Actrice Malgré Elle (Partie 03)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Viens avec moi, on va prendre l'air.

Amandine lui prit la main et le força à la suivre sous le regard étonné de tous. En voyant le visage du garçon, ils comprirent alors pourquoi elle faisait ça et lui sourirent.

Dehors, tout en le tenant fermement, elle l'obligea à s'éloigner du manoir, mettant de nombreux mètres entre eux et la piscine. Le garçon, en sentant la main de sa bien-aimée dans la sienne, finit par retrouver un peu le moral et se laissa guider sur le chemin menant à l'étang. La jeune femme n'avait pas envie d'aller aussi loin et de tomber sur le couple de vieux pervers, s'arrêtant juste à une distance largement suffisante.

- Tu veux que l'on parle, lui demanda la jeune femme.

- Pourquoi elle fait ça et pourquoi mon père laisse faire.

- Je ne sais pas, c'est peut-être qu'ils ont ce fantasme tous les deux.

Le garçon la regarda et se retint de lui poser une question. Il était bien avec elle et ne voulait pas la faire partir.

Durant l'heure qui suivit, ils marchèrent lentement faisant une boucle autour du manoir discutant de tout et de rien. Lorsqu'ils revinrent enfin vers le lieu du tournage, espérant que ce soit fini, ils entendirent les cris d'Éléonore.

En fait c'était plus des hurlements de plaisir qu'autre chose. Elle était nue, sur le dos et Philippe était en train de la besogner avec une rare violence. Ça n'avait rien à voir avec la scène dans la salle de sports que la jeune fille avait tournée avec lui.

Lorsqu'elle avait été prise par l'homme, ce dernier avait mis une certaine douceur dans l'acte, y allant progressivement.

Là il était en train de la défoncer pour le plus grand plaisir de son mari qui avait mis une main dans son short pour se caresser. Les bruits que faisait le membre en plongeant dans la vulve montraient avec quelle violence il la besognait.

Inquiète, Amandine regarda le garçon qui fixait la scène, le visage blanc.

- Elle aime ça, réussit-il à dire en ne quittant pas sa mère des yeux.

- On dirait

- Je...

Heureusement pour le jeune homme, Alexandre mit fin au tournage peu de temps après, alors que Philippe s'était entièrement déchargé en elle.

- C'est excellent, pour une femme qui fait ça pour la première fois, tu as été formidable.

- Merci

Éléonore était tout sourire, heureuse d'avoir surmonté ses peurs alors que son mari ne la quittait plus d'une semelle, excité comme jamais.

- Tu devrais rester nue toute la journée, lui disait-il, tu es formidable

Mais sa femme préféra se rhabiller par pudeur malgré sa prestation devant tout le monde.

C'est alors qu'Amandine se rendit compte qu'elle tenait toujours la main du garçon qui la serrait très fort comme pour ne pas la perdre.

Avec douceur elle le relâcha, préférant ne pas trop s'attacher à lui.

****

Le repas fut un peu ennuyeux, Sylvain surexcité n'arrêtant pas de parler. Il racontait plein d'anecdotes sur sa femme comme si d'un coup elle était devenue la vedette du film.

Amandine fut heureuse lorsqu'elle quitta la table, ne voulant même pas de café. Sophie était venue vers la fin du dîner et paraissait avoir récupéré de sa nuit blanche.

En voyant partir Amandine, elle la rattrapa aussitôt, lui demandant en riant où elle comptait aller.

- je vais faire un tour

- désolé mais on a du travail. Je dois préparer ton joli petit cul, ne l'oublie pas.

- Mais! on l'a fait ce matin

- Non, ce matin c'était juste un petit diamètre, cet après-midi on passe à la taille au-dessus.

La jeune femme se rappela de son réveil avec Sophie et ne se révolta pas. Elle avait assez aimé se faire forcer l'anus et à l'idée de passer une taille supérieure, elle sentit tout son être s'exciter.

- On va dans ma chambre

- C'est le meilleur endroit. Je vais chercher ma sacoche et je te rejoins.

Fabien, un peu plus loin, avait assisté à la scène entre les deux femmes, mais ne suivit pas la Amandine. Même si elles avaient l'air de comploter, il préférait ne pas être trop curieux pour ne pas la perdre définitivement.

