bonne diplomate.

- Il ne va pas falloir que tu tardes à me donner ta réponse, je dois lui communiquer mes conclusions demain matin. Il faut que tu sois motivée aussi pour que je le sois de mon côté dans mes commentaires, ajoute-t-il sans en préciser plus.

Ça bouillonne dur dans mon crâne, les vœux passent en second, si mon stage n'est pas validé je ne peux pas aller très loin. Je crois que je vais accepter. Lorsque l'inspecteur m'aura validé tout ça, qu'est-ce qui m'empêchera de rappeler le rectorat et de modifier mes choix? Rien je crois, pensé-je optimiste sur ce futur espéré. La stratégie me semble bonne, c'est parti !

- Je crois qu'une année supplémentaire peut aisément s'envisager, mentis-je éhontément, comme je te disais j'ai apprécié travailler avec l'équipe.

- Que voilà une réponse qui m'enchante, on va avoir une équipe maternelle au complet cette année, tout le monde repart, tu ne peux pas savoir comme c'est agréable pour un directeur un peu de stabilité.

- Par contre, enchaîne-t-il, cette satisfaction professionnelle n'est pas toujours mon unique source de motivation. Penses-tu pouvoir remédier à cela pour que mon mail à l'inspecteur soit vraiment très élogieux?

Moi qui venais de relever sa rigueur et son professionnalisme, quelle naïve en puissance je fais, ça reste un pervers à ces heures le Vincent. Il ne s'imagine quand même pas pouvoir me baiser cet excité de la membrane. Je crois que je vais être obligée de lui accorder une fellation à ce con sinon il risque de mettre en l'air tout mon plan. Sucer pour arriver à mes fins, rien que d'y penser ça me fait mal au cul, excusez ma vulgarité passagère, mais j'ai l'impression de ressembler à ma sœur là !

- Je pense que je peux y remédier Vincent, lui affirmé-je en me levant pour aller me placer à ses côtés de l'autre côté du bureau.

Mon attitude me surprend, mon assurance aussi surtout lorsque d'une main ferme j'attaque la fermeture éclair de son pantalon après m'être agenouillée face à son fauteuil.

- Hum, j'aime tes sources de motivation Alice, tu sais réagir vite toi, tu gagnes des points, commente-t-il.

Alors que j'allais sortir le monstre de son foyer, un "toc toc toc" virulent sonne à la porte de son bureau.

- Merde mme Lagrange, je l'avais oublié celle-là, quel con, se lâche-t-il lui habituellement toujours posé. Elle vient pour son gamin qui ne mange rien à l'école et qui est dans la voiture-balai de la classe. On ne pourra rien en faire de celui-là, mais bon elle fait partie des généreux donateurs de l'école cette conne pense-t-il, j'en ai pour deux plombes avant quelle ne me lâche la grappe.

- Allez, on tente quelque chose, me dit-il en m'indiquant l'intérieur de son bureau, mets-toi là-dessous tu as largement la place, mon bureau étant cloisonné jusqu'en bas tu seras invisible.

- Ca ne va pas la tête, je ne vais pas te sucer pendant que tu reçois mme Lagrange. Si elle me découvre sous le bureau je vais être grillée.

- Justement, dépêche-toi de prendre place, s'agace-t-il en me tirant par le bras pour me pousser dans son alcôve. Je suis à vous dans un instant mme Lagrange, lance-t-il en même temps à sa future interlocutrice qui poirote devant la porte.

Il y a la place effectivement sous son bureau de ministre, un bureau de coin de belles dimensions. Bon une fois qu'il a mis ses jambes en ma compagnie ma liberté de mouvement est un peu plus limitée, mais ça reste raisonnable. Il sort son chibre et me dit en me regardant.

- N'oublie pas que tu travailles pour ma motivation, alors de l'application et en silence, entrez mme Lagrange, lance-t-il dans la foulée.

Coincée j'attrape son chibre et l'enfourne comme je peux dans ma bouche. La position n'est pas très confortable, limitée par la hauteur de son bureau, j'ai la poitrine un peu écrasée sur son fauteuil. Je le suce avec délicatesse alors que je l'entends entamer sa conversion. Je ne suis pas à l'aise en sentant la Lagrange aussi près de moi, j'en ai déjà entendu parler, c'est une pète-sec qui ne s'agenouille, elle, que pour prier !

Sa queue est particulière, pas très longue, quinze ou seize centimètres grands maximum, mais très large et épaisse avec un gland qui fait tout petit comparé à la largeur de la hampe. Elle ne tarde pas à se mettre en route et réagit de suite à mes premiers coups de langue. Ma petite bouche est vite entièrement remplie par cette masse imposante. Je tente quelques aller-retour en douceur en essayant de ne pas trop relever la tête pour éviter de me cogner et signaler par la même ma présence.

Je prends vite mes repères dans cet endroit minuscule, heureusement je ne suis pas claustrophobe ! Je tête et mordille son gland, lèche sa hampe, suce, bave un peu dessus pour faciliter son coulissement entre mes lèvres un peu distendues. Ce n'est pas la plus simple que j'aie eu sucer celle-là, mais je m'applique pour pouvoir m'acquitter de ma tâche au plus vite. Zéro plaisir affiché au compteur !

Au bout d'une dizaine de minutes d'efforts, son chibre se met enfin à vibrer et c'est avec application que j'avale l'importante quantité de foutre qu'il m'offre pour ne pas m'étouffer. J'avale par obligation, je ne me voyais pas recevoir ses décharges sur la figure et ressortir du bureau la frimousse maculée de foutre ! Vincent se racle à plusieurs reprises la gorge lors de l'éjaculation pour laisser passer l'orage qui le secoue. Il reprend dans la foulée sa discussion, sans rien laisser paraître à son interlocutrice. Un joli self contrôle de sa part !

Alors que je me désintéresse de son dard qui se ramollissait tranquillement dans ma bouche, plusieurs petites tapes sur le haut de mon crâne m'indiquent qu'il serait bon de le reprendre et de continuer à lui faire plaisir. Je me remets sans envie à l'ouvrage, j'ai la goule pâteuse de son foutre et rêve d'une grande rasade d'eau.

Au fait vous avez entendu l'actualité culturelle dernièrement? Non? Alors pour info le pianiste chinois Lang Lang va se marier. Si si, il a rencontré sa future bien-aimée lors d'un récital à paris, la violoniste Cuni Cuni ! Morte de rire ! J'évite de pouffer avec sa queue dans la bouche, mais ça me détend de partager ce style de blague, allez, je reprends docile mes léchouilles !

Il lui faut pas loin d'une vingtaine de minutes supplémentaires pour se débarrasser du pot de col, intarissable la Lagrange sur la vie de l'école. Je n'ai pas cessé de le sucer, et ma mâchoire commence à être un peu douloureuse à force d'engloutir ce large engin. Enfin seul, il recule son fauteuil pour me laisser respirer un peu, il attrape ma tête et me remet vite au labeur pour que quelques minutes plus tard m'alimenter d'une seconde dose de foutre toute aussi conséquente. Petite queue, mais grosses burnes le Vincent !