Dans sa chambre, la jeune femme se déshabilla complètement et s'allongea sur le lit dans l'attente de l'assistante. Elle n'avait plus aucune appréhension même si cela risquait de lui faire mal. Après tout, elle était là pour tourner un film porno et elle allait devoir y passer.

Lorsque Sophie pénétra dans la pièce, elle ne put s'empêcher de sourire en découvrant le corps magnifique de la jeune femme. Elle avait de la chance qu'Alexandre lui ait demandé de s'en occuper même si elle avait plus envie de le câliner que de le malmener.

S'asseyant sur le bord du lit, elle sortit de son sac un gode beaucoup plus gros que celui du matin. Il devait faire dans les trois centimètres de diamètre pour une vingtaine de long.

- C'est le plus gros? demanda la jeune femme inquiète.

- Oh non, c'est juste l'intermédiaire et tu vas adorer. Mets-toi comme ce matin en chien de fusil, il rentrera bien mieux.

Docile, elle se positionna dans la posture voulue et après que Sophie ait lubrifié son anus et le gode, elle se laissa sodomiser. Cela ne lui fit plus mal que le matin car la femme y allait plus franchement mais elle resta immobile durant la pénétration, se contentant de gémir lorsque la douleur était trop forte.

Comme lors de son réveil, son petit anus ne résista pas longtemps sauf que cette fois, la femme la lima longuement, pour bien habituer son petit trou à la sodomie.

Au bout de quelques minutes, Amandine se mit à gémir de plaisir, oubliant le mal qui irradiait son cul.

- Tu vois que tu aimes finalement, lui fit remarquer sa tortionnaire

- Ouiiiii

Après dix bonnes minutes de va-et-vient, Sophie retira le dildo qu'elle déposa à même le sol. Amandine, croyant que la séance était finie, allait se redresser lorsque l'assistante lui posa la main sur la hanche tout en lui disant.

- Pas encore, je dois maintenir ton anus ouvert pour le préparer encore mieux.

- Hein! comment ça le maintenir ouvert.

- Ça va te faire un peu mal mais je vais t'insérer un plug que tu garderas tout l'après-midi.

L'étudiante ne s'attendait pas à ça et ne savait plus quoi faire. Comment allait-elle faire pour bouger avec ce truc en elle. Elle avait accepté la sodomie mais là c'était bien plus effrayant car c'était à la limite de la torture.

Pourtant, courageuse, elle ne bougea pas un muscle lorsque la femme, après avoir bien lubrifié le plug, se mit à forcer l'anus déjà mis à mal.

La douleur fut incroyable et elle se mit à haleter alors que Sophie poussait comme une folle pour introduire l'engin. Cette dernière était stupéfiée par le courage de la jeune femme qui restait complètement amorphe malgré l'horrible souffrance qu'elle devait endurer.

Millimètre par millimètre, le plug s'enfonça dans la petite rondelle, l'élargissant inexorablement.

Encore un peu et ce serait gagné même si l'anus résistait encore.

Amandine s'était mise à pleurer, mais elle ne faisait rien pour arrêter la femme.

Lorsque le plug passa enfin le diamètre le plus large, il s'enfonça d'un coup venant se positionner comme il faut. Ça y est, l'anus allait rester ouvert et l'objet ne pourrait pas se sauver.

L'assistante pensa qu'elle y avait été un peu fort en insérant un modèle XXL mais après tout le réalisateur voulait des résultats rapidement

- C'est fini, tu peux bouger. Je te l'enlèverai ce soir... ou demain

- Mais! ça fait super mal, tu ne peux pas me laisser ça.

- Tu vas t'y habituer

Amandine essaya de s'asseoir et cela la lança immédiatement. Elle rassembla tout son courage et se leva. C'était horrible et elle sentit des larmes couler le long de ses joues.

- Vas-y, fais quelques pas

- Je ne pourrais jamais

- Dans ce cas tu vas rester à la même place pas mal de temps.

- Enlève-le-moi, s'il te plaît, ça fait trop mal.

Sophie, ne répondit pas et lui tendit les vêtements qu'elle portait le matin. Obéissant finalement, elle mit pas mal de temps pour enfiler le short et le t-shirt car chaque mouvement était très douloureux.

Malgré les élancements, elle suivit lentement l'assistante, voulant lui démontrer à quel point elle était volontaire. Descendre les escaliers fut pour elle un calvaire. À chaque marche franchie, le plug se déplaçait et l'ouvrait davantage.

Elle dut rester plusieurs minutes immobile lorsqu'elle arriva en bas pour que son cul se calme. C'était vraiment horrible mais elle avait fait son choix.

Lorsqu'elle sortit sur la terrasse, là où tout le monde se tenait, elle essayât de ne pas trop boiter, voulant être naturelle. Mais la douleur la faisait grimacer et sa démarche n'avait rien de très fluide.

En la voyant ainsi, Fabien paniqua aussitôt et se précipita vers elle pour savoir ce qu'elle avait.

- Ne t'inquiète pas, je n'ai rien, j'ai juste fait un faux mouvement

Alexandre, qui était au courant des malheurs d'Amandine, la regarda en souriant. Il savait maintenant qu'elle serait prête pour la scène qu'il avait prévue et fit un clin d'œil à son assistante qui avait l'air contente d'elle.

Tout l'après-midi, Fabien fut aux petits soins pour la jeune femme. Il lui satisfaisait les moindres de ses désirs et l'aidait à marcher dès qu'elle se déplaçait. L'étudiante finit par aimer qu'on s'occupe ainsi d'elle malgré que la douleur se soit atténuée au fil des heures.

Pas une seconde le garçon ne se douta qu'elle avait un objet enfoncé dans son cul, prenant toutes ses grimaces pour des douleurs dorsales.

*****

Il était 23h00 lorsque Amandine regagna sa chambre accompagnée de Sophie. Cela faisait plus de neuf heures qu'elle avait le plug enfoncé dans l'anus et était fière d'avoir pu résister autant de temps.

Sur la fin de journée, elle marchait presque normalement mais était tout de même heureuse que l'assistante ait décidé de le lui enlever. Lorsqu'elle avait dit bonne nuit à Fabien, elle avait dû insister pour qu'il ne l'accompagne pas jusqu'à son lit.

Et maintenant, elle allait être libérée.

Elle poussa un cri de douleur lorsque la femme tira sur le plug.

Nue, allongée sur le ventre, elle se rendit compte que son cul mis à mal tout l'après-midi, était devenu très sensible. D'une main, Sophie appuyait fortement sur le bas de son dos alors que de l'autre, elle tirait sans aucun état d'âme l'objet pour le sortir.

Sophie poussa un cri de triomphe lorsqu'elle réussit à arracher le plug XXL des entrailles de la fille. Pour Amandine, ce fut l'extase en sentant l'air rafraîchir son anus qui restait entrouvert. Elle était enfin libérée et appréciée ce moment sans bouger.

Elle pensait qu'elle allait enfin pouvoir récupérer lorsque sa tortionnaire lui dit.

- Alexandre t'attend en bas, il va t'emmener chez deux de tes amis pour que tu y passes la nuit.

- Des amis?

- Oui, les jumeaux.

- Mais!

Amandine eut très peur car les deux hommes avaient des sexes hors normes. Elle avait mis pas mal de temps pour bien récupérer en ayant été prise que de manière classique.

L'un des deux n'avait pas réussi à la sodomiser car elle était bien trop étroite mais cette nuit ils n'allaient sûrement pas s'en priver.

- Avant d'y aller il faut que tu prennes une douche

- Maintenant?

- Oui, il faut qu'ils en aient pour leur argent

- Quel argent?

- C'est juste une expression.

La femme avait failli vendre la mèche et se maudit intérieurement. Les deux frères avaient tellement était subjugués par le corps de la jeune fille qu'ils avaient proposé une grosse somme d'argent au réalisateur pour l'avoir toute une nuit.

Dans le passé, il avait souvent utilisé le corps de Sophie pour obtenir certaines faveurs de notables comme des autorisations pour les tournages mais là, l'assistante était soulagée que ce ne soit pas à elle d'y aller. Elle avait vu les vidéos qu'avait tournées Paul lorsqu'ils avaient pris Amandine et elle avait été impressionnée par leurs membres démesurés.

L'étudiante finit par accepter l'idée de retourner à la ferme et prit une douche en se savonnant consciencieusement.

Une fois séchée elle allait pour s'habiller lorsque Sophie l'en empêcha.

- Tu dois rester nue, Alexandre veut t'offrir ainsi.

- M'offrir! comme on le ferait avec un cadeau!

- Tu seras leur cadeau mais en vrai c'est pour ton bien, pour achever le travail qu'on a fait sur ton anus.

- Mais ils ont des sexes énormes

- Je t'ai bien préparé et tu n'auras pas mal.

- Mais est-ce que Alex restera avec moi quand je serais chez eux

- Non, il se contentera de te déposer là-bas. Ensuite, tu seras à eux.

Étrangement, cela l'excitait même si les deux frères l'effrayaient un peu. Elle allait être leur cadeau et son corps serait leur terrain de jeu.

N'enfilant qu'une paire de sandales, elle suivit Sophie d'un pas décidé. Elle avait envie de montrer son courage même si elle n'était pas vraiment rassurée.

Il était 23h30 et tout le monde était monté se coucher à l'exception de Paul qui discutait avec Alexandre en buvant une bière. Ils étaient assis sur les marches du perron, discutant de la journée écoulée.

Le caméraman, en voyant la jeune femme complètement dénudée, ne put s'empêcher de dire.

- Putain, je la baiserais bien avant qu'elle aille voir les deux frangins.

- Une autre fois, je leur ai promis son corps pour avant minuit et on a juste le temps d'y aller, lui répondit Alexandre.

Il posa sa bière vide sur une des marches et se dirigea vers sa voiture. Amandine, sans un mot, le suivit un nœud à l'estomac.

En les voyant s'éloigner, Paul ne put s'empêcher de faire une remarque à Sophie qui était restée près de lui.

- Ils vont la déchirer, ce ne sont pas des sexes qu'ils ont, ce sont des monstres.

- Je n'aimerais pas être à sa place mais si tu veux, je suis libre cette nuit et je peux m'occuper de ton monstre.

- Là, c'est tentant, je n'ai pas pu me faire la jeune, je me ferais la vieille...

- Hééé, je n'ai que trente ans

- Je plaisante, tu as encore de beaux restes

C'est en se riant qu'ils montèrent pour rejoindre la chambre du caméraman.

*****

La voiture d'Alexandre s'était garée dans la cour de la ferme et il donnait les dernières consignes à la jeune femme.

- Ils doivent te ramener demain matin pour sept heures avant que les autres ne se réveillent. Ce sera notre petit secret.

- Ce n'est pas toi qui viendras me chercher?

- Non, et ce que je veux c'est que tu les laisses te faire ce qu'ils veulent. Ils m'ont promis qu'ils seront doux avec toi.

- J'ai un peu peur

- Tu ne risques rien, à demain ma puce, tu sais que tu es ma petite chérie et que je ne veux pas qu'il t'arrive du mal.

C'était la première fois que le réalisateur employait des mots aussi intimes et cela remonta le moral de la jeune femme.

Il se pencha sur elle, l'embrassant sur la bouche tout en lui caressant un sein. Même si l'homme embrassait bien, elle ne ressentait pas du tout la même chose que lorsque les lèvres de Fabien s'étaient posées sur les siennes. Elle ne put s'empêcher de penser au garçon en se disant qu'il ne fallait surtout pas qu'il apprenne ce qu'elle s'apprêtait à faire.

Lorsqu'elle se retrouva devant la porte d'entrée, elle ne se retourna pas en entendant la voiture s'en aller. Elle avait peur mais ne pouvait plus faire marche arrière. Elle savait que lorsqu'elle aurait frappé à la porte, elle serait à la merci des frères et une part d'elle était excitée à cette idée.

Elle fut la première étonnée lorsque sa main frappa contre le bois, donnant le feu vert à une nuit qui risquait d'être très longue.

Elle frissonna lorsque la porte s'ouvrit sur un des frères. Il était déjà nu, prêt à la recevoir et il la détailla avec beaucoup d'envie.

- Bonjour ma belle, tu es vraiment magnifique. On avait peur que tu refuses de revenir.

Amandine ne put s'empêcher de fixer le membre démesuré qui pendait entre ses cuisses. Elle n'entendit même pas les paroles de bienvenue de l'homme tant son esprit était ailleurs.

Dès ce moment-là, elle comprit que Sophie ne l'avait pas assez préparé et qu'elle allait souffrir. Pourtant, mue par un instinct limite malsain, elle pénétra dans la grande pièce, se livrant de plein gré.

En la voyant rentrer sans y être invitée, le paysan se lécha les babines. Tel le petit chaperon rouge, elle s'enfermait sans y être forcée avec deux loups très affamés.

- Viens, Rémi nous attend dans la chambre,.

Sans un mot, elle le suivit, découvrant l'homme allongé sur le dos dans le grand lit de leurs parents. Il avait dû se caresser en l'attendant car son pénis était dressé, majestueux, n'attendant plus que le sexe de la fille.

- On a décidé d'innover avec ton corps, te faire ce que toutes les putes nous ont toujours refusé.

- Vous voulez faire quoi?

- On va te faire une double pénétration. Tu verras, tu vas adorer.

Amandine avait du mal à imaginer les deux sexes en même temps en elle. Pourtant, tel un automate, elle grimpa sur le lit pour chevaucher le paysan. Lorsqu'elle positionna sa chatte contre le gland énorme, elle se rendit compte qu'elle mouillait comme jamais.

Elle força pour essayer de le faire glisser en elle mais la largeur était trop importante et ne put faire rentrer que le gland

- je vais t'aider lui dit Rémi en la prenant par les hanches

Elle cria lorsque l'homme avec une force incroyable, la tira vers le bas. Sa vulve s'ouvrit telle une fleur et elle absorba lentement le gros pieu, lui procurant douleur et plaisir.

Lorsque le second jumeau vint se placer derrière elle, positionnant son énorme chibre contre sa petite rondelle, elle sut qu'elle allait vraiment souffrir. Elle avait accepté de venir et elle allait en payer le prix.

Cette fois, ses cris devinrent des hurlements lorsque le membre viola son cul, le pénétrant avec force.

Ils avaient payé très cher pour s'amuser avec cette petite pute et ils allaient en profiter au maximum.

*****

Il était dix heures du matin lorsque Fabien monta pour frapper à la porte d'Amandine. Elle n'était toujours pas réveillée et il voulait savoir si elle allait mieux. La veille, avec le faux mouvement qu'elle avait fait, elle avait vraiment eu l'air de souffrir le martyre et il était inquiet pour elle.

Lorsqu'il découvrit la porte grande ouverte et le lit pas défait, il pensa qu'elle s'était levée tôt pour aller se promener.

Il fut un peu déçu de ne pas la voir lui qui en était fou amoureux. C'était son rayon de soleil et il adorait la regarder même si elle ne le voyait pas.

Dans la grande salle il croisa Alexandre qui était en train de déjeuner.

- Tu n'as pas vu Amandine, je voulais lui parler, demanda-t'il au réalisateur.

- Elle doit être en train de dormir

- Non, j'en viens et elle a même fait son lit.

L'homme, en entendant cela, parut anxieux Ils auraient dû la ramener depuis longtemps et son absence risquait de ne pas passer inaperçue

Abandonnant son petit déjeuner sur la table, il sortit de la demeure pour leur téléphoner. Les seuls à être au courant avec lui étaient Paul et Sophie et il eut peur d'avoir fait une connerie en leur laissant la fille.

*****

Amandine était inconsciente depuis pas mal de temps. Elle était allongée sur le ventre alors qu'un des jumeaux lui défonçait le cul. Il faisait jour depuis plusieurs heures mais ils n'arrivaient pas à se rassasier de son joli petit corps.

Ils ne comptaient même plus le nombre de fois qu'ils l'avaient prises, récupérant souvent très vite tant elle était addictive.

Son petit cul avait saigné pas mal au tout début mais maintenant il recevait leurs membres sans plus aucune résistance. Cela faisait plus de dix heures qu'ils jouaient avec elle et ils connaissaient chaque centimètre de son anatomie.

Plusieurs fois leurs téléphones avaient sonné mais ils avaient préféré ne pas répondre pour la garder encore un peu.

L'homme poussa un gémissement de bonheur en se vidant de nouveau en elle. Lorsqu'il se retira se fut pour la mettre sur le dos. Même dans les vaps elle était magnifique mais ils savaient qu'ils allaient devoir la rendre à son propriétaire.